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Adultère de ma mère? – Chapitre 2




Maman nous appela les deux soirs et nous raconta ses journées à Toulouse, le boulot et les à côtés.

Bien sûr, nous n’avions pas les détails des soirées que désormais je devinais bien animées !

Je n’avais rien dit de la matinée du lundi à mon père ou encore à ma sur au téléphone, ne voulant pas rompre notre vie familiale qui me convenait bien. Je soupçonnais que les deux amants n’avaient réservé qu’une chambre ou tout du moins qu’ils n’en occupaient qu’une.

Je repensais souvent à ce que j’avais vu et essayait de deviner leurs activités nocturnes (ou peut-être aussi diurnes), ce qu’ils faisaient pendant les appels de maman à la famille le soir par exemple. Ils ne devaient pas s’ennuyer !!

Les 3 jours passèrent lentement mais le mercredi soir, vers 21h, Alain déposa ma mère à la maison, salua mon père mais ne s’attarda pas afin de rejoindre son épouse. Quel faux-cul !

Ma mère dîna rapidement et nous annonça qu’elle allait se coucher car ces 3 jours avaient été éreintants (tu m’étonnes, les nuits avaient dû être courtes). Effectivement, elle paraissait fatiguée mais en même temps assez épanouie.

Elle n’avait pas pris le temps de défaire son sac, qui avait été posé dans la salle de bain et j’étais impatient d’aller en vérifier le contenu, histoire de voir si quelques traces de la liaison coupable s’y trouvaient. Le tailleur était dans une housse mais rien de particulier n’apparaissait dessus ou dans les poches.

J’ouvrais très doucement la fermeture : tout était plié mais moins bien qu’avant le départ car la plupart du contenu devait partir au linge sale.

J’étais excité mais en même temps inquiet de ce que j’allais découvrir.

Je ne trouvais aucune trace des préservatifs emportés (normal car ils avaient servi sans aucun doute), les vêtements ne montraient rien de particulier. Quelques traces sur les dessous mais sans certitude sur leur origine.

Mais une chose attira immédiatement mon attention, qui m’aurait surpris une semaine avant mais plus maintenant : une odeur assez forte de tabac émanait du sac, notamment sur les culottes et la nuisette de maman. Autant je pouvais comprendre que ses cheveux ou ses vêtements sentent la cigarette au boulot si ses collègues fumaient dans son bureau, autant sur ses dessous c’était plus difficile à expliquer. Les cigarettes avant et après l’amour avaient manifestement laissé leur empreinte !

Le slip qu’elle portait le lundi sentait si fort la fumée que je me demandais si cela n’avait pas fait l’objet d’un jeu sensuel entre eux. Certes, depuis le lundi, je savais que ma mère fumait en cachette, mais là l’odeur était si soutenue qu’Alain avait dû souffler dessus et sur la petite foufoune parfaitement taillée ! Mais ça c’était invérifiable

Ma mère reprit son travail habituel dès le lendemain au bureau et j’essayais le matin ou le soir de voir des indices de son infidélité (tenue portée, dessous utilisés, fatigue) mais rien de particulier ne se passa pendant plusieurs semaines. Une fois cependant qu’elle rentrait un peu tardivement, je remarquais que la fermeture de sa jupe était complètement ouverte à l’arrière et qu’une de ses jolies culottes en dentelle était visible. La réunion de fin de journée avait été agitée apparemment !

Je me demandais pourquoi elle avait craqué ou provoqué cette idylle alors qu’à la maison tout se passait bien, avec quelques coups de gueule mais comme dans toutes les familles équilibrées. Elle avait sans doute un manque mais elle ne s’en était jamais ouverte.

Fin août, nous fûmes invités un dimanche midi tous les trois à déjeuner chez son patron pour fêter une belle vente. Nous étions habillés cool (short, tee-shirt pour les hommes, jupe blanche et polo crème pour maman).

Nous avions également apporté nos maillots de bain car Alain et son épouse voulaient nous faire profiter de leur superbe piscine.

Après un apéro bien agréable sous le chaud soleil estival, le repas se passa dans une ambiance agréable, l’alcool et la chaleur aidant. Aucun signe ne permettait de détecter la liaison entre Alain et ma mère.

Vers 16h tout le monde fut invité à se mettre en maillot de bain pour aller se rafraîchir.

La femme d’Alain arriva avec un bas de maillot jaune mais seins nus (un beau 95 C je pense). C’était une belle femme de 45 ans un peu arrondie et je ne comprenais pas pourquoi son mari la trompait.

Maman portait un maillot bleu et rouge qui mettait bien en valeur ses jolies fesses. Comme Sophie, la femme d’Alain, n’avait pas de haut, ma mère retira le sien et laissa apparaitre ses petits seins bien droits.

Elle ne savait pas nager, c’était presque une phobie. Elle restait avec juste de l’eau jusqu’à la taille et la natation n’était pas du tout son truc. Au bout d’une petite demi-heure de baignade, je sortis accompagné de mon père et d’Alain. Sophie proposa à ma mère de l’aider à appréhender sa peur de l’eau en faisant le tour de piscine en se tenant au bord. Elle accepta et elles marchaient toutes les deux sur un rebord de 30cm qui longeait la totalité de la piscine.

Au bout de 10 minutes, maman s’apprêtait à quitter le bassin quand son boss proposa de remplacer sa femme. Sophie prit la place de son époux sur un transat et discuta avec mon père. Moi, je lisais mais vu ce que je savais je jetais un il discret sur les deux tourtereaux.

Alain faisait progresser maman le long de la margelle mais je m’aperçus rapidement que les mains étaient un peu baladeuses sur les hanches, le ventre presque sous les seins et je ne voyais rien de se qui se passait sous l’eau.

Ils étaient parfois très proches l’un de l’autre. Le pseudo maître nageur suivait maman et je crus voir l’espace d’un instant l’avant du maillot de bain d’Alain se coller au cul de Mathilde.

Ils riaient et discutaient tout en progressant autour de la piscine, parfois en lançant un regard vers nous. Je ne lisais plus du tout et ce petit jeu devait bien les exciter

Ils sortirent de la piscine car maman commençait à avoir froid. Alain paraissait bien à l’étroit dans son slip de bain

Il proposa d’aller chercher des boissons fraîches dans leur maison, qui se situait à 30m de la piscine et offrit à Maman la possibilité de prendre une douche chaude, ce qu’elle accepta volontiers. Ils partirent tous les deux en direction de la cuisine.

Alors là, mon intuition me disait d’aller voir ce qu’il alait se passer dans la maison ! Je prétextais une envie pressante pour vite les suivre à l’intérieur du domicile.

Je passais par la porte-fenêtre non fermée de la salle de séjour pour essayer de les observer dans la cuisine. Personne Comme je pénétrais plus avant en toute discrétion dans la maison, je les vis, par la porte entrouverte den la salle de bain, enlacés tous les deux. Ils n’avaient pas fermé car comment auraient-ils pu justifier la présence d’Alain dans la salle de bain pendant la douche de mère alors que là, non seulement ils pouvaient entendre l’arrivée d’un visiteur mais en plus le boss pouvait justifier vouloir donner une serviette à ma mère.

J’avais bien fait de vite leur emboîter le pas ! Par contre, en regardant par l’ouverture, je pouvais être découvert à tout moment et j’étais en sueur à a cause de ce que je voyais et de la peur d’être vu.

La balade autour de la piscine les avaient bien stimulés car Alain se tenait collé derrière ma mère, une main dans l’avant du maillot de bain, l’autre sur le sein droit. Maman appréciait apparemment le traitement car elle avait les yeux fermés et faisait bouger ses fesses sur le sexe de son boss.

Alain sortit vite son sexe du maillot de bain, il était bien en forme et baissa le slip de bain de maman. Sa foufoune était un peu plus poilue qu’il y a quelques semaines mais le triangle toujours parfait. Il pointa son dard vers le sexe féminin que j’imaginais bien humide. Il allait la prendre sans préservatif ! Mathilde rechigna à la pénétration, ce qui me rassura mais ses arguments reposaient non pas à l’absence de protection mais parce qu’elle avait peur qu’ils soient découverts à l’improviste. Elle s’était retournée et le masturbait en l’embrassant, tout en lui promettant de se rattraper un autre jour.

Elle était belle, les fesses à l’air avec le maillot de bain aux genoux !

Alain ne l’entendait pas de cette oreille et ne voulait pas de contenter des caresses maternelles sur sa bite. Il lui dit qu’elle n’aurait pas le droit à la cigarette qu’elle convoitait si elle se refusait. Elle lui répondit que c’était du chantage et qu’elle pourrait s’en passer. En même temps, il promenait ses mains sur le corps de ma mère et je me doutais qu’elle commençait à succomber.

Elle se tourna de nouveau pour me faire face (j’étais toujours un peu inquiet d’être surpris) et se pencha en avant, symbolisant la fin de sa résistance. L’appel de l’amour et l’envie de fumer avait été trop forts !

Alain présenta son sexe vers ses fesses, l’air réjoui d’avoir réussi son coup, et la pénétra d’un coup, sans capote, de manière assez tonique. Cela fit émettre un petit cri à Maman, qui lui demanda de faire vite et de ne pas venir à l’intérieur d’elle (elle ne prenait pas la pilule, j’en étais certain).

Elle était bien excitée car sa poitrine était tout rouge et pour accélérer la jouissance, projetait ses fesses en arrière pour aller à la rencontre de son amant. Ses yeux étaient clos alors qu’Alain la tenait fermement par les hanches en la besognant.

Au bout de 3 minutes de cette intense activité, Alain sortit rapidement son membre du vagin de Mathilde pour éjaculer de grosses quantités de sperme sur son dos.

Maman se releva encore toute émue et embrassa son boss avec une grande envie tout en lui susurrant des mots tendres. Le foutre coulait le long de son dos et ses fesses étaient bien rouges.

Ne voulant pas être vu, je quittais mon poste d’observation pour rejoindre les toilettes proches en silence. Un dernier bisou et j’entendis Alain aller dans la cuisine pour récupérer les boissons alors que maman entrait dans la douche. Je restais 5 minutes dans les WC pour récupérer de cette vision et laisser sortir le boss avec les rafraîchissements. Maman baisée par son patron sans capote alors que son mari, son fils et la femme de son amant sont à proximité ! Même moi, je la découvrais sous un jour inconnu.

Je quittais ma cachette après la sortie d’Alain de la maison. Mais Maman ouvrit la salle d’eau au même moment et j’eus juste le temps de passer dans la salle à manger. Elle aurait pu se douter en me voyant que j’avais assisté aux ébats. Je décidais de la laisser sortir puis faire semblant, en contournant la maison, d’arriver du jardin pour ne pas éveiller les soupçons des deux amants.

Mais maman ne rejoignit pas tout de suite les autres. Je la vis entrer dans la cuisine et chercher quelque chose sur le plan de travail. Elle trouva rapidement le paquet de cigarettes d’Alain, en sortit une, l’alluma et commença à fumer en inhalant de grandes tout en gardant longtemps la fumée. On sentait que cela lui manquait ! Cela confirmait qu’elle était une grosse fumeuse (elle est souvent stressée) et je ne sais pas comment elle faisait pour passer des journées avec nous sans tabac. Elle écrasa sa cigarette, prit un bonbon dans son sac, se parfuma et sortit.

Je fis le tour de la maison comme prévu et, avant toute question, dit à la cantonade que j’étais allé à la voiture pour écouter à la radio le résultat des matchs de foot du dimanche.

Ma mère et Alain discutaient comme si de rien n’était en buvant un verre. S’ils avaient pu imaginer que cela faisait deux fois que je les voyais copuler!

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