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Les aventures érotiques d'Amandine et Laura. – Chapitre 16




Ils rendent les clés au gardien, puis le monde se réinstalle dans la voiture de David, qui a préalablement téléphoné au commissariat. Ils font le détour promis et il prête ses clés de menottes en donnant des instructions précises.

Enfin, il conduit tout le monde chez Virginie.

Amandine et Laura se sentent plus rassurées. Virginie les reconduit à la chambre qu’elles avaient et leur dit :

— Installez-vous, vous pouvez défaire vos valises et pendre vos vêtements.

Elle leur ouvre deux placards avec une porte-miroir, de chaque côté du lit. Elle ajoute :

— Je vous laisse vous installer. Il est (elle consulte sa montre) dix-sept heures. Je reviendrai vous chercher à dix-neuf heures et je vous promets que je vous apprendrai beaucoup de choses au cours de notre repas. Est-ce que ça vous convient ?

— Oui, Virginie ! Merci.

La jeune femme est à peine sortie de la chambre que, déjà, Amandine et Laura sont dans les bras l’une de l’autre. Elles font voler les vêtements que Virginie leur a prêtés et, nues, elles tombent dans les bras l’une de l’autre.

Entre deux caresses et eux baisers profonds, Amandine murmure :

— Ma chérie, fais-moi l’amour ! Je crois qu’il n’y a que ça qui me fera oublier tout ce que nous venons de vivre.

Elles s’allongent sur le lit et, à coups de caresses douces sur leurs clitoris, de baisers profonds sur leurs sexes respectifs, de corps à corps parfois violents, elles se font jouir tant qu’elles le peuvent.

Dans sa chambre, Virginie, nue également, les regarde. Elle participe de loin à leur plaisir en se masturbant tant qu’elle le peut. Elle se suce d’abord les doigts, puis elle martyrise les mamelons de ses seins pour les faire grossir.

Elle descend ensuite vers son clitoris qu’elle frotte avec beaucoup de vigueur avant de senfoncer deux doigts d’une main dans le vagin et deux doigts de l’autre main dans son petit trou.

Elle aussi arrive à obtenir un orgasme qui la laisse pantelante sur son lit.

Après un temps de récupération nécessaire, Virginie s’habille et va frapper à la porte de ses deux jeunes amies.

Amandine répond :

— Nous arrivons, nous ne sommes pas tout à fait prêtes.

En fait, elles sont encore nues, dans la position où leur dernier orgasme les a laissées.

Rapidement habillées, elles suivent leur hôtesse jusqu’à la cuisine dans laquelle elles prennent rapidement un petit repas léger dont elles ont décidé en commun : jambon, salade et eau.

Après, Virginie leur dit :

— Venez avec moi dans ma chambre, j’ai des tas de choses à vous montrer et à vous dire.

Elles chargent rapidement le lave-vaisselle que Virginie, après avoir un peu hésité, met en route, puis toutes les trois se dirigent vers l’endroit où la maîtresse de maison a ses habitudes.

En pénétrant dans sa chambre, Amandine et Laura émettent un petit sifflement surpris : le lit est immense, encore plus grand que celui qu’elles occupent, leur semble-t-il, les murs et le plafond sont, là aussi, couverts de miroirs, mais le mur juste en face du lit contient un très grand écran de télévision encastré.

Virginie les fait pénétrer dans la salle et leur annonce:

— Venez, je pense que le mieux serait que nous nous installions sur le lit. Je vais simplement aller chercher quelque chose.

Elle ouvre la porte d’un placard et prend une boîte en carton et ce qui apparaît, aux yeux des deux amies, comme un gros livre.

Elles se mettent toutes les trois nu-pieds, puis Virginie les fait s’installer de chaque coté d’elle. Elle leur apprend :

— J’ai un peu honte de ce que j’ai fait, mais je veux être très franche avec vous. Regardez.

Elle met en marche un enregistrement à l’aide de la télécommande qui est près d’elle. Sous les yeux stupéfaits des deux jeunes femme, les scènes de leur première nuit chez Virginie se déroulent, les une après les autres. La jeune femme leur dit, avec une petite brisure dans la voix :

— Je n’aurai pas dû, car j’ai eu l’impression de vous avoir volé ce qui devait être, en quelque sorte, votre « nuit de noces ». Mais je vais vous donner cet enregistrement et je vous supplie de me pardonner. Je ne savais plus où j’en étais et il m’a fallu ça pour me caresser.

Laura est la première à revenir de sa période d’étonnement :

— Mais comment as-tu fait ?

— Il y a plein de caméras dans la chambre que je vous ai données. Elles sont fixées derrière une partie sans tain des miroirs.

Laura, les yeux écarquillés, indique :

— Tu es belle, Amandine ! Je t’aime, nous n’allons plus nous en cacher, non ?

Virginie saisit la balle au vol :

— Vous êtes splendides toutes les deux. J’ai été très heureuse de vous voir vous aimer comme vous l’avez fait. Je me suis masturbée comme une malade pour vous rejoindre dans votre plaisir et j’y suis arrivée. Merci !

Amandine répond :

— C’est nous qui devons te remercier. Nous aurons un souvenir merveilleux grâce à toi, comme peu de personnes, certainement. Tu as raison, c’était en quelque sorte notre nuit de noces.

Elle tend la main gauche en direction de Laura, qui s’en saisit avec sa main droite. Le geste qu’elles font les oblige à passer sur la poitrine de Virginie et à toucher le boîte de carton.

Virginie reprend :

— Alors, vraiment, vous me pardonnez ?

— Oui ! répondent-elles en choeur.

— Merci, mes chéries.

Laura demande :

— Mais qu’y a-t-il dans cette boîte ? Et ce gros livre, c’est quoi ?

Virginie répond :

— Regardez.

Elle prend une par une les photos contenues dans la boite en carton et les leur montre en les commentant. Elles reconnaissent Madame Vinezac, Elisabeth comme la désigne Virginie, dans un costume de scène. Elle prend des poses très acrobatiques, souvent seule, mais parfois en compagnie de Virginie, dont elles peuvent admirer l’étonnante souplesse, d’un homme inconnu dont Virginie leur apprend qu’il s’agit de Jacques Vinezac et aussi d’une autre homme qu’elles reconnaissent immédiatement :

— Giorgio !

Telle est la double exclamation qui jaillit des lèvres d’Amandine et de Laura.

Virginie répond :

— Oui, c’est bien lui. J’ai décidé de tout vous dire, de tout vous expliquer. Alors, je vais vous montrer quelques photos plus… gratinées, disons.

Effectivement, elles voient défiler des photos carrément pornographiques de Giorgio et de Virginie. Sur l’une d’elles, elle est plantée en position de grand écart sur la verge tendue de Giorgio ; sur une autre, elle en position verticale sur les mains, tandis que Giorgio lui fait face et lui introduit sa verge dans le vagin. Un troisième cliché est presque identique, sauf que cette fois Giorgio est derrière elle et la sodomise. Elle leur en montre quelques autres qui sont du même acabit.

Virginie sourit puis leur explique :

— Ca, c’était ma jeunesse, mais je vous l’ai déjà racontée.

— C’était Madame Vinezac ou son mari qui vous ont photographiés, Giorgio et toi ?

— Non, tu ris, Laura, ils étaient bien trop pudiques tous les deux. C’est étonnant dans une profession où on passe sa vie à s’exhiber, mais ils protégeaient leurs relations intimes au maximum. Non, Giorgio avait un appareil avec un pied et un retardateur, voilà tout.

Elle range les dernières photos dans la boîte en carton et leur dit :

— Maintenant, je vais vous montrer le grand secret de ma vie.

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