Je me présente, Lucien, 19 ans, 1 m 90 pour 85 kg, une allure d’athlète (du à beaucoup de sport varier), brun. Je suis, à entendre les filles, très mignon…et accessoirement bien foutu pour celles qui ont partagé mon lit. Un dernier détail vient s’ajouter au tableau: je suis riche. Enfin, mon père l’est. Plusieurs entreprises, un don pour les affaires et une grande absence. Qui lui a fait perdre ma mère et donc, il me gâte. J’ai tout ce que je veux, de l’argent à foison, un grand studio (même si je passe beaucoup de temps avec mon père quand il est là). Bref, je suis un chanceux. Beau, riche, les cours, ça passe tranquillement. Seul hic, dur de s’attacher avec une fille. Toujours la même question: sont-elles intéressées pour moi ou pour mon argent? Et elles-même se demandent si je serais fidèle ou pas. Alors, niveau couple, ça ne dure pas. Mais j’ai eu une longue relation qui peut passer pour une relation de couple.
C’était au début de l’année, cela faisait trois mois que je n’avais eu que des relations épisodiques. Et souvent avec des putes (cela m’excitait de payer pour du sexe, sans faux romantisme, sans douceur, juste du sexe et ses caprices assouvis. Mais j’étais en manque de compagnie féminine, regarder un film, discuter de tout et de rien, partager ses fantasmes. Il y avait dans ma classe une jeune fille assez discrète, Karima, une métisse avec des yeux de biche, une poitrine dont il m’était arrivé d’imaginer la forme, un cul bombé, une petite taille. J’avais déjà discuté avec elle, mais dur de la cerner. Je l’avais déjà vu enchaîner divers job pour payer ses cours (livreuse, caissière) et elle semblait souvent exténuée, devant gérer ses cours et ses jobs (l’école où j’étudiais était assez chère.)
Les cours senchaînaient, je flirtais avec certaines filles de la classe. Mais elles me suspectaient d’être un mec folâtre, donc mes chances n’étaient pas élevées, sauf si c’est pour un coup d’un soir. Et c’est devenu un sujet de discussion avec mon ami Matt. Lui aussi avait peu de succès avec les filles, à cause de son physique (costaud mais assez gros, il était un vrai comique mais cela n’aidait pas à séduire les filles). On s’était posé dans notre coin habituel quand il décida de me révéler une découverte.
-ça t’es déjà arrivé de te faire une pute?
-bien sûr. Même plusieurs fois, mais une pute ne me soulagerait que les couilles pas le coeur
-C’est vrai, mais c’est un autre secret que je voulais t’apprendre. Tu vois Karima?
-Oui.
-Sais-tu qu’elle travaille à coté de ses cours?
-oui, je l’ai déjà vu dans une supérette à coté de chez moi.
-Elle a perdu son job et en a trouvé un autre plus….naturel
Je le regardais de coin. Voulait-il dire que…
-elle se prostitue?
-Oui, je l’ai croisée en rentrant d’une soirée. J’allais la saluer mais en me reconnaissant, elle a reculé en serrant son pardessus. Quand j’ai vu ses jambes nues, par ce temps, j’ai vite compris. Elle m’a demandé de me taire.
-tu te l’ai faite?
-J’aurais aimé. Mais mes parents surveillent mes sous depuis que j’ai fait une erreur de gestion. Mais je te le dis, au cas ou tu aimerais la rencontrer. Qui sait, tu pourrais l’entretenir..
Son idée me parut pas si mauvaise. Au pire, je passais un bon moment, au mieux, j’avais quelqu’un même si c’était contre de l’argent. Il m’indiqua où elle se trouvait. Puis après d’autres discussions, nous nous sommes séparés.
J’errais dans la rue où Matt avait croisé Karima. j’étais un peu excité par ce scénario. Plusieurs fois, je fut accosté par une pute, certaines très bonnes, d’autres trop…masculins, et encore d’autres désespérantes, trop jeunes pour devoir en venir à ce job.
Je finis par trouver celle que je cherchais. Je m’approchais, faisant mine de l’accoster par hasard. Elle me tournait le dos:
-bonjour beauté, puis-je vous proposer une soirée en tête a tête?
-Bien sûr, bel homme. Mais j’espère que vous avez les moyens.
Sa voix suave m’excitait encore plus. elle se retourna et ouvrit de grands yeux en me reconnaissant.
-Désolé, Lucien, je ne t’avais reconnus, que fais-tu là?
Elle serrait son pardessus, comme s’il risquait de révéler son corps…ce qui devait être le cas.
-a ton avis? ce quartier n’est pas connu pour ses beaux bâtiments.
Je préférais y aller directement, d’une à cause du froid, de deux, pour ne pas avoir d’imprévu.
-Je vais être direct. Tu veux combien? Ton prix sera le mien.
Elle me regarda hésitante.
-Désolé, je ne peux pas. Ce serait trop….bizarre.
-Acceptes au moins un verre pour qu’on en parle. Si tu ne veux toujours pas, je te dédommagerais au même prix.
Karima me regarda et accepta. Je l’emmenais chez moi et elle alla s’asseoir, gardant son pardessus (à mon grand regret)
-Alors, tu m’expliques un peu?
Elle se tortilla sur le divan, ses fines jambes me narguant.
-Grâce a mes parents, j’ai pu m’inscrire dans notre école mais mon père est tombé malade, et maintenant, on vit comme on peut, c’est assez, sauf pour mes cours. J’ai pris sur moi de travailler pour les payer. Mais c’était dur. Mes notes en ont pâtit, mon temps libre aussi, tout. Lors de mon dernier job, j’ai rendu 50 euros par mégarde au lieu de 5 euros et mon patron m’a viré. Je devais vite retrouver un job. Sur la route de retour, le soir, un gars m’a accosté pour une passe. J’ai refusé mais il m’a proposé une belle somme juste pour le sucer. Alors j’ai accepté. Et petit à petit j’ai continué ainsi, le temps de trouver mieux. Je n’ai principalement fait que sucer des hommes, quelques fois, j’ai couché avec eux, mais ça me permettait de gagner plus et plus vite qu’un job à mi-temps. Et jusqu’à ce que je rencontre Matt, il n’y avait pas eu de problème…Et puis, tu es arrivé. Je t’en supplie, n’en parles à personne.
J’avais pitié d’elle. Mais d’un autre coté, le balancement de ses jambes m’hypnotisait.
-Je suis vraiment navré pour toi Karima. Je ne dirais rien, je te le jure. Mais tu sais, tu m’attires beaucoup et si on peut joindre l’utile à l’agréable.
-Désolé, mais coucher avec toi et te recroiser à l’école, sachant tu m’auras payé, ce serait trop bizarre.
Je décidais de sortir un argument de poids. Je posais deux chèque devant elle.
-Voilà un chèque qui vaut deux mois de paiement à l’école et un pour le dérangement. Je vais prendre une douche. Si tu restes, le premier est à toi. Si tu restes sur ta position, le deuxième est à toi.
Et je partis me doucher. J’avais une sévère érection. J’espérais de tout coeur qu’elle serait là. Je mis une serviette autour du bassin et sortis de la salle de bain. Elle était toujours là. Et mieux que cela, elle n’avait plus son pardessus. Je découvris sa grosse poitrine jusque là juste imaginée et un sexe totalement épilé. Je m’approchais d’elle et posais une main sur son sein.
-alors tu es restée.
-Disons que l’offre était intéressante. Surtout la paie. Qui mérite bien ma coopération entière.
Tout en parlant, elle défit ma serviette et commença à caresser ma verge toute dure.
-Au moins, je sens que ce sera très bon avec toi.
Karima s’agenouilla, me laissant une vue plongeante sur sa généreuse poitrine, et me prit en bouche. J"attendais ce moment depuis des heures, et je n’en fus pas déçu. Sa bouche chaude et pulpeuse englobait mon sexe, aspirant tout mon membre. Elle alternait avec talent fellation, léchage de mon gland ou mes couilles. Les filles que j’avais déjà baisé n’étaient pas aussi douées, par manque de pratique ou d’envie de sucer. Mais elle, c’était le pied. Je voyais ses seins tressauter à chacun de ses mouvements. Elle me regardait droit dans les yeux, puis plaça ma bite entre ses gros seins, cracha dessus et les malaxa. C’était de plus en plus excitant. Au bout de quelques minutes de branlette espagnole, tandis qu’elle me léchait le bout du gland, j’en vins à éjaculer, le jet atterrit sur son visage. Elle ouvrit même la bouche pour en recevoir un peu.
-On dirait que tu apprécies bien. Je vais aller me laver et on reprend après.
Je la regardais s’éloigner en dandinant du cul et je sus que j’avais envie de l’entretenir, qu’elle soit ma pute personnelle.