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L'éducation d'Hélène – Chapitre 2




Nous avions dans le collimateur un antiquaire soupçonné de receler et revendre des uvres d’art volées…

Hélas comment le prouver, nous n’allions quand même pas le cambrioler pour trouver les papiers le confondant, imaginez le scandale.

Nous savions qu’il passait ses documents à la broyeuse et ensuite qu’il les mettait à la poubelle. Il était tellement précautionneux qu’il déposait sa poubelle juste avant l’arrivée des éboueurs, et même parfois, il lui arrivait de les attendre…

La seule solution était de soudoyer les éboueurs… c’était presque toujours la même équipe. Je me suis mise donc à les filer jusqu’à lentreprise qui les embauchait… lorsque je les vis sortir tous les trois, je les abordais, leur proposant de leur offrir un café que je devais leur parler. Bien sûr, c’était des hommes plutôt peu raffinés qui ne se gênaient pas pour regarder mes formes, même sourire, en se donnant de coups de coude

Plus ou moins discrets… le chauffeur était noir, plutôt petit, assez gras, les deux autres, des blancs assez vulgaires plutôt muscles vu le travail assez physique qu’ils exerçaient mal rasés mal habillés…

Je dois avouer que cette situation me troublait qu’ils m’attiraient. Mais pourquoi cette attirance vers tous ces hommes qui devraient normalement me répugner, sur lesquels je ne devrais même pas porter le moindre regard la moindre attention. J’étais honteuse de ce que je ressentais, mais tellement excitée.

Assis tous les trois à une table, je leur ai expliqué mon travail d’enquête, et je leur ai exposé mon problème et leur demande s’ils acceptaient de détourner le contenu de la poubelle papiers de Mr X et quelles seraient leurs conditions ?

De plus, je n’avais parlé à personne de mon initiative et je ne savais pas quel budget je pouvais consacrer à cette action.

Ils ont accepté, mais pour les conditions, le prix était MOI !

Abasourdie par une telle audace, figée, mais troublée, folle, honteuse, je ne répondais pas et le noir qui semblait être le chef a pris la parole

Tu nous appartiens une nuit entière tous les trois une nuit avant une nuit après. CETTE NUIT… Il me tutoyait, ne me respectait déjà plus, j’étais déjà sa chose, sa salope…

Mon ventre se liquéfia, mon souffle s’accélérerait.

Non. Oui heu. Non vous vous rendez compte !

Et ce salaud de dire :

Tu hésites, cela veut dire que tu en as envie. Je suis sûr que tu es une salope comme toutes les bourgeoises… me dit-il en posant sa main calleuse sur la cuisse, un frisson de honte.

J’étais déjà à lui, il le savait.

— Allez salope, on y va ! Je ne disais rien, incapable de toute réaction frissonnante, la raison me disait « non, n’y va pas, tu vas te perdre « le démon qui me possédait l’exigeait…

Je me levais comme une automate…

— Salope, on va prendre ta voiture « les gars, pour une fois que l’on va rentrer en voiture ». Donne-moi tes clés. Richard, va conduire, moi, je monte derrière avec ma salope. Tu es à moi, désormais, tu es ma pute.

J’eus le courage de dire d’une toute petite voix,

— Attendez, je dois téléphoner…

Mais qui appeler ? Je devais quand même assurer mes arrières… Simonard ! Oui, lui !

— Monsieur Simonard, je n’ai pas le temps de vous expliquer, mais si je ne suis pas rentrée demain à midi, prévenez la police voir la société « ordures ménagères »

Je raccrochais alors que mes futurs maîtres me réclamaient sans aucune discrétion. J’espérais que Simonard n’avait pas entendu me mot « SALOPE ».

Je m’installais à l’arrière de la voiture, ma jupe relevée haut sur mes cuisses, Mamadou ne perdit pas de temps et posa sa main sur ma cuisse par réflexe, je tentai de le repousser en prenant son poignet… mais sans un mot, il me regarda dans les yeux et je le lâchai.

Sa main remonta le long de ma cuisse, je ne montrai plus aucune résistance.

— Eh les copains, notre salope porte des dim up. Je vous l’avais bien dit que c’était une pute prête à tout pour réussir. Je suis sûre que tu couches avec ton patron !

— Non, ce n’est pas vrai

Je m’ouvris, et lorsqu’il atteignit mon string, mon souffle s’accéléra…

— Elle est trempée cette salope, les mecs, on va bien se vider les couilles.

Et moi d’avancer mon bassin pour mieux m’offrir. Mamadou se pencha sur moi, ses lèvres se sont posées sur les miennes, sa langue a forcé ma bouche et je me suis laissée envahir en lui rendant son baiser… ahhhh

Il s’est reculé sur le siège pour sortir un membre énorme déjà raide et il m’a obligée à me pencher en avant avec sa main posée sur ma nuque… docile, soumise, j’ai ouvert la bouche, à la fois dégoûtée, et gourmande… lui palpait mes seins durs eriges par l’excitation.

Dis Mamadou, elle suce bien la pute ?

Ouais les gars, ouais ! Allez, continue ma putain blanche.

Ma tête montait et descendait sur sa « bite », oui c’était une « bite » que je pompais maintenant avec avidité avec envie et désir, à mon initiative, je pressais ses testicules. NON ! Ses couilles !

Il avait compris que j’aimais ce que je lui faisais que je me donnais.

Je vais jouir dans ta gueule de petite pute

Ah ouiiii prends tout !

Jai reçu une quantité incroyable de sperme dans ma bouche que j’avalais avec tant de plaisir, je me suis redressée en le regardant dans les yeux, souriante…

J’en voulais encore et je n’allais pas être déçue

Une fois arrivée chez Mamadou, j’ ai été déshabillée. Richard et Ahmed qui avaient été chauffés par le spectacle que je leur avais donné dans la voiture ont voulu que je les suce, et bien sûr, je les ai bus…

J’ai découvert que le sperme avait un goût diffèrent selon les hommes.

Toute la nuit, j’ai été baisée, oui, c’est bien le terme, ils me prenaient les uns après les autres et jouissaient en moi sans s’occuper de moi sans faire attention à moi… Et le plus fou est que j’y ai pris un plaisir énorme délirant. Jai eu plusieurs orgasmes de folies, des orgasmes en cascades où je hurlais ma jouissance…

J’ai été prise en sandwich. Jondulais comme une folle sur ces deux bites qui me possédaient pour me donner encore plus pour les sentir encore plus en moi. Je leur disais que j’étais leur pute à jamais déchaînée. Ahmed m’a obligée à me taire en enfournant sa queue dans ma bouche. Je me suis mise à le pomper avec dévotion et le désir de le boire avidité.

Jétais la proie consentante excitée folle de trois mâles à la fois…

Épuisée, je me suis endormie entre mes amants, disons plutôt mes mâles…

Je me suis réveillée, secouée, comme perforée, sentant en moi une bite aller et venir, ouvrant les yeux, cherchant à savoir qui…

Mamadou était en train de me prendre pendant mon sommeil, je n’eus qu’à serrer mes pieds dans son dos pour lui faciliter la tâche lorsque j’ai senti sa semence gicler dans mon ventre, j’ai joui aussi moins fort, mais c’était très agréable…

André et Ahmed sont repartis chez eux, couple oblige…

Vers 9 heures du matin, je me suis habillée pour rentrer chez moi… non sans avoir encore sucé Mamadou.

Repue aussi épuisée par cette nuit de délire de folie, j’ai continué à me découvrir à essayer comprendre ma sexualité ma personnalité… J’étais une perverse et je devais l’accepter et vivre avec…

Mais quels plaisirs, quelles sensations ! Je sais que maintenant, je ne jouerai plus les hypocrites, les prudes.

Oui je suis une salope et désormais j’assumerai.

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