Elle était magnifique. Cela faisait bientôt une demi-heure que je la regardais se déhancher sensuellement au milieu de la piste. Nous étions assez nombreux à cette soirée mais je ne voyais qu’elle et ses sublimes courbes. Le mot perfection me paraissait bien trop faible pour décrire cette déesse aux longs cheveux bruns ruisselants dans son dos à moitié nu, caressant sa douce peau hâlée. Ses longues jambes fines musclées soutenaient deux magnifiques fesses bien fermes. En remontant un peu le long de son ventre plat, on pouvait découvrir deux gros globes de chaire, emprisonnés dans sa courte robe noire, qui ne demandaient qu’à en sortir pour que l’on s’occupe d’eux. Puis, en continuant notre ascension, on découvrait un peu plus haut un visage d’ange parfaitement dessiné. Ce genre de visage où le sourire paraît gravé pour l’éternité. Ce genre de sourire qui te prend le cur pour le secouer dans tous les sens. Ce genre de sourire qui rend heureux. Et puis, au-dessus de deux jolies lèvres pulpeuses, il y avait deux yeux bleus. Deux océans d’un bleu profond dans lesquels, si tu osais y plonger, tu te noyais sans aucun espoirs d’en sortir, des yeux qui te transperçaient de part en part et paraissaient sonder chaque parcelles de ton esprit. Deux yeux de chats magnifiques qui, à eux-mêmes, étaient une excellente raison de s’intéresser à leur propriétaire. Deux yeux dont la lueur révélait une profonde intelligence qui me fascinaient. Tout comme le reste de son corps et de sa mystérieuse personne.. Me rendant compte de mon état de transe je me secoue la tête et essaye tant bien que mal de ne plus penser au corps parfait de Sarah, la copine de mon meilleur ami sur laquelle je fantasme depuis des années. Je regarde ce dernier. Il danse lui aussi. D’une manière, nous l’admettrons, beaucoup moins sensuelle sûrement due en grande partie à un taux d’alcoolémie très élevé. Je le regarde gesticuler en souriant. Maxime c’est mon meilleur pote depuis le berceau, on était amis avant même de naître. On partage tout et on se dit tout. Tout sauf une chose que je n’ai jamais osé lui avouer et que je ne lui avouerais sans doute jamais. Que je suis fou amoureux de Sarah depuis le jour où il me l’a présenté. Je vous laisse imaginer le dilemme. Mais jusqu’à lors, j’avais toujours réussi à cacher mon amour et contrôler mes pulsions. Ça allait très vite changer..
Je me dirige vers mon pote et commence à danser, me replongeant dans l’ambiance pour sortir Sarah de mon esprit. La fête continue, tout se passe bien. Maxime m’encourageant, je commence à boire plus que raison. Peu après, Sarah nous rejoint. Nous parlons assez longtemps tout les trois dans un coin et soudainement Sarah se lève lance à Maxime :
– Viens danser ! S’il te plaiiiiiit !
– Tu sais très bien que je trouve ça stupide ! répond Maxime, un peu assommé par l’alcool.
– T’es pas drôle ! Arthur tu ne peux pas remplacer cette grosse loque qui me sert de copain ?
Je jette un coup d’il interrogateur à la dite "grosse loque" qui me répond en marmonnant :
– Je te confie ma dulcinée
Je me lève donc et attrape la main de Sarah qui, toute heureuse, m’entraîne vers la piste. On commence donc à danser lentement. Vous vous en doutez bien, le fait de sentir ce corps Ô combien attirant si proche de moi me fait rapidement un drôle d’effet. La vue, que j’ai plongeante, sur son décolleté me trouble. Ne se rendant pas compte de l’effet qu’elle me procurait elle se colle à moi et commence à danser. Essayant de chasser mes vilaines pulsions décuplées par l’alcool je me laisse aller au rythme de la musique et profite de ce moment merveilleux. Au fur et à mesure de notre danse, la distance entre nos deux corps diminue tandis que mon excitation ne cesse d’augmenter. Au moment du slow, emporté par l’alcool, la main que j’avais posé dans son dos glisse sur ses fesses bombées. Je regrette instantanément ce geste mais n’ose retirer ma main, j’attends sa réaction, me préparant à recevoir une claque mais.. non, rien du tout. Je crois même décelé un léger sourire au coin de ses lèvres. Deux fois plus troublé j’essaye de penser à autre chose mais rien à faire. Toutes mes pensées me ramènent à cette main qui est posée sur son fessier divin. Indépendamment de ma volonté, ma main commence à remonter et descendre lentement. Je constate avec effroi que je suis en train de caresser franchement les fesses de la copine de mon meilleur pote. Je suis pourtant incapable d’arrêter mon geste. Peu à peu, l’excitation et l’alcool annihilent toutes résistances et culpabilisation de ma part et je me laisse doucement aller, je la serre encore plus contre moi et caresse désormais fermement (mais doucement) ses deux jolies fesses. Sa poitrine s’écrase contre mon torse et je sens progressivement une légère bosse se former dans mon jean. Sa tête est juste à côté de moi et je crois entendre un soupir . A-t-elle remarqué mon début d’érection ? Apprécie-t-elle mes caresses ? Non, non, je me fais des idées.. Elle doit être sûrement trop fatiguée et saoule pour empêcher mes gestes déplacés c’est tout.. Elle ne se rend peut-être même pas compte de mes attouchements.. Tout à coup, je sens ma main entrer en contact avec une douce chaleur. Je me rends lentement compte de la situation : mes caresses ont progressivement soulevé sa robe très courte et mes mains caressaient maintenant directement ses magnifiques fesses !! N’osant retirer ma main, je continue mes caresses et me rends progressivement compte que.. Elle ne porte rien sous sa robe ! Ni culotte, ni string ! Excité comme jamais et l’alcool aidant (et si vous me dites que c’est l’excuse facile pour ne pas trop culpabiliser.. Eh bien vous avez raison) je malaxe de plus en plus fermement ses fesses qui ne demandent que ça. Personne ne semble se rendre compte de rien et, après un rapide coup d’il inquiet, je vois mon meilleur pote dormir, affalé dans un fauteuil. Mes caresses de faisant de plus en plus appuyées, j’entends Sarah soupirer gémir doucement.. Je suis sur un nuage, j’ai l’impression que nous sommes seuls elle, moi et la musique qui continue de nous emporter, mon esprit ne contient plus aucune trace de culpabilité, rien que de la joie, tout a été balayé par cet événement qui ne fait que commencer..
Je sens son bassin se coller au mien et s’y frotter doucement. Nous sommes à présent plus collés l’un à l’autre que jamais, ma main est toujours sur ses fesses nues, son bassin se colle à mon sexe dès que notre danse le permet, je sens désormais une bonne grosse érection dans mon pantalon qui me fait souffrir, je la fixe elle et ses yeux profond qui contiennent des milliers de sentiments que je n’arrive pas à interpréter. Elle est belle.. Et son odeur m’enivre, je plane, j’ai le curieux sentiment de ne pas savoir si je rêve ou si je suis éveillé.
Ses mouvements de bassin se font de plus en plus appuyés et je perçois du plaisir dans les deux océans bleus qui lui servent de yeux. Soudainement elle se penche vers moi et me chuchote sensuellement :
– Hmm suis-moi Arthur..
Sans aucune hésitations mon corps la suit immédiatement tandis que mon esprit lutte avec la culpabilité qui a refait surface. La vue de son fessier roulant légèrement devant moi balaye tout doutes.. Je suis faible face à cette femme. Elle nous fait sortir de la maison et m’emmène tout au fond de cet énorme jardin. Une fois bien caché et éloigné de tout le monde elle se retourne vers moi, plonge ses yeux dans les miens et me saute dessus pour m’embrasser sauvagement.
– J’ai envie de toi depuis tellement longtemps, me chuchote-t-elle.
Pris de soudaines pulsions ravalées depuis des années je l’embrasse, lui dévore le cou, caressant tout son corps de mes grandes mains. Je lui retire sa robe et libère ses deux gros seins que je m’empresse de lécher et caresser, je mordille ses tétons et joue avec tandis que mes main pétrissent ses fesses, je glisse une main un peu plus loin jusqu’à sentir son sexe littéralement trempé. Elle gémit. Je me retrouve au-dessus d’elle, par terre. Je la contemple quelques secondes. Nue, elle est encore plus belle. Je l’embrasse puis glisse lentement le long de son corps parfait. J’atteins ses deux mamelles et je les lèche quelques temps avant de continuer ma lente descente. Elle frissonne, elle sait vers quoi je me dirige. Je ralentis encore pour faire durer le plaisir, léchant son corps au passage jusqu’à arriver au-dessus de son sexe parfaitement lisse. Je caresse ses cuisses qu’elle écarte au maximum en me suppliant de la dévorer. Je trace les contours de son fruit défendu avec le bout de ma langue sans jamais le toucher. Elle gémit de plus en plus et me supplie toujours, la respiration saccadée :
– Haaan par pitié lèche moi !! Enfonce ta grande langue en moiii !
Soudainement, lorsqu’elle ne s’y attend plus, je donne un grand, lent et puissant coup de langue le long de sa fente. Elle lâche un cri de surprise et de plaisir. Je soulève ses jambes et lape son sexe comme un chien assoiffé, de son anus jusqu’à son clitoris déjà tout dur. Je l’écrase puis commence à jouer avec, je le mordille, le suce, l’aspire, le lèche, elle ne sait plus où elle est, noyée dans le plaisir.
– Hmmm, continue ! Ne t’arrête pas je t’en supplie ! C’est si bon !!
Encourager par ses mots je la dévore de plus belle, enfonçant ma langue dans son vagin, triturant son clitoris et mordillant ses lèvres jusqu’à ce que je la sente au bord de l’orgasme. A ce moment-là, je m’arrête soudainement. Frustrée, elle s’agrippe à moi en gémissant.
– Aaaaaah nooon je t’en supplie ne t’arrête pas ! Fais-moi l’amour j’attends ça depuis tellement longteeeemps !! Prends-moiiii !!
Terrassé d’excitation par ses paroles, je me glisse jusqu’à son cou que j’embrasse et dévore sensuellement. Puis, en proie à un désir sauvage qui ne cesse de croître et de secouer le démon qui est en moi, je lui chuchote à l’oreille :
– Je veux que tu m’implore de te prendre sauvagement comme la cochonne que tu es.
– Hmmm Arthur par pitié baise-moi, fais de moi ta chose, ta pute, je suis ta chienne, défonce-moi je n’en peux plus !!
Aussi surpris par le comportement de cette femme qui était pour moi la noblesse et la pudeur incarnée qu’excité par ses paroles, je place mon sexe plus dur que jamais à l’entrée d’un vagin que je trouve trempé.
– Oh oui enfonce moi ton gros engin, gémit-elle, transformée en diablesse par le démon qu’est le sexe.
J’entre simplement mon gland, décidant d’attiser son excitation le plus possible.
Déchaînée, elle tente vainement de se baiser toute seule sur mon sexe. J’attends qu’elle désespère pour me planter tout au fond d’elle.
– Aaaaaaaaah ouiiiii tu me remplis bien !! crie-t-elle, ayant enfin obtenue ce qu’elle voulait depuis le début. Je commence à faire de lents vas-et-vients puis rapidement, j’accélère la cadence pour satisfaire Madame qui en redemande :
– Oui, plus fort ! Oooooh oui vas-y défonce moi bien comme ça oh mon foie c’est si bon !!
Saturé d’excitation, je la met à quatre pattes et la lime puissamment, lui donnant de temps à autres, quelques fessées qu’elle semble apprécier grandement.
– Hmmm tu aime te faire prendre par le meilleur pote de ton mec, hein petite salope ? dis-je totalement hors de contrôle.
– Hoooo oui je suis une chienne !
Après quelques minutes, je sens la sève monter.
– Hmmm je viens, je vais me vider en toi Sarah !!
– Ouiiii lâche-toi dans ma chatte !!
J’accélère encore le rythme et crache mon jus dans son sexe, entraînant son orgasme.
– Aaaaaaaah je jouie Arthur !!!!
– Hmmm moi aussi !!
Soudainement épuisés nous nous écroulons l’un sur l’autre.
– J’ai l’impression d’avoir fait 3 marathons sans aucunes pauses, tu m’as épuisé, me dit-elle essoufflée.
– Je t’aime Sarah..
– Je t’aime aussi Arthur..
– Qu’est-ce qu’on a fait putain..
La suite si vous avez apprécié 🙂
N’hésitez pas à me donner vos avis et critiques, je sais que j’ai beaucoup à améliorer et des conseils ne seraient pas de trop !