Me voilà enfin dans ma petite maison rien qu’à moi, loin de la maison des parents, j’ai enfin ma liberté!
Je m’appelle Antoine, j’ai 25 ans, je suis mince, brun aux yeux bleus, je mesure 1m75, j’aime prendre soin de mon apparence.
Je travaille dans un bureau en tant qu’agents marketing depuis plus de deux ans maintenant.
Je viens d’emménager dans une maison à la campagne à 30 min de la ville et de mon travail. Si j’ai choisi la campagne plutôt que la ville, c’est que j’aime la tranquillité qui y règne, l’air frais loin de la pollution, je n’aime pas quand il y a trop de monde, ce n’est pas pour autant que j’aime la solitude !
J’ai pris une petite maison de plain-pied disposant aussi d’un grenier. J’ai pris deux semaines de congé pour déménager et m’installer correctement, prendre mes repères avant de reprendre le travail.
La première semaine fut chargée entre les allers-retours avec les amis et mes parents pour m’aider, les deux semaines furent plus calmes, je mettais en place les meubles, rangé mes affaires, rangé la vaisselle, mes DVD, et aussi remettre en route mon ordinateur, car oui, je suis un geek, mais ce n’est pas pour autant que je passe toutes mes journées dessus, mais c’est une passion qui me permet de décompresser après une bonne journée de travail.
Nous étions vendredi en fin d’après-midi que je me dirigeai en ville pour aller remplir mon frigo et aussi faire quelque emplette pour la maison.
Je passai par le supermarché, puis vers un magasin où je flânais un peu et dépenser même un peu trop au goût de mon portefeuille.
Je rentrais vers les 19h ranger les courses, alors que je passai dans le couloir, je vis l’escalier menant au grenier, je la fixai un moment et vu qu’elle avait un verrou dessus avec un cadenas, je m’approchai, le cadenas sembla vieux, mais ne perdit pas pour autant sa solidité, je retournai à mes occupations en me disant que j’enverrais un mail à l’agent immobilier savoir s’il a la clé.
Le lendemain, je finissais le rangement et me balade en ville avec des amis tout l’aprèm pour fêter mon emménagement, en rentrant le soir, je fus un peu fatigué, j’entendis un bruit métallique dans le couloir, en arrivant, je vis le cadenas ouvert au sol au pied de l’escalier, en le regardant, c’est comme s’il s’était ouvert de lui-même, je me posai des questions "comment est-ce qu’il a pu s’ouvrir ?"
Alors que je me retournai pour aller dans ma chambre, j’entendis un bruit derrière moi, je me retournai et fixai la porte, je me mis à approcher doucement et j’entendis encore un bruit de l’autre côté.
Un voleur ? Ici ?
Je pris le pied-de-biche dans le garage, pris mon courage à deux mains, et entrai doucement au grenier, il faisait sombre, il y avait une petite fenêtre qui m’éclairait un peu avec la lumière de la lune.
Le grenier semble assez grand, je pris mon portable et mis la torche et balayai de long en large, mais je ne vis personne. Mais je remarquai plusieurs meubles recouverts de drap, il semble assez haut, je me dirige vers, souleva un peu le drap et vit que c’était une armoire, une armoire normande, mais je vis aussi la chaîne qui l’a fermée complètement en faisant le tour plusieurs fois en signe de croix, impossible de l’ouvrir, me dis-je.
Je regardai les autres, il y avait en tout trois armoires normandes, ainsi que deux commodes, tout enchaîne !
Mais pourquoi tout est enchaîné ici ?
Ma curiosité prit le dessus sur la peur et voulut casser les chaînes, je retournai à mon garage et trouvai une hache que mon père m’a donnée pour couper du bois à mettre dans ma cheminée.
De retour au grenier je vis tous les meubles sans leurs chaînes, je les regardai, mais ne les trouvai pas au sol.
Elles ont disparu ? Ce n’est pas possible ? On se dirait dans une maison hantée !
Je commençais sérieusement à me poser des questions sur ce grenier et ce qui s’y trouve !
Je me dirigeai vers une armoire, je m’apprêtais à l’ouvrir quand soudain, quelque chose de froid, de métallique s’enroula autour de mon cou, je commence à remuer les bras autour de moi, mais rien, comme s’il ny avait personne, je mis mes mains à mon cou et je sentis une chaîne, j’essaye de l’agripper, mais rien à faire, elle continue de serrer, elle m’étouffe, mais je ne peux presque plus parler !
Je commençai à paniquer à essayer, je voulus sortir du grenier, mais la chaîne se tendit, comme si elle était attachée au sol, je la pris en main et tirai de toutes mes forces, mais rien à faire, je voulus prendre mon portable que j’ai fait tomber, mais je ne pus l’attraper !
Soudain, quelque chose me masqua les yeux, on aurait dit un foulard, je voulus l’arracher, mais d’autres foulards m’agrippèrent les mains !
Que se passe-t-il ici ? pensai-je, je me débattis comme un diable avec toutes mes forces, mais rien à faire, mes bras furent tendus de chaque côté de mon corps !
Soudain, je sens une sorte de main, elle était douce, elle déboutonna mon pantalon et me l’enleva, je me débattis, mais je ne touchais encore rien, comme si c’était un esprit ?!
La main prit mon caleçon et le descendit doucement le long de mes jambes, quand il fut à mes pieds, mes bras se soulèvent vers le haut, les liens qui me retenaient prisonnier me tiraient vers le haut, sans que je puisse faire quelque chose, le chêne à mon cou fit de même sans pour autant m’étrangler, mes pieds ne touchent plus le sol et me voilà sans caleçon ! Je commençais à suer à grandes gouttes, que se passe-t-il ici ? Cest quoi ce bordel ? Perdu dans mes pensées, je fus interrompu par les étranges mains.
J’entendis un petit bruit métallique qui venait en direction de mon ventre, je sentis mon tee-shirt se découper, les étranges mains avaient pris un ciseau et découpé mon tee-shirt ? Je voulus me débattre, mais juste mes jambes bougèrent, puis je fus nu comme un ver à la merci de cette "chose".
Le temps sembla long, attaché et suspendu, je commençais à avoir quelques douleurs au bras à force d’être tendu.
Je sentis quelque chose remonter le long de mes jambes, il se met à la place de mon caleçon, on aurait dit une culotte, mais il prit place et me rentrait bien dans les fesses et comprima mon sexe, je sus alors que c’était un string, mais il semblait petit, car il serrait vraiment bien !
Puis, ce fut autour de mon torse, je sentis quelque chose me mettre en place au niveau de ma poitrine, on aurait dit du silicone, ils étaient froids et se plaçaient à mes tétons, un à chaque téton pour être précis, une fois placés, ils pesaient un peu comme si une nouvelle poitrine avait pris place, puis quelque chose les recouvrit et confirma ma crainte, ce fut un soutien-gorge, il s’attacha dans le dos et au niveau du cou, là encore, bien serré et maintenant, en place cette poitrine.
De nouveau à mes pieds, quelque chose remonte, mais ce fut différent, là, ce fut mes jambes qui furent recouvertes entièrement par quelque chose de fin, de léger, "un collant ?" me dis-je. Une fois bien remontée et mise en place, ce fut comme une seconde peau sur mes jambes, bizarrement, ça me faisait de l’effet et tant bien que mal, mon sexe tenta de se dresser dans le string trop petit.
Je sentis mes pieds se poser sur le sol, mais je ne fus pas libéré pour autant, au contraire, ce qui semblait être ma "féminisation" continuait, mes bras furent tirés vers le haut, je levai la tête et vis une sorte de haut prendre place à mes bras et se loger sur moi recouvrant les soutiens-gorge, mais je ne fus pas au bout de mes surprises, car le haut était en fait un décolleté qui laissait bien apparaître les soutiens-gorge !
Au même moment à mes bas, quelque chose se met une place, passant par-dessus ma jambe gainée de nylon, c’est une jupe volante noire courte ! Me voilà habillé en Bimbo !
Mes liens furent relâchés – sauf le cou que la chaîne ne se desserra pas, je fis quelques mouvements de mes bras, puis voulus enlever ce tenu ! Je voulais commencer par la jupe, mais rien à faire, il ny avait aucune ouverture au niveau de la ceinture même pas un zip, je voulus l’arracher, mais rien à faire, la ceinture tenait bon, je lâchais l’affaire et voulus faire de même au collant et à ce string de malheur !
Je soulevai la jupe et passai ma main, mais c’est comme si le collant était collé à ma peau, je n’arrivais à rien, je voulus l’arracher, mais rien, pour un collant fin il est solide !
Je me résignai et passai à la poitrine sans grand espoir.
Je tirai dessus, mais c’est comme si je m’arrache la poitrine, c’est comme si la tenue est collée à mon corps, il m’est impossible de l’enlever !
Je soupirai et me posais un tas de questions. Comment faire pour le travail ? Les sorties ? Je ne vais pas sortir dans cette tenue ? Je suis un homme !
Je réfléchis quand soudain, je vis la tenue quon m’avait mise, c’était des gants longs en satin, ils ondulaient comme un serpent, ils s’approchaient de moi, mais je ne pouvais m’enfuir, j’étais toujours attaché par la chaîne, une fois quelles eurent atteint mes jambes, elles se mirent à les caresser, je fus surpris par tant de douceur vu ce que je venais de subir !
Elles caressèrent mes jambes avec douceur, j’en oubliais presque la tenue, je voulus les repousser, mais les foulards reprirent leur place à mon poignet encore une fois prisonnier et soumis, elle remontait le long de mes jambes doucement, délicatement, quelle sensation exquise avec le collant sur les jambes, quel pied, mon excitation grimpait, mais je résiste, je ne me laisserais pas faire par de vulgaires habits !
Je me débattis encore, quand soudain, une main touche mon sexe et commence à faire quelque va-et-vient, je restai figé, puis ça continua encore plusieurs minutes qui me semblèrent si longues puis ce qui arriva, je finis par éjaculer dans le string, ce fut douloureux, mais aussi me procura énormément de bien.
La main partit de mon sexe et remonta vers la fausse poitrine, quand les deux mains touchèrent les seins, je fus surpris, car je ressentais les mains sur la poitrine comme si c’était vraiment mes seins ??
Elles passèrent sous le haut, dégrafèrent juste l’arrière du sous-tif pour dégager les seins et se mettent à les caresser, une fois de plus, je ressentais les caresses me procurant une fois encore un bien fou, elles titillent mes tétons, malaxent les seins, ça dura encore un bon moment, j’ai perdu la notion de l’heure.
Plus elle continuait leurs caresses, plus c’était l’extase, je perdis tout sens ! Une main lâcha prise pour revenir à mon sexe par-dessus le collant et recommencer des va-et-vient, mon sexe se dressa encore une fois, il voulut se tendre de plus belle, comme si le string allait s’arracher !
Au bout d’un certain temps, j’éjaculais de nouveau, mais ce fut différent que la dernière fois, ce fut encore plus puissant, je ne saurais l’expliquer.
Mais je ne fus pas encore libéré ! Les mains continuaient de plus belle, je voulais aller me coucher, mais rien à faire, je crus que j’allais mourir de plaisir.
Je ne sais pas combien de temps a passé, mais après encore avoir joui une autre fois, avec la fatigue accumulée, je perdis connaissance.
Je me réveillai dans ma chambre, sur mon lit, j’avais un énorme mal de tête comme si j’avais trop bu, puis les souvenirs me revinrent, je me rappelle de tout et la première question qui me vient à l’esprit" comment j’ai pu revenir dans mon lit ?" comme si tout cela fut un rêve, je voulus me lever, mais quelque chose me dérangea à mon entrejambe, j’enlevai la couverture, et je vis avec horreur, un petit string rouge bordeaux, tout en dentelle avec un nud sur le devant.
Je voulus l’enlever, mais c’est comme s’il fut collé à ma peau, j’allai à la cuisine pour prendre un ciseau ou un couteau, mais je vis l’horloge de ma cuisine, c’est une horloge moderne qui indique l’heure, mais aussi la date, elle indiquait qu’il était 8h45 et on est lundi matin ?!?
Jaurais dormi toute la journée de dimanche ? Je courus à ma chambre prendre le portable et je vis sur mon portable quasiment la même heure que dans la cuisine !
Merde, je vais être en retard !
Jenvoyai un message à mon chef pour dire que je serais un peu en retard ce matin, mais que je serais là avant 9h30.
Une fois le message écrit, je retournai à la cuisine prendre le fameux couteau, mais rien à faire, ça ne coupait pas, je vois le temps défiler et je me résigne donc à prendre une douche avec le vêtement.
Je pris une douche rapide, voulus prendre un caleçon, mais je n’en trouve aucun ! Pas le choix, me dis-je, je mis mon pantalon, une chemise, je me regardais dans le miroir et le string ne se voyait pas, je fus soulagé, mais stressé de partir au travail avec un risque d’être surpris.
Je pris ma voiture et me dirigeai à mon travail tout en étant stressé par cette journée qui allait commencer sans savoir ce qu’elle allait me réserver…
J’espère que ce chapitre vous a plu, c’est ma première histoire ici, je vous remercie de votre indulgence.