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Pauline à Marseille – Chapitre 8




Le père et le fiancé se regardèrent une seconde avant d’opiner et de se lever. Ils se dirigèrent vers la pièce désignée et Pauline n’eut d’autre choix que de les suivre. Elle referma la porte derrière elle et s’immobilisa, ne sachant pas quelle conduite adopter avec les deux hommes. Ils décidèrent pour elle.

Mets-toi à genoux, salope. Viens nous sucer, ordonna son père.

Ensuite on t’enculera jusqu’à l’os.

Ne pouvant retenir des larmes de honte, Pauline hocha la tête et s’agenouilla lentement devant eux. Ils ouvrirent leurs pantalons et exhibèrent leurs sexes en même temps, deux belles verges qui prirent rapidement de l’ampleur devant le nez de la jeune fille. Surmontant sa gêne elle prit une bite dans chaque main et les caressa, les sentant durcir entre ses doigts. Celle de son père était pâle et sillonnée de grosses veines sombres, épaisse mais pas très longue ; celle de son fiancé, brune et pourvue d’un gland proéminent, était plus longue mais moins grosse.

Sans attendre, Pauline commença à distribuer des coups de langue sur les glands qu’elle avait décalottés avant de les prendre en bouche l’un après l’autre. Dire qu’il y a peu, faire l’amour avec son fiancé était hors de propos. Quant à son père, n’en parlons pas. Le tabou de l’inceste était une barrière infranchissable.

La jeune fille mesura sa déchéance quand son propre père la sodomisa juste après avoir extrait le gros gode de ses reins. Ses muscles étaient tellement élargis qu’elle ne ressentit aucune souffrance autre que morale. Dans un état second, Pauline se retourna, toujours à quatre pattes, pour nettoyer de sa langue la verge souillée de son père, s’offrant alors à Jules-Henri qui l’investit d’une poussée violente. Les larmes aux yeux, elle retint un gémissement de désarroi ; elle aimait qu’il la défonce en violents coups de boutoir, en claquant ses fesses des deux mains.

Ils abusèrent de la jeune fille pendant une heure, ne lui faisant grâce d’aucune humiliation. Quand ils partirent sans un regard pour elle, Pauline gisait sur le sol, essoufflée et l’anus douloureux. Elle se redressa en grimaçant et revint dans le salon, nue et misérable. Son père et son fiancé étaient partis, elle soupira de soulagement. Jamel la toisa, l’air mauvais.

J’espère que tu as pensé à remettre le plug, salope. Montre ! Tu l’as oublié, bien sûr. Pour la peine, je vais en choisir un que tu n’oublieras pas, crois-moi.

De fait, Jamel ouvrit un placard et en sortit un plug noir énorme, en forme de ballon de rugby strié comme une grenade. La partie étroite en était bien plus épaisse que la plus large du plug précédent. Il le montra en ricanant devant une Pauline éperdue et fataliste. Elle sanglota quand il l’enfonça dans son anus sans lubrifiant, mais ne regimba pas.

C’était sa punition, voilà tout. Si Jamel avait décidé de lui enfoncer un plug si épais pour la punir, elle l’acceptait. Pourtant elle eut mal tout le temps qu’il força ses reins. Et même après, quand elle sentit ce gigantesque intrus la dilater à la limite de la douleur, elle comprit qu’elle ne pourrait pas s’y habituer. Il pesait sur sa vessie, la minait par sa seule présence. Elle n’arrivait plus à marcher normalement, écartant les genoux pour soulager son bas-ventre.

Jamel l’enferma pour la nuit dans un réduit minuscule sans fenêtre. Les poignets menottés devant elle à un gros anneau scellé dans le mur, elle subit une sévère correction à coups de ceinture, comme monsieur Jacky l’avait exigé. Il frappa d’abord son dos et ses fesses puis exigea qu’elle se retourne pour attendre sa poitrine et son ventre doux. Ensuite il exigea une fellation profonde qu’elle eut du mal à pratiquer, attachée comme elle l’était.

Pauline dormit mal tant la douleur ravageait son corps ; entre le plug trop gros et la violence de la punition reçue, elle ne pouvait trouver une position adéquate. Elle pleura longtemps sur sa déchéance avant de sombrer dans un sommeil agité et peuplé de cauchemars.

Quand Jamel ouvrit la porte de son réduit, elle tourna des yeux bouffis de sommeil. Puis elle vit la ceinture qu’il tenait dans sa main droite, doublée pour faire plus mal, et commença à pleurer et supplier.

Non, s’il vous plaît, je serai obéissante, je vous le jure ! Je ferai tout ce que vous voulez, tout !

Ferme-la. Bien sûr que tu feras tout ce que je dis. Mais Monsieur Jacky a dit : une rouste le matin, une le soir ; et c’est le matin.

Fataliste, Pauline se mit sur le ventre et exposé son postérieur déjà durement marqué. Son dos et ses fesses étaient couverts de longues stries violacées et boursouflées, témoins de la punition de la veille. Il lui sembla que son bourreau retenait ses coups, néanmoins à la fin elle sanglotait à faire pitié.

Bon, file te laver ; tu peux enlever le plug et nettoyer ton cul, il va beaucoup servir aujourd’hui. Tu vas recevoir des potes toute la journée et ils ne prendront pas ta chatte. Tu as une heure, petit déjeuner compris.

À partir de 10 heures du matin, Pauline fut donc mise à disposition des potes de Jamel et de ses cousins. Pendant huit heures sans interruption elle dut offrir son anus et sa bouche à chacun d’eux. Et ils n’étaient pas particulièrement tendres. Pauline en arrivait à penser que ce qu’ils aimaient, c’était de la faire souffrir en la prenant le plus violemment possible sans se soucier d’elle. Ou plutôt si, ils semblaient prendre plaisir à la voir pleurer et crier sous leurs assauts brutaux.

Mais Pauline comprit vraiment que cette année serait difficile quand Jamel commença à la prêter aux caïds Marseillais. Parfois une seule soirée, plus souvent plusieurs jours, jusqu’à une semaine complète. Elle subissait les pires outrages sans avoir le droit de jouir.

C’était sûrement le pire pour Pauline, de vivre dans un océan de stupre et de ne jamais jouir. Dans ces conditions, son vagin était toujours trempé, et pourtant ignoré par tous les mâles qui la prenaient : seuls son anus et sa bouche étaient autorisés. Au comble de la frustration, la jeune fille se donnait sans aucune retenue, étonnant ses suborneurs par sa disponibilité et son absence d’inhibition.

L’hiver puis le printemps passèrent ; Jacky la fit venir dans le bar quinze jours avant le jour de la fin de ses épreuves. Pauline entra derrière Jamel et se déshabilla devant le comptoir sans attendre d’ordre. Elle s’agenouilla face à Jacky, cuisses écartées, et croisa les mains sur sa nuque, coudes bien écartés.

Jacky ricana : Pauline n’avait plus rien de la jeune fille bien comme il faut qui était entrée se désaltérer dans son bar un an plus tôt. Elle avait un peu maigri, ce qu’il trouvait dommage. Mais Jamel lui faisait faire du sport tous les jours et son corps svelte avait gardé toute sa tonicité. Sa peau était uniformément et modérément hâlée, débarrassée de tout poil superflu. Ses cheveux blond pâle coupés courts dégageaient son cou gracile. Une vraie beauté qui lui avait rapporté gros.

Pauline, il est temps que je te libère ; tu vas pouvoir revenir chez ton père bientôt.

Monsieur, j’aimerais rester avec vous. Et avec Jamel.

Il veut de toi ? s’étonna hypocritement le tenancier en regardant le géant Noir.

Oui Monsieur. Je suis prêt à la garder. Pauline est courageuse, docile et très belle. Elle reste avec moi mais travaille chez vous, si vous l’acceptez.

Soit. Tu vis toujours chez tes cousins ?

Oui, et Pauline sera à leur disposition comme à la mienne.

Bien, ça lui fera quatre hommes à satisfaire, minimum. Je suis d’accord pour qu’elle reste, mais je la veux dans mon bar les mardis, vendredis et samedis.

Trois jours complets ? demanda Jamel. C’est d’accord.

Allez, Pauline, suce. Montre-moi que tu es une bonne élève. Ensuite, je te mettrai une raclée avec ma ceinture avant de t’enculer. Après, tu attendras dans les chiottes, mes clients seront très contents de revoir leur petit urinoir. Tu es contente ?

Oui, Monsieur. Vous êtes celui qui m’a fait comprendre ma vraie nature.

FIN

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