[Adam, seul au salon]

Allongé confortablement sur le canapé, le souvenir du corps offert de ma fille me détournait du film qui passait sur lécran plat ; elle obsédait mes pensées. Nos corps et notre plaisir saccordaient à merveille. La seule ombre à mon bonheur, cest quelle est ma fille. Cétait pour cette raison que javais décidé de ne plus la toucher et de lui dire que je ne souhaitais plus lui faire lamour. La tristesse de son regard mavait bouleversé. Mon sexe en érection trahissait mon désir de la blottir dans mes bras, de respirer son odeur, de sentir sa peau contre la mienne, et de la faire jouir encore. Jétais partagé entre la raison et la passion.

Soudain, mon portable sonna, la surprise me fit sursauter et je saisis le mobile sur la table basse. Mon ex-femme ! Mais que pouvait-elle bien me vouloir ? Rien que le fait dentendre sa voix me rendait malade, je décrochai en comptant bien écourter la conversation.

Ma fille Jessica, fit son apparition à ce moment-là avec sa boîte de Monopoly dans les mains. Sa mini-jupe virevoltait autour de ses jolies cuisses, elle passa lentement au-dessus de mon visage. Je me cambrai en arrière pour regarder dessous en soulevant le tissu. Son ravissant petit derrière éblouit mes yeux. Surprise, elle se retourna. Je lui lançai un clin dil et un sourire enjôleur, elle me sourit et déposa son jeu sur la table basse.

Sa mère me parlait de sa merveilleuse vie de famille recomposée. Elle était enceinte jusquaux yeux et son bonheur me mettait mal à laise. Il me rappelait amèrement ce que javais perdu. Mais le joli brin de femme qui me souriait me rappela la chance que javais de lavoir près de moi et combien je tenais à elle. Javais attendu ce bonheur toute ma vie, un peu comme un prince endormi réveillé par une déesse. Nous nous éveillions ensemble à lérotisme, à la sensualité et au plaisir. Cela faisait tellement longtemps que je navais pas autant fait lamour avec autant de douceur et de passion Je me sentais rajeunir, revivre.

Jadmirai son joli corps que je désirais tant. Ma fille installa silencieusement son jeu, sans me regarder. Je me servis de mon pied pour soulever sa jupe. Son coquillage entrouvert laissait apercevoir son clito et ses lèvres toutes roses. Nos regards se croisèrent et je léchai mes lèvres avec gourmandise. Les siennes sétirèrent en un sourire enjôleur. Je lui caressai un sein par-dessus le tissu soyeux de son chemisier gris argent. Elle se tendit vers moi, les yeux brillants. Son téton se dressa sous mes orteils. Je tirai la langue et la remuai doucement comme si je le léchais. Jessica me répondit par un joli haussement de sourcil appréciateur. Je désignai le bouton de son chemisier avec mes orteils pour lui demander de le défaire. Ma fille sexécuta et agrandit léchancrure de son vêtement. Ses seins se libérèrent, me permettant de les caresser lentement. Elle me regardait faire, puis elle les prit en coupe et les présenta à mon pied en les massant. Jappréciai la caresse de ses tétons dressés. Je fis de lents va-et-vient entre ses seins tendus. La blondinette se lécha les lèvres et accompagna mes mouvements. Je me mordis les doigts en la regardant faire.

Cadeau ? demanda sa mère.

Ma fille se leva pour se rapprocher de moi en détachant un bouton et amena ses seins à portée de mon visage. Je posai un doigt sur mes lèvres pour lui faire comprendre quon ne pouvait pas se permettre déveiller les soupçons.

Oui, répondis-je banalement.

Je léchais et suçais doucement ses tétons dressés.

Quoi, oui ? Je tai demandé ce que tu offrais à Jess pour son anniversaire.

Le trouble que me provoquaient les charmes de ma fille me fit sourire.

Je ne sais pas encore. Je lui ai demandé ce qui lui ferait plaisir, mais elle na pas su me répondre.

Jétais hypnotisé par cette magnifique paire de seins que ma belle caressait au-dessus de mes yeux.

Jess, ta mère demande ce que tu souhaites pour ton anniversaire.

Lintéressée ôta ses tétons de mes lèvres et caressa mon sexe en érection par-dessus mon jean. Ses yeux brûlants de désir et son sourire enjôleur me firent clairement comprendre ce quelle voulait que je le lui offre. Je ne pouvais pas fournir cette réponse à sa mère.

Elle réfléchit.

Seulement, la blondinette se pencha et embrassa mon sexe sur toute sa longueur. Jespérais quelle réfléchissait en même temps. Ses yeux ne quittaient pas les miens tandis que sa langue léchait mon jean. La situation était gênante et très excitante ; je me mordis la lèvre pour étouffer mes soupirs.

Elle na pas didée, répondis-je à sa place en me forçant à garder une voix naturelle.

Cest embêtant. Jai prévu de faire une grande fête avec des amis pour elle et pour fêter la naissance de sa sur.

Jess est avec moi cette année le jour de son anniversaire, lui rappelai-je.

Ma fille commençait à déboutonner ma chemisette en embrassant mon ventre. Sa langue brûlante sur ma peau menflammait. Je la regardais faire en caressant ses couettes.

Oui, je sais bien, mais cela ne mempêche pas de le fêter aussi, dautant plus que ça tombe pendant les vacances scolaires, déclara mon ex-femme.

La blondinette terminait douvrir ma chemise en membrassant dans le cou. Mon corps frissonnait de désir. Elle serait sûrement fière dapprendre quelle faisait mieux lamour que sa mère… Cette dernière ne mavait jamais caressé de cette manière ni ne mavait donné autant de plaisir.

Tes déjà en vacances ? demandai-je à ma fille, surpris.

Celle-ci releva la tête de mon téton durci quelle léchait pour répondre :

Dans deux semaines.

Javais intérêt à poser mes jours de congé rapidement si je voulais profiter de sa présence.

Daccord. Je vais voir avec elle ce quelle veut pour son anniversaire et je te tiens au courant, dis-je à mon ex.

Les mains de ma fille caressèrent doucement mon torse. Elle déposait de tendres baisers sur ma peau. Jappréciais sa tendresse, les yeux mi-clos en caressant sa nuque délicate. Ma peau frissonnait sous ses lèvres et sa langue qui dessinaient le contour de mes muscles. Je serrais ma fille fermement contre mon torse, elle resta immobile quelques instants en effleurant ma peau du bout des doigts, puis elle sallongea sur moi en membrassant sensuellement dans le cou. Je laissais ses douces lèvres menivrer de plaisir.

Je raccrochai quelques minutes plus tard et fis un résumé de la conversation à ma fille. Nous restâmes dans les bras lun de lautre. Je caressais ses cheveux en respirant son odeur de femme. Jappréciais la chaleur et la douceur de son corps contre le mien.

On le fait, ce jeu ? demanda-t-elle subitement.

Nous nous assîmes sur le sol et débutâmes la partie de Monopoly.

Jai beaucoup aimé ton câlin tout à lheure, pendant que jétais au téléphone, dis-je en regardant ses lèvres que javais envie dembrasser. Oh ! Je suis chez toi ; combien je te dois ?

Tu embrasses mes seins, dit-elle en me lançant un regard espiègle, la poitrine offerte.

Je fus surpris par son invitation très tentante.

Sois sérieuse, souris-je.

Hmm hmm Je ne veux pas de ton argent. Embrasse mes seins, dit-elle en portant ses tétons à mes lèvres.

Je plongeai mes yeux dans les siens en léchant ses petits bouts tout durs. Pris par ce jeu excitant, jembrassais doucement ses jolies paumes bien fermes que ma fille tenait en coupe. Je glissais ma langue entre elles en léchant doucement sa tendre vallée. Je me régalais du plaisir qui inondait ses yeux et des soupirs qui séchappaient de ses lèvres entrouvertes.

Cest bien mieux que tes papiers ridicules, dit-elle avec son air espiègle.

Cest certain souris-je. Et si tu tombes chez moi, tu me payes comment ?

Ma fille réajusta son chemisier en réfléchissant, un sourire sur les lèvres.

Je tembrasserais le torse. Si cest un terrain avec maison, je te ferai un massage. Sil y en a quatre, je te masturberai et si cest sur un hôtel, alors je caresserai ton sexe avec mes seins.

Jen ai de la chance, dis-je dune voix suave, mais les prix ne sont pas les mêmes sur tout le plateau.

Eh bien, si je tombe sur la « Rue de la Paix », alors tu pourrais mapprendre à te sucer

Tant que ça ? Non, certainement pas, grimaçai-je.

La déception se peignit sur son visage.

Mais je veux bien que tu embrasses mon gland en me caressant, chuchotai-je à son oreille.

Javais le cur battant parce que jen avais très envie, mais cela me gênait de lui demander une chose pareille. Ma fille me lança le plus merveilleux des regards et membrassa tendrement.

Puisque tu as changé toutes les règles, alors je dois madapter aussi. Si tu as des maisons, je caresse ta minette, un hôtel ; je la lèche. Si cest « Rue de la Paix », je pourrais te caresser avec mon sexe.

Le désir enflamma son regard.

On a oublié la banque, constatai-je. Est-ce que je distribue toujours 200 en passant la case départ ?

Je veux bien moccuper du banquier, dit-elle dune voix suave en caressant mon sexe par-dessus mon pantalon.

Oh de quelle façon ? demandai-je, excité.

Je pourrais me caresser dessus, proposa-t-elle. Mais si je tombe sur limpôt sur le revenu

Tu refais pareil ; seulement, je te caresse les seins en même temps, proposai-je.

Humm Mais ça me fait payer plus cher, remarqua-t-elle.

Cest pour les intérêts, souris-je.

Les règles ainsi établies, nous reprîmes la partie. Le premier tour de jeu était érotique, variant entre les baisers sensuels sur ses seins, et ses massages. Son premier dans mon dos et ma nuque était doux et agréable. Celui-ci me permit de caresser sensuellement ses cuisses. Toutefois, pour les suivants, je lui demandai de masser plutôt mon torse. Jen profitais ainsi pour caresser ses seins tandis que ma fille ondulait doucement du bassin sur mon érection.

Jaimerais que tu ouvres ton chemisier pour que je puisse admirer tes seins durant toute la partie, demandai-je.

Ses yeux brillants plantés dans les miens, elle entreprit de le déboutonner très lentement en se déhanchant sensuellement et en caressant son torse sur le tissu soyeux. Puis elle se mit à jouer avec les pans, dénudant une épaule après lautre sans dévoiler sa poitrine. Ma fille prit ensuite ses pommes en coupe pour les caresser avec le vêtement ouvert qui laissait apparaître la peau douce et tendre de son ventre. Son regard et son sourire menvoûtaient. Elle était tellement sensuelle et excitante… Javais envie de lui arracher son chemisier et de la dévorer.

Tu sais quà trop jouer avec les allumettes on peut se brûler ? demandai-je en léchant la salive qui perlait au coin de mes lèvres.

Pourquoi ? Je tai mis le feu ? senquit-elle dune voix suave.

Elle se déhanchait plus encore en remuant lentement les pans de son chemisier. Ses mouvements dévoilaient ses magnifiques seins qui se balançaient doucement. Ses couettes sagitaient sur ses épaules dénudées. Elle me lançait parfois des regards langoureux en se léchant les lèvres. Ma fille était gracieuse, belle et sensuelle à damner un saint. Quant à moi, je méritais de brûler en enfer pour la désirer si fort en cet instant magique. Je lattirais à moi en la blottissant dans mes bras. Mon cur cognait fort dans ma poitrine et mon érection menaçait dexploser mon jean. Je lembrassai passionnément en caressant ses seins.

Cest très dangereux ce que tu fais, murmurai-je entre deux baisers.

Je repris progressivement le contrôle de ma respiration, des battements de mon cur et de mes émotions. Nous pûmes continuer la partie. Jétais ravi de pouvoir contempler sa magnifique poitrine. Je profitais dun lancement de dés pour caresser ses tétons durcis, les faisant rouler entre mes doigts. La blondinette soupira de plaisir.

Chance ! mexclamai-je en tirant une carte. Votre fille doit vous embrasser tendrement.

Jessica me lança un regard surpris.

Si tu nes pas daccord, tu vas tout droit en prison sans passer par la case départ, plaisantai-je.

Elle rit et vint me chevaucher. Je sentis sa minette brûlante frotter sur la bosse qui gonflait mon pantalon. Sa langue lécha doucement mes lèvres avant de sinsérer dans ma bouche pour caresser la mienne. Je la serrai contre moi, appréciant la douceur et la fermeté de ses seins contre mon torse.

Ma fille commença à aller et venir lentement sur mon érection tout en membrassant. Cétait agréable et délicieux. Jeffleurais ses seins, puis les caressais doucement à pleines mains. Elle gémissait entre mes lèvres. Ses mouvements de reins sintensifièrent, aiguisant mon désir. Je passais mes mains sous sa jupe pour lui caresser les fesses. Jinsérais délicatement un doigt dans son vagin serré et trempé qui laspira profondément en elle. Nous gémîmes denvie. Jy fis quelques va-et-vient imposés par le rythme de ses hanches.

Je retirai mon doigt inondé de liqueur pour en caresser sa délicieuse raie. Ma fille cambra ses fesses en arrière lorsque jeffleurais son petit trou. Il se dilatait doucement sous mes caresses furtives. Excitée, elle accéléra ses mouvements de bassin en gémissant. Jinsérais de nouveau mon doigt dans son vagin qui était maintenant dilaté et coulait à flots. Jy glissais un deuxième et commençais une douce pénétration. Les mouvements de ma fille, plus rapides, lui intimaient une cadence plus intense sur mes doigts. Ses lèvres se séparèrent des miennes pour laisser libre cours à ses cris de plaisir. Son front appuyé contre le mien, je me noyais dans livresse de son regard brûlant.

Je retirais mes doigts de son intimité pour caresser furtivement son petit trou. Celui-ci était ouvert et accueillant. Il me donnait envie de lexplorer délicatement. Je réinsérais profondément mes doigts dans son intimité avant de revenir caresser furtivement son anneau et je recommençais encore, encore et encore.

Ma fille hurlait de plaisir en serrant mon visage contre le sien. Son bassin se mouvait à une cadence effrénée sur mon érection. Je me sentais venir dun instant à lautre dans mon jean. Soudain, Jessica se raidit ; ses doigts agrippèrent fermement mes cheveux tandis que son regard plongeait au fond du mien. Des spasmes secouaient son magnifique corps ; ses cris menaçaient de percer mes tympans. Mes doigts pénétraient en elle intensément et profondément. Son vagin se contractait et sa liqueur inondait ma main. Elle se souleva en appuyant mon visage contre ses seins. Jen profitais pour prendre un de ses tétons dressés en bouche et le sucer doucement.

Ça ne devait être quun baiser, souris-je lorsquelle fut calmée.

Ma fille membrassa tendrement. Je la blottis dans mes bras en soupirant longuement. Jétais tellement heureux de lui donner tant de plaisir

Nous reprîmes la partie ; nos règles érotiques me rendaient fou de désir. Lorsque ma fille passa par la case départ, je libérais mon sexe de sa prison sous ses yeux ravis. Le banquier en érection accueillit avec bonheur les caresses de sa minette toute trempée. Installée dans la même position que précédemment, jattrapais ses fesses à pleines mains et leur donnais une cadence de va-et-vient acharnée. Sa minette et son petit trou dilatés glissaient merveilleusement bien sur ma verge tendue, mexcitant formidablement. Nous gémissions tous les deux en nous embrassant fougueusement.

Je suis désolé, ma chérie Jai trop envie, gémis-je.

Notre échange était plus passionné que sensuel. Un désir brûlant nous enflammait.

Oh, Papa pénètre-moi ! ordonna-t-elle.

Son ordre me porta le coup de grâce. Je serrais ses fesses autour de mon sexe en criant ma victoire. Mon sperme gicla dans sa raie, arrosant ses orifices. Ma fille me serrait dans ses bras en membrassant dans le cou. Je me sentais aimé et adoré. Mon corps secoué de spasmes tremblait contre le sien. Je la blottis dans mes bras en lembrassant tendrement tandis que lextase me quittait et que je reprenais le contrôle de mes émotions.

Comme il se faisait tard, je rangeais le jeu pendant que Jess se douchait.

Où vas-tu ? demandai-je en la croisant sur le palier.

Ma fille, enroulée dans un drap de bain, avait la peau encore humide.

Dans ma chambre, sourit-elle.

Oh fis-je en lui ôtant sa serviette.

Elle me laissa faire en frissonnant.

Je sais que je nai pas été très doux, tout à lheure ; mais cela me ferait vraiment plaisir que tu passes la nuit avec moi.

Ses yeux se mirent à briller de joie et damour. Son regard était si intense que les pulsations de mon cur semballèrent.

Je veux bien, dit-elle en membrassant tendrement.

Je fus tout ému de la sentir nue contre moi. Je respirais son odeur fleurie en la serrant délicatement dans mes bras. Puis je la guidais silencieusement jusquà mon lit. Je lui ouvris les draps ; ma fille sy glissa pendant que je regardais son corps nu. Une très forte émotion brillait dans ses yeux lorsquelle les leva vers moi.

Je vais me doucher et jarrive, murmurai-je avant de lembrasser doucement.

Je sortis de ma salle de bain, nu et la peau encore humide. Ma fille avait adopté une position détendue dans mon lit. Elle me souriait sans quitter mon corps des yeux. Je mallongeais à ses côtés ; elle vint aussitôt se blottir dans mes bras.

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