— Au revoir maman chérie !

— Au revoir mon amour, et sois sage avec papy et mamie !

— Je te le promet maman !

Et c’est ainsi que Kevin prit la route avec ses grands parents pour passer le week-end en bord de mer.

Les parents de Karine ont largement insisté pour laisser passer Karine un week-end complet sans obligations parentales, en effet, depuis la naissance de son fils, la jeune femme n’as passé que très peu de temps sans lui, une soirée par mois n’est pas suffisante pour trouver un compagnon et d’après les parents de Karine, elle a besoin de se reconstruire pour pouvoir élever son fils convenablement.

— Bon, par quoi vais-je bien pouvoir commencer ?

A peine ses parents et son fils partis, que Karine a déjà des pensées perverses dans la tête. Sa journée d’hier l’a laissé sur sa faim mais elle avait à présent un peu moins de 48h pour être fixée sur sa dernière lubie et découvrir s’il ne s’agit que d’un fantasme dont le coté interdit l’attire ou bien si une nouvelle façon de prendre du plaisir venait s’offrir à elle…

— Allez ! allons trouver de quoi être plus à l’aise !

Se dirigeant vers sa chambre, Karine en profite pour tirer tous les rideaux et vérifier que la porte est bien verrouillée. Puis, elle fouille dans son tiroir à lingerie, et en sortit une nuisette rouge à dentelles noires et un string fendu que lui avait offert ses amies lors de son dernier anniversaire pour l’inviter à « être un peu plus ouverte »…

Une fois dans cette tenue, Karine pris quelques minutes pour se regarder dans le miroir et se rendit compte qu’avec une tenue pareil, aucun mâle au monde ne pourrait lui résister, il est clair qu’avec une poitrine aussi opulente que la sienne, une silhouette très sportive, de magnifique jambes fuselée donnant sur une paire de fesses rebondies et son bronzage digne d’une méditerranéenne, même un mâle d’une autre espèce ne saurait se retenir de vouloir s’accoupler avec elle !

— Filou ! Viens mon beau !

Cette fois-ci, hors de question de rester dans la salle de bain, si elle devait prendre du plaisir, elle le prendra dans sa chambre ! Elle s’installa donc sur son lit et demanda à son chien de se rapprocher.

— Allez mon beau, viens me voir..

Filou entra dans la chambre de sa maîtresse, mais son regard n’était pas comme d’habitude, comme s’il savait que cette fois-ci, il allait prendre du plaisir autre que celui d’une caresse sur le dos..

Karine posa une main sur le crâne de son chien pour le caresser et commença à se caresser elle-même avec son autre main.

Mais Filou, qui avait lui aussi été déçu de son aventure de la veille, se dirigea directement vers la fente de sa maîtresse, et avant qu’elle ne put esquisser le moindre geste, la langue de son chien vint lui titiller le clitoris. La première pensée de Karine fut pour son string de la veille, elle regrettait amèrement de ne pas avoir laissé une barrière de tissu entre la langue de son chien et son intimité, mais à peine cette pensée lui avait traversé l’esprit qu’un plaisir immense l’envahie.

— OH MON DIEUUUUUU ! ! !

Assise sur le rebord de son lit, Karine ne put s’empêcher de retenir un cri, son chien, son animal de compagnie était en train de la lécher comme jamais elle ne put s’imaginer qu’elle le serait, sous le coup de lexcitation, elle s’allongea sur son lit tout en gardant les pied au sol et elle écarta ses cuisses le plus possible pour laisser la langue de son chien accéder au moindre recoin de son intimité. Filou quand à lui saperçut que sa maîtresse était très heureuse et son instinct animal prit cette jouissance et le passage de sa partenaire en position verticale pour une soumission, il prit donc l’initiative de passer à l’étape supérieure et de procéder à la saillie.

— NON ! FILOU VILAIN ! DESCEND TOUT DE SUITE !

Karine avait perdu la notion du temps pendant quelques secondes et ne se rendit compte que trop tard de la tournure qu’allait prendre les événements. Son chien avait maintenant les pattes avant de part et d’autre de sa poitrine, la position était idéale pour une pénétration.

— NON PAS CA MON CHIEN ! VILAIN ! DESCEND !

Karine avait beau crier, Filou prenait toujours cela pour une soumission voir un encouragement… Le poids du chien et la position de la jeune femme ne lui permettait pas de se dégager, le string fendu ne représentait aucun frein au coït et Karine regretta sérieusement son expérience, elle ne contrôlait plus rien et allait dans quelques instants se faire sauter comme une chienne.

A suivre…

Related posts

Au Cinéma – Chapitre 1

historiesexe

Ma soeur, ma chérie, et nos envies.. – Chapitre 2

historiesexe

Ces dames du temps jadis – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .