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Seul avec trois filles – Chapitre 3




On est à nouveau dans la chambre.

On est tous les trois à poil et Joëlle propose que lon reprenne où on en était chez Patricia. Je suis debout, Marie à genoux qui membouche sans perdre une seconde. Elle me pompe goulûment, mintroduit jusquà la racine, fourre mon gland dans sa gorge, me turlutte à ravir. Jai faim de son huître et lui propose un 69 sur le lit, quelle accepte volontiers.

Depuis le début notre hôtesse nous regarde assise dans un fauteuil. Ses jambes écartées reposent sur les accoudoirs et elle se masturbe avec un superbe gode en verre, ayant un énorme gland et des boursouflures tout le long de la tige. Elle jouit à répétition et lèche son jouet après chaque orgasme.

Notre 69 semballe, on se bouffe éperdument, et elle ne peut plus rester seule dans son coin.

Elle simpose pour un 69 à trois et prend sa place entre moi et Marie. Elle me suce, je la lèche, elle la lèche. On change les places plusieurs fois, et je sens enfin que je vais jouir.

Je suis debout, Marie à genoux devant moi, bouche ouverte. Je me masturbe, et Joëlle est témoin de la première giclée de sperme quelle reçoit sur sa langue. Elle ne verra pas les suivantes, sa bouche sétant refermé sur mon gland. Elle avale tout avec application et me suce bien au-delà de mes derniers soubresauts. Joëlle a repris son gode et se défonce la chatte.

Il est tard et elle nous propose de passer la nuit chez elle. On sendort à trois dans son lit extra large, Marie au milieu.

Je mendors comme une masse, épuisé de ma journée, et je suppose quelles en font autant, lessivées elles aussi. Tôt le matin, vers 5h, je me réveille. Je glisse ma main entre mes cuisses, je ne rêve pas, je bande comme un cheval. Je me tourne vers Marie, cherche son corps à tâtons et pose ma main fébrile sur sa hanche. Elle me tourne le dos, se recule, sent ma trique sur le bas de ses reins et sy frotte telle une chatte câline On se chuchote quelques mots :

— Tu ne dors pas ?

— Je suis éveillée depuis un petit moment, et je narrive pas à me rendormir.

— Cest comme moi. Je pense à vous trois et je bande à mort.

— Pas la peine de le dire, je la sens bien votre grosse queue, plus dure que les godes.

— Jai envie de baiser. Tu veux bien moffrir ta petite chatte, je te jure de ne pas jouir.

Comme si elle nattendait que çà, elle sempare de mon manche et le glisse entre ses cuisses. Sa main se déplace sur son bas ventre, ses doigts sur mon gland, et elle introduit mon sexe dans son paradis. Elle est chaude, mouillée, et à la fois ouverte et étroite. Je coulisse lentement et tendrement dans sa chatounette inexplorée par les hommes, un vrai délice. Elle gémit, miaule, jouit, et finit par réveiller sa copine.

Celle-ci se doute que je la prends et glisse sa main entre ses cuisses pour sen assurer :

— Je pensais que tu noffrais que ta bouche, mais je vois que tu en veux plus.

— Je ne savais pas ce que cétait une vraie queue, bien en chair. Cest trop bon. Elle est chaude, douce, cest génial

— Attend quil te la mette dans le cul, et ce sera encore meilleur.

— Jaimerais bien, mais elle est très grosse.

— Si tu savais les calibres que certaines prennent ma chérie, ils sont autrement plus larges, et je te jure quils passent en entier. Mais si tu veux je peux taider, préparer ton petit trou. Je suis sûre que tu vas aimer. Tu me ressembles, tu ne veux pas vivre avec un mec, mais ten servir juste pour la baise. Ils ne sont bons quà ça, enfin, certains. Ne bouge pas et laisse moi faire.

Elle allume la lumière, se lève et va chercher deux godes. Un gode ceinture, 15×3, dont elle séquipe, et un autre gode plus imposant, de la taille de mon sexe au mieux de sa forme. Elle nous dirige et on se soumet à ses consignes. Je suis sur le dos, la chatte de Marie absorbe mon pilon, et elle se couche sur moi, reins cambrés, cul offert. Joëlle écarte ses adorables fesses, lèche sa raie parfaite et bouffe son délicat petit illet. Elle alterne doigts et langue dans son petit trou qui se dilate rapidement. Elle saisit son gode ceinture à pleine main et lenfile. Ma partenaire pousse un oui jouissif et lencourage à lenculer tandis que mon sceptre la fouille profondément. Joëlle suce le deuxième gode pour le lubrifier, se retire, crache dans sa rondelle ouverte, et enfonce le gland. Elle arrête devant ses cris, et elle linvite à continuer. Elle pousse cette bite caoutchouc, la fait aller et venir, de plus en plus loin. Elle prend le bout qui dépasse entre ses dents, et la plante jusquà ce que son museau disparaisse dans son sillon. Elle la sodomise de sa bouche prolongée en sexe mâle. Je suis tout en elle, ne bouge plus, et sens les aller retour de ton sexe sur le mien, au travers de ses fines parois. Elle jouit comme une possédée, ce quelle est dailleurs. Joëlle se retire, sors ma queue du vagin de Marie pour lenfourner dans son anus affamé.

Elle se redresse pour mieux sasseoir sur mon manche, et monte et descend avec frénésie.

Elle nen finit plus de crier de plaisir et ma petite pute nen peut plus, veut ta part.

Marie se retire docilement, et lautre me suce, me baise et lui offre son cul pour subir le même traitement que le sien. Elle séternise à lui bouffer et elle doit linterrompre pour avoir les godes dans le fion. Son cul est trop beau, trop bon et elle aurait voulu lui brouter pendant des heures. Elle lui promet dautres occasions. Tout comme elle auparavant elle la défonce du gode ceinture dont elle se sert à la perfection, puis de lautre gode. Jai ma bite dans son cul qui me la branle sans ménagement. Elle se retire, se met à quatre pattes au bord du lit, Marie contre elle dans la même position. Je suis debout et les matraque par les deux orifices à tour de rôle.

Elles en veulent toujours plus mais je ne peux plus fournir. Je mallonge essoufflé, la queue dressée à léquerre, comme si javais une crampe. Elles me sucent toutes les deux, lune la queue lautre les couilles, et leurs langues se rejoignent lors des changements. Je ne jouis toujours pas et ma salope me masturbe presque douloureusement :

— Je te jure que tu vas cracher mon salaud, tu nous as réveillées, ce nest pas pour rien. Je suis sûre que notre petite salope a encore soif de ton jus, tu ne vas pas la décevoir.

Elle me branle, Marie prend le relais, excitée par léjaculation espérée. Enfin je viens. Les premières giclées se répandent sur mon ventre et mon torse, puis mon sperme continue à sécouler sous les caresses de Marie qui me comprime la hampe. Jai du foutre partout de mon gland jusquà sur ses doigts. Elle approche sa bouche et dévore tout jusquà la moindre trace.

Il reste mes premières décharges sur le corps, et elles se les partagent en se roulant des pelles au goût de semence.

On se recouche.

On est lundi matin. Cest le jour de fermeture de la boutique de lingerie, les cours de Joëlle sont annulés pour cause de grève, et jai pris une journée de congés. On fait la grasse matinée, sans saimer, car Patricia nous attend pour un deuxième après midi que lon suppose, et surtout espère, très chaud. Il est 14h et nous voilà chez elle.

On baise comme la veille, mais sans se séparer par couple. On se fait une partie à quatre, ou on saccouple à deux devant les deux autres. Elles me font jouir trois fois, et chacune prend mes décharges dans sa bouche et savoure mon offrande.

Patricia est enchantée de ces deux journées, ravie que Marie aime aussi les hommes, et imagine une partouze. Les godes cest bien gentil, mais elle veut des queues, bien en chair et juteuses.

Joëlle est bien sûr partante, et on pense de suite aux deux mecs de lautoroute. Trois mecs, trois filles, ça semble bien. Ma petite pute pense alors au vieux du sex-shop, à son magnifique sceptre, et le veut aussi. Il nous manque une fille, mais elles nen connaissent pas à qui proposer un tel plan. Joëlle, toujours elle, pense alors à lhomo soumis du cinéma.

On est daccord sur le choix des quatre participants, il reste à tout organiser :

— fixer les règles et les limites du jeu, quil ny ait pas de dérapage.

— convaincre ces quatre mecs daccepter

— trouver lendroit pour forniquer.

Je vais men occuper.

A suivre..

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