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Généreuse – Chapitre 1




Bonjour à toutes et tous, je suis Marlène et je souhaite vous raconter ma vie, mes amours et les histoires qu’ils me font vivre. J’ai 33 ans, je suis institutrice en région bordelaise depuis huit ans maintenant, j’ai les CE1, des petits bouts de vie ! Je vis seule dans un appartement très confortable que j’ai acheté il y a deux ans. Un beau loft de 55 m² au quatrième, sans ascenseur, d’un vieil immeuble bordelais. Le quartier me permet de profiter de ma vie au rythme de la ville, tranquille, sobre mais bouillonnante. Je suis une femme qui ose beaucoup de chose en matière de rencontres et de sexe, et c’est de ça dont je veux vous parler. Je suis bi, parfois soumise, parfois dominante, parfois exhibitionniste, parfois conventionnelle et souvent dans des situations ubuesques ! Mon autre caractéristique est que je suis une femme ronde, forte pour certains, grosse pour d’autres. Aujourd’hui je m’assume et je profite de mes courbes généreuses pour croquer dans la vie et m’épanouir. Je vais donc vous raconter ma vie, souvent romancée, parfois réelle, parfois fantasmée et souvent délurée. Dans ce premier chapitre je vais parler de moi, comment la paupiette adolescente est devenue une femme assumée et sans tabou, commençons !

Je suis donc née en 1985 au pays Basque, une petite ville à côté de Saint-Jean-de-Luz. J’ai grandi là-bas avant de faire mes études à Bordeaux. J’ai eu une enfance entourée d’une famille aimante et attentionnée. Un parcours scolaire que j’estime réussi, collège, lycée, bac S avec une mention Bien puis un Master 2 de Biologie. J’ai ensuite passé les concours de l’éducation et me voilà dans la vie active avec un travail que j’adore. Ma vie amoureuse a par contre été moins réussie jeune. J’ai toujours été la bonne copine, celle à qui on confie ces amours mais celle qui n’en a que très peu à raconter. Pourquoi ? J’étais d’une timidité incroyable, en manque de confiance et complexée par un corps non assumé. J’ai vaincu mes complexes et ma réserve en acceptant et en me valorisant physiquement ; être ronde est devenu un atout de séduction, ma personnalité l’argument pour être appréciée. Petite, j’étais boulote, ces rondeurs m’ont suivi, je suis devenue une petite fille assez forte, on m’a même surnommé Paupiette… Merci Mamie ! Quand le bruit a couru c’est devenu le surnom de tous, Paupi pour les copines, Paupiette pour les autres. Avec l’adolescence les complexes restent et mon corps de femme se forme avec des courbes généreuses. Quand je regarde mes photos, je vois une jeune fille ronde et belle, je pense que je l’étais mais j’étais loin de la beauté classique de certaines copines et mon caractère inhibait toute ouverture aux autres. Elles sortent avec le meilleur surfeur du lycée puis enchaînent avec l’ouvreur du rugby… Et moi ? Rien ! Faut dire que quand un garçon me parle je rougis et je n’enchaîne pas trois mots.

Au pays Basque, nous avons les fêtes, ces férias… Vêtues en blanc et ornées du foulard et de la ceinture rouges nous sommes toutes des bombes. Plus la soirée avance, plus l’alcool coule et plus nous sommes des bombes. Moi je me protège, je repousse ces garçons venus me chercher. Je bois peu, je subis la soirée, je suis les copines et j’embrasse un garçon, voilà, merci, je rentre.

Après le bac, direction Bordeaux dans un appartement loué par mes parents à des amis près de mon université. Je n’ai malheureusement pas réussi à m’assumer totalement mais ça va un peu mieux. J’ai beau améliorer mon alimentation et m’imposer du sport, mon corps ne change pas, 1 mètre 74 pour 79 kg, un surpoids que je porte toujours, je suis comme ça, je ne peux vivre de privation, il va falloir assumer Paupi ! Ma vie sentimentale : toujours rien. Des copines me le disent, libère-toi Paupi ! Tu es une fille chouette avec un gros cur. Eh oui, quand on est forte on a un gros cur et/ou on est rigolote. Je pense avoir un gros cur, oui ; rigolote je ne sais pas, sympa c’est certain vu tout ce que j’écoute !

Caro est ma meilleure copine à l’université. On fait notre cursus ensemble, elle veut travailler dans la préservation de l’environnement, moi je ne sais pas trop encore, prof ou instit ça me tente. Elle est avec son mec depuis le lycée et veut absolument « rendre un autre homme heureux en me le présentant ». C’est elle qui passe son temps à juger mes tenues. Elle a raison, elles sont ternes, larges et là pour me cacher. Selon elle, je suis une chrysalide qui va devenir un magnifique papillon et elle veut faire la métamorphose. Elle louche souvent sur ma volumineuse poitrine, elle doit en être jalouse, 104 D, j’ai aujourd’hui compris que c’était un atout majeur. À l’époque je masque tellement ces deux masses que rares sont ceux qui les imaginent enviables.

Je suis en Licence, j’ai 21 ans et pour ma métamorphose je ne l’ai pas totalement attendue. J’ai pris confiance en moi, j’ai des amis masculins, pas des amoureux mais on progresse. Je vois aussi les regards qui se tournent vers moi… Et si elle avait raison ? Beaucoup d’hommes veulent une femme trophée à exhiber, je suis en train de m’ouvrir au monde et de m’affirmer. Je ne suis pas un trophée à exposer mais une femme généreuse capable de vivre des relations abouties et d’être une compagne de vie intéressante.

Ce mercredi, on sèche les cours et Caro et Moi on va faire les soldes… Enfin moi, Caro, elle va faire ma métamorphose. Dans les deux premiers magasins je fais les choix de fringues, tous refusés par Caro :

« On est là pour te rendre sexy, pas pour compléter ton nécessaire de camouflage ! On va changer de tactique, toi tu rentres en cabine et tu enfiles ce que je te donne ».

On applique la stratégie au magasin suivant, elle me sort des tenues ultra moulantes ou provocantes, impossibles à porter pour moi… Et vraiment exagérées. C’est la vendeuse qui comprend la situation et demande mes mensurations pour aider au choix, elle aussi est ronde et très en valeur, faisons-lui confiance : 104, 88, 112cm. 10 minutes plus tard me voilà avec un ensemble de sous-vêtements et une robe rouge avec un petit motif carré jaune et bleu qui se répète discrètement. Je passe des dessous adorables noirs, Caro et la vendeuse jettent un coup d’il :

« T’es une bombe ma Paupi ! – C’est du désir dans ses yeux ? –

— Oui ça vous va très bien » confirme la vendeuse.

C’est vrai que cet ensemble me va bien, la culotte est mignonne et son importante largeur galbe mes fesses. Pour le haut il est parfait, loin de mes dessous habituels en tissu. Bandeau épais, ils donnent une forme ronde et massive à mes seins et la petite dentelle blanche sur le haut du bonnet est ravissante.

Je passe la robe là-dessus. Elle est un peu échancrée de façon à laisser apparaitre la naissance de ma généreuse poitrine, plutôt cintrée mais large ce qui masque les bourrelets disgracieux et elle est large aux fesses qui ressortent à l’arrière. Mes courbes sont dessinées, suggérées avec finesse… Le papillon sort de la chrysalide !

« Wouah ! Garde là sur toi, tu continues la journée comme ça, tu es radieuse.

— Oui, elle est pas mal mais… Difficile d’assumer un tel changement.

— Mais tu es magnifique, garde ça Paupau.

La vendeuse ne voit que du positif et rajoute un compliment. Elle revient cinq minutes après avec un haut blanc très large aux épaules mais assez court et cintré vers le bas. Elle amène aussi une robe verte foncée zébrée de vert clair. Ça matche encore ! On devine mes larges épaules et la naissance du sein droit. La robe me va bien. On quitte le magasin avec ces deux tenues et un budget explosé.

On part pour manger dans un snack avant de revenir à la fac. Dans le tram pas mal de regards trainent sur moi, je n’ai pas l’habitude mais j’y prends goût. Caro le remarque et le souligne. Arrivées en amphi pour l’aprèm les compliments se succèdent. Me voilà une bombe ! Je découvre que j’aime être désirée et être au centre de l’attention. C’est nouveau pour moi mais je ne peux que l’accepter.

Soirée à l’appart avec les copines, je m’en souviens encore, on a parlé de moi, pour la première fois… C’est aujourd’hui assez classique ! Je demande si les hommes aiment les grosses. Isa me répond qu’ils aiment tous les formes, les seins, les hanches larges et les fesses rebondies, tu as tout ça, tu es une beauté XL et si on sort je suis sûr que tu attires tous les regards en te dévoilant ainsi. Vous avez réussi à mettre en valeur tous tes atouts et ça va plaire. Cette hypothèse a été vérifiée le lendemain, jeudi étudiant dans le centre, je n’ai jamais été aussi dragué et je garde le numéro de Pierre-Jean.

Première sortie avec lui, il est sympa, plutôt beau gosse et très gentil. Deuxième sortie, puis troisième et enfin la quatrième et on termine chez moi. PJ sait que je suis vierge, il a bien compris que j’étais timide et réservée. Il me trouve belle, et super sympa. Il est sincère je pense. On s’embrasse sur mon canapé, il prend le temps, caresse le haut de mes cuisses. Je me couche sur le dos et le laisse avancer sa main, elle remonte sur mon ventre qu’il caresse très lentement, il passe jusqu’à ma poitrine et la masse à pleines mains. On s’embrasse, on se fait des bisous dans le cou, sous l’oreille. Il se redresse et sort sa chemise. Son torse est beau, je le touche. Entre mes jambes, un feu s’allume. Je me déshabille, lui aussi et nous voilà nus. Son pénis est en érection, il est beau. Il découvre mon corps et se jette sur ma poitrine, il la soulève, la mordille, la fait glisser entre ses doigts et moi j’accélère ma respiration. Il descend sur mon ventre et masse mes bourrelets doucement, cette sensation est géniale, je me sens mouiller… Et lui va le découvrir très vite en descendant dans mon entrejambe et me dévorer quelques minutes.

Je reste couchée, et je savoure la pénétration de ce pénis en moi, les allers-retours, le plaisir, le contact peau contre peau, l’odeur, tout cela me renverse… Un orgasme monte dans mon ventre, je crie, je me contracte et je le serre contre moi. Mon premier orgasme : j’adore le sexe, j’adore sentir le pénis se contracter en moi avant de libérer son liquide, j’adore me faire dévorer le sexe, me faire masser, et, je l’ai découvert à la deuxième relation, j’adore faire jouir un garçon avec ma bouche.

Cette fellation ça a été trois jours après. Nous sommes dans la chambre qu’il occupe en coloc. Il est sur son lit et nous discutons… Simplement. L’idée m’avait traversé l’idée la nuit dernière et m’avait conduit à me masturber. Je me place entre ses jambes et défais son pantalon. Le pénis est libéré et s’étend. Je fais des bisous sur toute la longueur, commence à donner quelques coups de langue puis l’absorbe totalement. Je déplace ses mains pour qu’elles soient sur mes cheveux et mes épaules, je fais des mouvements lents en tenant le pénis à sa base, ma langue tourne autour de ce gland libre et gonflé. En quelques minutes il se contracte et dans un râle de jouissance se libère en moi. C’est très curieux comme sensation mais j’adore. Je découvre qu’une fellation est une prise de pouvoir sur le plaisir d’un homme. Je maitrise sa jouissance, je maitrise son plaisir et j’adore.

En deux mois j’ai découvert le sexe « classique », celui qu’on fait régulièrement, simple et plaisant, puis on s’est séparé. J’ai ensuite eu plusieurs amants, des sympas, des fumiers venus pour voir mes gros seins, des amoureux des femmes à formes, des mecs qui veulent une fille câline, etc… Ma plastique attire, le charme de mon visage rond, joues charnues et au regard sombre mais intense fait des ravages. Je le mets en valeur, je dévoile mes courbes avec goût et charme et je rattrape mon retard dans le classement des amours. Je n’ai pas encore l’épanouissement sexuel d’aujourd’hui mais je découvre de nombreuses choses, en voilà une qui pourra vous plaire. Je prends confiance, je comprends le sens de certains regards et j’ouvre des portes, ou je les ferme. Le premier contact est physique, le feeling c’est psychologique et j’y suis plutôt perspicace.

Je suis avec Nicolas depuis quatre semaines et j’ai 23 ans. Notre sexualité est géniale car il adore la tendresse et adore les jeux sexuels. J’ai découvert avec lui le pouvoir des mots crus et la libération totale des pensées et des désirs sans tabous. Aujourd’hui, il me demande de m’allonger et de le laisser faire, s’il me fait jouir je lui fais une branlette espagnole en suivant, sinon j’ai droit à un massage… Bref pas de punition, que du plaisir. Me voilà donc nue et couchée. Il commence par un cunnilingus appliqué et conventionnel. Mes lèvres se gonflent et s’écartent, mon souffle accélère. Il se débrouille bien ! Il s’arrête et sort un jouet sexuel en forme de pénis d’un important diamètre.

« Redresse-toi et suce-le comme si c’était mon sexe, je veux voir la cochonne que tu es. »

Je joue le jeu, il me regarde, c’est gênant mais excitant. J’en rajoute des tonnes, place le pénis entre mes seins, le lèche outrageusement, lui parle

« Tu es la plus belle queue du monde ».

Nicolas se déshabille et commence à se masturber en me regardant. Il s’arrête et annonce :

« Tu m’as bien excitée, il est temps qu’on te fourre avec cette belle queue ».

Mouillée comme je suis l’opération n’est pas complexe. Le gros et long objet me pénètre et me donne un frisson dans tout le corps. Il avance, recule, s’arrête, reprend, il me rend folle avec ce sextoy. Nicolas laisse le faux pénis en place et monte sur le lit, il dépose son pénis sur mon visage au passage et se place sur mon ventre m’exposant son dos. De là il va stimuler manuellement mon clitoris et poursuivre ma pénétration. L’orgasme monte énormément, il me fait me crisper et en un instant j’hurle de bonheur, un petit jet de liquide sort de mon sexe.

« Ah ! Crie Nicolas surpris, tu as eu une éjaculation »

Je ne comprends pas ce qui vient de se passer mais je le supplie de poursuivre sa stimulation, ce qu’il fait. L’orgasme remonte, me remplit totalement, me fait hurler de bonheur et envoi plusieurs jets puissants. Je suis capable d’être une femme fontaine ! J’ai appris plus tard qu’il fallait pas mal de stimulations, une bonne ambiance et une belle relation avec mon partenaire mais vu le plaisir de Nicolas avec cette faculté, je l’ai totalement cultivée au durant mes masturbations suivantes.

Finissons ce rapport, il m’a bien fallu 20 minutes pour me remettre de ce qui était l’orgasme de ma vie ! Nicolas était à côté, couché, me caressant les seins et le ventre attendant son heure. Une fois en forme je le relance.

« Viens chercher ta récompense et cale-toi entre mes seins ».

Il m’enjambe, je place du lubrifiant sur son pénis que je branle pas mal, jusqu’à ce qu’il me demande d’arrêter pour ne pas jouir trop vite. Il place maintenant sa bite, bien petite par rapport au sextoy, entre mes seins que je tiens serrés. Le voilà réalisant des mouvements de hanche, le pénis glisse dans la grotte formée pour lui, il ne ressort pas de l’autre côté mais se fait enfermer par le haut de la poitrine. Je lui demande de remplacer mes mains et il serre ma poitrine et se masturbe entre les seins. J’en profite pour lui caresser les couilles et lui titiller l’entrée de l’anus (il adore). Dans un cri puissant il relâche mes seins et se décharge jusque sur mes cheveux. Ma langue va chercher un peu de ce jus que chaque homme aime voir consommé. Il bascule sur le côté et vient me câliner.

Nicolas c’est l’homme qui m’a fait découvrir les possibilités du sexe et qui a fait pousser mon érotisme et ma perversité.

Durant mes études, j’ai pris confiance, on s’intéresse à moi, j’attire, j’intrigue, je mène des conversations. Ce n’est pas mon apparence qui a changé ce que je suis, mais le regard qu’on m’a porté m’a permis de m’affirmer et de révéler ma vraie nature. La réussite universitaire m’a rendue plus forte, mes rencontres aussi. J’ai réussi mes concours et me voilà validée comme instit, en poste à la rentrée de septembre et totalement libre pour des aventures libertines bien plus chaudes que j’exposerais dans peut être dans autre chapitre.

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