La BA du jour:
Jai quitté lappartement dAlbert sans faire de bruit après avoir récupéré mon sac. Jen avais fini avec lui pour cette fois-ci et jétais libre de faire ce dont javais envie, libre de me faire plaisir alors, toute joyeuse, je suis descendue par lescalier jusquà lappartement de mon petit chéri du 6ème. Je voulais lui faire plus et surtout beaucoup mieux que la dernière fois, pour lui comme pour moi. Javais tellement envie de me faire plaisir, de profiter à fond de ma récompense.
Arrivée devant sa porte, jai pensé que mon attitude et mes réactions étaient étranges ; cette façon que mon corps a de répondre aussi vite et aussi facilement aux attouchements de nimporte quel mec me choquait et, en plus, la Boule puante mavait annoncé une partie à 3 avec des copains à lui, des types dans son genre, je nen doutais pas un instant, pour soccuper de mon cas et en plus, il allait se faire un plaisir de leur raconter que jétais une parfaite salope.
« Jallais en prendre plein le cul », comme il mavait dit en rigolant.
Jappréhendais cette épreuve, bien sûr mais je savais déjà que jallais venir chez lui, faire ce quil voudra et en plus, que jallais certainement prendre mon pied à éponger ses tordus de copains et à les laisser faire de moi tout ce quils voudraient, à deux ou trois à la fois.
En plus dêtre clairement exhibitionniste, je découvrais mon côté maso et mon appétit de sexe glauque, voire extrême.
Heureusement, venir chez ce petit vieux sympa allait constituer une récréation agréable, reposante. Pourquoi ne pas avoir choisi un beau mec ? Pourquoi ne pas demander à Arnault de me livrer à de beaux mecs ?
Jai souvent pensé à cette question et me réflexion ma amené à considérer que dabord jai ce quil faut à la maison en la matière, et que je ne suis pas attirée par ce genre dhomme dans mes fantasmes, au contraire.
A quoi bon refuser de regarder la réalité en face ?
Jai sonné et le petit chien a immédiatement aboyé. A travers la porte, jai entendu la voix dEdmond: « Tais toi donc, Voyou, tu fais chier le monde à aboyer tout ltemps! » et jen ai souri daise. Lui aussi est vieux et plus très beau, fripé et ridé mais il est doux et attendrissant. Je découvre là une autre facette de ma sexualité, une sorte denvie de faire du bien, beaucoup de bien à ce genre de petit vieux solitaire et timide.
Il a ouvert la porte, son petit chien sautait, tournoyait en lair, me faisait fête. Je lai caressé et lui ai gratouillé la tête.
« Arrête ton cirque, Voyou! Va au panier ! Laisse la dame en paix !»
Le chien, tête basse, est allé sinstaller dans son panier. Edmond ma souri et je lai interpellé dun air coquin. « Alors, vous avez un café à moffrir ? »
Le petit vieux ma souri. Il irradiait : « Oui, et puis du vrai ccoup là! Entrez ! Donnez-moi votre imper ! Installez-vous, je vous amène le café. »
Il a posé mon imper sur une chaise du salon et a foncé dans la cuisine en trottinant.
Plus petit que moi, maigre, le visage ridé, il était tout sourire. Cinq minutes après il est revenu vers moi avec une tasse en porcelaine posée sur une soucoupe. Un vrai café qui sentait bon.
Je lui ai souri : » Cest vraiment super gentil davoir pensé à moi ! Jaime le bon café, et sans sucre, en plus ? Cest parfait ! »
Il sest assis à côté de moi et jai bu deux gorgées sans bouder mon plaisir ; jai posé la tasse sur la petite table de salon puis je me suis retournée vers lui.
Il était tout timide, mon petit vieux. Cétait très craquant, touchant.
Jai posé ma main sur la sienne. Il nosait même plus me regarder et gardait les yeux baissés.
Jai rompu le silence : « Aujourdhui, jai plus de temps à vous consacrer! Alors dites-moi, quest ce qui vous ferait plaisir, monsieur CHALOT?»
Il ma regardée sans répondre. Il ne pouvait pas, il était trop intimidé pour sortir un mot.
Je me suis penchée vers lui pour lui murmurer dans le creux de loreille : « Il faut me dire ce que vous voulez que je fasse, M. CHALOT ! Vous allez me le dire tout bas, daccord ? », et la pointe de ma langue a léché le pavillon de loreille offerte. Il a frissonné de plaisir non dissimulé puis a hoché la tête. Je me suis alors approchée de lui et jai écouté ce quil disait dune toute petite voix timide. Je souriais en lécoutant avouer ses désirs, ses petits fantasmes qui me paraissaient tellement anodins comparés à ceux que je venais de mettre en scène.
« Oui, je vais faire ça aujourdhui ! Continuez ! Oui, ça aussi on va le faire, lidée me plaît bien ! »
Il se libérait peu à peu et je lécoutais en souriant. Je découvrais que tout homme a des désirs secrets et quil suffit de lécouter pour les connaître et lui faire plaisir en lui faisant comprendre que rien nest impossible, si on partage une même envie de liberté: « On fera ça la prochaine fois, si vous voulez. Ca aussi on le fera ! Oui, daccord, jaime bien faire ça ! Et puis, si vous avez dautres envies, dites-le moi ou écrivez le moi et vous me donnerez le papier à ma prochaine visite ! Daccord ? On reste là ou on va dans votre chambre ?»
Je lai regardé en papillonnant des cils. Il souriait et avait les joues bien rouges. Il semblait heureux de sêtre livré ainsi.
« On va dans la chambre ? »
Il a hoché la tête.
« Je vous suis. »
Il sest levé et est passé devant moi. Sa chambre était sur la gauche au bout du couloir. Une chambre meublée à lancienne avec un lit en bois, assez haut : un 140 de large, une table de chevet en bois et marbre, une commode avec une cuvette et un broc en porcelaine et un dessus de lit vert molletonné recouvrait le lit. Cétait vieillot, mais très propre, et au sol, il y avait une carpette grise et marron.
« Allez-y monsieur Edmond, je suis prête ! »
Jétais debout, à côté du lit et il est venu vers moi, le souffle court. Il était la proie du stress et ses vieilles mains ridées tremblaient.
Je me suis retournée lentement et des deux mains, jai relevé mes cheveux car je savais par quoi il voulait commencer.
De fait, il a descendu la fermeture éclair de ma robe, lentement, il voulait me déshabiller comme un enfant déshabille une poupée. Il mavait confié quil aimait par-dessus tout jouer avec une femme aussi docile quune poupée.
La fermeture éclair baissée, ses vieilles mains sont venues se poser sur mes épaules et on fait glisser le tissu de ma robe, tout doucement. Le tissu a glissé le long de mes bras et tout le haut de ma robe était maintenant sur mes hanches. Je me suis retournée.
Il a regardé ma poitrine et ses mains sont venues toucher la dentelle de mon soutien-gorge, délicatement puis le bout de son index sest glissé sous le bonnet et a touché ma peau. Jai frissonné en fermant les yeux de plaisir sous cette délicate caresse.
Mon petit vieux est de nouveau passé derrière moi et il a entrepris de dégrafer mon soutien gorge en tremblant.
Je sentais son souffle sur ma peau et le laissais faire. Il est parvenu à ses fins puis a fait glisser les bretelles sur mes épaules.
Il a retiré mon soutien gorge, la soigneusement posé sur le lit et est revenu face à moi pour toucher mes seins, jouer avec les aréoles et mes tétons érigés, en cercles doux et délicats, du bout des doigts. Il explorait ma peau offerte en prenant son temps, en me contemplant. Jai décidé de le laisser prendre son plaisir comme il voulait et de le laisser faire à son rythme.
Il sest ensuite mis à genoux devant moi et a doucement baissé ma robe, jusquà mes chevilles et jai levé un pied puis lautre pour laider à dégager le tissu.
Il a posé ma robe sur le lit et est revenu pour, du bout des doigts, toucher la dentelle de mon string, mes jarretières et la lisière de mes bas.
Il faisait aller et venir ses doigts sur ma peau, sur le tissu, le grain de mes bas, les élastiques des jarretières puis il a posé ses mains sur le haut de mon string et la fait glisser lentement le long de mes hanches et de mes cuisses ; je le laissais faire ; jétais attendrie de désir et de plaisir à le laisser faire comme ça. « Pourquoi précipiter les choses ? » me suis-je dit.
Il aimait ça, déshabiller sa poupée docile et jouer avec et de mon côté jappréciais particulièrement ce traitement, cette douceur rare, surtout après mes passages crapoteux chez Albert.
Il a posé le petit tissu sur mes chevilles et jai soulevé un pied après lautre pour laider à le dégager. Jétais nue devant lui, maintenant. Mon sexe épilé était juste à portée de sa bouche.
Dune petite voix, il ma demandé de me coucher sur le lit. Je savais ce quil voulait alors je me suis allongée en travers du lit et jai écarté et relevé mes jambes.
Il est venu, à genoux, coller sa bouche sur ma fente pour me lécher autant quil a voulu, comme il a voulu, et jai savouré cet hommage à ma féminité et à ma beauté. Il a pris son temps et sa bouche, sa langue en moi me faisait de leffet, dautant que je me touchais les seins et les tétons tandis que je mouvrais à sa langue.
Il ma bien léchée puis il est venu sur le lit pour que je le suce, comme je le lui avait promis et après il sest installé entre mes jambes, le bas du corps dénudé pour me pénétrer « à la papa », comme dit Arnault.
Jai relevé mes jambes pour quil en profite bien. Sa tête était contre ma poitrine et il me suçotait le bout dun sein.
Il a fait quelques va et vient en gémissant et a joui en arquant ses reins, mes mains collées sur ses fesses minces et décharnées, puis il a roulé sur le côté.
Je me suis penchée vers lui pour lécher sa bite et avaler le reste de sperme et de mouille qui sy trouvait, lentement, doucement. Il gémissait sous ma petite langue. « Vous aimez cela, Edmond ! Je vous le ferai à chaque fois ; jadore, vous savez. »
Il sest endormi rapidement; je me suis rhabillée et je suis partie en lui laissant mon prénom et mon n° de téléphone sur un papier sur la table du salon. Cette séance pleine de douceur mavait bien plu et je me sentais revigorée, vidée de toute tension, détendue, en paix avec moi-même.
Je nétais pas quune salope ou un « vide-couilles », comme dit Albert. En fait, même si je suis ça, car je suis ça aussi, je le sais maintenant, je ne suis pas que ça.
« Je reviendrai souvent, cela me fera du bien de vivre ça! Ca change agréablement !» me suis-je dis, « Edmond deviendra ma récompense, ma friandise en labsence dArnault. »
Albert, lui, est déjà lacteur clé de mes fantasmes inavouables en labsence de Schuller et Arnault ma promis dautres défis extrêmes à relever que jattends avec impatience et je sais déjà que lorsque Schuller rentrera, je vais devoir y retourner et parfaire lexploration de mes bas fonds avec lui. Je sais que cela sera redoutable mais je veux vivre ça et aller jusquau bout et puis jai le soutien dArnault.
Plus que jamais je laime et le désire. Lorsque jai fait part à Arnault de ce désir de revenir souvent chez Edmond, il ma dit que cela ne le gênait pas et que je pouvais faire autant de BA que je veux et avec qui je veuxJe lui ai fait plein de bisous partout.