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sévice miltaire – Chapitre 1




Il était à peu près deux heures du matin quand j’ai été agressé. Le réveil a été brutal. Une masse énorme s’est abattue sur moi, pendant qu’une main puissante me bâillonnait.

On était en juin, il faisait très chaud. Je dormais nu malgré l’interdiction, presque à plat ventre. Le mec qui s’était jeté sur moi pendant mon sommeil était nu aussi… et il bandait fort. Il était dégoulinant de sueur.

Il m’a clairement dit de me taire et son gabarit m’a fait prendre ses menaces très au sérieux. Il a desserré son étreinte et j’ai fait signe de la tête que je ne dirais rien.

La situation n’était pas difficile à analyser. C’était dans la nuit du vendredi au samedi. Toute la section était partie en permission et nous n’étions que trois dans le bâtiment. Le sergent, qui dormait dans sa piaule à l’autre bout de la chambrée de cinquante lits, le soldat de base, et moi. A la taille du mec, je ne pouvais pas me tromper. Le sergent était petit, trapu et barbu. Le mec qui était sur moi, était grand et imberbe. C’était le soldat de base, le plus grand gars de la section. Une marmule de près de deux mètres que sa grande taille avait failli faire réformer. Mais on lui avait trouvé un uniforme à sa mesure, de justesse. C’était un gars de l’est, de 19 à 20 ans, du nom de Wilfried, un bûcheron, tout en puissance. Sa bite était une curiosité dans la section. Plus d’un y avait jeté un oeil sous la douche car personne n’avait vu un machin aussi long entre les jambes d’un mec. C’était ce pieu gigantesque que je sentais contre ma cuisse.

Il avait amené du gel. Il en a enduit ses doigts et m’en a foutu deux dans le fion et j’ai poussé un petit cri de douleur. Il a murmuré, très fermement, sur un ton qui n’admettait pas de réplique :

Ta gueule !

Ok, ok.

Puis il s’est allongé sur moi, m’a obligé à écarter les cuisses et à commencer à me forcer. J’ai dû mordre mon bras pour ne pas crier tandis que ma main droite serrait le matelas fermement. La chaleur montait.

Malgré la morsure que je m’infligeais, ma bouche laissait s’échapper une plainte étouffée.

Le gland était entré mais, sur cette queue énorme, il était moins large que la hampe qui ne passait pas. Il s’est retiré, a remis du gel et s’est replanté dans mon cul. La douleur était intense, je suais à grosses gouttes. Le chibre entrait millimètres par millimètres dans ce cul trop étroit qui faisait de la résistance. L’autre me soufflait des insultes à l’oreille.

Tu résistes chiennasse ! Tu peux bien contracter ta rondelle petite pute, je vais te l’éclater. Je vais te défoncer salope !

Quand la pine a été entrée toute entière dans mon cul, touchant le fond de la paroi, il a commencé à se bouger dans tous les sens, lentement, de haut en bas, de droite à gauche, pour me détendre et m’assouplir. Les insultes avait cessé;

Elle est bonne ta chatte. Tu vas voir, je vais bien m’occuper de toi, tu vas aimer ça.

Rien n’était moins sûr. Pour le moment c’était un cauchemar et je me retenais toujours pour ne pas crier, terrassé de fatigue déjà.

Puis il a commencé le va et vient, lentement, et de plus en plus vite, ressortant presque entièrement la masse, la replongeant jusqu’aux couilles. Quand, par deux ou trois fois, sa queue est sortie du trou, il l’a renfilée d’un coup, jusqu’au fond en me déchirant.

Peu à peu pourtant, la douleur s’évanouissait et je me m’étais mis à bander.

Je me taisais toujours, me conformant aux ordres, mais je ne me mordais plus le bras. Je gémissais. Parfois mes fesses claquaient sous le choc de son corps. Le lit grinçait à rendre l’âme.

Tout à coup, la lumière s’est allumée tandis qu’ a retenti un très ferme "Garde à vous !".

Les bruits du matelas, auxquels Wilfried n’avait sans doute pas pensé ou qu’il avait oubliés dans son ardeur, avaient réveillé le sergent, qui avait traversé la chambrée sans que l’on s’en rende compte. Il était parvenu près de l’interrupteur le plus proche. Il était à côté de nous.

Mu par le réflexe, Wilfried s’était retiré d’un coup, se fracassant le crâne sur le plumard du dessus (les lits étaient jumeaux) et se figeant dans un garde à vous impeccable (C’est beau la discipline !), la bite toujours fièrement tendue et le gland entièrement découvert, droite devant lui, formant un angle de 90° avec son pubis.

Moi j’étais resté allongé, sans bouger, tellement j’étais crevé par cette chevauchée dont mon cul avait été la cible.

L’autre gueula à nouveau:

J’ai dit garde à vous bordel de merde !

Je me relevai avec lenteur et me mis au garde à vous, un peu de profil par rapport à Wilfried, de sorte que je pouvais les voir tous les deux, lui et le sergent. Pendant que le sergent nous engueulait (C’était l’armée ici, pas un baisodrome, etc…), je le regardais. Il était torse nu, en short. Il était très musclé, pectoraux saillants, abdos bien taillés, bras bien dessinés, jambes et cuisses épaisses. La poutre apparente sous son short était de belle dimension et me laissait perplexe. A en croire sa bite, le spectacle avait dû l’exciter un peu.

Tu m’écoutes quand je parle ?

Hein?

On dit : pardon sergent !

Pardon sergent.

T’as entendu ce que je te demande ,

Non.

Non, sergent !

Non sergent.

Est-ce que tu étais consentant. ?

Je ne répondis pas tout de suite, en me demandant quelles pourraient être les conséquences de ma réponse.

Alors ? T’étais consentant ?

A ma grande surprise, Wilfried répondit:

Non. Il ne l’était pas. Je l’ai forcé.

Et en me regardant

Pardon mec. Il y a plusieurs jours que j’ai flashé sur toi. Je te demande pardon.

Je ne sais pas s’il était sincère car il bandait toujours. Mais il m’a touché. Alors j’ai dit :

C’est pas grave, de toute façon je me suis laissé faire.

Et le sergent à repris :

Alors ? T’as aimé ça?

Et moi, comme un con, j’ai répondu oui. J’avais entendu dire que les homosexuels étaient réformés et j’y voyais une occasion de rentrer chez moi.

Il y a eu un moment de silence et le sergent a dit, tout en baissant son short.

A genoux.

Comme je le regardais incrédule, il a répété

A genoux !

Son sexe avait sursauté. Il était devenu énorme, plus court que celui de Wilfried mais au moins aussi épais. Dès que j’ai été en position, il me l’a enfourné. Il sentait très fort le mâle. Sa toison était humide de sueur et sentait le sperme. Il avait dû se branler avant de dormir. Au goût salé de sa queue, l’hypothèse ne faisait plus de doute.

Pendant que je le suçais, avec application, Wilfried se branlait en se rapprochant jusqu’à toucher le sergent. Les deux mecs s’embrassèrent à bouche que veux-tu. Les deux pines sous le nez, j’allais désormais de l’une à l’autre.

Après, le sergent nous a emmené dans sa piaule. Il a fait s’allonger Wilfried sur le dos puis m’a forcé à m’empaler dessus, en supervisant l’opération du doigt et de l’oeil. Mon cul qui avait retrouvé son calme s’est remis à souffrir pendant le lent coulissage le long du chibre. Puis je me suis mis à monter et descendre dessus, de plus en plus vite, la quéquette tendue à mort se ballottant au gré du mouvement. Comme je faisais face à Wilfried, je ne perdis rien de la bite du sergent entrant dans sa bouche. Pendant qu’il se faisait sucer, il me tortillait les tétons, assez violemment et parfois, me giflait la bite.

Mon cul en bouillie, j’ai reçu l’ordre de me mettre à quatre pattes pour supporter cette fois les assauts du sergent pendant que je bouffais la bite de l’autre. Le long séjour dans mon cul lui avait donné, je dois le dire, un léger goût de merde, pas agréable au début. Puis je m’y suis fait. Son gland touchait presque mes amygdales pendant que l’autre bourrin me dosait à grands coups de manche. En ne me tenant que sur un bras, j’ai pu me masturber pendant que mes deux trous étaient en surchauffe.

Puis ils ont échangé les places, la bite du sergent dans la bouche et Wilfried labourant mes fesses en levrette avec son gros soc. Puis ils ont encore changé les rôles. Je leur servais vraiment de lope.

Avant de m’enfiler une dernière fois, le sergent m’a bouffé le cul. Sentir sa langue rapeuse me fouillant l’entrée du fion et les poils de sa barbe sur mes fesses, c’était un délire. Puis d’un coup vif il m’a emmanché sa tringle à fond jusqu’à écraser ses grosses burnes sur mon cul. Il y est allé, en me tenant fortement par les hanches, à mouvements lents en retirant toute la masse puis la ré-emboitant en une seule fois très rapidement. Il haletait et est revenu se faire sucer.

Tout à coup, il s’est raidi, m’a cramponné la tête en position statique et j’ai senti ses couilles qui se déchargeaient dans ma bouche. La crème, épaisse quoique peu abondante, m’a presque fait vomir mais l’étreinte sur ma tête m’a obligé à tout avaler.

Comme il avait joui, le sergent nous a ordonné d’aller au douches. On a obéi même si Wilfried a trouvé peu cool de ne pas finir. Arrivé dans les sanitaires, on a compris que ce n’était qu’une pause. Wilfried s’est retrouvé étendu sur le carrelage, même pas froid, et j’ai dû à nouveau m’empaler dessus. J’étais éreinté. Quand j’ai été bien fiché sur le bout, le sergent s’est mis debout au dessus de nous pour me pisser à la gueule tout en aspergeant le ventre de Wilfried.

J’avais reçu l’ordre de me retirer avant l’orgasme du mec qui me tronchait avec vigueur. C’est ce que j’ai fait, juste à temps pour voir le géant serrer sa queue à la verticale et les jets puissants s’élancer en l’air, très haut, avec vigueur pour retomber en pluie de sperme un peu partout. Puis les jets se sont faits moins puissants, recouvrant le gland, la bite et les doigts de Wilfrried. J’ai commencé le décrassage avec l’extrémité de ma langue, sur le trou de pine où elle pouvait entrer un peu. Le sperme sentait bon, il était épais, pas trop amer. La queue qui débandait vite était douce et avait un goût légèrement salé mais pas acide dans ma bouche.

Quand le décrassage a été terminé, on a dû se mettre en 69 (il fallait bien obéir aux ordres) moi dessus. Et on s’est pissé mutuellement au visage. On s’est lavé et nous sommes retournés le sergent dans sa chambre et nous dans le dortoir. Wilfried a posé deux matelas par terre, côte à côte. Je lui ai dit :

Qu’est-ce que tu fait ?

Je veux dormir avec toi. J’aurais jamais dû te prendre de force. C’est la première fois que je prends un mec. Ça fait quinze jour que je te regarde et ne pense qu’à toi. Je suis raide dingue de toi. J’ai pas pu me retenir, mais je peux pas me passer de toi.

Putain mais t’es grave ! Tu m’as violé !

Ben tu as dis que tu avais aimé… mais je te promets, je te prendrais plus jamais de force. Je suis fou de toi.

En regardant ce mec magnifique, avec son gros paquet qui pendait entre les cuisses et en repensant au mal qu’il m’avait fait, mais aussi au plaisir que j’avais ressenti, j’ai craqué. Je me suis allongé et j’ai écarté les jambes comme une invitation. Il a éteint et est venu se poser en douceur sur moi. On ne bandait plus mais c’était super bon, justement, de s’embrasser et de se caresser sans cette excitation sexuelle, et on s’est endormis l’un contre l’autre. Quand je me suis réveillé, le sergent était debout, devant nous à nous contempler en se branlant. Wilfried dormait avec une belle gaule du matin. J’avais fin de ce sexe et je l’ai pris… on a baisé tout la matinée à trois et j’ai su que finalement, j’allais me plaire à l’armée.

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