Depuis tout jeune, jai toujours eu une attirance pour les jeux de domination et soumission. Je me retrouvais fréquemment à jouer avec des cordes et divers objets. Après lenvol du foyer familial et les découvertes des joies solitaires, ces envies ne firent que grandir et trouver de nouveaux jeux et défis.
Je me suis alors découvert soumis, aimer me sentir humilié, puni, insulté, et offrir le plaisir à celui qui me dirigeait.
Aujourdhui encore, me voilà dans ce désir tabou que je refrène comme une honte, une envie interdite.
Jai rencontré Maître L sur un site spécialisé où jerrai perdu dans mes envies et désirs. Tout de suite, jai senti cette différence en lui, cette envie bienveillante envers son objet. Il a su me rassurer et me rabaisser en même temps, chose qui mest très rarement arrivée…
Me voilà, aujourdhui, après des semaines de dialogue prêt à la plus grande folie pour lui. Je vais rencontrer et devoir mexécuter pour lui selon ses désirs.
Il ma donné rendez-vous dans un centre commercial sur un parking couvert, jattends là depuis bientôt dix minutes et le temps passe très lentement. Mon cur palpite, je me sens stressé, inquiet, et très excité aussi. Mon téléphone vibre, il menvoie un message :
Allée 18 Place 25, voiture bleue.
Mon cur est en train dexploser dans ma poitrine, je reste figé sur place, je narrive plus à bouger, ma timidité prend le relais. Je prends une grande inspiration et souffle lentement, me lançant dans le parking. Les allées défilent, plus les chiffres augmentent, plus mon cur saccélère.
Allée 18, my voilà, je minsère et arrive devant la place 25, la voiture est garée vers lavant, je ne vois personne, je monte vers la vitre passager et ouvre la porte. Je minstalle sans un mot sans oser regarder vers lui.
Bonjour petite salope.
Ces mots transpercent mon être, ma peau frémit et mon corps sursaute, mes mots mettent du temps à sortir, ma petite voix timide ose répondre :
Bonjour Mon Maître.
Tu as porté ce que jai demandé salope.
Oui Maître, voici la cordelette, les élastiques.
Tu as bien mis ta tenue ? demanda-t-il sèchement.
Oui Mon Maître, string porte-jarretelles et bas, comme vous lavez demandé Maître.
Retire ton pantalon, montre-moi.
Mon cerveau est déconnecté, je ne me sens plus maître de mon corps, il est en train de me posséder et je deviens sa marionnette, sa poupée… Je retire doucement mon pantalon et le pose à mes pieds. Me voilà exposé à ses yeux et non plus devant un écran, mes cuisses se serrent, je me sens femelle, chienne…
Humm, voilà enfin ma petite chienne à disposition.
Oui Mon Maître, merci de me permettre dêtre à votre disposition.
Tu nas donc jamais goûté de queue ma salope ?
Non mon Maître, je nai jamais rien fait.
Très bien, ma traînée, commence par me caresser. Apprends à me faire bander.
Je pose mes yeux sur son entrejambe, cest la première fois que je mattarde si longtemps sur un homme ici. Mes mains vont timidement dessus et caressent à pleine paume.
Sois plus douce, plus féminine ma salope. Rappelle-moi ce que tu es.
Je suis votre salope soumise, votre chienne dévouée Maître.
Alors agis comme cela !
Mes mains deviennent plus légères, plus féminines, mes doigts survolent sa braguette doucement. Mon regard ose même se poser sur le sien de manière coquine. Mes lèvres se mordillent et ma langue sort pour narguer.
Voilà, voilà, là je te reconnais petite excitée.
Sa main vient se poser sur mes cuisses et remonte sur mon sexe qui ne tare pas à se dresser. Je gémis tellement cette sensation est nouvelle pour moi, un homme pose pour la première fois sa main sur mon intimité. Quelle humiliation pour moi, je me sens dépossédé, je me sens enfin chienne. Sa main ferme et robuste se ferme sur ma tige et serre, serre, je mords mes lèvres. Il sait que jaime cela…
Elle descend sur mes bourses, je sais ce qui va marriver et mon corps se raidit et prend peur. Une première petite gifle vient claquer mes bourses, je ne peux mempêcher de gémir et crier.
ouah, merci, Mon Maître, merci de faire de moi une salope soumise.
Les claques tombent, la douleur est forte, je me tors sur place, contraint de lâcher son entrejambe de ma main.
Qui tas permis darrêter sale chienne ?
Pardon Maître, mille pardons, je ne voulais pas, mais la douleur est trop…
Tu vas te plaindre en plus sale chienne ! Tu es venu me voir pour quoi !?
Pour vous servir Maître mais juste…
Juste rien du tout salope, tu la fermes et tu prends soin de moi.
Je baisse les yeux naturellement et reprends les caresses sur son entrejambe délicatement.
Je sens sa queue dure sous son pantalon et ne peut mempêcher de mordiller mes lèvres denvie. Oui, je le sens, jai envie de sentir cette queue. Comme sil lisait en moi, il mordonne :
Sors là, petite pute, occupe-toi de ton Maître.
Oui Mon Maître à vos ordres.
Je défais sa ceinture, ouvre bouton braguette et descend le pantalon, je tombe sur un boxer bien tendu que je fais coulisser doucement. Et là se dresse devant moi le met tellement attendu, cette belle queue dure, chaude et bien veinée.
Je passe ma main dessus doucement, première sensation surprenante, sentir une queue différente de la sienne en main, je redeviens adolescent qui découvre un corps.
Lèche sale suceuse, me lance-t-il.
Ma langue parcourt son gland, tourne autour et glisse sur ses bourses, je lèche sans réfléchir, jy prends un plaisir insoupçonné.
Sa main attrape ma tête et vient me forcer à gober sa queue dun coup, il métouffe presque avec. Je suis surpris, mais me laisse faire, voilà ma bouche qui enfin connaît le goût dune queue. Je ne peux plus dire que je suis pucelle dici… Il me baise littéralement la bouche, enfonce sa queue au fond… Je tousse, métouffe, crache, mais rien ne larrête, il continue. Il agrippe ma queue et mes couilles les tirent, giflent, caressent.
Toutes ces sensations, douleurs, humiliations, plaisirs sentremêlent et me font grimper comme jamais. Sa queue se durcit, dun coup, je le sens se tendre, un flot brûlant remplit ma bouche. Ses cris de plaisirs me font gémir, je ne suis plus quune chienne, sa chienne.
Son foutre chaud et gluant recouvre ma gorge, il sort sa queue, mattrape violemment la tête, me penche en arrière, forçant ma bouche à souvrir.
Là, joue avec sale suceuse !
Je gémis, tourne ma langue dessus, étale son jus sur mes lèvres.
Allez, avale ça mangeuse de foutre, tu las bien mérité.
Je gémis et engloutis sa semence… une gifle sur mes couilles me fait crier et tordre sur moi-même.
Remballe-moi ça petite pute, et sors dici, tu peux être fière de toi, tu as bien travaillé.
Je range ma queue, remets mon pantalon.
Merci Mon Maître de faire de moi ta salope.
Cest bien, tu nas pas oublié, allez file petite suceuse, à très vite.
Je sors de la voiture, le goût de son foutre chaud encore en bouche et la sensation que sa queue est encore en moi. Je suis trempé, frustré et les couilles bien douloureuses. Mais je suis heureux dêtre enfin une soumise.
