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Dévergondage d'infirmière – Chapitre 2




Le moment était venu ; depuis le début de l’année je l’attendais. Sans vouloir passer pour un immonde cochon pernicieux, j’avais tout de même pour projet de tenter de me farcir mes deux friponnes libidineuses favorites. Eh bien, nous y étions.

Une fois la (divine) double fellation interrompue, nous dûmes décider laquelle des deux coquines allait se faire mettre en première. Le choix se porta sur la plus volontaire des deux, j’ai nommé: Cathie !

Depuis le début, c’est elle qui mène un peu la danse ; d’un caractère plus trempé mais aussi plus émérite que Lola, c’est elle qui avait entrepris la branlette, c’est elle qui s’est mise à me sucer sans prévenir ; c’est donc à elle de se faire prendre la première.

Sans plus attendre, elle s’allonge sur le dos de tout son long, les bras étalés et les cuisses écartées, ses yeux me supplient de faire le nécessaire. Ne pouvant être plus bandé que je ne le suis depuis leur duo de suceuses, nous entamons le coït tant attendu. Sa petite chatte légèrement poilue accueille mon sexe sans problème en son intérieur, mon petit doigt me dit que cette vicieuse n’en est pas à son coup d’essai. Elle m’avouera plus tard qu’elle avait effectivement déjà pratiqué le rapport à trois, mais avec deux hommes ; jamais tel que nous l’avons fait. Mais je divague.

Pendant que je ramone ma poupée Barbie, ma brunette lui roule des pelles en lui malaxant les seins. Cathie a du mal à suivre le mouvement de mes coups de reins ainsi que des coups de langue de Lola. Lola qui semble très enjouée à l’idée de nous mater en train de copuler. Au bout de quelques minutes, pour ne pas faire de jalouse, je sonne Lola de s’installer comme son acolyte et que cela va bientôt être son tour. Mais Cathie ne semble pas de cet avis, elle ne veut pas que j’arrête de la monter. C’est que je n’en peux déjà presque plus, ces deux gonzesses vont me vider entièrement. On ne dirait pas mais faire l’amour à deux filles en même est extrêmement exténuant, enivrant certes mais exténuant. C’est beaucoup plus difficile que ça en a l’air, et j’espère ne pas avoir eu les yeux plus gros que le ventre.

Finalement, Cathie se décide à accorder son tour à son amie, elle s’extirpe de mon emprise génitale dans un gémissement des plus attendrissants ; la pauvre est déjà en manque.

Je bascule sur cette chère Lola qui m’attend déjà les jambes en l’air. Ni une ni deux, je m’enfonce en elle comme dans ma précédente partenaire. Son petit abricot imberbe est vraiment plus serré que celui de ma blondasse nymphomane. En me sentant, elle gémit beaucoup plus que Cathie, cette dernière ne doit pas avoir autant l’habitude que sa camarade. Ses petits mouvements de hanche accompagnent la cadence de ma queue, ses yeux se roulent et sa voix se brise dans les cris de jouissance et de sensualité.

Notre chère Cathie, toujours décidée à recevoir sa ration, décide pour passer le temps de lécher les tétons durcis de la demoiselle aux cheveux bruns ; cette coquine ne lui laisse aucun répit. Son inexpérience se confirme au moment où, après un court instant de ça-va ça-vient, la brunette se met à gémir comme une louve sous la lune, chacun de mes coups de bassin la faisant s’époumoner de plus en plus. Son corps se trémousse, sa chatte se resserre ; la donzelle est en train de jouir. Elle jouit comme une folle possédée, elle jouit tellement que sa voix ne peut plus suivre avec l’émotion. Moi aussi je n’en peux plus, je sens que je vais devoir tout lâcher sinon je vais littéralement imploser ; le problème c’est qu’il en reste une à faire crier. La blondinette espiègle et égrillarde n’a pas encore eu sa dose et je sais qu’elle ne me lâchera pas tant que je ne l’aurai pas fait jouir elle aussi.

Je fais une petite pause en libérant Lola, elle aussi en a besoin ; elle est toute haletante et transpirante, les yeux perdus dans le vide en direction du plafond. Sans me vanter, je crois que je l’ai baisé comme il fallait ce soir-là, et pas autrement. Je prie Cathie de faire une mini pause si elle ne veut pas tout recevoir sur elle dans quelques secondes. Cette dernière accepte, à condition que je vienne lui brouter le minou ; décidément elle est définitivement une lubrique obsessionnelle cette nana. Elle ne le sait pas mais j’adore faire les cunnis, mon ex-petite amie m’a dit un jour que j’étais un lécheur de minou hors pair. Je démarre mes léchouilles sur sa fente garnie de petits poils blonds, elle se bascule la tête en arrière et commence à minauder. Mais j’avais encore sous-estimé le potentiel à mouille de cette gourmande ; dix minutes entières de coups de langue ne suffirent pas à la satisfaire, il fallait que je la baise une bonne fois pour toutes.

Pour résoudre ce "problème", je lui sonnai de se mettre en levrette, ainsi cette blondasse allait enfin recevoir la dose qu’elle mérite. Sans se faire prier, elle s’installa confortablement sur ses genoux et les mains, la croupe fermement cambrée vers le ciel de notre Seigneur. D’un geste sec, je m’introduis de nouveau dans cette vulve trempée par la cyprine. Le coup fut tellement dur qu’elle lâcha un cri de stupeur lorsque mon membre lui tapa le fond de son trou. Nous voilà repartis dans une baise endiablée, la coquine sait comment y faire à tout point de vue ; ses hanches suivent ma bite, ses yeux à moitié révulsés m’observent en train de la fourrer comme un clébard enragé. Cette fois c’est la bonne, elle va jouir cette cochonne.

Lola, qui a fini par reprendre ses esprits, nous rejoint dans notre valse. D’une façon un peu maladroite, elle se place derrière moi et se met à me lécher les boules comme une chienne qui lape sa gamelle d’eau. Je regrette encore aujourd’hui qu’aucun photographe n’a capturé la scène car c’était quelque chose d’unique et de sensationnellement désirable. Ça y est, je vais arriver au bout, je vais donner mes ultimes coups de reins disponibles, après je devrais éjecter toute l’excitation qui s’est accumulée en moi, je le sens.

Voyant que ma blondinette n’avait toujours pas joui, je tente un ultime geste pour la faire venir. Accompagné de mes coups de queue, je lui titille le clitoris avec une de mes mains d’une façon frénétique. Cela porte ses fruits, quelques secousses de plus quand, tout à coup, Cathie se mit à hurler et à glapir comme une dingue. Elle ne pouvait plus s’arrêter de gémir, la langue tirée comme un animal en rut et le buste complètement aplatit sur le lit ; me donnant son cul comme une véritable offrande. Moi aussi je n’en peux plus, la chatte de Blondie et les coups de langue de Lola me rendant complètement fou également. Au tout dernier moment, je m’extirpe de la fente de Cathie pour m’astiquer une dernière fois avant le grand final. Ses fesses collées à mon pubis, Cathie n’a pas le temps de comprendre ce qui se passe quand je lui crache mon sperme sur elle dans un long râle de plaisir. Je me souviens de cet orgasme comme si c’était hier, jamais je n’avais eu pareille sensation dans tout le corps. A mesure que je déversais ma semence sur le cul et le dos de Cathie, ma vue se troublait petit à petit. J’ai souillé le dos de ma partenaire pendant plusieurs secondes avant de m’écrouler sur le côté, complètement vidé de notre partie de jambes en l’air. Mission accomplie, mes deux partenaires avaient joui bien comme il faut, et moi aussi.

Après cette séance de sport intense, nous avons dormi ensemble dans les bras l’un de l’autre. J’étais dans mon lit, entourer de mes deux hétaïres rassasiées. Jamais je n’avais aussi bien dormi que cette nuit.

Concernant les études d’infirmier, j’ai dû arrêter au bout d’un an ; me rendant compte que ce métier était avant tout un métier de passion ; passion que je n’avais pas. J’ai gardé contact avec Cathie et Lola, elles continuent le cursus. Lorsque nous nous sommes revues en cours la semaine suivante, tout ce que je voyais c’était la délicieuse nuit lubrique que nous avions passée ensemble. Mon passage en école d’infirmier n’aura pas été vain… Jamais je n’oublierai ma première partie à trois ; moi, Cathie et Lola.

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