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Oh! Je suis une putain ! – Chapitre 2




   Epuisé, je ne me suis même pas rendu compte que je m’étais endormi, jusqu’à entendre une voix monter crescendo, me repêchant de mes rêveries confuses, torpillées par le déroulement effréné des événements.

   Je me réveille en hâte, toujours nu sur le canapé, je me redresse sur mes genoux et cligne de mes yeux encore à moitié endormis, comme pour chercher un quelconque signe de vie autour de moi.

   Le mec de la veille est debout au centre de la pièce, habillé différemment d’une chemise à la cravaté défaite et d’un pantalon noir qui finit sur de belles chaussures classiques.

   Après avoir fini de parler au téléphone il se retourne et me regarde, comme s’il remarquait tout juste ma présence. Face à son regard froid, je ne sais plus quoi faire de mes mains, alors je croise les bras et frémis quand un courant d’air me caresse le bas du dos.

— T’es pas croyable, dit-il en posant son téléphone sur le comptoir et en se dirigeant vers moi. Tu t’es endormi, alors que ton cul était encore rempli de mon foutre.

   Je dirige machinalement ma main à mon cul et touche de mes deux doigts les parois de mon anus encore sensible, et une petite décharge électrique parcourt soudain mon corps, me faisant entrouvrir les lèvres.

— Pourquoi tu as parlé de toi au féminin ? demande-t-il soudain en s’asseyant à côté de moi, se collant à ma jambe.

— Quand ça ? je demande presque dans un murmure.

   Mais avant qu’il me réponde, j’avais déjà la réponse en tête. Je me suis rappelé de son corps musclé soulevant le mien, pendant que je l’entourais de mes jambes comme une salope obéissante. Son regard enflammé alors qu’il frottait son gland le long de ma raie. Mon halètement en lui disant que je suis bien « ouverte ». Son sexe dur qui me remplissait, me limait, et mes gémissements qui se sont tu après qu’il se soit vidé en moi.

— Ne fais pas la conne.

— Je ne suis pas une fille, dis-je en me levant doucement, les jambes fragiles.

   A peine me suis-je levé que je sens une claque me cingler la fesse gauche. Je tourne la tête vers le mec costaud qui se mordait furtivement la lèvre. Mon regard de chienne battue ne lui soutire aucune tendresse, son pantalon trahit la naissance d’une érection, et je ne sais pas pour quelle raison, je me mets à m’humecter les lèvres. Putain qu’est-ce qui me prend ! Je ne suis pas sa meuf, je ne suis obligé à rien !

— Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? demande-t-il d’un regard empli de vice en pressant sa bite sur son pantalon, traçant ses contours les plus abjects.

   Je rougis et me dirige vers le comptoir, toujours nu. Une envie soudaine de marcher sur la pointe des pieds me prend, mais dès que je le fais je me mets à dandiner grossièrement du cul, alors j’arrête. J’entends néanmoins un soupir de déception derrière-moi.

— C’est quoi ton nom ? je demande en prenant un grand verre d’eau pour étancher ma soif.

— Mike. Et toi ?

   Sans lui répondre, je me retourne et contemple ce grand espace salon-cuisine, mon regard passe soudain par une porte entrouverte, celle de la chambre sûrement car je vois un pied de lit. Une chaleur me gagne peu à peu et ma respiration s’accélère en pensant à ce que Mike pourrait me faire à l’intérieur : Moi, jambes écartées. Lui, sur moi de tout son poids, me faisant crier à coups de reins.

— A quoi tu penses putain !

   Je me retourne vers lui et balbutie un « rien ». Il se lève et se dirige vers la porte d’entrée. J’en profite pour aller au canapé ramasser mon fuseau gris que j’enfile difficilement. Je mets ensuite mon sweat rouge et me mets à chercher mes bottines.

— Elles sont là, fit Mike du seuil de la porte en les tenant par les doigts.

   Je soupire, comme si je voulais l’éviter. Sa simple présence suffit à me déstabiliser. A l’étroit dans mon fuseau, je m’avance à petits pas sur le carrelage froid et arrive devant lui, je les prends et évite son regard. Dès que je me retourne, il me tire vers lui. Je sens ses pectoraux au niveau de mon dos et son souffle réchauffer mon oreille. Il m’embrasse le cou et se frotte à mes fesses. Son érection reprend de plus belle !

— Qu’est-ce que t’es bandante !

— Je ne suis pas une fille mhmm

   Pourquoi je gémis avec une voix aussi féminine ? Et pourquoi je me déhanche pour le faire durcir davantage ?!

   Mike descend ses mains au niveau de mes hanches et tire mon fuseau vers le haut, me faisant remonter à la pointe des pieds.

— Ah qu’est-ce que tu fais !! je me mords la lèvre en sentant le fuseau me brûler la raie.

   Mike s’appuie contre la porte et me tire vers lui, mon cul s’écrase sur son érection et ses mains se baladent le long de mon corps brûlant. Je m’abandonne à ses caresses et le laisse me déshabiller, mais cette fois, je garde mon sweat. Les jambes nues, plaqué contre lui, je relâche ma tête en arrière et le laisse m’embrasser le cou. Mais ce moment de tendresse ne dure pas longtemps, il me pousse en avant, je fais tout pour ne pas vaciller. Il se baisse, je sens son souffle chaud entre mes fesses qu’il presse très fort.

— Ahhh ! Tu me fais mal !!

— Ta gueule ! fit-il en me donnant une claque qui me fait presque crier.

   Je sens des picotements monter de mes fesses à ma nuque et se propager en me donnant la chair de poule. Je me cambre en sentant ses lèvres embrasser mon cul rougi par les claques. Je gémis, je minaude, je l’implore d’arrêter et me cambre davantage pour qu’il me bouffe le cul. Je sens sa langue me dévorer, la chaleur de sa salive inonder mon trou. Je lui demande plus de claques, plus de crachats, plus d’insultes, en écartant légèrement les jambes.

— Mike putain mhhmm !! fis-je en plongeant ma main dans ses cheveux, plus il me dévore et plus j’ai du mal à tenir l’équilibre.

   Il ne tarde pas à se lever, à ouvrir sa ceinture qui crisse quand son pantalon tombe au sol. Je cours vers le canapé, me mets à quatre pattes et me retourne pour le voir se débarrasser de son pantalon pour de bon, et se diriger vers moi avec entre ses jambes musclées une colonne de chair qui me fait chavirer d’excitation. Je découvre en moi ce côté chienne qui salive en voyant une bite, et ça ne fait que me mettre le feu aux fesses !

— Ecoute, me susurre-t-il à l’oreille en se penchant, tu es ma pute.

— Non non

— Ce n’est pas une question, dit-il en pressant ma fesse jusqu’à ce que je crie. Tu es à moi.

— Mhmm, je gémis comme dans un état second, en arrangeant quelques mèches tombantes sur mon front, sans croire aux paroles qui sortent de ma bouche : Si je suis ta chienne, alors dresse-moi.

   Les étincelles qui occupaient ses yeux deviennent des flammes déchainées. Il ne me prévient même pas et m’enfonce sa queue jusqu’à la garde.

— Ahhhh mon Dieu !!!!! Connard !!!!

   Voilà que je récolte ce que j’ai semé ! Je m’accroche comme je peux au dossier du canapé et entends le bruit de mes fesses qui claquent dominer la pièce.

— Ah ! Ah Ah Aaaaah !! Mike !!! Arrête putain, tu vas me tuer !!! hmmh aaah !!!

   Mike me presse davantage les fesses, me les claque sans retenue, me faisant mal mais me tiraillant de sensations nouvelles. Le plaisir de sa queue qui glisse en moi, de ses coups, de sa main qui me tient à la gorge et qui m’étrangle légèrement c’en est trop, je ne contrôle plus mes cris, je sens quelque chose en moi exploser, je n’arrive plus à garder les yeux ouverts et je me mets à jouir à tue-tête, sanglotant, les jambes gagnées par des tremblements et le cul qui se remplit de sperme chaud….

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