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Qu'est ce qu'un sexe de femme – Chapitre 1




Une infinité de secrets enfermés entre deux lèvres qui souvrent à la première sollicitation, qui cachent à peine le reste. La première fois que je découvrais cette merveille de la nature, jétais surpris puis charmé, envouté même, de ce reste de pudeur qui règne encore au dessus des jambes des filles. Elles ne semblent pas se rendre compte de lattrait sublime que javais pour elles, un peu, pour lui beaucoup. Javais vu des images sur des dictionnaires, sur internet, même et surtout sur des livres de cul.

Mais quand je vu un sexe, un vrai, un con en réalité, je nen revenais pas : il me semble quil battait comme un cur (à mois que ce soit le mien qui battait)

Et puis le cadre, les cuisses, le pubis, le début du périnée. Et la fourrure sur lui, son odeur de fille, de jardin ou de prairie, je nai jamais pu me décider sur la fragrance. La première fois que mes lèvres venaient sur lui, je sentais des poils venir sur mes narines. Ma langue cherchait entre les lèvres et le gout et la sensation de douceur : cest le seul endroit la plus doux dun corps de femme.

Que dire du début du vagin, cette ruche au miel si bon, cette ouverture, petite, invisible presque avant dy mettre ma langue, ouverture qui suinte de liquide si odorant, si merveilleux au gout. Liquide presque onctueux, gras qui permet dy introduire un autre sexe, mâle cette fois. Liquide excitant au possible, qui fait bander, qui donne envie dy glisser des doigts, une langue, une queue. Quelques fois, cest un godemichet qui vient combler ce petit trou. Cest toujours ou presque la femme qui le manie, qui sait bien le faire entrer et sortir selon son gré. Nous, les hommes restons en admiration devant cet étalage dimpudeur, de plaisir solitaire.

Avec lintimité arrive le moment béni, celui où la dame permet une courte visite à son voisin. Un voisin invisible dans la raie des fesses, ridé au repos, si charmant, si mignon, si délicat, si adorable, si divin, quil attire des baisers spéciaux, des léchages particuliers. Bien sur la dame refuse toujours la première fois. Elle lexige ensuite. Elle prend un autre plaisir, plus fort, plus épicé. Elle en veut plus : dabord un doigt qui la fouille, puis deux, puis la bite entière. Puis prenant ce plaisir, elle en ajoute un autre, plus personnel en caressant un tout petit morceau de chair, juste en haut des lèvres. Elle le caresse doucement pendant que de lautre coté elle se fait honorer. Quand elle en jouit, elle resserre spasmodiquement les muscles anaux, pressant la bite à lintérieur. Cest ainsi que les orgasmes deviennent communs au couple.

Chaque femme a son rythme de secousses personnel. Quel meilleur spectacle de voir les contractions de cet endroit au moment du plaisir féminin, quelle différence avec un homme qui ne sait que jeter quelques gouttes de liquide séminal, vite oublié, pendant que la femme jouit encore. Quel plaisir de voir séchapper les plaisirs de la femme en liquides parfumés ! Quelle faim attise ce petit endroit à demander encore et encore la même caresse, la même langue, le même vit, la même bite ? Quelle déception pour lamant de ne pouvoir satisfaire à ses demande présente dun encore une fois, « dun encore, mets moi là ! »

Et quand on peut revenir dedans quelle plaisir contenu par lattente attend ce délicat, cet adorable, ce féerique, ce sublime lieu de plaisirs partagés. Recommencer lamour physique des fois accompagné dun véritable amour.Et rarement simulé.

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