Sa main allait et venait sur ma hampe avec application. Je sentais que jallais partir et que jallais en mettre partout, mais cétait sans compter sur le savoir faire de ma cousine. Je déchargeais dans un râle, et elle reçut ma semence dans la bouche. 6 jets puissants de foutre chauds jaillirent quelle avala sans broncher. Elle continuait de me branler pour récupérer mon sperme jusquà la fin. Elle me pompait après avoir avalé toute ma semence pour récupérer ce qui restait en moi. Je soupirais daise. La route était longue, et ma mère était prudente. Je finis par mendormir, Josie blottit tout contre moi. Ma mère nous réveilla un moment avant darriver pour nous déposer devant lhôtel où javais réservé. Elle se gara sur le parking et je sortais avec ma cousine pour récupérer nos affaires dans le coffre. Puis, je revins et fis un bisou discret à ma mère et ma cousine fit de même. Ma mère me regarda en me tenant la main :
« et soyez à peu près sage tout les deux ! je reviens en fin daprès midi, alors gardez en un peu pour moi mes chéris ! »
« ne tinquiète pas maman, jai tout prévu ! »
« je vous aime tout les 2 »
« moi aussi maman »
« je taime ma tata chérie »
La voiture séloigna et nous nous dirigeons vers la réception. Après avoir payé la chambre, nous montons à létage et posons nos affaires. Il y a un grand lit, une douche et des wc, la télé, bref cest confortable, et le lit est délicieux. Ma cousine sallonge, les pieds par terre. Je métend sur elle, mais elle me tient à distance en souriant.
« que veux tu petit coquin ? »
« te faire payer ce que tu mas fais tout à lheure dans la voiture ma cochonne ! »
« oh ! dis tout de suite que tu nétais pas daccord !!! »
« il est vrai que tu es une experte ! je ne te savais pas si douée, et ton mari napprécie pas ? il a bien tort ! »
« oh tu sais, pour lui cest plus les devoirs conjugaux, un rituel, peut être même une obligation »
« ou il a une maîtresse »
« je lai cru à un moment, mais je ne crois pas très sincèrement, il est beaucoup trop cérébral »
« remarque je ne vais pas me plaindre, comme ça jen profite puisque tu es là »
« à propos, tu as dis à ta mère tout à lheure que tu avais tout prévu ! tu voulais dire quoi par là ?»
Je souriais, me penchais sur mon sac et en ressortis le gode ceinture. Ma cousine eut un sourire :
« oh oué ok ! on va lappeler linfatigable »
« ah ben merci pour moi cousine »
« non toi je vais te surnommer linégalable »
« ah oui ça me va »
Je pris sa bouche et lemporta dans un long baiser. Ma langue cherchait la sienne, je laspirais avec force. Mes mains glissèrent sous son haut, je caressais ses seins, pétrissant ses globes de chairs. Elle se redressa, enleva son haut ainsi que le mien et dit :
« jai envie de toi »
« moi aussi »
Je mallongeais sur elle, écrasant ses seins, ma bouche la muselant à lui couper le souffle. Nous mélangeons nos langues un long moment puis elle me repousse avec un air essoufflé :
« eh ben mon gaillard ! jai déjà eu des petits copains mais pas des comme toi ! quelle vigueur ! quel élan !!! »
« jai trop envie de toi ! jai trop envie de te baiser ! »
« quest ce que tu attends ? »
En parlant, je caressais sa poitrine, puis je posais ma bouche sur un sein pour lengloutir, ma langue jouant avec son téton qui durcissait sous la caresse. Josie gémissait et sa main vint me tenir la nuque, comme pour minviter à poursuivre. Je gobais son nichon avec force, il faut dire que jadore ça, surtout que ma cousine à une de ces paires !!! Je pose mes lèvres sur lautre sein et je lengloutis. Elle semble apprécier :
« aaaaaaahhhhhhhhhhhhh ! »
Ma main descend sur son ventre, glisse sous sa jupe et remonte sur sa fente mouillée et offerte. Je glisse un doigt sur ses lèvres et je caresse lentrée de sa grotte. Puis je glisse juste une phalange, pour terminer par le doigt entier. Elle râle, ce qui mencourage, et je met un autre doigt.
Elle se relève au bout dun moment, se débarrasse de sa jupe et môte mon pantalon. Ma bosse en dit long sur mon état, et ma cousine regarde ça avec envie :
« je vais me régaler ! »
« mais régale toi ma cousine chérie, cest fait pour ça ! et elle est toute à toi ! »
Elle menlève alors mon caleçon et se met sur moi en 69. Je met à nouveau mes 2 doigts dans sa fente, tandis que ma langue darde son bouton. Elle gémit, tandis que sa bouche va et vient sur ma hampe. Elle me masturbe avec application, sa langue passant sur mon gland, titillant le méat. Puis elle mengloutit tout au fond, reste ainsi quelques secondes, ressort ma bite qui est trempée de salive, recommence à nouveau mais un peu plus longtemps, ressors en salivant toujours, puis elle se met à me branler avec sa bouche tandis que sa main caresse mes bourses. Jai abandonné mes caresses pour profiter du plaisir que Josie me procure. Elle sétonne :
« ben dis donc ! et moi ? »
« désolé ma chérie, mais jai trop envie de toi »
« ah ben si cest que ça pas de soucis ! »
Elle se redresse, se met face à moi et sassoit sur moi à califourchon, empalant sa chatte sur ma verge trempée. Elle eut un « oooohhhhhhhhhhh » quand je buttais au fond de sa cavité. Elle resta sans bouger, et nous savourons linstant, cest si bon. Puis elle se penche vers moi, met ses mains à plat sur le lit de part et dautre de ma tête et commence à bouger son bassin. Mes mains sur ses hanches, je glisse sur sa poitrine que je malaxe. Puis je pris un sein entre mes lèvres, je jouais avec le téton tout dur, puis je moccupais de lautre. Josie allait et venait sur moi, je sentais ma queue emprisonnée dans sa chatte.
«tu aimes mon cousin chéri ?»
« oh oui jadore et toi ? »
« cest terrible ! tu es un amant formidable !!! »
« embrasse moi »
Sa langue se faufila en moi et nous faisons encore lamour un moment comme ça. La tenant par les seins, je sentais que jallais venir :
« je viens ! tu veux ma semence en toi ? »
« oui viens ! remplis moi, donne moi tout ! explose en moi ! »
Je me retenais le plus possible, mais je du abandonner. Ma verge gicla en elle, la remplissant de mon sperme chaud.
« ah oui ! je sens que je suis pleine !!! pleine de ton foutre !!! aaaahhhhhhhhh !!! »
Notre orgasme avait été simultané. Elle resta ainsi un moment, plantée sur moi, sans bouger. Sa tête était posée sur mon torse et ses bras sur mes épaules. Je caressais son dos et ses hanches avec tendresse et douceur. Je restais ainsi un moment dans le silence, puis lui caressant les cheveux je lui demandais :
« ça va ? comment tu te sens ? »
« merveilleusement bien ! »
« tu es belle, et tu fais si bien lamour ! »
« toi aussi mon cher cousin, tu es un amant prodigieux ! »
« je nai pas envie de bouger, je suis trop bien comme ça avec toi, mais jai faim »
Elle riait :
« Oui cest vrai moi aussi »
Elle se redresse et je maperçois que sa chatte déborde sur ses cuisses. Elle se dirige vers la salle de bains :
« attends je vais me laver je reviens »
Elle réapparut, fraîche et souriante, elle avait mit un petit haut bleu ciel avec un décolleté torride et une jupe noire. De mon coté jétais prêt à sortir. Elle me prit la main :
« tu viens ? jai trop faim ! »
« oui moi aussi , et de toi aussi ! »
nous rions et elle rajoute :
« et devine quoi ? »
« quoi donc ? »
« jai rien mis dessous et je sais que tu adores ! »
Nous sortons de lhôtel en nous tenant par la main et nous nous dirigeons vers une rue un peu plus loin où javais aperçus des restos et des magasins. Nous ressemblons à 2 amoureux comme les autres. Nous choisissons un petit endroit où il ny à guère de monde et où la déco est sympa. Une fois assis, nous commandons un bon repas ainsi quun peu de vin et en trinquant ma cousine me dit :
« et une pensée pour ma tante qui doit sennuyer comme pas possible ! »
Nous rions aux éclats. Je réalisais ce quelle venait de dire :
« attends ! cest pas sympa ! nous sommes ici tranquille et elle est au chevet de son mari, ça doit pas être marrant pour elle, et de plus elle doit parfaitement savoir comment on passe notre temps ! »
Elle chuchota :
« écoute moi cousin damour, je te promet que ce soir on va tellement soccuper delle que cest elle qui nous implorera darrêter ! on va la faire grimper aux rideaux ! »
« tu as une idée ? »
« non mais jaime faire lamour avec elle et avec toi, alors on verra bien ! mais pour linstant profitons du moment présent tu veux bien ? »
« oui tu as raison »
Affamés, le repas est vite terminé, et cest au moment du café que ma cousine me suggère de retourner à lhôtel.
« moué ! une sieste crapuleuse hein ? »
« oh non je suis fatiguée ! tu as vu la matinée quon a passé ? »
« cest vrai, et nous avons quelquun qui nous rejoint tout à lheure, alors il vaut mieux quon se repose car la nuit risque dêtre pour le moins agitée !»
Je réglais laddition et nous sortons main dans la main, puis je glisse mon bras autour de sa taille, flattant même une fesse avec la main. Une fois dans notre chambre, nous nous déshabillons, Josie en petite culotte et seins nus et moi en caleçon. Nous nous glissons sous le drap et nous sombrons dans un sommeil réparateur, blottis lun contre lautre.