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Réunion Tupperware assez spéciale – Chapitre 2




Réunion Tupperware assez spéciale.2

Dans cette histoire, vous retrouverez Lucie que vous avez connue dans l’histoire : mon beau-père fait mon éducation sexuelle et Claude dans différentes histoires du Mâle dominant.

Les coquines apprécient ce sexe prometteur déjà bandé. Pauline ose descendre le slip, mais la verge de Claude ne reste pas dressée et pend entre ses cuisses. (L’effet était trompeur)

Entre ses jambes ballotte une paire de couilles imposantes, nerveuses et pressées à la base de la queue. Le manche fait 17-18 centimètres au repos, très gros, anormalement gros, déjà plus épais que le carton d’un rouleau de papier toilette, terminé par un gland rosé à demi-découvert.

Un énorme gourdin en devenir, plus grand que tout ce que ces filles avaient pu voir ou croiser auparavant les narguait.

Suite.

Ingrid donne à Solène un anneau pénien avec des picots pour qu’elle en habille l’engin.

Elle prend cette bite molle et glisse avec douceur, mais dextérité, cet anneau de presque cinq centimètres de diamètre. Elle prend le prépuce entre deux doigts pour faire descendre l’anneau jusqu’aux couilles, mais arrive seulement à mi-distance et commence à le branler avec cet anneau.

Solène monte et descend sa main sur la colonne qui bande à une allure folle, car la bite grandit brusquement grâce à l’anneau qui retient le sang. Elle voudrait aller jusqu’aux couilles, mais en est empêchée par l’anneau.

Un sexe d’une beauté extraordinaire, bien droit, hyperraide nargue de ses plus de 25 centimètres de long les filles apeurées autant qu’admiratives.

L’énorme sexe attire inéluctablement les regards. Cette montagne de chair dure comme l’acier est hallucinante !

Marine s’approche étonnée :

Ce n’est pas possible de l’avoir aussi grosse… Elle ne peut pas rentrer dans un vagin…

Ingrid la rassure :

Mais si, c’est possible… Le vagin d’une femme est très extensible, c’est par là que sortent les bébés…

Keira, qui les a rejointes, encercle entre le pouce et le majeur la hampe en son milieu.

Putain ! Sa bite est si grosse que mes deux doigts sont loin de se rejoindre ! Le diamètre doit faire au moins entre cinq et six centimètres à la racine. Les quelques bites que j’ai vues n’étaient pas aussi grosses…

Les filles commencent à se bousculer pour toucher ce gourdin avant qu’Ingrid y mette de l’ordre :

Stop les filles ! À la queue leu leu si je puis dire et à chacune son tour… Il y en aura pour tout le monde !

Les femmes un peu plus mûres se sentent frustrées d’être passées à côté d’une telle occasion et tournent souvent la tête pour voir ces petites pimbêches se contenter pour la plupart de ne gober que l’énorme gland de ce sceptre royal, n’osant pas pousser plus loin l’exercice.

Les filles s’escriment à tour de rôle ou à plusieurs maintenant. Il faut dire qu’il y a de la matière… Ça tourne même à l’orgie quand Keira se glisse entre les cuisses de Claude pour gober ses ufs pendant que Solène prend en bouche une quinzaine de centimètres s’arrêtant quand ses lèvres butent sur le cockring.

Poussez-vous les filles ! ordonne Ingrid. Je vais vous donner une leçon, regardez bien comment il faut traiter un tel pal…

Elles s’exécutent et Ingrid prend leur place devant la teub exceptionnelle. Claude tapote son énorme gourdin plusieurs fois sur le visage de notre hôtesse.

Ouvre la bouche et suce ma bite ! Montre-leur le travail d’une professionnelle !

Ingrid obéit et engouffre le sexe hors norme entre ses lèvres. Le mandrin impressionnant, très épais et très long, disparaît petit à petit. Ingrid a de la difficulté à passer l’anneau, mais ses lèvres progressent toujours. On dirait un boa avalant une énorme proie par à coups successifs.

J’ai déjà eu à faire avec cette formidable verge et mes mâchoires s’en souviennent encore…

Mais le miracle se produit quand le chibre est avalé entièrement dans la gorge sans fond d’Ingrid. C’est incroyable !! ! Elle reste quelques secondes ainsi avant de recracher le manche de pioche de Claude barbouillé d’une bave abondante.

Il rugit des encouragements pour connaître encore cette délicieuse torture et Ingrid sattelle de nouveau à la tâche, excitant la peau fine du gland de la pointe de la langue, lapant les quelques centimètres de peau du prépuce qu’elle tire en arrière pour le décalotter entièrement.

Claude gémit sous l’attaque perfide d’Ingrid qui recommence son exploit en exagérant les bruits de succion pour bien l’exciter, engloutissant entièrement la bête.

Claude accompagne la gorge profonde titanesque d’un mouvement de bassin vers l’avant. Ça ne dure que quelques secondes à peine, mais l’effet est très puissant et irréel pour le public ébahi.

Je me recule pour avoir une vue d’ensemble. Le contraste est saisissant entre les deux hommes : Ben est « bien monté », mais sa stature et sa musculation adoucissent la belle taille de son pénis.

Par contre, Claude est un petit freluquet et le barreau de chaise impressionnant qui le précède est si incongru qu’on se demande pourquoi la nature lui a joué un si (gros) tour.

A force de persévérance et d’expérience, les « anciennes » ont déjà fait cracher deux fois Ben.

Un « reproducteur » honnête, sans plus. Mais les couguars n’en ont pas perdu une goutte.

Claude commence à gémir, la délivrance est proche… Ingrid ainsi que moi savons à quoi nous attendre, mais pas les autres… Il ne veut pas prendre en traitre les filles et les prévient :

Gare à vos frusques les filles, j’ouvre les vannes…

Elles se mettent à rigoler et frappent dans leurs mains, se resserrant pour profiter du spectacle.

Claude masturbe sa pine, gêné par l’anneau quand enfin une goûte de présperme coule sur son gland.

Il lâche alors sa lance qui monte et baisse au rythme des contractions de ses muscles et éjecte à chaque fois qu’elle arrive en position haute des filets de sperme dantesques. Des filaments de foutre de plus de cinquante centimètres s’envolent à des hauteurs folles avant de s’abattre en pluie sur les donzelles à plus d’un mètre de lui.

Les cheveux, les visages, les corsages délicats se retrouvent couverts de points, de virgules, de traînées blanchâtres. Je redécouvre avec ravissement le pouvoir éjaculatoire étonnant de cet adolescent attardé. Les filles mettent leurs mains devant leurs yeux, se demandant quand l’orage va cesser.

La source est enfin tarie, mais à la grande surprise des femmes présentes, elles constatent qu’il est toujours aussi en forme, se demandant si c’est dû à l’anneau où à une vitalité sexuelle exubérante.

Comme il bande toujours, elles se remettent à plusieurs pour le sucer. L’une lèche la colonne depuis les couilles jusqu’à l’anneau, une autre de l’anneau jusqu’à rencontrer la bouche de la troisième qui se concentre sur le gland.

Comme Ben est en berne, toute l’attention du troupeau de femelles est tournée vers Claude et son « grand mât ». Mais comme il faut faire la « queue » pour accéder à la queue, les filles se rabattent sur l’impressionnante collection de godes, de vibromasseurs, de flacons de gel ou d’ufs vibrants.

Ça ne tarde pas à dégénérer. Quel effet peut donner cet uf connecté une fois introduit dans le vagin ? Ce gode, ce sex-toy ? Je suis en train de mouiller, je me demande quel est l’effet que doit produire cet engin dans une chatte ?

A suivre…

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