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Les aventures de Johanna – Chapitre 6




Émilie tapa vigoureusement le flanc de son chien puis elle lui chuchota trois mots à l’oreille.

— Baise cette femme !

Lorsque la vétérinaire lâcha la laisse de son labrador, ce dernier se rua vers la promeneuse et lui sauta instantanément sur le dos. Clara avait agrippé fermement les mains de la femme du violeur pour ne pas qu’elle puisse se débattre. En envoyant son dernier coups de rein, l’homme se crispa et fermât les yeux pour éjaculer dans le corps accueillant de la petite femme pendant que sa femme se faisait lentement pénétrer par Émilio. C’était maintenant au tour de la promeneuse de hurler son désaccord mais contrairement à Clara, sa réticence ne se transformât pas immédiatement en plaisir. Le sexe à présent flasque du violeur quitta mollement le corps de sa victime puis il se releva et ouvrit enfin les yeux pour se rendre compte de ce que subissait sa femme. Flocon fut libéré de sa prison anale et alla se réfugier près de Émilie qui attrapa sa laisse et se rapprocha doucement du promeneur.

— Alors mon salop, c’était bon de se taper la petite jeunette ? C’est pas ta pute qui te fait autant bander hein ?

— Bande de garce ! Laissez ma femme tranquille !

— Non ! Pas avant que mon chien se la soit bien tapé !

— Alors toi aussi je vais te baiser sale pute !

L’homme empoigna Émilie puis il la retourna et colla son sexe encore poisseux sur le pantalon de la vétérinaire.

— Pauvre mec ! Tu t’es tapé une seule chatte et t’arrive plus à bander ? Mon chien en est à sa quatrième femme en moins de deux heures ! Regarde comme il se tape ta pute, ça va peut-être t’aider à avoir la trique !

En tournant la tête, l’homme fut effectivement excité de voir sa femme se débattre sous les assauts du chien. La promeneuse subissait difficilement la pénétration animal d’autant plus qu’elle n’était habituée qu’aux dimensions de son mari. Clara put voir le nud de Émilio disparaître entre les cuisses de sa partenaire et décida de laisser le chien se vider tranquillement dans le corps de cette nouvelle femelle. La jeune fille se releva à son tour et attrapa les testicules de son violeur pour les serrer fortement.

— Hé connard, c’est pas parce que tu m’a fait jouir que ça te donne tous les droits ! Lâche ma copine sale pervers !

— HAAAAA ! Lâche d’abord mes boules sale pute !

Émilie envoya un coups de pied dans le tibia de son agresseur qui lâcha aussitôt prise. Toujours cramponnée aux testicules du promeneurs, Clara profita de sa situation de force pour en savoir plus sur ce couple.

— Vous faîtes quoi tous les deux dans forêt avec autant de vaseline ?

— Ça te regarde pas connasse !

— Oh ! Connasse ?

Agacée par cette insulte, la jeune fille serra encore plus fort les testicules de l’homme. Émilie s’était maintenant approchée de la promeneuse dont l’amant été descendu pour se retrouver fesses contre fesses avec elle. La vétérinaire entama un interrogatoire de son coté avec la nouvelle partenaire sexuelle de son chien.

— Tu sais, dans cette position je peux facilement faire en sorte que ce chien te sodomise.

— NON ! J’ai déjà du sperme de chien en moi et je trouve ça horrible ! Arrêtez, laissez-nous partir.

Clara réagit violemment lorsqu’elle entendit cette phrase.

— QUOI ?! HORRIBLE ?! Et quand tu te doigtais parce que mon chien giclait dans mon cul c’était pas horrible ? Émilie, laisse Flocon la défoncer !

— NON ! Arrêtez ! Je vais tout vous raconter !

L’homme était intervenu pour éviter à sa femme une plus grande douleur.

— En fait, la vaseline c’est pour moi. Ma femme ne supporte pas la sodomie alors elle me l’a fait un jour pour que je vois le mal que ça fait mais j’y ai pris beaucoup de plaisir. Quand on part tous les deux en forêt, je la laisse me mettre un gode dans le cul pendant que je la baise. Elle n’a jamais connu un autre homme que moi mais elle adore me voir avec d’autres femmes.

— Bon… Au moins tu reste le seul homme qu’elle a connu !

Clara desserra doucement l’emprise qu’elle avait sur son violeur puis elle remis enfin son pantalon et se rapprocha de Émilie.

— Sacrée expérience ! Première fois avec ton chien, première double jimagine ?

— Oui ! Et première fois que je bouffe une chatte aussi ! Premier viol, première fois que je me doigte dans une voiture, première pipe à un chien tout à l’heure c’est la journée des premières ! Oh ! Et première fois pour elle avec un chien !

Le promeneur resta docilement dans son coin puis il se rapprocha lentement de sa femme pour la soutenir. Émilio quitta sa prison vaginale puis les deux femmes retournèrent vers la voiture de la vétérinaire pour reprendre la route vers son cabinet. Avant de partir, elle purent entendre le couple de promeneurs échanger quelques mots.

— Ça va ma chérie ?

— Oui mon amour…

— Il t’a fait mal ?

— Oh non ! Tu aurais peut-être du la laisser lâcher le deuxième chien…

Installé à l’arrière, les deux mâles se reposaient des sollicitations sexuelle qu’ils avaient du assurer pendant que Clara et Émilie conversaient.

— Clara, ça va ?

— Oui pourquoi ?

— Et bien… Tu viens quand même de te faire violer.

— Pff tu parles ! Sa bite faisait même pas la moitié de celle de mon chien.

— Oui mais… enfin, je veux dire, tu te sens bien ?

— OUI ! Avec l’envie de sexe que j’avais, c’est pas un coup de plus qui va me tuer !

— Je suis désolé de t’avoir laissée seule.

— Oh ! Et qu’est-ce que tu aurais dit si tu avais été là ? J’imagine la scène ! Oui, mon amie avait une grosse envie de bite alors on s’est arrêtée pour qu’elle se tape son chien parce qu’elle arrêtait pas de se doigter dans ma voiture. Et comme mon chien lui avait déjà giclé dans la chatte, elle m’en foutait plein les sièges…

— Ouais… J’avoue que c’est un peu dur à expliquer… Mais ce mec ne t’as pas traumatisé au moins ?

— Mais non ! Je vais te dire un petit secret… Avec mon ex, on jouait souvent à des jeux de rôle.

— Genre donjons et dragon ?

— Heu… Non, carrément pas… Des jeux de rôle sexuels… Mais d’où tu connais donjons et dragon toi ?

— J’en ai juste entendu parler. Bref, continu ton histoire.

— OK, on avait un jeu préféré, c’est quand je me baladais en jupe sans sous-vêtements et qu’il me prenait par surprise dans un coin sombre. On se donnait rendez-vous, je me mettais de dos, je relevais ma jupe et il me faisait ma fête.

— Quoi ?! Comme ça dans la rue ?

— Dans la rue, dans la forêt, au cinéma, au restaurant et même dans des cabines d’essayage.

— En fait t’es une vrai cochonne !

— Et tu connais pas encore la suite. Un soir, on s’est donnés rendez-vous dans une rue où les lampadaires étaient tous en panne, je me suis mis en tenue adéquate et je suis allée toute seule là-bas dès qu’il a fait nuit. Je me suis collée contre un mur, j’ai relevé ma jupe et j’ai attendu les fesses à l’air qu’il arrive. Quand j’ai enfin sentit une bite se présenter contre ma chatte, j’ai mouillée comme une fontaine et je l’ai laissé entrer facilement mais ce n’était pas la bite de mon mec.

— Tu fais un appel au viol et tu t’étonnes ?!

— C’est pas ça le pire… Je m’en suis très bien rendu compte mais j’ai laissé le gars faire en prenant un pied d’enfer. J’étais en train de me faire baiser par un inconnu et ça m’excitait !

— Quoi ?! Tu t’es même pas débattue ?

— Et non ! Mais c’est toujours pas ça le pire… quand le gars à fini sa petite affaire, je suis restée en position en me disant que mon fiancé n’allait pas tarder à me rejoindre et je ne me suis pas trompé de beaucoup !

— De combien ?

— De huit.

— Huit minutes ?

— Huit mecs.

— T’as laissé huit mecs te gicler dans la chatte ?

— Pas vraiment, il y avait neuf mecs en comptant le premier mais il y en a trois qui n’ont pas giclé dans ma chatte. En fait, quand le deuxième est arrivé, j’ai senti une grosse bite pointer sur mon cul. Je savais que ce n’était toujours pas mon fiancé parce que ce gars avait vraiment une bite énorme mais même si je n’aime pas… pardon, même si je n’aimais pas du tout la sodomie, je l’ai laissé me casser le cul et y envoyer sa purée. Il y a deux autres gars qui m’ont enculés mais vu la taille du premier, je n’ai presque rien senti.

— Et quand ton mec est passé après eux, il a rien capté ?

— Non, parce que ce connard n’est même pas venu au rendez-vous. C’est lui qui avait prévenu tous ses potes que j’allais me laisser baiser par n’importe qui dans une ruelle sombre. Le pire, c’est que j’ai pris un pied d’enfer ce jour-là.

— C’est sûr qu’après ça, le petit promeneur n’en mène pas large…

— Et oui, j’ai déjà connu la tournante collective. Mais c’était quand même la première fois qu’un gars me sautait sans que j’en ai envie. Pourtant il m’a sacrément fais jouir ce salopard ! J’aurais bien aimé qu’il te baise aussi, on aurait partagé la même bite comme ça.

— Et celle de mon chien ça compte pas ?

— Oh ! C’est vrai que tu as du sacrément profiter de ton chien avant moi !

— Oui, on a même partagé la même bite toutes les trois avec Virginie !

— Bien, il ne manque plus que Johanna alors.

— Oh ! Je pense que ça va pas tarder. Il ne faut pas oublier la promeneuse et quelques-une de mes clientes aussi.

— Tiens, maintenant que je me suis enfin fait baiser, tu veux bien me raconter ton histoire ?

Clara était réellement intéressée par le parcours de cette femme bien plus âgée qu’elle et voulait savoir comment elle était devenue adepte du sexe canin.

À suivre…

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