Il m’a "piégée" plusieurs fois. Faisant de l’exhibe sur un parking, croyant avoir à faire à 2 mateurs, c’était en fait 2 mecs soigneusement présélectionnés par lui. Un jour, nous étions dans un camping fin mai/début juin. Ce camping avait la particularité d’avoir plusieurs petits blocs sanitaires de 2/3 douches plutôt qu’un ou 2 blocs de 10 ou 20. Tous n’étaient pas ouverts à cette époque et celui proche de notre emplacement n’était pas chauffé, douche en fin d’aprèm plutôt que le matin de bonne heure !
Vers 17h après une longue rando en vélo, je vais prendre ma douche. Peignoir de bain, nue dessous, serviette autour du cou et sac sur l’épaule avec mes produits. Sur 3 cabines, une fermée, une ouverte et la 3ème pour handicapés où 1H d’une 40aine passe la raclette en caoutchouc une serviette autour de la taille. Ces raclettes sont souvent à disposition, mais jamais utilisées, ce qui me fait remarquer la bonne volonté du mec. Je prends celle qui est libre et m’installe. Une fois sous la douche, j’appuie sur le bouton et m’aperçois après plusieurs tentatives qu’il ne fonctionne pas, il faut le garder appuyé pour avoir de l’eau. J’entends le mec se moquer un peu et me proposer la sienne. Je range tout, renfile mon peignoir et ressors. Il me sourit, me laisse passer en précisant qu’il a fini et je me retrouve dans la cabine bien spacieuse réservée pour handicapés, mais lui toujours à l’intérieur aussi, vêtu dune simple serviette…
Pratiquement la taille d’une chambre, lavabo, grand miroir, w.c., et une douche dans l’angle avec une vraie pomme de douche sur colonne avec tapis antidérapant. Geste de prestidigitateur ?
D’un coup, la serviette a disparu et je le trouve face à moi avec une demi-molle déjà assez conséquente. Je reste interloquée comme une conne avec mon peignoir qui bâille. Il en profite pour prendre ma main libre pour la poser sur son sexe et moi bêtement, au lieu de la retirer, je l’empoigne.
Ça grossit dans ma main et je me sens toute chose. Il profite de mon trouble pour me coller de face contre la cloison. Moi j’ai une grosse faiblesse. Sentir un sexe contre mes fesses avec un mec qui m’embrasse dans le cou et me susurre des insanités dans l’oreille, je craque. Plus aucune volonté, anesthésiée la Sylvie !
J’ai quand même la force de réclamer mon mari.
Je veux mon mari.
Quoi ? Tu veux bien te faire baiser, mais devant ton mari. C’est quoi ce plan à la con.
Je garde encore un peu le contrôle :
C’est ça ou rien.
Je pense l’avoir considérablement énervé. Il me lâche, va fouiller dans son sac pour en ressortir un téléphone. Je ne peux pas m’empêcher d’admirer son dos taillé en V dont la pointe dirige le regard sur un superbe petit cul. J’appelle mon mari qui est à 100m environ. Il décroche à la 1ère sonnerie. Je lui explique la situation et demande sa présence. Il me félicite, me conseille d’en profiter et me promet de venir d’ici 1/4 h maxi après un coup de tel important. L’autre n’a pas perdu une miette de ma conversation. Il a l’air vraiment éberlué et a perdu un peu de sa superbe. Je prends la peine de lui expliquer que nous sommes un couple libertin. Il accuse le coup avec un petit sourire narquois et avant que je ne puisse réagir, il m’arrache pratiquement mon peignoir. Il me pousse dans l’angle et à l’aide de la ceinture de mon peignoir, il m’attache à la barre de douche. C’est plus symbolique qu’autre chose, mais il fait mouche, c’est bien une situation qui m’excite.
Il se saisit de la douchette et commence à m’arroser. Il vient embraser et lécher chaque endroit qu’il mouille en même temps. Bouche, cou, épaules, seins, ventre…
Il me fait mettre un pied sur la barre de maintien pour handicapés, ce qui m’écarte bien les cuisses. Il s’agenouille devant moi et je suis sur le point de jouir quand il fait subir le même sort à ma vulve. Mais il me laisse sur ma faim en l’abandonnant brutalement. Il va fouiller dans mon sac et revient avec mon gel douche et commence à me savonner abondamment de la tête aux pieds. S’il connaissait le prix de ce gel douche, j’ose espérer qu’il l’utiliserait avec plus de retenue. Je me vois presque entièrement dans le miroir. Il a déposé une couche de mousse blanche sur la totalité de mon corps. J’ai été sur le point de jouir une dizaine fois, mais il m’a empêchée chaque montée d’orgasme, particulièrement quand il a fait disparaître ma chatte sous cette mousse. Je suis comme une cocotte minute prête à exploser !
Je n’en peux plus et il le sait. Il recule d’un pas et la bite à la main, il m’annonce qu’il va me rincer personnellement….. Le premier jet arrive sur mon ventre et il le redirige vers mon entrejambe. C’est brûlant. Il monte ensuite sur mes seins, atteint un téton. Cette urine claire et brûlante dégouline sur moi sans odeur. Un sportif comme lui doit boire des litres d’eau chaque jour. Il remonte encore. Après un instant d’hésitation, je finis par lever ma tête en arrière et son jet arrive sous mon menton avant de se tarir. Je suis en transe… Comment un mec que je connais depuis 1/2 heures peut-il se permettre de me pisser dessus ?
Comment peut-il deviner à ce point mes points faibles ?
Il termine de véritablement me rincer avec la douchette, toujours en insistant sur mes zones sensibles puis il s’agenouille devant moi et le visage sur ma vulve, me demande de l’arroser à son tour. J’en ai envie, mais suis un peu bloquée, puis je parviens à envoyer un jet. Il ouvre grand sa bouche qui vient se plaquer contre mon sexe. Dans l’état où je suis, l’orgasme est immédiat et extrêmement violent. Mes jambes ne me soutiennent plus et je me laisse glisser à terre, la ceinture du peignoir se dénouant avec ma descente. C’est à ce moment-là que l’on m’appelle derrière la porte. Mon mari enfin !
Mon héros du jour va ouvrir. Petit moment de flottement puis mon mari se débarrasse de son peignoir et vient vers moi. Il me relève, m’embrasse fougueusement et… me plante au moins 3 doigts dans la chatte en faisant des commentaires salaces sur mon état d’excitation en félicitant notre "ami"
C’en est trop et je me lâche immédiatement sur sa main. Il me laisse quelques secondes de répit et décide que l’on va passer à plus sérieux. Après léger conciliabule entre eux deux. L’autre s’allonge sur le tapis et je comprends immédiatement. Une fois installé, je l’enjambe. Je vais enfin pouvoir profiter de cette bite magnifique. Je m’empale dessus et descends centimètre par centimètre pour bien profiter de cette pénétration tant attendue. J’aime bien cette position, car en me cambrant d’une certaine façon et en mappuyant plus ou moins sur le ventre de mon partenaire, son sexe frotte sur mon point G et je peux retenir ou pas mon orgasme.
Là, à ce moment, je n’avais envie de ne rien retenir du tout, en plus, je savais que François, mon mari, allait venir me prendre en double par-derrière. Tiens, justement, le voilà qui me présente sa bite devant les yeux alors que je commence à me trémousser sur mon partenaire. Il s’agit pour moi de le sucer pour lui faire plaisir, bien sûr, mais aussi de bien le mouiller pour la suite. Il se positionne derrière moi et me pénètre d’une seule poussée. S’ensuit pour moi une série d’orgasmes que j’ai certainement provoquée pour les deux premiers, mais ensuite… Toujours est-il que lorsque je reprends conscience, c’est pour voir le mec en train de savonner la bite de mon mari !
Il doit bien s’y prendre, car celui-ci bande convenablement. Après l’avoir rincé, je n’en crois pas mes yeux, il se met à le sucer. Là, je ne peux pas résister et c’est à quatre pattes que je les rejoins. Nos bouches se rejoignent sur sa bite, nos salives se mélangent et mon mari a droit à une double pipe. Malgré mon activité buccale, ma main ne reste pas inactive et je masturbe en même temps notre ami dont je ne connais toujours pas le nom. Celui-ci finit par se redresser et vient me présenter sa belle queue au côté de celle de mon mari et c’est moi qui ai droit à une double pipe. Je m’applique à leur faire honneur et c’est avec un grand plaisir que je recueille leurs dernières gouttes de sperme qui se mélangent dans ma bouche. D’un coup, on se retrouve tous les trois, n’ayant plus rien à se dire, ni plus rien à faire…
Encore que moi…..
François rompt le silence qui s’est installé en proposant de boire un verre au camping-car. Lui et moi enfilons nos peignoirs et après avoir remis la ceinture du mien, je m’aperçois que notre ami s’habille d’un jean, chemise blanche, blouson et porte un petit sac de sport. Classe. Sauf qu’un campeur n’est pas dans cette tenue pour aller se doucher !
Nous arrivons au camion sans avoir échangé un mot sauf que j’apprends que "notre ami" s’appelle Marc. Nous entrons, François me débarrasse de mon peignoir de bain et me propose de faire visiter le camping-car à Marc pendant qu’il prépare de quoi se désaltérer. C’est donc nue que je fais la visite à ce mec habillé qui m’a donné tant de plaisir. Une sacrée nouvelle envie me tord le ventre. Nous retournons au salon où François a ouvert une bouteille de rosé. Nous discutons un peu, moi, j’ai la tête ailleurs… Quand je reprends le cours de la conversation, c’est pour comprendre qu’il est question de nous retrouver le surlendemain. Ils se précisent même que la bonne quantité d’eau à boire avant tourne autour de 6 litres.
Je comprends immédiatement que nous allons avoir un après-midi très arrosé malgré un temps magnifique…..
