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Banquière perverse – Chapitre 17




Rappel du chapitre précédent :

Après une discussion sérieuse avec ma patronne, je sais maintenant à quoi m’en tenir vis-à-vis d’elle, mais je ne sais pas qu’elle décision prendre ; car je suis pris entre deux feux. Soit je choisis la sécurité et épouse ma patronne, soit j’opte pour l’amour et l’aventure avec Gladice. J’ai bien compris que ma patronne essaye de me conquérir par tous les moyens, notamment en m’offrant tout ce que je veux contre un amour qui me parait impossible. Perturbé par mes pensées, la nuit fut difficile et je devais me lever à six heures pour préparer le petit déjeuner de Madame.

ooOoo

Mon réveil vient de sonner, j’ai encore sommeil mais je dois me lever, Madame m’attend pour le petit déjeuner.

Bonjour, Jelila ; bien dormis ?

Parfaitement bien, et toi ?

Très mal, à cause du champagne je suppose (menteur que je suis !)

Ah !Désolé, mais il faut se presser ; je vais être en retard !

Elle petit-déjeune puis s’en va, en me laissant seul ; je décide de me recoucher un peu, après quoi je préparerai le matériel photo pour effectuer un superbe reportage sur les monuments de Paris.

Après une bonne douche, je passe un peu de temps pour étudier l’appareil photo, nettoyer les objectifs pendant que la seconde batterie se recharge. Ce boitier photo possède une palette de possibilités impressionnantes, mais je ne vais pas vous les énumérer car autrement il me faudra cinquante chapitres.

Tout est prêt, j’ai volontairement enlevé le flash et ses accessoires de la sacoche, je n’emporte que le boitier et trois objectifs. J’ai appris à gérer le matériel en fonction des besoins et comme je vais me déplacer en métro, je préfère voyager léger. Je vais passer la journée sur la tour Eiffel ; ce monument à d’innombrables possibilités photographiques que je compte bien exploiter au maximum.

Il est 22 heures et je suis de retour chez Madame qui n’est pas encore rentrée de sa réunion. Elle m’avait envoyé un texto me demandant comment se passait ma journée et de ne pas l’attendre pour manger ce soir.

Ma journée sur la tour Eiffel c’est admirablement bien passée, vivre sa passion est quelque chose de terriblement bon. J’ai fait quatre cents photos du monument, je l’ai pris sous tous les angles des plus simples au plus compliqués ; ces images que l’on ne remarque pas quand on visite ce monument. Je me suis amusé à prendre quelques photos de rue et dans le métro ; je me sens bien. La prochaine fois je ferai Paris by night avec une balade sur la Seine avec Gladice ; et là je m’imagine sur un bateau-mouche avec elle.

Je ferme les yeux, elle est là tout à l’avant du bateau ; les cheveux au vent dans la lumière multicolore des enseignes lumineuses. Je la shoote sous toutes les coutures, discrètement elle dévoile un sein avec cet air espiègle qu’elle sait si bien faire. Accoudés au bastingage, nous nous tenons par la main, le fond de l’air est doux. Seul le bruit du moteur et du clapot vient rompre le silence de cet endroit isolé du brouhaha de cette ville si trépidante et si bruyante. Nous regardons sur la rive les promeneurs et les amoureux qui se bécotent sur un banc public, ils semblent heureux comme nous le sommes. Leurs baisers communicatifs nous entrainent dans une joute linguale, si tendre, si douce et si bonne ; nos langues se cherchent et jouent ensemble. En réalité, elles ne jouent pas ; elles dansent pour nous, sans témoins. Elle pose ses mains sur mes fesses, je lui caresse son dos nu dans cette robe courte où comme à son habitude elle n’a rien mis dessous ; tout comme moi.

Les clients sont tous attablés au restaurant du navire, nous avons réservé pour le dernier service, et nous avons encore une heure devant nous. Un seul regard et nous sommes d’accord, nous allons le faire ici, maintenant ; mais nous risquons de nous faire piquer. Il faut trouver un endroit discret, nous parcourons le pont et il est là. Juste sous l’escalier qui monte au pont supérieur ; nous serons à l’abri des regards, ou presque.

Elle me plaque contre la paroi du bateau et se colle à moi, son ventre fait rouler mon sexe qui gonfle dans mon short ; elle passe sa main dans ma ceinture et attrape mon vit et folie. Je lui empoigne les fesses et les masse, puis je remonte dans son dos, atteins sa nuque et attire sa bouche contre la mienne. Mais cette petite malicieuse joue avec mes bourses et caresse ma bite qui grossit encore et transpire d’envie.

Chéri, j’ai envie de toi ; prends-moi vite ! chuchote-t-elle.

Elle n’a pas fini sa phrase que j’ai la queue à l’air, et elle, suspendue à mon cou s’est enfilée sur moi. Elle ferme les yeux, je sens son antre se contracter, son ventre vibrer, et son souffle me dire un « Oh ouimon chéri ; je t’aime mon amour »

Tout à coup, j’ouvre les yeux et je découvre entre mes mains l’appareil photo et une image de la tour Eiffel en pied ! Mon sexe suinte sur ma cuisse, c’est intenable, je ne peux pas rester ainsi ! J’empoigne mon phallus qui réclame ma chérie, alors je le branle avec une force indescriptible ; en une minute, un jet puissant et saccadé de sperme s’écrase sur le sol. Je viens de réaliser que je n’ai plus de question à me poser sur mon choix ; ce sera Gladice ! Enfin, si elle le veut bien.

Je suis heureux, je vais l’attendre avec impatience, car c’est demain ! Je sais que la journée va être longue, d’autant que je ne sais pas à quelle heure elle arrive. J’ouvre le frigo, il reste du champagne et des trucs de l’apéro d’hier ; alors je trinque à sa santé, à la mienne et à notre amour. Tout en sirotant mon champagne, j’admire mes photos, il y en a de bien, de très bien et d’autres moins bonnes ; mais il me faudrait un ordinateur pour les trier et les retoucher. C’est décidé, je vais demander à Jelila si j’ai de l’argent d’avance pour pouvoir m’en acheter une ; je ne suis pas profiteur et ne veux pas qu’elle me l’offre.

Il est plus de minuit et je suis crevé, alors je vais me coucher.

ooOoo

Alors gros flémard ! On fait la grâce matinée ? Allez debout, nous avons à faire aujourd’hui !

C’est la voix ferme de Jelila qui vient de me sortir de mon sommeil. Elle m’embrasse sur la bouche ; ce baiser me fait un drôle d’effet.

Oh pardon Jelila, je n’ai pas vu l’heure, je suis désolé.

Ce n’est pas grave, je suis allé chercher des croissants ; nous déjeunons et après j’ai besoin de toi.

J’arrive tout de suite

Bien évidemment, tu restes nu !

Humm, HummMadame a des envies ?

Oui, mais ce soir ! En attendant nous sortons.

Dans la cuisine, elle a tout préparé, et pendant que nous déjeunons elle me questionne sur ma journée d’hier et sur mes photos ; je lui explique en lui faisant défiler les images.

Parfait, effectivement il y en a de très jolies. Dis-moi, tu t’y connais en ordinateur ?

Pour ce qui est de m’en servir, oui ! Après le reste c’est l’inconnu pour moi.

Bon en ce cas nous allons à la banque car l’informaticien vient remplacer du matériel, et je vais lui en parler ; mais il faut que tu viennes.

À la banque l’affaire est vite réglée, je récupère un PC portable hyperpuissant de deux ans.

Dis-moi Julien (le technicien), il lui faudrait un logiciel photo ; on peut avoir ça ?

À la boutique, oui ! En ce cas je prends le PC et je le fais préparer ; vous pouvez passer le prendre en début d’après-midi ?

Ce sera parfait, répond-elle.

Comme prévu, nous récupérons un ordinateur flambant neuf avec le meilleur logiciel de traitement photo présent sur le marché, l’autre avait été jugé insuffisamment puissant pour l’usage que je vais en faire. Je questionne Jelila sur le coût de l’ordinateur.

Jelila, il faudra me dire ce que je dois pour l’ordi.

Rien, c’est offert par ma société de maintenance.

Oui, mais ça un coût !

Ne sois pas inquiet, ils peuvent largement faire un petit effort ; ça s’appelle de la négociation

Tout ceci est magnifique, mais ce qui m’importe le plus c’est de savoir quand rentre Gladice.

Dis-moi, est-ce que je prépare à manger pour Gladice, elle mange avec nous ?

Normalement oui, mais je ne sais pas exactement, tout dépend à quelle heure arrive son train ; prépare toujours et nous verrons bien.

Donc elle doit rentrer pour manger, je suis fou de joie et ai beaucoup de mal à dissimuler cet instant.

Ce soir, couscous ?

Ce sera parfait ! Commence à le préparer et nous regarderons tes photos le temps de la cuisson.

Parfait.

Je passe en cuisine, j’épluche les légumes, les coupe, et je mets en cuisson avec la viande. Puis je rejoins ma patronne au salon avec du champagne et quelques broutilles à grignoter en attendant que mon plat soit prêt.

Dis-moi, tu es un parfait maître de maison, j’apprécie énormément les efforts que tu fais ! Bien, montre-moi tes chefs-d’uvre !

Alors que nous regardons tranquillement mes uvres son téléphone sonne :

Allo ?

Ah, mince !

Donc il faut que je vienne ?

J’arrive !

Elle raccroche.

Bon je dois partir, il y a eu une tentative de cambriolage à la banque ; désolé mais je pense que tu vas passer la soirée tout seul.

Bon, et bien je t’attendrais dans ton lit ?

Parfait et la bite en l’air !

Là-dessus elle est partie, je ne suis pas déçu ; je suis content qu’elle ne soit pas là. Au moins elle me foutra la paix avec ces trucs dégueu. J’espère que Gladice arrivera avant elle, et que nous pourrons parler et faire l’amour ; ce qui me fera oublier ses idées perverses. En attendant j’ai envie d’aller faire un peu de ménage dans la chambre de Gladice, mais je m’abstiens car elle pourrait peut-être le prendra-t-elle mal ; alors j’attends tout en triant mes photos sur l’ordinateur. Il est déjà 22 heures et Gladice n’est toujours pas là, sans doute un retard de train, alors je m’installe sur le canapé, et je pense à elle, mais ma pensée se transforme rapidement en un rêve délicieux.

Elle est là, debout devant moi, le soleil un peu bas lui fait une tête de hérisson ; sa chevelure est comme ébouriffée. Le soleil me montre sa silhouette fine et joliment dessinée, ses hanches toujours aussi gracieuses m’invitent à descendre et à découvrir là ! Juste ente ses longues jambes. Juste au centre cette petite bosse, son bouton, si doux au toucher, si bon à gouter, si plaisant à lécher et à sucer quand il se retrouve inondé de sa cyprine.

Elle se courbe en avant, se penche, s’agenouille entre mes cuisses ; ses mains si douces et si frêles me caressent doucement les cuisses puis montent, encore, et encore un peu. Elles s’enroulent autour de mes bourses et de mon sexe qu’elle l’embouche doucement, tendrement. Elle le cajole, le caresse dans tous les sens, de haut en bas, en rond ; sa bouche humide vient de prendre mon gland ! Elle l’aspire, je transpire ; elle respire, je soupire ; elle souffle, je geins ; elle va, je viensnon pas tout de suite. Attends un peu, encore un peu, ne vas pas trop vite c’est si bon ! Mais non, elle accélère un peu, et puis plus vite et encore plus vite. Je viens, c’est bon, cest fort et ça m’inonde le torse et même le menton.

J’ouvre les yeux et fais un bond, autour de moi il n’y a personne ; elle n’est pas là ! Mais qui a fait ça ? C’est moi et ma main ; j’en ai presque honte, vite je vais me doucher. Mais mon téléphone sonne, j’accours ; c’est Madame ! Je décroche :

Allo ?

C’est moi, je rentrerai tard dans la nuit, ne t’occupe pas de moi ; va te coucher et dors

Mais

Elle a raccroché alors je vais attendre Gladice. La soirée est longue, la télé ne m’intéresse pas, je nai envie de rien. Dans la maison tout est calme, alors je décide de sortir un peu. Je m’habille et me rends dans un bar, je commande une bière et attends en la sirotant. Un homme s’approche, me sourit et me dit :

Vous attendez, quelqu’un ?

Oui

Elle ne va pas tarder, je pense

Merci

« -Pauvre con, je ne sais pas à quelle heure elle sera là ! »

Je commande une seconde bière, un groupe de jeunes ados jouent bruyamment au Baby-foot ; ça fait deux heures que je suis là à attendre, j’en ai marre. La fumée de cigarette rentre par la porte ouverte du bar, ça pue ; le bruit, les mecs bourrés je décide de partir. Je me lève, titube.

« – Merde je suis bourré ! »

Je sors, l’air frais me fait du bien ; je respire enfin. Dans la rue sombre j’y vois mal, un groupe de jeunes chantent, me croisent et me bousculent au passage.

Alors, mec ! T’es t’es tout tout seseul ?

Ils sont bourrés, je continue et rentre à la maison. En passant le porche, je vois une lueur à l’intérieur de la maison ; mon cur s’emballe, c’est Gladice qui est rentrée ? Je suis fou de joie

Je presse le pas, j’entre dans la maison mais il n’y a pas de lumière, je cherche et vais jusqu’à sa chambre. Je colle mon oreille à la porte, j’écouterien, je frapperien. Je tourne la poignée de la porte et passe le bout de mon neztoujours rien ; elle n’est pas là, je suis déçu. Mais cette lueur alors ? Un reflet peut-être ou une hallucination ?

Après avoir pris une bonne douche, je vais me coucher, je m’allonge dans le lit de Madame et j’attends. J’attends le sommeil qui ne vient pas, sur mon portable je regarde les secondes qui s’égrainent avec une lenteur désolante. Alors je pense à Gladice, quelle mauvaise idée j’ai eue ; mon inquiétude augmente encore plus. Il est deux heures du matin et Madame rentre dans la chambre. Elle se dirige vers la salle de bain, prends une douche, puis en ressort ; je vois du coin de l’il quelle est nue. Je n’ai pas envie de la toucher ni de faire quoi que ce soit, alors je fais semblant de dormir.

Elle entre dans le lit, me secoue un peu et me chuchote :

IssamIssam, Gladice est rentrée, tu veux la voir ?

« -Menteuse ! Je suis allé voir juste avant que tu arrives ; pauvre folle ! »

Elle insiste et recommence :

IssamIssam, Gladice est rentrée, tu veux la voir ? Issam

En réponse je grogne et fait semblant de ronfler ; elle n’insiste pas, se retourne, colle ses énormes fesses contre les miennes. J’essaie à nouveau de trouver le sommeil, mais rien à faire et maintenant c’est elle qui ronfle ; une véritable locomotive ! C’est le comble, cette fois je ne trouverai pas le sommeil, alors je me lève tel une anguille je glisse au sol et me faufile hors de la pièce.

Une fois de plus je fais le tour des pièces de la maison, sauf la cave car je ne vois pas ce qu’elle ferait là à cette heure, mais je ne vois rien nulle part ! Gladice n’est pas là et ça m’ennuie beaucoup. Je me pose sur un fauteuil dans le salon, cette pièce située au centre de la maison est un point stratégique. Peu importe d’où on arrive, passer devant le salon est obligatoire et le fauteuil placé juste en face de la porte est devenu mon poste de guet stratégique. J’attends et je somnole quand un bruit de porte me fait sursauter ; je me lève d’un bond. C’est elle ! Mon cur s’emballe je suis fou de joie ; elle est où ? Pas dans la cuisine, la lumière est éteinte, dans sa chambre ? Personne ! Je refais le tour des pièces et toujours personne. Déçu, j’en déduis que ce devait être un courant d’air. Je me réinstalle dans le fauteuil, j’ai froid, j’ai sommeil ; enfin je m’endors.

[À suivre]

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