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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 21




Chapitre 21 :

Comment niquer le système (littéralement)

-Morgane, appela Mathilde, on a un problème.

-Dis-moi ?

-On n’a plus d’argent

-Comment ça « plus d’argent » ? S’exclama Morgane. Comment c’est possible ?

-Ben nourrir trois bébés plus une adolescente avec le salaire de trois profs, ce n’est pas évident.

-Mais ce n’est pas

-Écoute, je te dis ce qu’il en est, c’est tout.

-Bon, très bien. Je vais essayer de trouver une solution.

Le lendemain, pendant les cours, le problème que posait l’argent tournait toujours dans l’esprit de la jeune femme. Elle regarda songeusement ses élèves qui étaient silencieux car en pleine interro. C’était un véritable problème qui risquait d’attirer sur leur petite famille de graves ennuis

Soudain, elle vit l’un de ses élèves en train de tricher.

-Antoine, soupira-t-elle de lassitude, apporte-moi ton interro : tu as zéro.

-Pardon !? Mais je

-Ne discutes pas ! Ton interro !

Le jeune homme se leva d’un bond râleur et déposa la feuille sur le bureau de Morgane.

-De toute façon, j’ai pas besoin de réussir, lâcha-t-il en haussant ses épaules avec dédain.

-Pourquoi dis-tu cela ?

-Dès que je serai en âge, je reprendrai la boîte de mon père. Je n’aurai même pas besoin de faire des études.

-Ah bon ? Mais que fait ton père ?

-Il est patron de l’entreprise qui construit toutes les Lamborghini du monde.

-Vraiment ? S’étonna la jeune prof.

Antoine retourna s’asseoir à sa place en croisant les bras sur son torse de façon boudeuse. Morgane, elle, se demandait si ce n’était pas le destin lui-même qui avait fait naître pareille rencontre. Durant tout le temps que dura le test, Morgane fut plongée dans ses pensées. Finalement, la sonnette retentit et tous les élèves vinrent remettre leur copie.

-Antoine, appela Morgane alors qu’il s’apprêtait à quitter la classe, viens je te prie.

L’interpelé arriva en traînant les pieds. La prof l’arrêta à une distance respectable car elle avait toujours peur qu’un de ses élèves s’approche de trop et qu’il fasse des choses inconsidérées.

-J’aimerais avoir un petit entretien avec tes parents, demain soir, dit-elle. Pourras-tu le leur communiquer ?

-Quoi ? Mais pourquoi ?

-Je ne supporte pas la triche

-Juste pour ça ? Mais

-Antoine, s’il te plaît ! L’arrêta-t-elle.

-Bon, bon Mais mon père est en voyage d’affaire.

Morgane jubila intérieurement : ça ne pouvait pas mieux tomber ! Décidément, la chance lui souriait.

-Ça ne fait rien, dit-elle en ne laissant rien transparaître. À la fin des cours, je verrai ta mère seule à seule

Le lendemain, les élèves sortaient et le silence se fit dans la classe laissant Morgane seul. De petits coups furent donner à la porte.

-Entrez.

La mère d’Antoine entra dans la classe. Elle devait faire la même taille que Morgane mais en plus âgée. Dotée de cheveux blonds, un visage fin, des lèvres souriantes, une taille étroite, de longues jambes qui paraissaient fermes, la mère d’Antoine était une véritable beauté.

-Bonjour madame Shem, je suis la mère d’Antoine. Vous vouliez me voir ?

-Oui, je vous en prie, asseyez-vous, madame  ?

-Trickie. Isabella Trickie.

La pauvre femme paraissait toute apeurée de se retrouver ici. Évidemment, elle ignorait où elle était tombée sinon elle aurait pris ses jambes à son cou et aurait détalé prestement.

-Bien. Madame Trickie, votre fils est un garçon charmant. Cependant, je pense qu’il ne travaille pas beaucoup à la maison, je me trompe ?

La dame secoua timidement sa tête.

-Non, vous avez raison Mais je n’arrive pas à lui demander quoique ce soit et mon mari n’est jamais à la maison.

-Je comprends, je comprends, dit Morgane en posant sa main sur celle de la maman. Vivre seul n’est pas toujours facile.

Isabella approuva et, bien qu’elle fût gênée par ce contact entre elle et Morgane, elle n’osa pas retirer sa main. La prof y vit comme un signe. Elle s’assit aux côtés de la mère d’Antoine et plongea son regard dans le sien. Leurs genoux se touchaient et Morgane avait toujours la main D’Isabella dans la sienne.

-Avez-vous besoin d’aide avec Antoine ?

-Je vous enfin, mon mari il Bafouilla-t-elle.

Morgane la vit croiser ses jambes et elle sourit intérieurement : le piège se refermait tendrement. La jeune prof s’avança encore et elle put voir au travers du pull de la maman d’Antoine que ses tétons commençaient à s’ériger. Cette-fois-ci, elle ne put s’empêcher de sourire coquinement.

-Oui ? Souffla érotiquement Morgane en papillonnant des cils.

Le teint d’Isabella avait soudainement viré au rouge et elle avait glissé sa main entre ses cuisses.

-Je ne enfin, je crois que je veux dire, mon mari ne serait peut-être pas

-Il ne sera pas quoi ? S’enquit Morgane posant sa main sur la jambe de la femme.

-Il est très autoritaire vous savez. Et

-Et  ? Fit Morgane en laissant glisser sa main le long de la cuisse, passant sous la jupe de la femme.

-Et heu Il n’aime pas que que son fils soit aidé par

-Par une prof ?

Morgane décroisa doucement mais fermement les jambes de la maman, se leva et vint s’y asseoir à califourchon. Sa poitrine était à quelques centimètres à peine du visage rouge d’Isabella qui ne savait absolument pas où se mettre.

-Je non par quelqu’un d’extérieur à la famille. Oh !

Morgane venait de glisser une main sous le chemiser d’Isabelle et l’avait posé sur son sein couvert d’un soutien-gorge.

-Madame Shem, je

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase car Morgane venait de poser ses lèvres sur les siennes : le piège venait de se refermer.

Au début Isabella ne sut pas comment réagit face à ce baiser. Et puis, ses lèvres, comme mues d’une vie propre, se mirent à bouger : elles s’entrouvrirent, se mirent à tâtonner, à goûter, Morgane, bien qu’elle se doutât que ce n’était pas le cas, avait l’impression que c’était la première fois qu’Isabella embrassait quelqu’un et elle était toute émoustillée par sa maladresse et sa timidité.

Elle mit fin au baiser et plongea son regard dans celui, perturbé, de la maman. Lentement, elle entreprit de dégrafer un à un chaque bouton de chemisier d’Isabella. Cette dernière se laissa faire en haletant légèrement, le cur battant la chamade. Morgane finit par dévoiler la poitrine d’Isabella et sourit devant le regard embarrassé de celle-ci. Elle retira son soutien-gorge et pétrit ses seins plutôt fermes en titillant les deux tétons érigés. Isabella gémit de désir mais se retint tant bien que mal de faire quoi que ce soit.

-Madame Shem Je Je ne

-Oui ? Fit cette dernière en s’accroupissant devant Isabella.

Elle lui écarta les cuisses ce qui dévoila une culotte blanche aux effluves de mouille. Morgane y approcha sa tête tout en regardant la pauvre femme qui ne savait pas le moins du monde quelle attitude adopter. Elle renifla lubriquement le tissu humide et le caressa du bout de sa langue, électrisant tout le corps d’Isabella.

-Mmmh ne put s’empêcher de gémir cette dernière.

Morgane embrassa la culotte qui commençait à être de plus en plus imprégnée de la sève vaginale d’Isabella. Cette dernière haletait grandement. Sous le coup du plaisir, elle prit l’un de ses seins découverts et le caressa langoureusement.

-Alors ? Que dites-vous de ma proposition ? Demanda Morgane en retirant doucement la culotte d’Isabella.

Cette dernière ne se rendit même pas compte qu’elle soulevait ses fesses pour aider la prof.

-Votre proposition ? Souffla-t-elle.

Morgane se retrouva avec le bout de tissus en main. Elle lança un regard provocateur à la femme assise devant elle et se mit à lécher la culotte avec envie. Isabella était sur des charbons ardents et caresser ses seins paraissait être la seule chose capable d’endiguer son désir. Ses jambes s’étaient resserrées d’elles-mêmes et se frottaient l’une contre l’autre comme si elle avait de démangeaisons.

-Oui, fit la jeune prof en s’emparant à nouveau des cuisses de la mère et en les écartant. Ma proposition. Vous vous souvenez ?

Le jardin secret d’Isabella fondait littéralement d’envie et libérait une forte odeur de cyprine qui n’était pas pour déplaire à Morgane. Elle approcha davantage son visage et huma avec régale ce délicieux parfum. Coquine, elle souffla tendrement sur cette chaude grotte. Isabella ne put retenir un geignement surpris et avança instinctivement son bassin. Morgane reçut une bouffée de chaleur moite provenant de l’intimité détrempée de la maman excitée.

Elle saisit les fesses d’Isabella et plongea son visage dans ce puit de désir incontrôlé. La maman gémit bruyamment de plaisir tandis que la langue de Morgane fouillait chaque recoin de son entre-jambe.

-Oh, oui ! S’exclama Isabella. Oui !

Elle appuyait sur la tête de Morgane en gémissant. De temps en temps, une insulte espagnole s’échappait de ses lèvres ce qui excitait grandement la prof de français.

-Es muy bueno, puta ! Su lengua en mi vagina, disait-elle. Soy tu perra hermosa !

-Alors qu’en dites-vous ? Demanda Morgane en enfilant deux doigts dans le sexe bouillant de la maman.

-Oh ! Si ! Oui, d’accord !

Morgane adopta un rythme effréné et elle sentit bientôt les parois vaginales compresser frénétiquement ses doigts : Isabella jouissait. Morgane retira ses doigts et colla sa bouche contre son sexe afin de recueillir tout le champagne érotique qui s’en échappait.

-Ouiiiii ! Eructa la belle espagnole.

Elle finit par se laisser tomber sur sa chaise, le corps tressautant. Morgane se releva en pourléchant ses lèvres comme une chatte en chaleur. Une bosse gonflait l’avant de son pantalon mais Isabella était trop prise par son orgasme pour remarquer quoique ce soit.

-Bien, fit-elle. Je viendrai chez vous demain à 15h.

-Qu quoi ? Mais Antoine ne sera pas encore rentré.

-Je sais. Vous préféré que je passe à 16h ? Si vous

-Non, s’alarma Isabella, 15h c’est parfait !

Morgane sourit. Evidemment que 15h c’était parfait. Elle prit ses affaires et lança un regard à la femme toujours assise sur la chaise.

-J’emporte ça en souvenir, dit-elle en exhibant la culotte blanche et en la reniflant avec un sourire en coin.

Elle sortit en laissant une Isabella interloquée au milieu de la classe. Elle fonça dans les couloirs, croisa plusieurs de ses collègues qui la saluèrent et ouvrit à la volée la porte de la classe de Mathilde. Cette dernière était à son bureau et fut surprise de voir la jeune femme débarquer de la sorte.

-Morgane ? Quelque chose ne va pas ?

Morgane se contenta de fermer la porte à clef derrière elle pour seule réponse. Elle défit sa ceinture en plantant son regard inondé de lubricité dans celui de la prof de math.

-J’ai faim, émit-elle.

Son sexe se dressa devant elle, véritable pilier affamé de chaire. Mathilde se leva, retira docilement son pantalon et s’accouda à son bureau en tendant son cul vers la prof de français en rut. Morgane s’avança, posa son gland contre la rosette entrouverte de Mathilde et poussa tendrement. Quel délice !

L’anus de Mathilde accueillit pleinement l’énorme queue en son sein. Il racla amoureusement cette hampe de chaire en faisant profondément gémir la prof de math qui écartait ses fesses le plus possible.

-Mmmh oui ! J’attendais ce moment depuis le début de la journée, haleta Mathilde.

Le pieu atteignit le fond de sa chaude cavité et resta là, à profiter du contact avec ses parois molle qui l’enserraient avec une exquise volupté. Morgane débuta des mouvements de va-et-vient qui firent rapidement gémir sa collègue.

-Mmh oui ! Oh, mon Dieu, Morgane !

Elle se mordait les lèvres tant le plaisir la submergeait. Morgane s’accrocha à ses hanches et se mit à la pilonner sauvagement, comme Mathilde l’aimait. Elle aimait que ce soit animal, brutal et Morgane adorait changer de style. Un coup tendrement, un coup coquinement, un coup sauvagement, Là c’était sauvage et c’est tout ce dont elle avait besoin.

Mathilde était violemment écrasée contre le bureau et bavait sur ses feuilles de cours. Morgane admonestait des claques sur ses fesses qui rougissaient à vue d’il.

-C’est bon, putain ! C’est bon ! Mmh, geignit-elle sous une nouvelle fessée.

Morgane, vu l’excitation qu’elle avait, n’allait pas tarder à exploser.

-Mmh Morgane ?

La jeune femme s’enfonçait à un rythme effréné dans le cul de sa collègue.

-Oui, ma chérie ?

-Est-ce que Mmh putain ! Tu as Oh, cette bite, mon Dieu, cette bite ! Est-ce que tu as réglé le problème d’argent Mmh ?

Morgane poussa au maximum en faisant gémir Mathilde de bonheur et se coucha sur son dos, sa queue profondément calée entre les reins de sa collègue. Elle lui baisa tendrement la nuque et souffla dans son oreille :

-Nous n’auront dorénavant plus de problème d’argent

Elle se releva et fit quelques coups d’une violence inouïe dans l’anus de Mathilde qui, malgré le monde dans les couloirs, cria de bonheur. Ensuite, Morgane éjacula tout son foutre dans les tréfonds de sa collègue bien aimée

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