« Cherche jeune femme de compagnie pour couple BCBG »: cest lannonce à laquelle jai répondu. Je cherche du travail depuis un bout de temps, malgré mes diplômes. Je suis allée voir de quoi il sagissait. Une jeune femme très belle, habillée assez court me reçoit.

Il sagit dêtre à la disposition de son couple pratiquement 24 heures sur 24. Je suis habillée, blanchie, logée, nourrie, logée dans une chambre au 2° Etage avec bains, et un débarras.

Elle me donnera un salaire correspondant à plus de deux fois le smic. Comme je suis à bout de ressource, jaccepte de commencer de suite. Elle memmène à la chambre où attendent déjà les vêtements que seule je dois porter: une robe, très courte, qui couvre à peine le pubis, ouverte sur les seins qui doivent rester dehors, sauf quand je vais ouvrir la porte où je peux mettre une courte pèlerine, si je le souhaite. Je doit porter des bas à résilles très large ouverts au niveau du pubis.

En somme je suis habillée comme une grue.

La jeune femme maide pour ranger mes affaires, pour me déshabiller, pour revêtir ma nouvelle tenue. Dans la glace je vois ma nouvelle silhouette: jai lair dune pute ou presque avec mes seins qui ressortent. Je comprends quand elle me pose la question:

— Je suis très indiscrète: aimez vous faire lamour.

— Bien sur, quelle question.

— Ici cest très important de baiser.

— Pourquoi?.

— Parce que nous aimons tous faire lamour. Ainsi maintenant jai envie de toi.

Je suis fort surprise de cette annonce. Je nai jamais fait lamour avec une autre fille, je ne pensais jamais être obligée de me plier à lhumeur sexuelle de cette fille qui me semblais si bien.

Elle nattend même pas la réponse, sa bouche est sur la mienne. Jai un petit recul quelle compense vite. Ses lèvres sont douces sur les miennes. Elle entre sa langue. De surprise je passe au plaisir: elle embrasse mieux que beaucoup de garçons. Elle caresse mes seins, les embrasse en tétant les pointes. Je sens quelle mexcite: je ne porte pas de culotte, ayant le cul et le reste nu. Sa main va vite sur ma chatte. Elle survole le clitoris, entre un peu dans la vulve, pour filer jusquà lanus. Je ne sais comment elle fait: sa caresse à cet endroit me donne dabord un frisson avant que je me crispe en jouissant.

— Cest bien: tu jouis.

— Branles moi maintenant.

Jexécute ce quelle demande; je cherche un peu son bouton, quand je le trouve je fais comme pour moi: je la masturbe avec deux doigts. Elle semble bien apprécier: elle en jouit.

— Cest bien, maintenant si mon frère vient noublie pas de lui dire que nous nous sommes bien branlées.

— Je ne savais pas que tu baisais avec ton frère.

— Si, nous le faisons sans honte, c’est normal pour nous.

Elle allait partir:

— Noublie surtout pas que tu nous sert le dîner à 20 heures piles. Sois à lheures et montre ton cul, nous aimons bien en voir en mangeant. Si tu veux te branler devant nous fais le sans crainte, ici le plaisir est roi.

Je remets un peu dordre dans ma « toilette ». Jai un peu de temps devant moi. Je massieds pour réfléchir. Quest-ce que je suis venu faire dans cette galère, comment est le frère. Sil baise aussi bien que sa sur ma faite jouir, je vais en prendre partout. Quitte à me faire baiser, autant que je choisisse les positions.

Lheure arrive, je descend, cherche un peu la cuisine. Je trouve une autre fille un peu plus âgée que moi, belle comme un cur, sexy: la cuisinières habillée avec en plus de moi un court tablier blanc en dentelle. Elle vient membrasser, pas sur les joues comme je pensais, sur la bouche, comme notre patronne: elle vérifie que je ne porte rien dinterdit en passant sa main chaude entre mes cuisses. Elle ne profite pour me caresser un peu:

— Ce soir, si tu veux, nous pourrions baiser toutes les deux: jaime bien les filles.

— On verra.

— Cest ça, on verra, je verrai plutôt.

— Tu sais, ici c’est la planque: on baise quand on veut, entre nous deux ou avec les frères et la soeur, ils sont très chauds.

Elle me donne les plats à servir. Quand jentre dans la salle à manger, ma patronne est nue, son frère aussi. Je regarde sa bite: un beau morceau. Je pense que la soeur doit bien jouir quand ils baisent. Tout le temps du service, personne ne me touche. Quand je me tourne brusquement le bas de ma robe se lève: mes fesses sont à la vue de tous. Ce nest quà la fin quand ma patronne dit que je lai bien branlée quil se manifeste en mettant sa main sur mes fesses. Il me caresse longuement pour me faire écarter les cuisses pour venir sur mon anus. Il me fait la même caresse que sa soeur: je jouis encore: la cuisinière regarde depuis la cuisine, elle se branle sans pudeur.

Je regarde la bite qui grossit. Jai peur quil me baise sans rien me demander. Il se tourne vers sa soeur qui se masturbe pour lui demander poliment de lui donner son cul.

Elle ne le refuse pas, sauf quelle y met une condition: que la cuisinière participe en la léchant. Elle va s’asseoir sur les genoux du frère, se met elle-même la bite sur le cul, sy laisse embrocher à ce moment la cuisinière sort sa langue pour la lécher surtout le clitoris. Je vois quen plus elle a mis deux doigts dans le cul du patron.

Je suis excitée, je vais pour me branler devant les autres quand la patronne me demande daller sucer le cul de la cuisinière. Je me place de façon à pouvoir être branlée par lui.

Notre quatuor fonctionne bien puisque nous jouissons.

Nous nous séparons, je débarrasse la table avec laide de la cuisinière. Je remarque que la queue est à nouveau bien droite. La soeur se dévoue pour la sucer. Il est debout, elle penchée sur lui, les fesses à portée de sa main. Quand elle le mange, il arrive à passer sa main sur son cul. Il lui entre les doigts dans un anus déjà bien élargi par la sodomie.

La cuisinière vient vers moi: elle membrasse encore, me met une main sur la chatte, trouve mon clitoris, le branle comme ça, pour mexciter. Elle entre trois doigts dans le vagin. Elle me baise comme avec une vrai bite. Je ne peux plus tenir: plus je jouis, plus jai envie de jouir encore. Je suis faite ainsi. Je veux la rendre heureuse aussi: à mon tour je la branle. Je messaie pour la première fois avec un cul: le sien. Je caresse le pourtour de lanus: elle se crispe en jouissant: je nen tiens pas compte; je la sodomise avec deux doigts.

Elle est calmée pour monter se coucher.

Cest mon tour, le patron me tient par les hanches; il mattire sur ses genoux pour me donner un baiser, un vrai aussi bon que ceux de la soeur. Je prend sa bite dans la main, je le branle un peu: elle durcit encore. Elle prend dénormes proportions: je ne pensais jamais avoir affaire à une telle queue. Il me renverse sur la table, les jambes en lair. Je peux voir quand il approche sa bite que je crains. Elle est là, à coté de nous, elle prend la bite pour la mettre en place. Cest excitant de voir cette main mener l’engin de son frère. Elle la pose sur lentrée de mon con. Elle se penche pour venir embrasser mes seins:

— Tu vas voir comme il fait du bien avec sa bite.

Maintenant il commence à entrer. Cest la première fois que je ressent un tel plaisir à la fois violent et caressant. Je sens mes chairs sécarter, mes muscles se détendre, et le plaisir monter, monter. Je suis obligée daccompagner ses mouvement dallers et venues. Cest vrai quil fait du bien. Joublie tout, je ne pense quà son sexe dans le mien. Vers la fin je sens son jet de sperme venir au fond de mon ventre: cest à ce moment là que je jouis comme jamais.

QuEros fasse que demain soit au moins aussi érotique quaujourdhui.

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