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Mon frere et moi, une belle histoire d'amour – Chapitre 2




Après cette délicieuse fellation, je ne laissai pas de répit à mon frère et m’assis de nouveau sur ses genoux, j’avais très chaud maintenant et j’enlevai donc mon débardeur pour être plus à l’aise, je ne portait pas de soutien-gorge, j’étais donc torse nu, je n’avais pas une poitrine énorme (90B) mais mes seins étaient tout ronds et mignons, deux belles oranges qui donnait envie à plus d’un mec du lycée; mes tétons se dressaient fièrement ce qui était plus du à mon excitation qu’à la fraîcheur de la pièce. Mon frère ne put résister à la vue de mes jumeaux qui le narguaient, il posa ses mains sur mes seins et faisait rouler les tétons entre ses doigts cela m’envoyait des décharges de plaisir dans tout le corps, puis il approcha sa bouche et les suçait tour à tour tout en malaxant mon autre sein d’une main, c’était tellement bon que je laissai échapper des petits gémissements.

Plusieurs minutes s’écoulèrent avant que je ne le repousse pour l’embrasser, et quel baiser je lui donnai ! Je l’embrassai avec tant de passion me collant contre lui et j’enfonçais ma langue au plus profond de sa bouche. Lui me rendit mon baiser avec autant de fougue, on aurait dit deux bêtes sauvages, nous nous embrassions comme si nous vivions nôtre dernière heure. Je compris à cet instant qu’il m’avait désiré depuis tout ce temps autant que je le désirait, que c’était seulement l’interdit et le tabou de l’inceste qui l’avait empêché de franchir le cap et maintenant rien ne pouvait plus freiner nôtre ardeur. Il me serrait tellement fort contre lui que mes seins écrasés contre son torse me faisaient mal, mais c’était bon, je me pressai contre lui, ne voulant former qu’un avec lui.

En bas, serré entre nos deux ventres, je sentais son sexe gonflé de désir palpiter au même rythme que son cur, je le sentais dur comme une barre d’acier et chaud, brûlant presque, ma chatte était brûlante aussi et je sentais ma cyprine dégouliner sur ses cuisses, je la sentais ouverte, prête à accueillir son membre, je voulais le sentir en moi, au plus profond, c’était mon seul désir à présent. Je commençait à frotter mon ventre contre son membre, il était humide et glissait sans problème contre ma peau m’envoyant des frissons de plaisir.

Un peu à contre cur, je me décollai de mon frère pour pouvoir me lever un peu au dessus de ses cuisses je saisis son sexe et le masturbai un peu pour qu’il garde sa vigueur, puis je dirigeai son gland vers ma fente et commençai à le frotter contre mes lèvres et mon clitoris, c’était chaud et doux, un vrai plaisir, mon frère appréciait aussi, sa respiration haletante ponctuée par quelques gémissements. J’insistais de plus en plus sur l’entrée de ma grotte d’amour sans chercher à le faire rentrer, mon frère ne semblait pas encore réaliser ce que je m’apprêtais à faire, il avait basculé sa tête en arrière, les yeux fermés, appréciant pleinement le plaisir que cette caresse lui procurait. Je décidai que c’était le bon moment, j’arrêtai son sexe devant l’entrée de mon minou et commençais à pousser pour le faire rentrer, là mon frère sortit de sa torpeur, il me retint en me soutenant sous les fesses.

"- Non, arrêtes maintenant Julie, ça va trop loin, on peut pas faire ça, tu es ma sur, ça se fait pas. Allez, faut se calmer maintenant.

Il m’agaçait à la fin avec ses principes !

— Pourquoi, tu as pas envie de moi, c’est ça?

— Non tu sais très bien que c’est faux, j’en ai envie autant que toi, je n’ai jamais autant désiré une fille, mais on ne peut pas faire ça entre frère et sur, si les gens apprenaient ça

— Mais personne le saura si on dit rien, ça sera nôtre secret, et puis vu l’état dans lequel on est, ce serai bête de pas en profiter, non ?"

Mon frère ne répondit pas mais je sentis les muscles de ses bras se relâcher, il avait toujours ses mains sous mes fesses mais elles ne me retenaient plus, je repris donc là où je m’étais arrêtée, je fis entrer le gland et très vite je ressenti une résistance, j’eus un peu mal lorsque mon hymen céda, mais la douleur fut vite passée et je continuais lentement à descendre appréciant chaque centimètre de la pénétration, son sexe glissant sans autre difficulté à l’intérieur de moi. Ça y est, j’étais assis sur ses cuisses, son sexe me remplissant entièrement le vagin, je restai sans bouger pour que je puisse m’habituer à sa présence et à sa grosseur mais aussi parce que j’aimais le sentir au plus fond de mes entrailles, nous nous regardions droit dans les yeux, la dernière étape était franchie, nous ne pouvions plus reculer maintenant et nous savions tous les deux que ce ne sera pas la dernière fois que nous ferions l’amour. Nous nous embrassâmes, tendrement cette fois.

Il était temps de commencer à s’activer maintenant, j’entrepris de lents va-et-vient et j’accélérais peu à peu le rythme, le plaisir se faisait de plus en plus intense, la tête posée au creux de son épaule je gémissais et murmurait des phrases incohérentes, les mains chaudes et douces de mon frère tantôt me caressaient en me parcourant tout le dos et tantôt accompagnaient mes mouvements en me soulevant les fesses. Jusque là, il avait été très passif, me laissant diriger les opérations et trouver mon rythme mais maintenant il commença à bouger le bassin au même rythme que moi, allant à ma rencontre et assez soudainement, il me bascula sur le canapé pour se retrouver allongé au dessus de moi, et là il prit le contrôle, il me limait de plus en plus vite, s’enfonçant au fond de mon vagin et ressortant presque entièrement pour mieux s’enfoncer à nouveau; c’était tellement bon que je gémissait sans retenue. Le plaisir se faisait de plus en plus intense pour nous deux, nos respirations se faisaient de plus en plus haletantes et lui gémissait presque autant que moi. Tout à coup, je sentis une jouissance soudaine qui me coupa le souffle, beaucoup plus intense que ce que j’avais pu ressentir en me caressant, mon frère ne tarda pas à exploser à son tour et je sentis ses longs jets de sperme se répandre au fond de mon ventre ce qui provoqua chez moi un second orgasme, moins intense que le premier mais tout aussi délicieux, j’avais l’impression de me liquéfier dans les bras de mon homme. Lorsque toute sa semence s’était déversée en moi, celui-ci s’effondra sur moi, nous étions tous les deux épuisés par nos ébats et nous nous endormîmes dans cette position, lui sur moi et son sexe toujours dans le mien.

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