Suite à ses vacances, ayant gardé le numéro de téléphone de Christiane (la mère de mon copain), j’hésitais chaque jour à l’appeler. Je profitais du fait que je devais aller passer mes cours de conduite à l’auto-école de la ville la plus proche, où justement Christiane habitait, pour passer les journées chez mes grands-parents qui logeaient dans cette même ville. Ma mère me récupérait à la sortie de son travail à 22h. Cela me laissait le champ libre toute l’après-midi, après les cours de conduite et le début de soirée. Je me décidai donc à appeler Christiane. Elle était encore à son boulot sur Paris et rentrait pour 17h30 juste au moment où je sortais de l’auto-école.
— Tiens, me dit-elle, tu t’es enfin décidé! Je croyais que tu ne le ferais pas.
On se donna rendez-vous à la sortie de l’école. Au début je ne la vis pas, alors que j’étais en retard, puis soudain, j’aperçus une femme au loin qui faisait des grands signes de la main. Elle s’était mise à l’écart par discrétion. Jarrivai près de sa voir, elle était encore plus belle que dans mes fantasmes nocturnes qui ne me quittaient pas depuis la fin des vacances. Elle était vêtue d’une longue robe rouge qui épousait bien ses formes et mettait en valeur sa poitrine, boutonnée sur le devant. Elle m’embrassa et m’invita à monter dans sa voiture. J’étais mal à l’aise car de nature très timide et non sûr de moi. Nous discutâmes de banalités durant le trajet, puis elle me dit:
— Je t’emmène dans un petit bois que je connais tu verras c’est discret, à la maison, je ne peux pas, mon mari peut rentrer n’importe quand.
Nous arrivâmes dans un petit bois très isolé, où elle gara sa voiture. Elle me demanda si cela allait, je répondais oui timidement, mais j’étais un peu tétanisé. Elle m’embrassa sur la bouche, nous étions restés dans la voiture, elle força ma bouche pour y introduire sa langue. Je me laissai faire commençant à apprécier la douceur de sa langue sur la mienne. Puis je lui rends son baiser, et nous nous roulâmes des pelles longuement. Je sentis sa main descendre de mon torse vers mon pantalon et commencer à me caresser. Mon sexe réagit rapidement à ses massages et demandait qu’à sortir.
— Je vais dégager l’oiseau, me dit-elle, il veut sortir. Elle déboutonna mon pantalon et introduit sa main dans mon slip et malaxa mon sexe qui sortit de lui-même.
— Soulève toi que je te descende le pantalon ! Je lui obéis, mon pantalon et mon slip finir au niveau de mes mollets. Elle se pencha sur moi et prit mon sexe dans sa bouche et débuta une fellation. C’était ma première expérience avec une femme et dieu que c’était bon. Elle roulait sa langue dans sa bouche autour de mon gland, puis le suçotait, le tétait, bientôt, je sentis mon éjaculation arrivée, elle s’en aperçut et finit par me branler. Jéjaculai dans un mouchoir qu’elle avait préparé.
— A toi maintenant, fais-moi du bien. Elle déboutonna sa robe de haut en bas, et je découvris son superbe corps pour la première fois avec juste une fine lingerie blanche de dentelle très transparente. Je la caressai délicatement sur le corps osant à peine toucher cette beauté. Elle me prit la main, devant mes hésitations, et l’introduit dans sa culotte. Je caressais doucement une fine toison très bien entretenue, et je la sentais se trémousser doucement sous mes doigts. Je m’engaillardis, et sortis ses seins du joli soutien-gorge à balconnets et me mis à les lécher longuement tout en farfouillant dans sa culotte.
— Mets les doigts à l’intérieur ! Me dit-elle. Je caressais doucement ses lèvres son clitoris, elle se tordait de plus en plus. Mon sexe avait repris une belle taille avec l’excitation. D’une main, elle me le saisit et me masturba à nouveau pendant que mes doigts fouillaient son antre. Après un gros spasme elle m’inonda la main, à l’époque je ne savais pas qu’une femme émettait du liquide en jouissant. Jéjaculai une deuxième fois mais sur la moquette de la voiture. Elle me charria un peu et m’embrassa de nouveau.
— Il faut que je rentre me dit-elle soudain, on se revoit demain si tu veux bien.
— Oui à la même heure à l’auto-école ?
— Oui, comme aujourd’hui
Le lendemain, elle m’attendait comme la veille, mais cette fois, elle avait une chemise blanche et une longue jupe souple. Nous allâmes au même endroit que la veille, mais j’étais plus à l’aise. Nous nous embrassâmes longuement puis j’introduisis ma main dans son chemisier pour caresser ses seins.
-Je vois que Monsieur a pris de l’assurance !
-Oui je me sens mieux moins stressé
Je déboutonne sa chemise et caressa seins deux merveilleux seins. Je n’ai jamais regardé en détail, mais je pense qu’elle avait un bon 95C, avec de larges aréoles et un téton saillant. J’adorais les lécher les sucer.
-Allez, à moi de te faire plaisir, ôte ton pantalon et ton slip.
Je mexécutai et me retrouva avec juste mon tee-shirt. Elle prit mon sexe en bouche et me fit une bonne fellation. Elle se redressa souleva sa jupe passa au-dessus du levier de vitesse pour me rejoindre et monta à califourchon sur moi. Elle n’avait pas de culotte, je sentais sa toison contre mon sexe déjà bien raide. Elle s’empala dessus en fit des mouvements de va-et-vient. Jamais je n’avais connu pareil sensations. Je jouis trop rapidement. Elle m’embrassa en me disant que c’était bien mais qu’il fallait que je me retienne mieux.
Le lendemain même chose, mais nous fumes déranger par des promeneurs qui frappèrent au carreau voyant Christiane la jupe remontée assise sur moi en face à face. Cela me coupa tout et nous en rigolèrent.
Puis elle me dit qu’elle ne pouvait pas les jours suivants, et qu’elle me rappelait dès que c’était possible. Lattente fut très longue, cinq jours sans nouvelles. Je ne rêvais que d’elle la nuit comme le jour.
Le 6e jour, un coup de téléphone d’elle me demandait si je pouvais me libérer le lendemain matin pour la matinée. Je lui dis que oui avec beaucoup d’enthousiasme. Je croix que j’aurais n’importe quoi pour la voir. Mais que me réservait-elle ?