Chapitre 1 Une enseignante pas si sévère que ça:

Vous connaissez tous une femme comme ça. Elle a la trentaine, brune, les cheveux en queue de cheval. Elle a des yeux marrons et porte des lunettes si possible suffisamment grosses pour qu’on ne fasse pas attention à son regard. Elle ne montre jamais ses formes même si elle en a. Elle ne montre de la peau qu’au niveau de ses mains et de son visage très pâle. Toujours des cols roulés noirs et des jeans amples. Strict et sévère. Légèrement sadique. Je la haïssais. Je la détestais et tout le monde la conchiait sauf la petite lèche-cul Maeva. Putain, elle avait beau être bonne Maeva mais qu’est ce qu’elle était conne !

Tristan voulez vous dire quelque chose?

Non madame.

Restez concentré s’il vous plait.

La fac de l’enfer. Le cours de cette Hitler à talons plats était chiant et avait un gros coeff donc j’étais baisé dans les grandes lignes. Que je suis con ! Je ne me suis pas présenté : Tristan Je n’ai jamais aimé ce nom. Je le trouvais pas heureux, ça ressemble à triste c’est pas un nom joyeux et moi un grand nounours de 100 kilos pour 180 centimètre j’étais la définition du type joyeux et bon vivant. Mon petit embonpoint pouvait le certifier. Mes cheveux roux longs ramené vers l’arrière par un serre tête et longeant ma nuque pour retomber sur mes épaules me donnait un côté rockeur que j’aimais bien. Je lui avait rajouté un van dyke parce que c’est la classe. 19 ans et je comptais les heures jusqu’à ma mort quand j’entendais cette prof parler.

Dernier cours de la semaine. Le vendredi au matin. Qui avait eu cette idée conne ? Bref, je rejoins ma bande au bar en face de la fac après mon cours. Juste devant était garé la caravane de Deuce. Deuce était un pote à moi. Son père a passé trente jours sur les routes à faire bassiste pour des concerts. Là, il avait acheté à son fils un joli camping-car avec deux chambres et le luxe intégral. Une vraie maison sur roues. Bref, au bar il y avait Natascha, une amie à nous trois, Zachary, Deuce et moi. On parlait, on parlait, on parlait pendant une petite demi heure avant que je ne me rende compte que j’avais oublié mon portable dans ma salle de classe. Putain de merde.

Je sprintai jusqu’à celle-ci et sur quoi je suis tombé en regardant à travers la fenêtre? Ma tendre prof en train de se faire ramoner par un grand blond dont je ne voyais que le dos. J’apercevais les seins bien ronds et bien en chair de la prof. Je comprenais pourquoi elle veut les cacher : la moitié des élèves auraient bandé dessus sinon. Ça devait être un bonnet D peut être même un E. En tout cas, j’aurais jamais dis plus de C en la voyant en cours. Je ne voyais pas bien son minou à cause du blondinet. Mais je distinguais bien son visage et sa voix. Je décidai donc d’en profiter un peu. Je sortis de mon sac à bandoulière en jean ma tablette sur laquelle je "prenais" les cours et commence à filmer tout en essayant de ne pas me faire gauler. Je les regardais sans bruit pendant un bon quart d’heure avant que Monsieur l’inconnu n’en ait fini. Je rangeai rapidement ma tablette et sortis du couloir mal éclairé de ma faculté. Une fois que le type était parti, je suis rentré dans la salle prendre mon téléphone le plus discrètement possible.

Je suis retourné au bar où je racontais la folle histoire à Deuce, seu car Natascha et Zachary avaient dû aller en cours entre temps.

Putain l’occasion mec, m’envoya nonchalamment Deuce en buvant une gorgée de sa bière.

Comment ça?

Tu peux avoir la moyenne en la faisant chanter avec cette vidéo.

Mais on sait même pas qui est le blond.

Et alors elle a baisé dans l’établissement avec un mec qui a plus l’air d’un étudiant ; ça suffit amplement à la faire renvoyer si ça ce sait.

— J’suis pas malhonnête.

— Moi non plus. Mais même Charles Foster Kane a trahi ses idéaux.

— Tu me propose quoi ?

Et c’est ainsi qu’il m’expliqua le plan. Je suis allé dans un cybercafé et j’ai transféré la vidéo sur ledit ordi. Je créai une adresse jetable, envoyai la vidéo ainsi qu’une photo sur l’adresse de ma prof. Cette salope aurait la monnaie de sa pièce. Je lui donnai rendez vous le lendemain dans un café à dix minutes de chez moi à pied. Facile de s’y rendre mais surtout en plein centre-ville avec des centaines de gens autour. Facile de s’éclipser une fois que j’aurais obtenu ce que je voulais.

Je tiens à vous le dire : avant cette aventure, j’étais quelqu’un d’intègre je refusais toute tricherie. Mais de faire la faire payer pour son air hautain et sa soi-disant supériorité me tentait trop.

Je la retrouvai comme promis, je portais un trench-coat couleur café crème assorti d’un chapeau digne d’Al Capone surmonté et, pour bien cacher mon visage, de lunettes de soleil très grosses. Mes cheveux en queue à l’arrière. J’étais méconnaissable.

Vous voulez quoi, s’exclama-t-elle dès que je fus assis en faisant signe au garçon de m’amener un café.

À votre avis?

Vous êtes un de mes élèves?

Je ne dirai rien. Mais voici une liste d’une dizaine d’élèves qui doivent avoir la moyenne ce semestre.

Je lui tendis une fiche avec des noms d’élèves le mien ne se ferait pas remarqué là-dedans les autres étaient des fouteurs de merde, des cancres, le genre digne de faire ça. Impossible de remonter jusqu’à moi. Elle ravala sa fierté et acquiesça. Mais je ne pouvais m’empêcher de vouloir autre chose. Je ne l’avait pas assez fait souffrir. J’aurais pu faire bien pire. Trop gourmand, j’esquissais un sourire.

Il y a bien autre chose que je veux. Mais c’est à vous de voir.

Quoi encore ?

Même si elle me chopait, elle ne pourrait rien faire sans se faire virer. L’idée germa dans mon esprit que même si elle m’avait vu elle ne pourrais rien faire sans perdre son emploi. Moi j’aurais pu toujours trouver une ligne de défense un peu grasse genre "je n’étais pas le commanditaire mais le messager". J’enlevai les lunettes et le chapeau. Elle m’identifia automatiquement. Elle fut surprise. Elle resta bouche-bée pendant plusieurs minutes avant de me demander ce que je voulais.

À votre avis, Madame ? J’ai vu vos petits exploits avec le blondinet. On dirait pas comme ça mais sous vos vêtements de grand-mère se cache une vraie salope. J’aimerais rencontrer cette femme. Et je vous préviens tout de suite : il existe deux copies de votre vidéo une est dans ma veste et l’autre est chez un ami si quelqu’un est au courant de quoi que ce soit, cette vidéo sera envoyée à la présidente de l’université, à tous vos collègues ainsi qu’au directeur de votre département d’étude. Donc si vous voulez me suivre…

Je bus mon café, j’ai laissé dix euros sur la table en partant avec ma prof. Je lui agrippai la fesse droite dans la main en passant par la poche arrière de son jean. Elle s’apprêtait à crier avant de se rappeler de la situation. Un bon fessier légèrement gros et ferme. Je sentais que j’allais me régaler. Elle restait stoïque, le regard dans le vide comme les condamnés à mort.

Une fois arrivé chez moi, j’enlevai tous mes artifices. Je fus avec un t-shirt de mon groupe préféré et un vieux jean délavé par un lave-linge qui travaille trop bien.

Je ne suis pas un enfoiré, Dis-je en m’affalant sur mon canapé.

Je défis un bouton de mon jean pour respirer. Je vis ma si charmante professeure ravalant une nouvelle fois sa fierté. Elle se posa tranquillement sur le canapé, les mains sur les genoux collés l’un à l’autre. Le dos droit, le regard vide. Elle comprenait ce que je voulais d’elle et que ce que je disais n’était pas un plaisanterie.

Je la laissai prendre son temps. Au bout de 5 minutes, sa main caressa mon jean au niveau de ma bite. Ses petites caresses commencèrent à m’exciter. Ma bite durcissait. Je lui enlevai son chouchou qui lui maintenait sa queue de cheval et commençait à lui caresser gentiment les cheveux. Je sentais sa respiration s’accélérer, son pouls avait l’air de palpiter et ses joues devinrent rouges. Je savais pas si c’était de la honte ou de l’excitation. Elle me demandait tout d’un coup avec une gentillesse que je n’aurais pu lui imaginer dix minutes plus tôt si elle pouvait me sucer. J’acquiesçai et la vis sortir ma bite à demi-molle de mon pantalon.

Ses lèvres douces sur ma bite qui continuait à se durcir au fil du temps. Les petits coups de langue sur mon gland, divin. Elle commençait à avoir du mal à la garder en bouche quand elle bougeait tellement ma queue était glissante à cause de sa bave. Je sortis ma bite de sa bouche. Elle en profita pour essuyer un filet de bave coulant sur sa lèvre inférieure. Son souffle était très fort. J’aperçus un regard animal en elle tel un fauve lâché sur sa proie. Je ne pouvais deviner ce qu’elle avait en tête même si moi j’avais une petite idée derrière la mienne. Elle retira son pull à col roulé noir ainsi que le t-shirt qu’elle avait en dessous. Elle se lève et enleva son jean noir et le laissa tomber au sol pour dévoiler un string noir et un soutien-gorge prêt à craquer sous le poids de ses seins bien cachés.

Ça te plaît, demanda-t-elle.

Ouais j’aime bien et toi?

Je l’aurais imaginée moins large.

Je me levai et la rejoignis en échangeant un baiser passionné tout en lui défaisant son soutien-gorge. Je quittai ses lèvres pour aller téter ses mamelles gigantesques.

J’attrapai son téton en bouche et le mordillai lentement. Doucement ma langue effleura le bout de son téton pris entre mes dents. Son souffle devenait plus bruyant encore ses joues étaient toujours aussi rouges.

Je laissai ma main descendre vers son bas-ventre et en arrivant sur son string je sentis une énorme quantité de mouille. Je caresse sa chatte à travers le léger tissu humide. Je l’entendis gémir et la sentis frémir sous mon index et mon majeur. Je lâchai enfin son téton après l’avoir tété un bon moment. J’abaissai mon pantalon et mon caleçon et ôtai mon t-shirt. Elle eu un petit sourire en enlevant le dernier rempart à sa nudité. Je me rassis sur mon canapé, elle m’imita mais pas à côté de moi cette fois-ci. Elle s’empala directement sur mon pénis.

Les pieds au niveau de mes hanches, sa chatte autour de ma bite, assise sur mes jambes, sa poitrine encerclant ma tête. Elle avançait et reculait avec ses genoux. La chaleur et l’humidité de sa chatte se ressentaient sur les 17 centimètres qui composaient ma bite. Ses cris aurait réveillé mes voisins s’ils dormaient encore. Sa mouille coulait sur mon pelvis, mes jambes, mes chevilles. La chaleur de nos deux corps réunis nous faisait hurler de plaisir elle comme moi. Mon gland cognant contre le fond de sa féminité, ne faisait qu’empirer l’état général de jouissance qu’elle ressentait.

Tout en la gardant sur mon membre, je me relevai et la plaquai contre le mur. Je gardai une jambe sous mon bras et lui laissai poser l’autre mais juste avec la pointe de ses orteils. À chaque fois qu’elle cherchait à reprendre son appui, elle était ainsi obligée de se tortiller autour de ma bite. Je lui donnai des coups de bassin à rythme régulier au début puis j’ajoutai des petits à-coups pour la surprendre. Parfois, je m’arrêtais enfoncé au fond de son vagin pour qu’elle puisse se tortiller en cherchant à récupérer son équilibre elle n’en criais que plus. Je lui enfonçai le plus possible mon braquemart dans sa chatte, elle ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit. Ses yeux se révulsèrent alors qu’elle commença à avoir des spasmes au niveau du bassin qui furent suivis d’une quantité importante de mouille.

Elle n’en pouvait plus, elle avait du mal à respirer correctement. Je la reposai au sol et me plaçai à quelques centimètres d’elle en me branlant. Elle se posa à genoux, prête à recevoir le tout sur le visage.

Elle se pinçait les tétons et gémissait comme pour me faire accélérer le rythme. Ça n’a pas manqué : en quelques secondes, j’avais lâché tout ce que j’avais. Elle se retrouvait avec du foutre sur son visage autour de ses lèvres, sur son cou, sur ses seins il n’y a que quelques tâche qu’elle s’empresse de lécher comme un dernier acte d’excitation.

Elle se releva et avant même de se rhabiller alla chercher un stylo et un post-it dans ma cuisine pour noter un numéro "06-25-XX-XX-XX" toute en s’essuyant le visage et le cou.

Finalement, j’ai bien aimé. Ne le dis à personne mais en fait je suis une grosse salope. J’adore baiser et toi t’es plutôt un bon coup. Donc tu ne dis rien pour mes petits écarts et je pense qu’on pourra s’amuser un peu plus toi et moi.

J’acquiesçai immédiatement et pris son numéro. Elle se rhabilla et partit.

Dans la soirée je lui envoyai un texto, histoire de vérifier le numéro, en guise de réponse, je reçus un selfie de ma chère prof complètement nue en face d’une glace. Je savais pas pourquoi mais je sentais que j’allais beaucoup plus aimer son cours.

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