Jétais assez nerveux en montant dans le taxi qui allait memmener vers ma première soirée de travail.

Je portais une chemise hawaïenne à dominante azur, un pantalon en lin bleu nuit, des mocassins en cuir brun et une veste sombre – la température baissait un peu la nuit. Je métais taillé la barbe et avait coiffé mes cheveux courts avec une pointe de gel pour les maintenir en arrière.

Un peu avant 20 heures, le taxi me déposa devant la résidence de ma cliente. Cétait une résidence cossue du centre ville, avec un interphone et deux sas de sécurité. Madame N. mavait fourni les codes nécessaires, et je pus entrer sans problème.

La cliente habitait un loft en duplex sur les deux derniers étages. Je pris lascenseur, afin de ne pas arriver essoufflé ou en sueur devant la porte.

Au moment de frapper, je me sentis étrange de venir les mains vides. Javais demandé à Madame N. si je devais apporter quelque chose, une bouteille de vin ou un bouquet de fleurs. Elle avait rit, puis mavait répondu que je devais plutôt mattendre à recevoir des cadeaux.

Marie mouvrit la porte à peine ma main avait-elle quitté le bois laqué. Elle portait une robe simple, rouge, serrée à la taille, qui mettait en valeur sa petite poitrine, et des bas noirs. Elle sétait maquillée sans faire trop, avec notamment un rouge à lèvres éclatant et un trait deye-liner qui soulignait de beaux yeux clairs en amande. Ses cheveux noirs, coupés au carré, étaient ornés dune barrette avec une belle imitation dune orchidée.

Elle me sourit en minvitant à entrer. Elle semblait bien moins nerveuse que moi.

Elle avait dressé une belle table, avec une nappe blanche et des chandelles. Elle avait commandé un repas simple chez un des meilleurs traiteurs de la ville. Ne connaissant pas mes goûts, elle avait choisi un menu classique, de cuisine française, agrémenté de vin rouge.

Marie était très cultivée, et je mis sentis assez fier de pouvoir avoir une conversation intéressante avec elle. Plus le dîner avançait, plus je la trouvais attirante. Sa façon de sourire, en inclinant légèrement la tête. Celle dont elle tenait son verre. Ses moindres mouvements étaient empreints de charme.

Vers la fin du dessert, je sentis son pied venir frotter contre ma jambe, alors quelle finissait son verre. Je restai impassible, mais avançai ma jambe sous la table.

Marie posa son verre tout en faisant remonter son pied jusquà ma cuisse. Lorsque ses orteils atteignirent mon entrejambe, je me résolus à laisser tomber mon masque d’indifférence. Elle me sourit. Et proposa de passer au salon.

Je nai jamais été timide avec les femmes. Et en particulier, celles qui minvitaient chez elles. Mais là, collé contre cette belle femme, dans son canapé, jeus un moment dhésitation.

Marie, elle, savait ce quelle voulait. Le fait quelle payait pour devait laider aussi.

Elle se lova contre moi, le bras autour de ma taille, son autre main posée sur ma cuisse, sapprochant irrémédiablement de mon entrejambe, que je sentais grossir.

Remis en confiance par ses gestes, je portai une main sur ses fesses, suivant leur courbure. Elle marqua son appréciation en portant sa main sur ma queue, la massant doucement.

Je descendis sur sa cuisse, remontant sous sa robe, atteignant le haut de son bas et caressant sa peau douche du bout des doigts.

Marie glissa sa main dans mon pantalon, caressant ma queue à travers mon boxer. Son autre main caressa mon torse en remontant, puis déboutonna le haut de ma chemise. Ses doigts caressèrent bientôt délicatement mes pectoraux.

Tout en remontant le long de sa cuisse, je portai ma seconde main vers sa poitrine. Les seins de Marie nétaient pas très gros mais, gainés dans sa robe – et un soutien-gorge que je devinais en dessous, ils se prêtaient parfaitement à la caresse.

Marie fit bientôt passer sa main dans mon boxer et se saisit de ma queue, qui commençait à durcir.

Ma main atteignit sa culotte, en dentelle fine, très douce au toucher. Je la caressai doucement, me rendant vite compte quelle était déjà humide.

Marie porta la main qui caressait mon buste vers mon menton, attirant ma bouche vers la sienne. Nos lèvres se touchèrent, nos langues se rencontrèrent et se nouèrent.

Sentant ma queue se raidir, Marie brisa notre étreinte et se releva. Elle se pencha vers moi, et entrepris de me retirer mon pantalon. Tout en laidant, je déboutonnai ma chemise. Mon boxer suivit bientôt le même chemin que mon pantalon et ma queue se dressa fièrement.

Marie sagenouilla entre mes jambes, se saisit de ma queue et la glissa dans un préservatif haut de gamme extrêmement fin. Elle planta ses yeux dans les miens, un sourire sur les lèvres. Hypnotisé par ses yeux, je lui rendis son sourire.

    Il est temps de passer au vrai dessert, me susurra-t-elle.

Sans attendre de réponse, elle porta sa bouche sur mon gland. Sa langue roula autour, ses lèvres embrassant délicatement lextrémité gonflée de ma queue. Jémis un râle de plaisir alors même que la bouche de Marie avançait sur ma bite.

Elle progressa lentement, sa langue toujours active, revenant sans cesse titiller mon gland. Javais fermé les yeux et, les bras le long du corps, je savourais cette délicate fellation.

Sans même que je men rende compte, Marie avait remonté lintégralité de ma queue, ses lèvres embrassant sa base, sa langue caressant mes couilles. Elle ressortit et revint, commençant un va-et-vient de plus en plus rapide, qui la faisait saliver fortement.

Surpris par son changement de rythme, jouvris les yeux au moment où elle ressortait ma queue de sa bouche, mon gland et ses lèvres reliés par un filet de salive.

Marie me sourit puis me reprit en bouche. Ses yeux toujours fixés sur les miens, elle maintint ma queue dans sa gorge, sa langue jouant avec mes couilles. Elle se retira au bout de se qui me parut une éternité, lorsque des larmes perlèrent au coin de ses yeux.

Je repris mon souffle en même temps quelle, mapercevant seulement alors que je lavais retenu tout ce temps.

Marie recommença sa gorge profonde à plusieurs reprises. Je perdis le compte après la cinquième fois, mes yeux exorbités, le souffle court.

Je sentis bientôt que je pourrais jouir très vite dans cette bouche si accueillante. Marie le sentit aussi car elle stoppa sa fellation, déposant un dernier baiser sur mon gland, et se releva.

    Pas si vite, jai envie de faire dautres choses avec cette belle bite.

    Moi aussi, parvins je à articuler.

    Envie de voir ce qui se cache sous ma robe ?

Je me contentai de hocher la tête.

Marie se saisit du bas de sa robe et la fit remonter lentement. Elle révéla dabord son porte-jarretelles assortis à ses bas et sa culotte de dentelle rouge, puis son ventre plat, ses abdominaux très légèrement dessinés. Je me retins de me branler, car jétais déjà très excité.

Elle arriva enfin sur son soutien-gorge, un modèle push-up semi-transparent en dentelle rouge, puis passa les épaules et jeta sa robe vers moi.

    Tu aimes ma lingerie ?

Je crois que cest la première fois quelle me tutoya.

Très joli, répondis je fasciné.

Elle tourna sur elle-même, remuant légèrement les hanches. Ses fesses étaient belles, légèrement rebondies. Marie nétait pas une femme aux formes généreuses, mais le peu quelle avait était particulièrement bien proportionné et attirant.

    Que veux tu voir ensuite ? me demanda-t-elle avec une sourire coquin.

Devant mon hésitation, elle souligna sa poitrine dun geste de la main, puis son entrejambe. En général, jaurais choisi les seins, car jaime beaucoup les poitrines féminines. Mais, dans le cas de Marie, je savais que son soutien-gorge les mettait très en valeur, et je pouvais même deviner ses tétons pointer à travers le tissu semi-transparent.

    Le bas, répondis je finalement.

Elle sourit et porta ses mains sur sa culotte. Elle joua un peu avec, continuant à onduler du bassin. Elle baissa légèrement, puis la remonta rapidement, plusieurs fois, moffrant de fugaces aperçus de son entrecuisse.

Elle prit un instant pour détacher les jarretelles, puis descendit lentement, dans un seul geste fluide la culotte, tout en me fixant du regard. Je dus attendre quelle se redresse pour apprécier complètement sa chatte. Elle était épilée, à lexception dun petit triangle brun au-dessus, qui semblait indiquer le chemin.

Marie écarta légèrement les jambes et inclina le bassin, afin de moffrir la meilleure vue possible. Comme je lavais senti plus tôt, je pus constater quelle était humide. Marie y porta les doigts et caressa langoureusement ses lèvres, puis les entrouvrit et y glissa une phalange.

Inconsciemment, ma main se porta sur ma queue, toujours aussi raide, mais je me retins de me branler au dernier moment. Marie méritait mieux quune jouissance trop rapide, même si je ne doutais pas quelle saurait me ragaillardir rapidement.

Nous restâmes ainsi, yeux dans la chatte, durant un instant. Marie le brisa en tourna lentement sur elle-même, offrant à ma vue son petit fessier. Elle se pencha en avant et écarta ses fesses, me dévoilant sa petite rondelle, puis passa un doigt dessus. Il me sembla quelle était aussi humide de ce côté là.

Marie se retourna, suçant délicatement son doigt.

    Maintenant le haut, annonça-t-elle.

Sans attendre de réaction de ma part, elle fit délicatement sortir ses seins de son soutien gorge, sans lenlever. Ils étaient ronds, comme deux jolies pêches blanches, avec de petites auréoles claires autour de tétons pointus quelle caressait lentement.

Marie sapprocha du canapé et se pencha vers moi, dirigeant sa poitrine vers mon visage. Jy portai les mains, les malaxant doucement, savourant la douceur de sa peau. Je les guidai vers ma bouche, les embrassant délicatement, puis titillant ses tétons du bout de ma langue.

Marie ma laissa faire quelques instants, puis me fit comprendre quil était temps de passer aux choses sérieuses.

Elle posa ses cuisses sur les miennes, puis avança lentement son intimité ouverte vers ma virilité dressée. Je saisis ses hanches et la guidai sur les derniers centimètres.

Mon gland entra lentement mais aisément dans sa chatte, déjà chaude et humide. Marie bloqua la pénétration et bougea son bassin dans un lent mouvement circulaire, tandis que je portai mes mains sur ses fesses pour les caresser.

Lentement, millimètre par millimètre, Marie se fit avancer sur ma queue, gémissant de plus en plus fort comme jentrais plus profondément en elle. Mes mains se crispaient sur ses fesses comme je vocalisais également mon plaisir.

Alors que sa chatte finissait davaler toute la longueur de ma queue tendue, mes couilles entrant en contact avec la douceur moite de sa chatte, elle passa ses bras autour de mon cou et membrassa tendrement, avant d’offrir ses seins à ma bouche.

Ainsi empalée sur moi, Marie commença à accélérer ses rotations, que jaccompagnais de la bouche sur ses seins et de mes mains sur ses fesses.

Alors que son mouvement devenait frénétique, ma bouche et mes mains perdirent le rythme et je laissai Marie piloter laction. Ma queue faisait des cercles à lintérieur de sa chatte, et je ressentais chaque centimètre de son intimité, chaude et humide.

Sous lexcitation, je me laissai aller à lui porter une claque sur la fesse. Jhésitai durant un battement de coeur, incertain de sa réaction à mon élan. Marie ne sen offusqua pas, mais sembla prendre mon geste pour un signal. Continuant ses rotations, elle ajouta un mouvement de va et vient, que jaccompagnai aussitôt, avec mon bassin et mes mains sur ses hanches. Suivant son acceptation, je marquai chaque fin de pénétration dune claque sur une fesse.

Durant un long moment, ma queue tourbillonna dans et hors de la chatte de Marie, mes mains marquant le rythme sur ses fesses.

Je sentis subitement Marie se contracter autour de ma queue et elle suspendit un instant tout mouvement, ma queue enfoncée profondément en elle. Avant davoir pu réagir, je sentis la pulsation de son orgasme autour de mon membre, son jus couler sur sa longueur et lécher mes couilles, alors quelle criait son plaisir.

Lexplosion ne dura quun instant, et Marie relança le mouvement aussitôt.

Elle navait pas terminé un aller-retour que jexplosai à mon tour, dun orgasme puissant.

Sans suspendre le mouvement, le ralentissant à peine, Marie membrassa à pleine bouche, alors que mon éjaculation secouait nos deux corps.

Jétais tellement excité que ma queue était restée relativement raide, et le mouvement continu de Marie, ainsi que sa langue dans ma bouche, ramenèrent mon érection à son meilleur niveau en quelques secondes.

Marie ralentit bientôt le mouvement, me faisant comprendre quelle souhaitait changer de position. Elle me demanda si je pouvais me lever en la portant.

Je ne répondis pas, mais m’exécutai je, me levant du canapé en maintenant Marie collée contre moi, ma queue toujours profondément en elle. Elle resserra naturellement ses cuisses autour de ma taille et ses bras autour de mon cou, écrasant ses doux petits seins contre mon torse.

Je luttai un instant pour conserver mon équilibre, mais finis par me stabiliser. Suivant les instructions de Marie, je le portai vers le mur, et ly collai sans brutalité. Elle détendit légèrement ses jambes et ses bras, me laissant prendre l’initiative.

Je repris un mouvement de va et vient en elle, lent mais puissant, profitant de lappui du mur pour aller profondément en elle. Jaccélérai progressivement la cadence, provoquant de nouveaux gémissements et des cris de plaisir. Sa chatte, chaude et humide, enveloppait ma queue, pulsant autour.

Bientôt, je pilonnais Marie contre le mur, de coups de hanches rapides et puissants, et elle vocalisait son plaisir de manière très audible.

Je sentis à nouveau sa chatte se contracter autour de ma queue, signe indubitable dun orgasme en approche rapide. Je continuai mes mouvements sans ralentir.

Quelques secondes plus tard, Marie jouit à nouveau, son jus coulant le long de ma queue, sur mes couilles et le haut de mes cuisses.

Je ralentis légèrement le mouvement, pour lui permettre de reprendre son souffle, retardant par la même occasion ma propre jouissance.

Elle me signala de la ramener sur le canapé.

Je lallongeai, suivant ses instructions, sur le dos, jambes écartées, les fesses proches du bord, de telle façon que sa chatte et son cul étaient offerts.

    Il est temps de passer à la porte de derrière, me dit elle.

    Avec plaisir, répondis je en magenouillant.

Je portai dabord la langue sur sa chatte encore dégoulinante de ses jouissances précédentes, et pris quelques secondes pour la goûter.

Elle posa finalement sa main sur ma tête et appuya légèrement, pour me signifier de descendre moccuper de son autre orifice.

Son anus était déjà humide et chaud, et pas aussi serré que je my attendais. Marie avait clairement planifié de pratiquer la sodomie.

Je mattelai à louvrir et lhumidifier plus encore en le titillant avec ma langue. Devant la réponse positive de mes premiers contacts, je poursuivis plus avant, portant des coups de langue plus rapides et précis, glissant la pointe de ma langue à lintérieur.

Comme lanus de Marie souvrait délicatement sous ma langue, jy portai un doigt, afin de louvrir pour de bon. Marie gémit lourdement, et son anus réagit positivement, aussi un second doigt rejoignit le premier. Les gémissements de Marie doublèrent de volume et son anus souvrit encore, alors que ma langue et mes doigts le travaillait lentement.

Jestimai bientôt quil était assez ouvert et lubrifié pour passer aux choses sérieuses.

Je me redressai, saisit Marie par les hanches et approchai mon gland de son petit trou. Marie écarta les jambes, et, une main sur chaque fesse, men ouvrit lapproche.

Je rentrai lentement en elle, inexorable mais délicat. Je sentis son anus se refermer sur la base de mon gland, laspirant à lintérieur. Sans menfoncer plus, jappliquai un mouvement de rotation, qui prit un peu de vitesse. Les cris de Marie me confortèrent dans mes mouvements.

Lentement, je poussai un peu plus loin, tout en maintenant la rotation. Les jambes de Marie m’enserrèrent la taille, alors que ses mains se portaient vers sa chatte, une vers son clitoris, lautre glissant trois doigts à lintérieur.

Je menfonçai en Marie jusquà la moitié de ma queue, puis commençai des va et vient, toujours agrémentés de la rotation.

Marie criait sans discontinuer, ses mains saffairant sur son clitoris et sa chatte en rythme avec mes coups de reins. Je sentais son cul pulser autour de ma queue, presque aussi humide que sa chatte lavait été.

Elle jouit, sans signe avant coureur cette fois, et son jus coula de sa chatte vers ma bite et son cul. Son corps se crispa et ses jambes se resserrèrent autour de ma taille, mencourageant à non seulement continuer mais accélérer le mouvement. Ses mains continuaient à sactiver sur son clitoris et dans sa chatte, toujours en rythme avec mon propre mouvement.

Quelques battements enfiévrés de coeur plus tard, je sentis venir la jouissance et éjaculai puissamment à lintérieur de lanus de Marie, alors quelle jouissait une nouvelle fois.

Nos deux corps liés tremblèrent ensemble durant plusieurs secondes, alors que nous vocalisions notre plaisir.

Enfin, Marie se relâcha complètement, ses jambes tombant au sol, et je me retirai delle pour meffondrer à son côté sur le canapé.

Quelques secondes plus tard, elle trouva la force dapprocher son visage du mien afin que nous partagions un tendre baiser.

Bien quaussi exténué quelle, je la portai ensuite dans la chambre, malgré ses protestations quelle pouvait marcher. Je la rejoignis bientôt dans le lit et nous nous endormîmes aussitôt.

Le lendemain matin, elle me raccompagna à la porte de son loft, vêtue dune robe de chambre couleur crème, et moffrit une boîte de chocolat de luxe pour me remercier pour la soirée.

Lattention me fit sourire, me ramenant à mon malaise originel de venir les mains vides.

Le taxi mattendait devant la résidence et me ramena bientôt à mon domicile.

Plus tard dans la journée, Madame N. mappela pour avoir mon ressenti sur la soirée. Je lui répondis que, pour ma part, javais apprécié cette soirée et quil me semblait que Marie aussi. Je confirmai que jétais bien prêt à continuer.

Madame N. minforma quelle avait discuté avec Marie avant de mappeler et quelle avait en effet apprécié la soirée – elle avait dailleurs adjoint un pourboire de près de 20 pour-cent à son paiement, et quelle prévoyait de refaire appel à mes services.

Madame N. minforma quelle avait procédé au virement de mes émoluments et quelle me recontacterait bientôt pour un prochain travail.

Jétais très impatient que cela arrive.

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