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Incipit : Isabelle enfin offerte – Chapitre 1




Isabelle est une belle prof de 40 ans passés à qui on donnerait bien 5 ans de moins. Elle est châtain clair pour ne pas dire blond foncé. Ses yeux sont bleus et leur teinte varie du bleu au gris-bleus au gré de ses humeurs. Ses goûts pour le shopping se voient dans la variété de ses styles vestimentaires. Elle peut être chic, sport, casual, sexy mais jamais à l’extrême. Elle a du mal à accepter les changements de son corps depuis qu’elle a eu nos deux merveilleux enfants et pourtant il est plus voluptueux, plus charnel, plus évocateur. Plus bandant en un mot ! 1m60, 55kg à peu près, des seins… mes aïeux ! 90C avec de larges et belles aréoles. Ils sont fermes même si leur forme d’obus font dire à leur propriétaire qu’ils tombent. Tomber… en effet, ils sont à tomber !

Je vous livre ici un fantasme récurrent la mettant en scène avec moi. Il peut heurter votre sensibilité. Veuillez m’en excuser.

Je rentre par une belle journée d’été d’un footing. Les enfants et le chien sont chez leurs grand-parents. Il fait beau et chaud. La maison est plongée dans l’ombre pour essayer d’en préserver la fraîcheur. J’ai beaucoup transpiré pendant ce petit tour et j’ai le souffle rapide et bruyant. Je m’aperçoit en arrivant que la voiture d’Isabelle n’est pas là. Elle a dû partir faire quelques courses. J’entre dans la maison que je n’avais pas fermée à clé de peur de l’égarer. Il y fait frais. Je referme derrière moi. Je vais jusqu’à la cuisine me servir un grand verre d’eau fraîche. Je le bois rapidement et entreprends de monter dans notre chambre y chercher quelques vêtements propres avant de prendre une douche méritée. Je suis un peu surpris en arrivant dans la chambre de trouver les sous-vêtements d’Isabelle éparpillés sur le lit mais je n’y prête pas attention. Elle a peut-être fait l’inventaire avant de partir renouveler son stock. Je me dirige vers le dressing situé au fond de la chambre quand la porte qui était à demi-ouverte se referme dans mon dos. Je me retourne et me trouve visé par une arme de poing. Mon sang se glace. Il m’aura fallu quelques secondes pour évaluer la situation. Mon téléphone est en bas. Je suis coincé à l’étage et ce type masqué de blanc me bloque la sortie. Je suis immobile. Il ne dit rien. Me menace de son arme et ne dit rien. Puis il me lance "à poil connard". Je tente de négocier mais je bafouille tellement je suis surpris de son ordre. Il tend le bras vers moi et sa menace devient plus présente. Je sens que je vais devoir m’exécuter.

Je retire mon short, mon t-shirt, mes chaussettes et me retrouve en slip devant ce type qui me menace toujours fermement. Il me balance des attaches plastiques et m’ordonne de m’asseoir et de m’attacher un poignet et une cheville au tuyau du radiateur qui se trouve sous les fenêtres. Me voilà reclus dans un coin de ma propre chambre, assis à même le sol, attaché au radiateur, en slip ! Que veut-il ? Je tente de lui expliquer qu’il n’y a pas d’argent mais il me dit de la fermer. Il s’approche en rangeant son flingue sans la ceinture de son short. Je m’aperçoit alors de sa taille imposante. Il mesure au moins 1m85. Il est très athlétique. Ses bras, ses mollets sont musclés et glabres. Ce type n’a pas un poil. II semble être assez jeune si j’en crois son corps mais difficile de confirmer cette hypothèse car aucun cheveu, ni blanc, ni d’une autre teinte ne peut l’infirmer ou la confirmer. Il est à côté de moi maintenant et je tente calmement de lui parler, de lui demander ce qu’il cherche. Mon cur bat à tout rompre dans ma poitrine et je comprends, malgré son silence, qu’il n’est pas là pour l’argent. Les strings d’Isabelle derrière lui… Il est là pour ça. Il me balance "elle revient quand ta salope ?" Je lui réponds qu’elle est en vacances mais la réponse ne lui plait visiblement pas. Il sort son arme et me la met sur le front. "arrête de te foutre de ma gueule connard". Je me tais. Il me frappe la pommette avec le canon de son arme et ma tête va heurter le radiateur. Je me tais. "ok ! me dit-il, tu vas la fermer pour quelque chose." Là, il sort un rouleau de gaffeur gris argent et m’en entoure la tête en faisant deux tours au niveau de la bouche. Je ne peux plus respirer par la bouche et mon souffle rapide a du mal à passer par le nez. Je tente de me calmer pour y arriver pendant qu’il est allé s’asseoir sur le lit, rassemblant quelques culottes qu’il porte aux narines à peine ouvertes de son masque en polystyrène. Je tente de ma main libre de défaire mes liens mais ces attaches d’électricien sont vraiment trop solides et je ne réussis qu’à les serrer un peu plus ce qui m’entame les chairs. Il ressort de la chambre et je l’entends descendre l’escalier. A-t-il entendu quelque chose ? Possible. Oui. J’entends la bruyante portière de la vieille voiture d’Isabelle se fermer et son pas décidé dans l’escalier extérieur. Je voudrais l’avertir mais crier m’est impossible. Je tape de toutes mes forces sur le radiateur qui émet des sons étouffés et probablement inaudibles de l’extérieur. Elle entre. Je lance des "Mmmmmm" pour qu’elle m’entende et puisse fuir mais elle referme derrière elle… Le cri qui s’ensuit me laisse à penser qu’il s’est montré. Il se sont montrés lui et son pétard. Un silence qui me semble interminable est troublé par des ordres que je l’entends lui asséner indistinctement. Que lui dit-il ? Que lui fait-il ? J’entends les pas d’Isabelle sur le plancher du salon. Ils se sont tus. J’entends quelques mots qu’elle prononce. "Non… Que voulez-vous à la fin ? … Non" puis, plus rien ne sort de sa bouche. je reconnais le bruit des chaussures qui tombent à terre. Je distingue des bruits de gaffeur que l’on déroule puis des bruissements et quelques murmures de sa voix grave puis plus rien. Je tente à nouveau de desserrer mes liens sans plus de succès que précédemment. Je m’escrime à me faire entendre également et j’entends Isabelle me répondre de la même manière. Elle sait que je suis là. Impuissant, incapable de lui venir en aide, mais je suis là. Ils bougent à nouveau. J’entends des pas dans l’escalier puis le bruit d’une chute. Il l’a poussée. Elle gémit et je l’entends, lui, railler et lui intimer l’ordre de monter "magne toi le fion salope !"

J’étire mon cou pour essayer d’apercevoir quelque chose de ce qui se passe sur le pallier quand je les vois arriver. Elle, nue comme un ver, mains attachées cachant maladroitement sa chatte proprement taillée. Ses bras tendus et rassemblés ainsi devant son sexe soulèvent et rapprochent divinement ses beaux et gros seins. son visage est innondé de larmes et la main du type est crispée dans ses cheveux. Il la pousse sur le lit et elle y tombe à plat ventre, ne pouvant amortir sa chute à cause de ses mains jointes. Nous nous regardons, impuissants tous les deux une seconde. Je tends la main vers elle sans pouvoir la toucher. Le type se place au pied du lit, l’attrape par les chevilles et la retourne d’un geste brusque. Elle est maintenant sur le dos, les seins dressés vers le plafond, poussés par ses bras joints. Il sort un petit sac à dos de derrière la porte et en tire une corde de nylon comme celles qu’utilisent les alpinistes. Il en noue un des bouts à la cheville droite d’Isabelle et passe le reste de la corde sous le lit. Il passe l’autre bout entre les chevilles serrées de ma femme et tire violemment dessus. Les muscles d’Isabelle sont tendus au maximum mais la brûlure de cette corde glissant sur sa cheville gauche lui arrache un gémissement et la force à écarter les jambes. Il en profite pour attraper les deux chevilles et les écarter au maximum de ses bras puissants. Il attache l’autre bout de la corde à la cheville gauche. Il contourne le lit et vient pauser un gros collier de chien autour du cou d’Isabelle. Au bout de ce collier trône une longue laisse que cet enfoiré noue à la tête de notre lit. La voilà immobilisée à son tour. Elle tourne vers moi des yeux effrayés et je ne peux que lui rendre son regard. Le type sort son flingue et nous menace tour à tour sans rien dire. Il sassoit près d’elle et fait courir le canon de son arme de l’il à la poitrine d’Isabelle. Là, le canon s’enfonce sans ménagement dans le sein gauche et ce déglingué fait, sous son masque, le bruit d’une détonation puis, se lève et s’en va. Il descend l’escalier et nous l’entendons parler. Il téléphone… Il se passe de très longues minutes pendant lesquelles nous parvenons un peu à nous calmer. Le feu de la morsure de mes liens, je n’y pense plus. Je vois Isabelle allongée, écartelée, tentant de cacher sa chatte de ses mains liées, nue. Nous entendons des pas dans l’escalier extérieur. Au moins deux hommes aux pas lourds. La porte s’ouvre avant qu’ils n’aient pu frapper et se referme sans un mot derrière eux, à clé. Quelques échanges, des rires et des bruissements plus tard, les trois hommes montent notre escalier de bois. Ils sont tous les trois nus. Aucun poil ne les cache. L’un est blanc comme notre agresseur mais porte un bonnet en plus du même masque blanc. Il est plus petit, moins athlétique, mais plus baraqué que moi. Le troisième a la peau très basanée. Il a, lui aussi, le crâne et le reste du corps parfaitement rasés. Ce n’est qu’après cet inventaire que j’aperçois leurs queues. Celles des deux hommes blancs me paraissent un peu plus grosse que la mienne mais dans la moyenne tandis que celle du mec typé est énorme. Son gland est libéré de toute peau. Il doit être circoncis. Isabelle a toujours les yeux fermés. Elle ne veut pas les regarder. Ils sifflent. Commentent le tableau. "Belle pouliche !". "C’est le cocu ça ?". "T’as vu ses nichons putain !?" "On va la faire crier c’te pute." "J’espère qu’il est solide le plumard !" et ils éclatent de rire sous leurs masques ridicules.

Je remarque que notre agresseur a, dans une main son arme, et dans l’autre son sac. Ils se mettent tous les trois sur le lit. L’un d’un côté, l’autre de l’autre et le dernier entre les jambes d’Isabelle, toujours immobile. Le premier type pointe son arme sur la tempe de ma femme et lui ordonne d’ouvrir les yeux. Elle s’exécute et regarde notre agresseur droit dans les yeux sans ciller. Il lui dit que si elle ne veut pas qu’il nous arrive malheur, elle va devoir être bien obéissante. "t’as compris salope ?" Isabelle hoche la tête. Il arrache alors le scotch qui lui entravait la bouche et me le jette à la figure.

la laisse et la corde sont détachées du lit. Isabelle ne bouge toujours pas. Le métisse lui tient les cuisses ouvertes. Un autre lui attrape les mains pour les faire quitter son sexe. Le métisse plonge la tête entre les cuisses de ma femme et fait frotter son masque dans son entrecuisses. Il le soulève un peu mais sans montrer son visage. Seule sa bouche est libre d’aller et venir sur la chatte de leur proie. Un couteau est tiré du sac à dos et sert à défaire les liens qui entravaient encore les poignets d’Isa. "Fais nous bander salope" ordonne l’un des blancs. Isabelle saisit alors la queue de ses messieurs à pleines mains et après quelques malaxages savants, ils bandent comme des taureaux ! les deux hommes à genoux approchent du visage de ma femme et celle-ci les enfourne tour à tour, faisant preuve du savoir faire que je lui connais, je pense que les gars sont ravis. Ils se regardent et se félicitent de leur choix. Le métisse tire une capote du sac et l’enfile. Il a remis le masque sur son visage et entreprend d’enfiler sa queue énorme dans la chatte de ma femme. Contrairement à toute attente, Isabelle n’émet aucune résistance ni aucun son quand le type se présente. Quand la bite entre en elle, elle semble se concentrer sur cette pénétration et en oublie les queues qui sont dans ses mains. Une claque retentit sur un de ses seins la rappelant à l’ordre. Elle enfourne alors la queue tendue de l’un des types et le suce avec vigueur. Le métisse s’affaire en commentant l’étroitesse de la chatte qu’il pilonne. "elle est serrée, on dirait un trou du cul !" ses amis rient de bon cur et se branlent maintenant avec les mains de ma femme tout en lui malaxant les seins. Ils n’ont plus besoin de la rappeler à l’ordre pour qu’elle les suce et je vois ses yeux chercher ceux de ses agresseurs. Elle semble y prendre du plaisir ! Mais moi aussi… Je me surprends à bander. Je me touche de ma main libre et ma queue est maintenant bien raide. Le métisse se retire et ordonne à Isa de se mettre à 4 pattes. Elle lâche les queues blanches et s’exécute. Mais rapidement, sans qu’un ordre lui ait été donné, elle empoigne à nouveau la bite la plus proche et l’embouche goulûment. Le métisse est à nouveau penché sur le cul de ma femme et semble perdre sa langue entre ses fesses. Le gars qui ne fait rien se tourne vers moi et m’aperçoit en train de me branler franchement. "hey les gars, ça excite pépère de voir sa meuf se faire tringler !" Et ils rient tous les trois me fichant une honte incommensurable. "Elle aime se faire défoncer le cul ta salope ?" Je fais oui de la tête. Isabelle ne semble pas avoir entendu tant elle s’applique à pomper le dard luisant de notre agresseur. Elle gémit même sous les coups de langue du métisse qui s’apprête à l’enculer. Il se redresse, pose son gland large à l’entrée de son cul et pousse doucement. A sa grande surprise, il entre sans résistance tirant un long gémissement à Isabelle. Le gars se met à pousser et pousser encore, très lentement, jusqu’à ce que sa queue immense soit entièrement en elle. Là, il fait une pause et fait admirer son uvre à ses potes. "Moi qui pensait la déchirer… c’est mort !" et ils éclatent de rire. Le métisse la tringle de moins en moins lentement, enfonçant ses doigts dans la chair de ses hanches, attirant son cul à lui. Bientôt, c’est Isabelle qui se jette littéralement sur la queue qui la pourfend. Une main sur le lit, l’autre sur la queue de l’un, la bouche autour de celle de l’autre, Isa me fait bander. Qu’elle est belle ainsi enculée ! Le gars qui se fait sucer a sorti sa queue. Il attrape ma femme par les cheveux et lui tire la tête en arrière. "ouvre et sort ta langue de pute !" Elle s’exécute sans quitter le mec des yeux. Il décharge sur sa langue et une giclée en sort pour s’écraser sur son il. Elle déteste ça mais reste stoïque. à peine ce "don" avalé, elle se précipite sur la queue de l’autre blanc et entreprend de le sucer aussi. Il pose ses deux mains sur la tête d’Isa et enfonce sa bite au plus profond de sa gorge. Il fait quelques va-et-vient et éjacule au fond de sa gorge dans un râle. Isabelle ne peut réprimer un haut le cur mais parvient à ne pas vômir. Il lui reste une queue à vider. Le métisse est en train de lui pilonner le cul, littéralement. Isabelle tombe à plat ventre sur le lit et passe la main sous son bassin. Le chef commente "elle se branle, vas-y". Le métisse redouble d’ardeur et ressort maintenant entièrement son chibre du cul de ma femme avant de l’y replonger entièrement et brutalement. Isabelle gémit, halète, "Oui, oui, oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiii". Elle vient de jouir et moi aussi… Le métisse sort de son cul, retire sa capote et se lève. Il tire sur la laisse et Isabelle vient se placer à genoux devant lui. Elle relève la tête, ouvre la bouche, sort la langue et il jouit, couvrant sa langue de foutre blanc. Elle referme les lèvres sur le gland monstrueux et l’enfonce dans sa bouche pour le sucer encore un peu. Le membre recraché, rien d’autre ne sort de la bouche d’Isa qui a dû avaler aussi la semence de ce violeur d’ébène. Ils la relèvent, toujours tenue en laisse et descendent avec elle. J’entends le bruit des hommes qui se rhabillent et qui sortent… Il se passe longtemps avant qu’elle ne remonte avec des ciseaux pour me détacher. Nous allons nous doucher. Nous nous rhabillons et… retournons à notre vie "normale".

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