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Les aventures de Marie – Chapitre 14




Mr Lambert suivit Marie jusqu’au salon, il ne pouvait quitter des yeux son postérieur qui se balançait langoureusement au rythme de ses pas. Alors qu’il la suivait comme un chien docile, il scrutait attentivement la tenue de la jeune femme et distingua nettement le relief des jarretelles sous la robe de soirée. Il put également admirer un court instant la cuisse gainée de son hôte qui s’échappait du coté de sa robe. Il découvrit avec plaisir et excitation qu’elle avait enfilé une paire de bas couture.

La vision de cette jambe restait figée dans sa esprit, il revoyait la fine couture escalader le mollet puis la cuisse de marie et se perdre dans les replis de sa robe. Il jubilait intérieurement et commençait déjà à avoir chaud, le sang battait contre ses tempes, il avait envie de la jeter par terre, de lui arracher sa robe et de la prendre sur le champ. Mais il se retint, il savait qu’il n’aurait pas à patienter très longtemps et que bientôt il pourrait profiter de Marie ainsi que de ses collègues.

Marie le fit pénétrer dans le salon, il fut surpris par l’ambiance chaleureuse et intimiste qui y régnait, il scruta rapidement la pièce. Il découvrit des bougies qui étaient dispersées de ça et la, il vit aussi quelques bâtons d’encens en train de finir de se consumer. Il fut même surpris de trouver sur la table du salon un bocal rempli de préservatifs, ainsi que des flacons d’huile de massage et du lubrifiant.

Il posa ensuite son regard sur Eva, celle ci était confortablement assise au fond d’un fauteuil, les jambes croisées. Sa petite jupe était assez remontée pour qu’il puisse distinguer sans aucune gène la lisière de ses bas noirs. Ses yeux s’attardèrent également sur sa poitrine qui était particulièrement bien mise en valeur par le petit haut qu’elle arborait. Alors qu’elle sentait le regard de son responsable redescendre vers ses jambes, Eva en profita pour décroiser ses compas, et les recroisa aussitot tout en prenant soin de faire crisser le fin tissu qui parait ses mollets. Des gouttes de sueur se formèrent sur le front de leur invité, il avait eu le temps de voir très distinctement le sexe glabre de la jeune fille. La petite brune était fière d’elle en voyant son responsable changer de couleur, elle avait envie de l’exciter et de l’allumer. Elle était tellement émoustillée qu’elle se dit : "Dommage que l’on doive bientôt s’occuper de toi, j’aurais adoré profiter une dernière fois de ta grosse queue"

Au même instant, il se dit en lui même : "Tu ne perds rien pour attendre petite salope, je vais te baiser et te faire hurler de plaisir comme jamais"

Puis ce fut au tour de Florence de d’être passée au crible, il la scruta également de la tête au pied et apprécia énormément sa tenue de femme sensuelle et distinguée. Elle était sagement assise à une extrémité du canapé. Ses jambes étaient croisées, mais sa jupe ne remontait pas assez haut pour qu’il puisse voir ce qu’elle portait en dessous. Il se doutait quand même que ce qu’il y trouverait une fois qu’il l’aurait effeuillée allait le ravir.

Encore tout transpirant d’émotion, Mr Lambert s’assit au milieu du canapé à coté de Florence et sans aucune gène, posa sa main sur la cuisse de cette dernière. Il la fit remonter jusqu’à ce qu’il sente la bande de dentelle des bas de Florence, à ce moment là, un sourire s’empara de son visage. Florence surprise et mal à l’aise ne put faire autrement que d’accepter cette présence sur son corps.

Marie alla ensuite s’asseoir à son tour à coté de Mr Lambert, ce dernier était désormais entouré de deux jolies jeunes femmes. Marie se mit à l’aise et croisa également les jambes. Elle offrit ainsi à Mr Lambert une vue imprenable sur celles ci. Ce dernier admirait le magnifique bas nylon retenues par une jarretelle blanche. Il ne put sempêcher de poser une main sur la cuisse de Marie et la fit remonter obligeant cette dernière à décroiser les jambes.

Il en fit de même avec Florence qui dut elle aussi décroiser les jambes. Mr Lambert caressait avec avidité les cuisses de ses assistantes, il s’aventurait de plus en plus haut les obligeant à ouvrir légèrement leur compas. Ses doigts finirent par rentrer en contact avec le tissu de leurs sous-vêtements.

Il pensa à ce moment : "Tiens ces deux là portent une culotte, ce n’est pas comme la petite salope d’en face".

Il porta son regard vers Eva, cette dernière était toujours installée au fond de son fauteuil. Elle se mordait la lèvre inférieure comme si l’excitation commençait à l’envahir et une de ses mains se promenait négligemment sur sa cuisse.

Marie se disait : "Le salaud, il commence m’exciter à me caresser comme ça. S’il continue c’est moi qui vais lui sauter dessus pour profiter de sa queue une dernière fois".

Voyant que la situation commençait à déraper et par égard pour Florence, Marie se dit qu’il fallait mettre leur plan à exécution immédiatement et proposa de porter un toast afin de célébrer leur nouvelle collaboration.

Elle se leva sans que Mr Lambert ne puisse réagir.

— Mr lambert, avant de passer aux festivités, vous allez bien boire quelque chose afin de sceller notre accord. Un whisky peut être, mon mari est un amateur et a de très bonnes bouteilles.

— Oui bien sur, mais à condition que vous trinquiez aussi avec moi !

— Les filles, je vous sers la même chose ?

Eva et Florence acquiescèrent d’un mouvement de la tête.

Mr Lambert se dit : Je sens que la soirée va être intéressante, je comptais déjà bien m’amuser mais l’alcool risque de les désinhiber encore plus, je vais pouvoir faire ce que je veux de ces trois petites salopes.

Marie s’éclipsa rapidement dans la cuisine et prit un plateau, elle y déposa quatre verres à whisky. Elle versa ensuite dans chacun des verres une bonne dose de Chivas Regal de 25 ans d’âge. Puis dans l’un d’entre eux qu’elle mit légèrement à part, elle versa quelques goûtes d’une petite fiole.

Elle soupira un grand coup comme pour se donner du courage repartit vers le salon avec le plateau.

Elle pénétra dans la salle et vit en premier le visage de Florence, cette dernière se mordait la lèvre inférieure. Marie ne mit pas de temps à comprendre quelle était la cause de la crispation de sa collègue. L’une des jambes de Florence était sur la cuisse de Mr Lambert. Une des mains de ce dernier s’agitait frénétiquement sous la fine culotte de Florence. De son autre main, il caressait sa jambe avec de longs va-et-vient. Le bruit si caractéristique que produisait le frottement contre le bas de Florence électrisa Marie, elle sentit aussitôt une boule se former dans son bas ventre.

A cet instant, elle aurait voulu être à la place de Florence, imaginant les doigts de son responsable fouiller son intimité et sa main s’aventurer sur les méandres de ses jambes recouvertes de cette précieuse étoffe. A y réfléchir, elle aurait aimé être en train de caresser Florence, elle venait de percevoir sa collègue sous un autre jour, d’un seul coup elle se mit à la trouver sensuelle et désirable.

La respiration de Florence devenait saccadée, son pervers de supérieur savait comment s’y prendre pour l’exciter. Voyant que la situation dégénérait Marie proposa de porter un toast.

— Mr Lambert, vous aurez toute la soirée pour abuser de nous, si nous trinquions maintenant.

— Nous avons le temps, laissez moi d’abord profiter de cette cochonne …

Joignant les gestes à la parole, il prit la main de la Florence et la posa sur la bosse qui commençait à naître sous son pantalon :

— Allez ne fais pas ta timide, viens jouer un peu avec ma queue, tu avais l’air de l’apprécier la dernière fois.

Florence se mit à masser le sexe de Mr Lambert par dessus son pantalon, elle le sentait grossir et durcir sous ses doigts. Ce dernier continuait son travail de sape en s’acharnant maintenant sur le clitoris de sa subalterne.

Enhardie par l’excitation, Florence fermât les yeux et commença à défaire un à un les boutons de la braguette, puis elle plongea sa main sous le slip et en sortit ce membre qui lui avait procuré tant de plaisir la dernière fois. Elle l’empoigna fermement et commença à le branler.

Marie avait posé le plateau sur la table et profitait du spectacle, un peu jalouse de rester à lécart des festivités. Eva s’était avancée jusqu’au bord du fauteuil afin d’avoir une meilleure vue. Les deux jeunes filles étaient subjuguées par les agissements de ce couple si inattendu. Mr lambert et Florence se caressaient l’un et l’autre avec énergie et vigueur, comme s’il s’agissait d’une passe d’armes entre eux et qu’ils voulaient se rendre coup pour coup.

Mr Lambert approcha son visage de celui de Florence et prit possession de sa bouche. il l’embrassait de manière bestiale et vulgaire, le contraste était saisissant, entre Florence qui était si belle et distinguée et Mr Lambert qui était tout sauf un apollon. On se serait cru dans un des ces nombreux films pornographiques où de vieux dégoûtants abusent de charmantes jeunes filles.

Il mit un terme à leur baiser obscène : viens me sucer maintenant, lui lança t’il d’un ton sec.

Sans rien dire, Florence se leva, remit de l’ordre dans sa tenue et s’agenouilla devant son responsable. Elle prit son sexe en main et le caressa quelques secondes. Elle se pencha ensuite sur sa queue et en fit disparaître l’extrémité dans sa bouche. Elle commença à faire coulisser le sexe entre ses lèvres tout en lui caressant les testicules. De temps elle desserrait son étreinte pour lécher avec application la tige de bas en haut. Plus ça allait, plus sa langue descendait, elle entra logiquement en contact avec ses boules. Elle se mit à les léchouiller tout en lui malaxant le gland avec la paume de sa main.

Mr Lambert grognait de plaisir sous la langue experte de Florence. Mais il en voulait encore plus, il voulait que cette soirée devienne une véritable orgie. Il s’adressa à Eva et Marie :

— Déshabillez vous toutes les deux, et vous allez me la préparer, je vais la baiser, et après je vais l’enculer.

Puis il s’adressa à Florence :

— Tu la veux ma grosse bite dans ton petit cul serré ?

Florence sortit la tête de l’entre jambe de son supérieur et répondit :

— Mmmm oui, Mr Lambert, avec plaisir ….

Florence se lâchait complètement, elle se disait que leurs problèmes seraient bientôt réglés et qu’elle pouvait bien profiter de l’anatomie avantageuse de ce sale pervers une dernière fois. Et puis de toute façon, elle n’avait guère le choix.

Florence retourna s’affairer sur ce sexe qui l’excitait tant et à nouveau, des bruits de sucions obscènes se firent entendre dans la pièce.

Pendant ce temps là et suite aux ordres de Mr lambert, Eva, s’était levée et était venue se coller derrière Marie, plaquant son opulente poitrine dans le dos de sa collègue. Elle passa ses mains sur le ventre de Marie et remonta vers sa poitrine. Elle se mit a lui caresser délicatement les seins tout en lui déposant de petits baisers dans le cou.

Marie ne resta pas inactive, elle passa ses mains en arrière pour attraper les fesses de ses collègues. Elle les pétrissait fougueusement et petit à petit se mit a remonter la jupe de sa collègue, jusqu’à ce que celle ci soit complètement enroulée autour de sa taille.

Marie s’aperçut bien vite qu’Eva ne portait pas de culotte et lui fit remarquer en lui susurrant :

— Dis donc, tu n’auras pas oublié de mettre quelque chose petite coquine ?

Eva lui chuchota à l’oreille :

— J’espérais tellement que ça se passe comme ça que je l’ai fait exprès pour allumer ce vieux salaud. J’ai tellement envie qu’il me baise une dernière fois. Et puis j’ai très envie de toi aussi, tu es encore magnifique ce soir.

A peine Eva eut elle fini sa phrase, qu’elle attrapa le visage de Marie pour la forcer à se retourner et l’embrassa à pleine bouche.

Mr Lambert se demandait s’il n’était pas en train de rêver, il profitait allègrement des caresses buccales de Florence et admirait Eva et Marie qui s’enlaçaient et s’embrassaient fiévreusement.

Eva fit glisser les fines bretelles de la robe de Marie sur ses épaules. Marie enjamba sa robe qui était à terre et d’un geste délicat du pied la poussa un peu plus loin. Mr Lambert peut alors admirer la tenue que portait Marie. Il sentait son cur s’emballer et sa tête fut prise d’une subite poussée de chaleur.

Elle avait acheté cet ensemble de lingerie spécialement pour la soirée, il était blanc avec du tissu transparent, on voyait distinctement les auréoles de ses seins ainsi que le replis de de son sexe à travers la fine étoffe. Son porte-jarretelles avait une ceinture assez large et épousait magnifiquement sa taille. Son string s’intégrait de manière parfaite entre ses fesses. Ses bas nylon étaient noirs avec des coutures, ils montaient assez hauts ne dévoilant qu’assez peu la peau de ses cuisses.

Mr Lambert voyait les mains d’Eva déambuler sur ce corps magnifique. Eva pétrissait les fesses de Marie de manière assez virile un peu comme le ferait un homme. Puis parfois elle lui caressait la croupe en passant une main entre ses fesses. Mais ce qui excitait le plus Mr Lambert c’était quand Eva caressait les jambes de Marie, ce bruit caractéristique émis à chaque passage des doigts d’Eva sur le nylon faisait littéralement trembler Mr Lambert de désir. Eva passait même sa main à l’intérieur d’un des bas de Marie, voir les doigts de sa subalterne s’agiter sous le fin tissu noir le mettait également en transe.

Marie n’était pas en reste, elle flattait elle aussi l’entre-jambe de sa collègue tout en l’embrassant. Marie voulait goûter à l’opulente poitrine d’Eva, elle remonta un peu son haut pour en extirper ses seins. Elle commença ensuite à les malaxer et prit soin d’embrasser et de mordiller chaque téton. Eva qui avait l’air d’apprécier poussait de lourds soupirs de plaisir.

A cet instant précis, Mr Lambert se serait cru au paradis, il était totalement comblé. Que pouvait il espérer de plus. Une charmante jeune femme était en train de lui faire une fellation magistrale pendant que deux autres s’embrassaient sensuellement sous ses yeux.

Il se décida quand même à accélérer la cadence, il avait hâte de plonger son sexe dans les orifices de Florence.

En bon "gentleman", il dit à Marie et Eva : Venez donc lui préparer son petit cul si vous voulez qu’elle apprécie car elle m’a tellement excitée que je crois que je vais l’enculer directement.

Florence fut à la fois terrorisée et troublée par ces paroles, elle appréhendait de recevoir cet énorme sexe dans son fondement, mais elle se souvint aussi du plaisir que ce dernier lui avait procuré la dernière fois. Comme toute réponse elle se contenta de fixer son responsable dans les yeux et de lui aspirer le gland avec le regard le plus lubrique possible.

Eva et Marie vinrent s’agenouiller chacune de part et d’autre de Florence. Elles commencèrent à déshabiller leur collègue en la débarrassant de sa jupe. Elles en profitèrent pour caresser ses fesses et de temps en temps leurs doigts allaient se perdre sur sa croupe. Le slip de Florence devint très vite un obstacle et rejoignit donc rapidement la jupe au coin du canapé.

Pendant qu’il continuait de se faire sucer, Mr lambert se saisit de la culotte de Florence et se mit à inspirer profondément les effluves qui en émanaient. Il s’adressa à Florence : J’adore l’odeur de ta chatte, je viendrai te la lécher tout à l’heure.

Florence interrompit brièvement sa fellation pour répondre : J’y compte bien. J’ai très envie de sentir votre langue en moi.

Mais au lieu de la langue de Mr lambert, ce sont les doigts de ses collègues que Florence commençait à sentir. Elle n’avait jamais eu d’expérience avec des femmes et elle appréciait les caresses douces et délicates de qu’elles lui prodiguaient. Bientôt un maelström d’attouchements se déchaîna sur ses fesses, son dos, ses jambes gainées de nylon et son bas ventre. Elle crut même sentir les tétons de ses collègues venir lui effleurer son sexe. Cela était d’autant plus troublant qu’affairée avec la sexe de Mr Lambert elle ne pouvait distinguer qui de Marie ou d’Eva la caressait.

Elle sentit bientôt une langue glisser le long de sa fente, le rythme devint régulier et à chaque passage elle s’aventurait un peu plus vers son petit trou. Elle sentit une autre langue se poser dans le creux de son dos et une main se poser sur son bas ventre. Des doigts commencèrent à caresser doucement le tour de son nombril, descendirent ensuite vers son sexe et tombèrent sur son clitoris.

Pendant ce temps une autre main vint se poser a l"intérieur d’une de ses cuisses et elle sentit aussitôt des ongles faire crisser le tissu de ses bas. Des temps en temps les baisers sur son sexe et son dos s’interrompaient, mais elle entendait toujours de bruits de sussions derrière elle, elle en déduisait que Marie et Eva s’embrassaient alors à pleine bouche.

Du canapé Mr Lambert avait une vue imprenable. Il voyait Marie à quatre pattes derrière Florence en train de lui lécher la chatte pendant que Eva sur le coté lui embrassait le dos et la caressait.

Marie fixait également Mr Lambert pendant que sa langue se promenait dans les replis de l’intimité de Florence, elle avait une lueur indescriptible dans les yeux, elle semblait assoiffée de sexe ce soir. D’un seul coup Marie arreta de s’occuper de Florence et s’avança telle une panthère vers Mr Lambert. Celui ci se dit qu’elle venait sans doute pour le sucer, mais à son étonnement, Marie vit embrasser Florence à pleine bouche.

Cette dernière surprise abandonna le sexe de Mr Lambert et rendit son baiser à Marie. Elle fut quelque peu surprise et décontenancée de goûter à sa propre intimité. Elle se dit : c’est donc ça … ce n’est pas si désagréable

Marie abandonna les lèvres Florence et retourna s’occuper de sa croupe, elle s’attardait maintenant sur l’anus de sa collègue, elle voulait que Florence prenne vraiment du plaisir pour cette sodomie à venir, elle se mit alors en tête de la préparer du mieux possible. Sa langue virevoltait autour de son petit trou, le bassin de Florence ondulait de manière incontrôlée et Marie et Eva avaient de plus en plus de mal à pouvoir l’embrasser. D’ailleurs ces deux dernières étaient également très excitées et elle avait toutes les deux porté une de leurs mains à l’entrejambe.

Décidé à passer aux choses sérieuses Mr Lambert s’adressa à Florence : je n’en peux plus d’attendre, j’ai trop envie de te prendre le cul.

Puis de manière autoritaire il énonça ses instructions : Marie, Eva, venez vous asseoir sur le canapé, Florence vous léchera pendant que je l’enculerai.

Marie alla s’asseoir à la place son responsable, elle ne portait plus que son ensemble de lingerie et ses bas. Eva finit de se dévêtir pour ne garder que ses bas, puis alla s’asseoir sur la canapé. Elle posa les genoux sur les canapé et se pencha en avant pour embrasser Marie. Positionnée ainsi, Elle offrait volontairement et de manière indécente sa croupe à le vue de Mr Lambert. Marie tout en continuant à embrasser Eva attira le visage de Florence vers son entrejambe et se mit à lui caresser les cheveux comme pour l’encourager et la rassurer car même si elle n’en était pas sur, elle se doutait que Florence n’avait jamais eu d’expériences saphiques auparavant.

Tout en observant attentivement ce qui se passait devant lui, Mr Lambert prit un préservatif dans le bocal qui se trouvait sur la table basse et l’enfila sur son sexe. Il vint se placer derrière Florence, posa son gland sur son anus et commença à s’immiscer inexorablement en elle.

Alors qu’il se frayait un passage au sein de ses entrailles il ajouta l’air soulagé : "Mmmm, depuis tout à l’heure j’avais envie de te prendre le cul"

Florence sentait chaque centimètre de ce sexe monstrueux pénétrer ses entrailles, elle inspirait profondément pour s’habituer à cette présence étrangère en elle. Elle sentit bientôt le bas ventre de son responsable toucher ses fesses, elle se dit alors qu’elle l’avait entièrement en elle.

Mr Lambert se retira entièrement, puis il reprit son incursion dans l’orifice de Florence. Il répéta l’opération plusieurs fois, chaque pénétration était plus rapide que la précédente, Florence commençait à se détendre et même à apprécier ces allers et retours dans son anus.

Mr Lambert enculait Florence à un rythme rapide maintenant, son sexe allait et venait dans cet orifice habituellement si serré sans aucune difficulté, il appréciait, tout comme Florence qui ne poussait des petits soupirs au rythme des coups de boutoir que lui assenait son odieux manager.

Eva et Marie continuaient de s’embrasser, la main d’Eva glissa sur le ventre de sa collègue et alla se perdre dans entre ses jambes. Elle prit possession du sexe de Marie avec deux doigts.

Marie ne resta pas inactive et passa sa main sous le ventre d’Eva et remonta jusqu’à sa croupe, elle lui caressait la fente mais sans jamais la pénétrer, puis quand ses doigts furent bien imprégnés de sa liqueur, elle se mit à lui caresser le petit trou. Elle commença par décrire de petits cercles autour de l’anus d’Eva de manière douce et sensuelle. Puis quand elle sentit que l’orifice commençait à se détendre et s’assouplir, ses caresses se furent plus précises et plus insistantes.

Au bout d’un moment Marie quitta les lèvres de sa collègue et commença à l’embrasser dans le cou. Puis, tout en prenant possession du cul d’Eva avec un doigt elle se mit à fixer Mr Lambert avec un regard incendiaire. Elle passait sa langue sur la peau de sa collègue tout en faisant coulisser son majeur dans son cul. Eva qui avait posé sa tête sur l’épaule de Marie commença à pousser des râles de plus en plus audibles. Le plaisir était telle qu’elle dut même arrêter de caresser Marie.

Mr Lambert n’en revenait pas du comportement de Marie et se dit : "Mais quelle salope celle là … elle a vraiment le vice dans la peau"

Il lui dit : "Oui, tu as raison, prépare là moi, elle aussi va avoir droit à ma bite dans son cul de salope"

Il ajouta ensuite : "Et pour finir, ce sera le tien que je prendrai"

Est ce de voir Marie se comporter de la sorte qui l’inspira, mais une idée lui traversa soudain l’esprit. Très vite les instructions fusèrent.

— J’ai envie de vous voir vous lécher la chatte toutes les trois. Eva tu vas venir lécher Florence pendant que je l’encule. Et toi Florence tu vas t’occuper de Marie. Tu vas voir sa chatte est délicieuse .. ah ah ah.

Sans rechigner, Eva se leva et vint se placer derrière Florence mais visiblement Mr Lambert voulait si prendre autrement.

— Non, mets toi sur le dos et passe ton visage sous son ventre. Tu n’as qu’à prendre un coussin pour surélever ta tête. En plus tu pourras aussi me lécher les couilles comme ça.

Eva était donc sur le dos, le visage juste en dessous du sexe de Florence. Elle avait une vue imprenable sur l’énorme membre qui prenait possession du cul de sa collègue ainsi que sur les testicules qui se dandinaient dans les airs.

Marie ne se fit pas prier pour profiter des caresses buccales de Florence, elle approcha ses fesses vers le bord du canapé et écarta un peu plus les jambes pour faciliter l’accès à son intimité. Elle prit délicatement le visage de Florence et le porta jusqu’à son sexe.

Mr Lambert s’enfonça au plus profond du cul de cette dernière et se figea pour que Marie puisse se faire lécher correctement.

Alors qu’elle commençait à poser timidement sa langue juste à coté du sexe de Marie, Florence sentit une autre langue sur sa fente. Eva avait agrippé Florence en haut de chacune de ses cuisses et léchait maintenant avec application le sexe de sa collègue. La sensation était inédite pour Florence, elle se faisait manger son petit minou par une femme avec une énorme queue plantée au fond du cul.

Sentir la langue d’Eva la désinhiba et piqua sa curiosité, elle eut soudain envie de goûter à l’intimité de Marie et c’est de manière maladroite et un peu gauche qu’elle commença à donner des petits coups de langue sur le sexe qui lui faisait face. Marie poussait des petits soupirs d’encouragement et lui souffla doucement : Mmmm oui, continue, tu me fais du bien.

Florence continuait de découvrir l’intimité féminine, et à première vue, cela n’avait pas l’air de lui déplaire. Elle qui n’avait pourtant jamais été attirée par les femmes prenait un malin plaisir à explorer chaque recoin du sexe de Marie. Était ce la présence d’un sexe monstrueux entre ses fesses ou bien la langue d’Eva qui la mettaient dans cet état là, elle ne pouvait pas le dire. Mais en tout cas, l’excitation était au rendez vous.

Eva quant à elle, en collaboratrice serviable et docile, n’oubliait pas de flatter avec sa langue les testicules de son responsable qui pour l’instant avaient arrêté de gesticuler. Bien qu’étant dans une position assez inconfortable, elle jouait avec les deux boules, les prenait en bouche, les léchait les aspirait. Elle les délaissait parfois brièvement afin de retourner s’occuper de du sexe de Florence.

Mr Lambert restait immobile, son pieu au plus profond des entrailles de Florence afin de pouvoir apprécier au mieux ces caresses. Quant à ba belle rousse, elle n’était plus tancée par les coups de queue de son chef et était maintenant à son aise pour pouvoir apprécier les plaisirs lesbiens. Il ne lui avait pas fallu longtemps pour y prendre goût, sa langue matraquait maintenant le clitoris de Marie et elle avait plongé un doigt dans la fente de sa collègue. Marie ronronnait de plaisir, ses mains étaient comme incontrôlables, elles pétrissaient fiévreusement ses seins, puis descendaient vers son bas ventre et partaient vers chacune de ses cuisses. Elle tendait son doigt à Florence pour qu’elle le suce puis elle tirait sur ses propres tétons et les pinçait.

Dans l’excitation, Marie tendit une jambe à Mr Lambert qui la saisit par la cheville, il se pencha un peu en avant et se mit à lui lécher le mollet, il remontait doucement en suivant la couture du bas. Quand il ne pouvait plus progresser il redescendait et recommençait. Le contact avec le nylon l’excitait au plus haut point et il se mit à frotter sa joue contre la cheville de Marie, le bruit de sa peau contre le tissu résonnait jusqu’au plus profond de son être.

Cela excitait aussi Marie : "Tu les aimes mes bas. je les ai acheté exprès pour toi vieux cochon"

Puis elle ajouta : "Si tu es sage et que tu me baises bien, j’en enlèverai un, je le mettrai sur ta queue et je te branlerai jusquèà ce que tu éjacules dedans"

Mr Lambert lui répondit : "T’inquiètes, je vais te baiser toute la nuit petite pute. Tu m’excites vraiment trop avec ta lingerie"

Eva qui était toujours en train de lécher Florence et Mr Lambert se permit l’audace de faire glisser un des ses doigts vers la raie culière de son chef. Celui ci se perdit dans les poils et arriva sur son illet. Avec son ongle elle se mit à faire délicatement le tour de cet orifice.

Mr Lambert allait lui dire d’arrêter, prêt à vociférer quelque chose du style : "Mais tu me prends pour un PD où quoi, arrête de me tripoter le cul"

Mais finalement, il se ravisa, car la sensation était loin d’être désagréable, bien au contraire cela l’excitait terriblement, et s’il finit par demander à Eva de stopper, c’était surtout parce qu’il sentait proche de la jouissance. Les trois jeunes femmes l’avaient chauffé à blanc et il sentait qu’il allait bientôt venir, alors dans un dernier baroud d’honneur, il se mit à pilloner Florence de plus belle, ses testicules venaient cogner contre sa fente, il la faisait crier, dieu seul sait si c’était de plaisir ou de douleur.

Eva toujours allongée sous Florence regardait l’énorme membre coulisser dans l’étroit conduit à une vitesse folle. Elle entendait Florence pousser de grands cris, craignant que ce ne soit pas des hurlements de plaisir, elle se mit à lui caresser vigoureusement le clitoris afin de détourner quelque peu son attention avec une sensation plus agréable.

Les hurlements de Florence changèrent de ton mais restèrent tout aussi impressionnants. Elle finit par lâcher : "Vas y continue …. c’est trop bon .."

Marie et Florence étaient aussi surprises l’une que l’autre, jamais elles n’auraient imaginé que sodomisée de la sorte Florence puisse prendre autant de plaisir. Mais bon, après tout pourquoi pas, elles aussi y avaient pris gout.

Mr Lambert, haletait et soufflait comme un vieux buf asthmatique, il se déchainait sur le cul de sa collègue et l’invectivait avec des paroles obscènes.

— Alors, tu vois que tu y prends gout à ma grosse bite salope …

— Ahhh ouiiii

— Et bien c’est tant mieux ….. tu n’as pas fini d’y ….. gouter petite garce.

Il se sentait venir, il sortit du cul de Florence, enleva le préservatif et alla présenter son sexe à Marie. Elle ne se fit pas prier et l’enfourna dans sa bouche. Mr Lambert prit sa tête avec ses deux mains et se mit à la baiser brutalement. Marie hocquetait et manqua plusieurs fois de vomir. Puis il s’arreta et finit par lui envoyer plusieurs jets de sperme dans la bouche et sur le visage.

Eva se joignit à eux, empoigna le sexe de son responsable et commença à le sucer doucement. Puis elle se tourna vers Marie et l’embrassa à pleine bouche partageant avec elle le sperme de leur chef de service.

Mr Lambert, dégoulinant de sueur, alla s’affaler sur le fauteuil en face du canapé. Sa vue tomba sur le verre de whisky que lui avait servi Marie. Sans réfléchir il s’avança pour se saisir du verre et le vida d’un seul trait.

Il se laissa retomber en arrière et regarda les filles : Je reprends des forces petites salopes, je suis loin d’en avoir fini avec vous …

Les filles à peine remises de leurs émotions ne réagirent pas vraiment, elles restaient hébétées et à la fois incrédules …. elles allaient enfin être débarrassées de Mr Lambert …

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