Le lendemain matin, Christine, comme d’habitude, est la première levée. Avant d’aller préparer le déjeuner, elle décide de prendre une douche. Marc, ce matin-là, a décidé de se lever tôt. Il a prévu, avec Grégory, un copain de son village, d’aller en ville.

En descendant de sa chambre, il entend l’eau de la douche couler. Face à la porte de la salle de bain, Marc se risque en appuyant sur la poignée de la porte. Tout doucement, il veut savoir si sa mère a pris le risque de fermer ou non. Hé non, la porte n’est pas fermée à clef. Sans un bruit, il entrouvre la porte et peut voir sa mère sous la douche. Celle-ci, les yeux fermés, ne peut se rendre compte de la présence de son fils. Se savonnant les cheveux, ses deux énormes seins qui retombent un peu, mais pas autant que l’on peut l’imaginer, ce qui est étonnant vu leurs lourdeurs et leurs grosseurs, se balancer d’un côté à l’autre sous l’effet de ses gestes. Marc n’en perd pas une miette.

Mais voulant aller plus loin, il referme la porte et décide d’y rentrer brusquement.

Christine surprise se retourne avec des gros yeux :

« Marc !!!!

‒ Oh, mais tu es là ?

‒ Mais qu’est-ce que tu es venu faire ici, tu es déjà réveillé ? »

Christine lui tourne à moitié le dos, elle a ses deux mains qui essayent de cacher, en vain, ses deux gros seins. Les aréoles sont tellement larges que ses mains ne suffisent pas pour les cacher entièrement, ses avant bras soulèvent, par le dessous, ses énormes obus. Christine le regarde, rouge de honte. Dans la panique, elle a totalement oublié de cacher son entrejambe dont les poils pubiens sont mouillés par l’eau de la douche.

Marc, quant à lui, rentre dans la salle de bain, l’air de rien, sans même la regarder. Il passe devant elle pour aller faire sa toilette.

« Au fait, je pars toute la journée en ville ! Il y a Grégory qui passe me prendre !

‒ Ah bon, donc, tu ne manges pas là, à midi ?

‒ Non… ! »

Marc se brosse les dents, il peut la regarder dans la glace.

Christine ne bouge pas, lui tournant le dos, elle arrête l’eau et ne fait plus aucun geste.

Lorsque Marc a fini de faire sa toilette, il se dirige vers sa mère.

« Bon, allez, il ne va pas tarder, bon je te fais un bisou ?

‒ Euh…, oui, oui bien-sûr ! »

Marc s’approche d’elle.

Christine n’a pas le choix et doit se retourner pour recevoir son bisou sur la joue.

Face à lui, Marc a maintenant le privilège de voir ses gros seins dans ses mains inutiles que tenter den cacher une partie.

Marc sort de la maison, Grégory l’attend et ils partent tous les deux en ville.

Christine finit sa douche.

Son fils la vue nue, mais curieusement, il n’a pas vraiment eu l’air intéressé.

Elle décide dans parler à Jeanne.

« Allo Jeanne, c’est Christine, ça va ? Dis-moi,je peux te parler 5 minutes?

‒ Oui, bien-sûr, mais quy a-t-il ? »

Christine lui raconte tout depuis sa visite chez elle, la façon que Marc lui a de demandé de s’habiller, l’érection dans la voiture, sa venue dans la salle de bain.

« Ahahah, c’est tout, mais Christine, ce n’est rien ça, au contraire, tu devrais être ravie !

‒ Être ravie ? Mais pourquoi ça ?

‒ Un fils qui s’inquiète pour sa mère et qui prend soin de sa tenue est quelque chose de merveilleux, il veut te voir belle, resplendissante, ce qui veut dire que tu as de la valeur à ses yeux, tu es sa mère et il n’a que toi, il veut que tu sois fière de lui et qu’il soit fier de toi !, ajoute Jean, le mari de Jeanne.

‒ Oui, vu comme ça, c’est vrai que ça me fait plaisir, mais bon, de rentrer comme ça dans la salle de bain, il ne me l’avait jamais fait ça avant !

‒ Christine, tu es sa mère, que veux-tu lui cacher ? Toi-même, tu mas dit qu’il faisait même pas attention à ta nudité, ce qui veut dire que pour lui tu es sa mère et c’est tout. Moi-même, mon fils ma vue toute nue et c’était pas un drame !

‒ Oui, bien-sûr, ça doit être moi, mon fils a grandi trop vite, sans m’en rendre compte !

‒ Mais oui, ma belle, il n’y a rien à craindre, quant à ses érections, il faut que tu t’y fasses. Marc est un homme et ces choses-là, à son âge, sont très fréquentes. Ils ne savent pas encore contrôler leurs émotions !

‒ Oui c’est vrai, il faut que je comprenne que c’est un homme et que pour lui je suis juste une mère. Je te remercie pour tout, à bientôt !

‒ À bientôt, Christine et ne t’inquiète pas ! »

Dans cette discussion, Christine n’avait pas été franche, elle ne lui a pas tout dit. Jamais, elle naurait pu lui raconter qu’un matin, elle avait fixé le membre de son fils en pleine érection pendant que celui-ci dormait.

Elle aurait eu trop honte de lui dire qu’elle avait mouillé comme une fontaine en voyant cette verge pointant vers le ciel avec un énorme gland à moitié sorti du prépuce.

Mais bon, Christine est rassurée et puis, ce matin-là, elle seule est au courant.

Elle est bien loin de s’imaginer que son propre fils la vue, ce jour-là, car il ne dormait pas.

Et Jeanne a oublié une chose, son fils François, qui la vu nue, est homosexuel, donc normal qu’il ne s’intéresse pas du tout à elle.

Que ce soit Christine et Jeanne, elles sont bien loin d’imaginer la fourberie et la perversité de Marc qui monte de jours en jours.

En ville, Marc et Grégory s’arrêtent dans un Macdonald.

En mangeant, Marc décide de lui parler de sa mère.

« Oh Greg, dis-moi, ta mère, quand elle est chez toi, elle s’habille comment ?

‒ Ben, euh, je sais pas, normal, jeans, voir survêt, pourquoi ?

‒ OK, non parce que ce matin, j’ai acheté un cadeau à ma mère, c’est son anniversaire, elle fête ses 43 ans !

‒ Ah ouais, cool et quest-ce que tu lui as acheté ?

‒ Un string ficelle en soie, il est blanc !

‒……..!!! Un string ? Tas acheté un string à ta mère ?

‒ Ouais…, t’en penses quoi, toi ?

‒ Euh, moi…, ben, euh, je…, tu sais ça vous regarde !

‒ Te fous pas de moi, je sais très bien que tu as toujours été attiré par les femmes mûres !

‒ Euh, ouais, c’est vrai, mais pas ta mère, vieux, j’te jure !

‒ Oui, oui, mais ça, je sais, t’inquiète pas. ! »

Marc le regarde en se disant : "c’est ça, connard, tu crois que je t’ai jamais vu regarder ses gros nibards ou son cul ?".

« Dis-moi, tu fais quoi, demain ?

‒ Euh, ben, rien de spécial, c’est dimanche !

‒ Hé ben, écoute, je t’invite vers les 4 heures, tu passes, OK ?

‒ Ouais, OK !

‒ Ma mère sera là, si elle est en petite tenue, tu lui dis qu’il n’y pas de soucis, qu’elle est chez elle et qu’elle a le droit de faire comme elle veut et que ta mère fait pareil, OK ?

‒ Quoi, mais tu es dingue, ma mère ne se met jamais en petite tenue chez elle !

‒ Mais, c’est ce que tu lui diras, OK ?

‒ Quoi… ! Non, ça ne va pas et puis, pourquoi tu me demandes de dire ça et pourquoi ta mère serait habillée comme ça ?

‒ Écoute, il faut que je te raconte un truc, mais s’il te plaît, il faut que ça reste entre nous, sinon je dis à tout le monde que tu tes tapé la Lucie, tu sais, la laideur du lycée ?

‒ Ah non, Marco, t’avais promis de jamais en parler !

‒ Alors toi, tu fermes ta bouche, OK ?

‒ OK, pas de soucis, c’est promis !

‒ OK. Tu te souviens, mon père qui c’est barré il y a 5 ans ?

‒ Ouais… !

‒ Hé ben, en fait, il la frappé , plusieurs fois en la rabaissant sur son physique, qu’elle était moche, etc, etc… !

‒ D’ailleurs, j’ai jamais compris pourquoi, ta mère est canon quand même !

‒ Oui, c’est vrai, mais maintenant qu’il est parti avec une de ses salopes, ma mère s’est toujours habillée comme une vielle fille. Jai décidé de lui faire changer d’avis là-dessus ! Depuis, elle a l’air de reprendre confiance, mais malheureusement, elle croit que c’est pour lui faire plaisir quand je lui dis qu’elle est belle ! Cest pour ça que si elle a un regard d’une autre personne qui lui dira qu’elle est très bien ainsi dénudée et que chez elle, elle a bien raison d’être comme ça, ça lui redonnera confiance tu vois ?

‒ Oui, je vois où tu veux en venir, ta mère se moque dêtre sexy, à s’interdire d’être dénudée, voir même en maillot de bain, c’est ça ?

‒ Oui, voilà, tas tout compris !

‒ OK, pas de soucis, je lui dirai ça, puis ta mère est gentille, donc je lui dois bien ça. Mais elle, elle est au courant que je viens ?

‒ Oui, oui, bien-sûr, t’inquiète, mais ce n’est pas sûr qu’elle soit habillée comme ça, mais c’est au cas où… ?

‒ OK, mais y a pas de problème Marco !

‒ Mais, tu n’en fais pas trop et tu ne la regardes pas tout le temps, après elle risque dêtre gênée ! »

Marc n’a aucun scrupule, il vient d’inventer une histoire de pure fiction pour arriver à ses fins. Après qu’ils aient fini leur repas, Grégory et Marc finissent leur journée par un ciné.

Marc rentre à 17h00.

« Bonsoir maman !

‒ Bonsoir, mon chéri, la journée sest bien passée ?

‒ Ouais, tranquille, je monte dans la chambre ! »

Marc pose ses achats sur la table, il prend le cadeau soigneusement emballé, dessus est écrit < joyeux anniversaire, maman ! >.

« Demain, j’espère que tu auras aussi honte que moi ! Lorsquon me fait passer pour un pédé aux yeux de je ne sais qui, tu sauras ce que ça fait d’être prise à son propre piège ! »

Dimanche matin, Marc se lève et vient prendre le petit déjeuner comme d’habitude.

Il n’oublie pas le cadeau qu’il cache derrière lui.

Christine est dans la cuisine, faisant griller les petits pains.

« Bon anniversaire, maman !

‒ Oh, mon chéri, tu n’as pas oublié, ça me fait vraiment plaisir, tu sais ! »

Marc prend sa mère dans les bras, puis lui fait la bise, ses gros seins s’écrasent contre lui. Christine a une robe de chambre qui doit certainement recouvrir une chemise de nuit.

« Tiens, maman c’est pour toi !

‒ Oh Marc, mais il ne fallait pas, voyons !

‒ Vas-y, ouvre-le, maman ! »

Christine lécoute, Marc reste devant elle, impatient de voir sa tête.

Lorsque Christine sort le string de l’emballage, elle en reste bouche bée, ne sachant pas quoi dire.

« Alors, maman, ça te plaît, je savais pas trop quoi t’acheter et je trouvais ça, original ! »

Christine regarde son fils, qui a le sourire d’un ange. Les yeux émerveillés d’un enfant qui veut faire plaisir à sa maman, Marc sait très bien jouer la comédie.

Et Christine se rappelle des paroles de Jeanne et la volonté de son fils voulant la mettre en valeur parce qu’elle est sa mère et qu’il na qu’elle dans la vie.

« Oui mon chéri, c’est très gentil à toi, merci beaucoup ! »

Elle lui fit un bisou.

« Dis-moi, tu te fais belle, aujourd’hui, hein, c’est ton anniversaire, quand-même !

‒ Oui, ne t’inquiète pas, je t’ai dit que je ne te décevrai plus là-dessus !

‒ Ouais, merci maman… Mais dis, je peux te demander une faveur ?

‒ Oui, bien-sûr !

‒ Pour savoir sil te va, tu pourras le porter, aujourd’hui, s’il te plaît, sinon si ce n’est pas le cas, je le ramène, tu vois ?

‒ Euh, oui bien-sûr, pourquoi pas ? »

Christine, gênée tout de même, sort de la cuisine pour s’habiller, laissant Marc déjeuner tranquillement.

Pour Marc, son plan est en route, tout a l’air de se dérouler comme il le faut.

Une heure plus tard, Marc assis sur le canapé entend les claquements de talon sur le carrelage signalant l’arrivée de sa mère.

Marc nest pas déçu, Christine est très belle, même sexy.

Elle porte une jupe courte, blanche, qui lui arrive à mi-cuisse, elle lui serre parfaitement la taille.

Pour le haut, elle a mis un pull bleu marine, très fin, avec en dessous, une chemise blanche.

Ne portant pas de collant, cette fois-ci, ses jambes sont mises en valeur par ses escarpins hauts talons noirs à brides qui lui font le tour de sa cheville.

Marc est ravi et complimente sa mère.

Ils mangent tous les deux.

Christine a préparé un délicieux repas.

Marc ne perd jamais une occasion de la regarder.

« Dis-moi maman, tout à l’heure, vers 14h00, je dois préparer un devoir, j’ai une interro demain et j’aimerais savoir si tu peux me poser des questions et que je te réponde par écrit ?

‒ Oui, bien-sûr, si je peux t’aider !

‒ Sachant que ce devoir compte pour les épreuves de l’année prochaine ! »

À 14h00, comme prévu, Marc et Christine s’installent dans la chambre.

Marc concentré est assis à son bureau en train d’écrire pendant que Christine assise à côté de lui, lui pose des questions.

Marc n’arrête pas de lui regarder ses jambes croisées.

Voyant l’heure qui passe, il est 15 heures, il se dit qu’il est temps de passer aux choses sérieuses.

« Oh et puis, non, fait chier, j’abandonne, j’en ai marre !

‒ Quoi ! Mais pourquoi, Marc ?

‒ Non, j’en ai marre, c’est tout, c’est trop dur, faut tout le temps réviser, ça me soule !

‒ Écoute chéri, tu ne peux pas abandonner comme ça ! Toi-même, tu mas dit que ça comptait pour tes examens de l’année prochaine !

‒ Ouais, je sais, mais ça me gave !

‒ Mais Marc, voyons ! »

Christine resta là, ne voulant pas le laisser abandonner.

« Écoute, c’est sur le coup, peut-être que tu en as marre, si tu veux, on peut parler d’autres choses, comme ça, ça te fait une pause, OK ?

‒ Ouais, sûrement !

‒ Alors, dis-moi, Grégory va bien ?

‒ Ouais, ça va, on a fait les courses, hier, je me suis acheté des fringues ! »

Marc se lève et ouvre son armoire et il sort ses achats : un pull Nike ainsi que des paires de "Nike Air Max Classic BW".

Christine reste assise pendant que son fils lui donne, tour à tour, ses affaires.

Marc range ensuite ses fringues et s’asseyant en tournant son fauteuil de bureau vers elle :

« Au fait, en parlant de mes achats d’hier, mon cadeau te va-t-il ? »

Christine confuse le regarde l’air étonnée.

« Euh, oui, oui ça va, il me va bien, merci !

‒ Et, il ne te serre pas trop ?

‒ Non…, non…, ça va ! »

Christine est maintenant rouge comme une pivoine, jamais elle naurait imaginé discuter de sa lingerie personnelle avec son propre fils.

Puis, Marc prend alors les rennes :

« Dis-moi, maman, tu peux me le montrer ?

‒ Quoi !!!! Mais non, Marc, voyons, je ne peux pas ! Pourquoi me demandes-tu une chose pareille ?

‒ Ben, je suis sûr que tu me mens, que tu ne las pas mis, car mon cadeau ne te plaît pas ! »

Marc recommence à jouer la comédie, il baisse la tête avec un air déçu.

Christine marche au quart de tour.

« Marc, voyons, ne fais pas cette tête, je te jure que je porte ton cadeau !

‒ C’est vrai, maman, tu portes le string ?

‒ Oui mon chéri, je te jure que je porte ce string ! »

D’entendre sa mère prononcer ces mots lui donne plus de courage.

« Alors, prouve-moi que c’est vrai, maman !

‒ Mais, Marc, voyons, je ne peux pas te montrer !

‒ Pourquoi ? Ça veut dire que ce n’est pas vrai, tu me mens, comme papa nous la toujours fait ! »

D’entendre Marc prononcer ces paroles la bouleverse, jamais elle aurait voulu entendre ces mots de son fils.

« Écoute, mon chéri, ne m’en veux pas, je suis pas comme ton père !

‒ Si… !

‒ Marc, voyons… ! »

Christine n’a pas vraiment le choix, se dit-elle, sinon elle perdra son excellente entente avec son fils et ça elle ne le veut pas.

« Ti…, tiens, Marc…, regarde ! »

Christine décroise les jambes face à lui.

Sans regarder son fils, elle attrape la jupe d’une main entre ses jambes et la remonte vers le haut.

Marc a une vision parfaite sur l’entrejambe de sa mère.

Celle-ci, rouge de honte ne le regarde pas. Christine porte bien le string que Marc lui a offert. Le string blanc est en soie, le devant est transparent.

On voit donc, à travers, ses magnifiques lèvres charnues, ainsi que ses poils pubiens qu’elle a soigneusement enlevés de l’épaisseur, s’écrasant contre le tissu.

Christine sait très bien que Marc peut tout voir à travers.

Marc commence à se pencher, Christine très gênée rabaisse sa jupe et recroise les jambes.

« Bon, voilà, tu es satisfait ? Tu vois, je ne t’avais pas menti !

‒ Non, c’est vrai, mais franchement, je suis déçu !

‒ Déçu, pourquoi ?

‒ Hé bien, j’ai rien vu, tas monté ta jupe, puis tu las rabaissée !

‒ Mais Marc, ça se fait pas que je te montre ces choses-là !

‒ Cest bien ce que je te disais, tu te conduis vraiment comme une vieille !

‒ Comme une vieille, mais Marc, enfin, tu veux que je fasse quoi, au juste ?

‒ Mais que tu sois naturelle, j’ai parlé à des copains de classe, leurs mères, elles se cachent pas comme des religieuses devant leurs fils ! Là, on dirait que tas peur de moi, que je te voie, je suis ton fils pas un étranger, merde ! »

Christine ne sait pas quoi dire elle le regarde.

Marc joue bien le jeu et attend une réaction de sa mère.

« Mais Marc, je te fais si honte que ça ?

‒ Ce n’est pas ça, j’ai l’impression que tu n’es pas bien avec moi, que je te dérange, que je suis de trop ! »

Christine est dépassée par les mots de Marc. Son corps tremble, elle ne sait pas quoi faire, mais elle doit prendre une décision impérativement.

« Écoute, si je te fais plaisir, tu me promets de te remettre à tes devoirs ?

‒ Ben, si tu veux ! »

Alors, Christine se lève de son fauteuil, les jambes tremblantes. Elle se tourne et passe ses mains derrière le dos. Elle trouve la fermeture éclair et la baisse jusqu’en bas. Sa jupe ne lui tient plus à la taille à présent. Puis elle laisse descendre le tissu jusqu’aux genoux. Se tenant, d’une main, au bureau de Marc, elle lève une jambe, puis l’autre, pour retirer complètement le vêtement blanc. Jupe à la main, Christine reste là, debout, devant son fils qui la regarde avec magie. Le string lui va à merveille !

Transparent devant, les côtés du tissu qui sont en fait de fines ficelles blanches lui remontent en dessus des hanches et qui disparaissent dans sa raie fessière.

Le pull et la chemise sont très courts, ce qui ne cache rien du spectacle.

Avec ses escarpins à brides noirs, Christine dénudée comme ça, cest un appel au viol, tellement elle est sexy !

« Alors, ça te plaît… ? Je l’ai fait, veux-tu te remettre au travail, Marc ?

‒ Oh oui, merci maman, je vois qu’il te va à ravir ! »

Marc se remet au travail.

Christine est contente, car Marc n’a plus l’air de lui en vouloir. Elle sassied à côté de son fils, dénudée et continue linterrogatoire écrit.

Marc se met à bander comme un fou. Christine s’en aperçoit tout de suite, car celui-ci ne fait rien pour le cacher.

La bosse sur le survêtement ne la laisse pas insensible, "est-ce que Marc bande pour moi ? ", se dit-elle.

Le questionnaire fini, Marc se tourne vers sa mère :

« Dis-moi, maman, j’ai faim, je peux manger un morceau, c’est bientôt 16h00 !

‒ Oui pourquoi pas, mon chéri ! »

Christine se lève et tend le bras pour récupérer la jupe posée sur le côté du bureau.

Marc est plus rapide et prend la jupe avant elle.

« Mais Marc, que fais-tu ?

‒ Pourquoi ne veux-tu pas rester ainsi, j’ai fait le questionnaire, non ? »

Ne voulant pas contrarier son fils, comme tout à l’heure, elle commence à lui parler gentiment :

« Écoute mon chéri, je peux pas rester ainsi dans la maison, c’est pas correct !

‒ Maman, combien de fois vais-je devoir te le dire, on est chez nous, il n’y a personne d’autre que nous, tu sais !

‒ Mais, Marc, voyons ! »

Marc se rapproche d’un coup de sa mère la serrant contre lui.

Étant de la même taille tous les deux, le sexe du jeune homme passe sous son entrejambe.

Christine s’en aperçoit tout de suite, et se remet à rougir. La verge de Marc est tellement longue qu’il ressort de l’autre côté.

C’est tout l’entrejambe de Christine qui se met à s’enflammer, avec honte.

« Maman, tu es ma mère, il ny a rien de mal, je t’aime tu sais !

‒ Oui, je sais, moi aussi, mon chéri !

‒ Bon, ben, va me préparer ce goûter pendant que je range mes affaires, tu es d’accord ?

‒ Oui, très bien, mon garçon ! »

Christine descend, ainsi habillée, dans la cuisine, elle a un peu honte, mais personne ne la voit, après tout.

Une fois seul, Marc appelle Grégory :

« Allo Greg, ouais, c’est moi, bon, tu viens comme convenu !

–Oui, elle est en petite tenue !

–Tu te rappelles ce que je t’ai dit, tu fais comme si de rien n’était !

–Et si elle s’excuse, tu dis que c’est pas grave, que la tienne fait comme ça, OK ?

‒ OK Marco, pas de soucis, je suis là dans 5 minutes ! »

Marc raccroche et descend dans la cuisine.

Sa mère lui prépare le goûter, toujours en string, son pull et ses escarpins à brides noires.

Elle est magnifique !

Christine se retourne et lui sourit, bien loin d’imaginer la surprise que lui prépare son propre fils.

Le portable vibre c’est Grégory.

Marc laisse sa mère finir de préparer. Il se dirige vers le hall. Doucement il ouvre la porte.

« Salut vieux !

‒ Chutttt !!! Ta gueule, ma mère va t’entendre !

‒ Pourquoi, tu mas dit que ta mère savait que je venais !

‒ Non, finalement, je lui ai pas dit, car elle se serait rhabillée, c’est pour ça qu’il faut vraiment jouer ton rôle à fond tu comprends ?

‒ Ouais, OK, pas de soucis, Marco ! »

Marc et son collègue rentrent dans la cuisine.

Christine, entendant le bruit de pas, se retourne.

Son visage se transforme d’un coup.

« Regarde maman, Grégory est venu nous faire la surprise, il savait que c’était ton anniversaire ! »

Grégory reste figé sur la partie dénudée de Christine. Il se dit : "oh putain, qu’est-ce qu’elle est bonne !".

Puis, Marc lui tape discrètement le talon avec sa jambe. Ce qui sort Grégory de son rêve érotique.

« Ah, euh, bonjour Christine, vous allez bien ? Joyeux anniversaire !

‒ Mer…, merci, Grégory, ça fait plaisir de te voir !! »

Grégory et Christine se rapprochent pour se faire la bise.

C’est trop pour Grégory qui sent qu’il commence à bander sous son pantalon.

Ils sont tous les deux rouges.

Christine ainsi habillée, ne sait pas quoi dire, se sentant trop mal.

« Dis-moi maman, est-ce que Grégory peut goûter avec nous, s’il te plaît ?

‒ Euh, oui, bien-sûr, mais avant, je vais m’habiller ! »

Marc fait signe de la tête à Grégory.

« Oh, vous savez, ça me dérange pas du tout !

‒ Mais, je… !

‒ D’ailleurs, chez moi, ma mère reste souvent comme ça, alors vous savez pour moi, ça me fait ni chaud, ni froid !

‒ Tu vois, maman, tu ne voulais pas me croire ! Les temps changent !

‒ Oui, je vois, mais quand-même, ça ne se fait pas devant toi, Grégory !

‒ Oh non, moi je ne trouve pas et puis, ça vous met en valeur, vous êtes chez vous, faites comme vous voulez !

‒ Oui, elle est très belle, ma mère et je suis fier !

‒ Bon, ça suffit vous deux, asseyez-vous que je vous serve ! »

Christine reste ainsi et leur sert le goûter. Cest une crêpe partie.

Elle finit le saladier avec lequel elle a fait le mélange.

De dos à eux, les deux garçons n’arrêtent pas de la regarder, il est vrai que le spectacle est beau à voir.

Le cul à l’air, avec, comme seul tissu pour le cacher, un string en soie fine qui se marie magnifiquement avec ses courbes.

Puis elle s’assied à leur table pour en manger quelques-unes.

Marc veut pimenter un peu la scène, il sait que Grégory bande comme un chameau ; il s’en est rendu compte.

Il remarque le pot de confiture de fraises sur la table et d’un geste, il fait style de faire un faux mouvement et le pot tombe à terre.

Il ne se casse pas, mais il y a de la confiture sous la table.

« Oh merde, je suis désolé, maman !

‒ Marc, voyons, tu aurais pu faire attention, quand-même !

‒ J’ai fait un mauvais geste, excuse-moi maman ! »

Christine prend l’éponge sur lévier, tire la chaise où elle était assise et s’accroupit pour essuyez la confiture renversée, ce qui fait étirer le string qui s’écrase encore plus contre ses lèvres vaginales.

Mais s’accroupir avec des hauts talons n’est pas facile du tout.

Pour Christine, le moment est mal choisi, mais elle na pas le choix.

Elle doit se mettre à genoux et passer sous la table, seul son cul reste en dehors, offrant aux deux garçons, une vue paradisiaque.

Positionnée comme ça, on croirait que Christine est une chienne en chaleur qui veut se faire défoncer.

Grégory ne mange plus. Il a la bouche pleine, mais sa mâchoire ne bouge pas.

Les yeux grands ouverts, la mère de son copain est là, à un mètre à peine de lui, en string, à genoux ! Il fixe son magnifique cul. Un cul un peu large mais plein, celui d’une femme mûre.

Étant à genoux, sa raie fessière s’écarte un peu. On peut, ainsi, voir la ficelle du string qui se cache dans la raie.

Grégory est aux anges, il bande comme un fou.

Le pot est plus loin que la confiture renversée, Christine ne voulant plus avancer son corps sous la table, elle doit faire un effort pour tendre son bras et se penche encore plus contre le sol.

Ce qui accentue l’écartement de son cul.

Grâce à ce geste, les deux voyeurs peuvent maintenant voir l’anus de Christine, caché par la ficelle.

Le tissu est tellement fin qu’il ne peut cacher les contours plissés de son fion.

La vue est trop belle.

Christine ne s’imagine pas du tout de la vision qu’elle leur offre.

Mais lorsqu’elle tourne sa tête vers l’entrejambe de Grégory, un "oh" de surprise sort de sa bouche.

« Qu’est-ce qu’il y a, maman ?

‒ Non…, non rien, il n’y a rien ! »

Avant que Christine se relève, elle regarde aussi l’entrejambe de son fils qui est dans le même état que celui de Grégory. Mais la bosse est beaucoup plus impressionnante.

Elle se relève et nettoie l’éponge dans lévier. Christine débarrasse la table, aidée des deux garçons. Les deux pervers arrangent leurs pantalons pour que leurs érections ne se voient pas debout.

« J’ai une idée, Grégory tu vas nous aider à corriger mon devoir, OK ?

‒ Pas de soucis ! »

Marc court dans sa chambre, bien content de lui. Il revient avec le devoir en question et le donne à sa mère. Christine s’assied.

Marc profite de l’occasion.

« Prends ta chaise, Greg et mets-toi à côté de ma mère, moi je m’assieds de l’autre côté !

‒ Euh, ouais… OK ! »

Ainsi assise, Christine est prise en sandwich par les deux jeunes hommes.

La table nétant pas large et pour ne pas être gênés par les pieds de celle-ci, ils se serrent contre Christine. Les jambes de chaque côté se touchent. Elle commence à corriger, bien malgré elle.

Au bout de quelques minutes, elle baisse discrètement son regard sur les entrejambes des jeunes mâles qui la serrent de gauche à droite. Ils bandent tous les deux.

Faisant mine de rien et continuant à relire les mots écrits par Marc, Christine n’est plus concentrée du tout.

Elle se retrouve en string entre deux hommes qui bandent comme des fous. De grosses verges qui bandent, sans doute, rien que pour elle.

Sa chatte se met à mouiller, elle ne peut plus se contrôler.

Rouge de honte, elle continue à parler, faisant semblant d’être concentrée.

Marc remarque sa gêne :

« Ça va, maman ? »

Il passe sa main derrière elle, la pose sur le bas du dos dénudé par le pull trop court.

« Oui, oui bien-sûr, ça va, pourquoi ?

‒ Non, je ne sais pas, pour rien ! »

Tout en continuant à parler du devoir avec Grégory, Marc baisse encore plus sa main.

Elle est à la limite des fesses, il peut sentir avec son doigt la profondeur vers le coccyx qui mène tout droit à la raie du cul.

Christine ne sait pas quoi faire…,"est-ce un geste de pervers ou une caresse entre mère et fils ?, et puis, que dire devant Grégory".

Elle ne craint qu’une seule chose, que son fils ne baisse encore plus sa main vers l’endroit interdit pour lui.

Ayant honte, elle continue pourtant à mouiller comme une fontaine sous son string.

Marc se dit c’est dans la poche.

Mais l’horloge sonne 18h00. Grégory se retourne.

« Ah, il est 18h00, je suis désolé, mais je vais devoir m’en aller, j’ai promis de passer voir mon grand-père !

‒ Ah ouais, déjà, bon, tant pis ! »

Grégory se lève et part prendre son manteau.

Christine le raccompagne jusqu’au hall, assez soulagée, il faut dire.

Marc, quant à lui est navré, il aurait voulu prolonger ces moments.

Il regarde sa mère suivre Grégory, puis se lève et suit le mouvement.

Il regarde le cul de sa mère.

Grégory serre la main de Marc et fait la bise à Christine, il bande toujours ; puis il part.

Marc file dans la cuisine. Christine le rejoint.

« Dis-moi Marc, tu étais au courant que Grégory allait venir ?

‒ Non, sérieusement, non !

‒ Tu le savais que sa mère se dénude chez elle, n’est pas ?

‒ Non, franchement et puis au moins, c’est une preuve que je te raconte pas des conneries, donc tu vois, rien ne t’empêche d’être tout le temps comme ça, chez toi !

‒ Ah, ça non, je veux bien me faire belle, même à la maison, mais faut pas non plus exagérer Marc !

‒ Mais, tu las bien fait aujourd’hui, non ?

‒ Et bien, je ne recommencerai plus, j’ai voulu te faire plaisir car tu mas acheté ce string, mais c’est la dernière fois, tu comprends ? Imagine-toi la honte que j’ai eue quand ton copain ma vue comme ça !

‒ Ne t’énerve pas et puis, il ta dit que chez lui, c’était pareil !

‒ Hé ben, ça ne sera pas comme ça chez moi, entendu ! »

Christine part dans la chambre de Marc remettre sa jupe. Marc n’a pas voulu reprendre la discussion, jugeant qu’il a eu ce qu’il souhaitait. Il se met à regarder la télé.

Marc va-t-il sarrêter là ou va-t-il pousser encore sa perversité à un point où il ne pourra plus revenir en arrière ?

bientôt la suite …

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