Les trois quarts d’heure d’autoroute nous séparant de la salle passèrent rapidement, et nous trouvions facilement une place pour stationner malgré le monde déjà présent ; la fête s’annonçait conséquente.

— Prête ? me demanda Marie, de son air malicieux que j’appréciais

— Prête ! lui répondis-je enthousiasmée.

— Soit plus légère dans ta voix, mais sinon c’est pas mal, elle est déjà très fluette d’origine.

— D’accord ma chérie, est-ce que c’est mieux comme ça ?

J’essayais de travailler mon timbre de voix à chacune de mes intonations, me rendant à chaque parole plus féminine encore. Nous avancions sur le parking, puis Marie appela sa copine, qui sorti de la salle pour nous rejoindre et faire les présentations : j’étais baptisée Mélanie pour la soirée. Justine me dévisagea, sans se douter de quoi que ce soit, avant de me claquer une bise et me complimenter sur ma tenue et d’en faire de même avec ma dulcinée. Quelques gars passèrent, nous saluèrent sans manquer de nous reluquer, tandis que nous rentrions dans la salle. Les tables étaient installées et il y avait de la place pour une cinquantaine de personnes, avec une piste de danse préparée, un DJ, une table avec des toasts qui se mettait en place ainsi que toute la décoration de circonstance.

Nous déposons nos gilets et sacs au vestiaire, puis nous suivons Justine qui va nous présenter à quelques-uns de ses amis, et j’adopte le bon réflexe de taper la bise aux gars plutôt que leur serrer la main. On discute vite fait et je me concentre sur ma voix à chacune de mes paroles, mais parle peu et mets ça sur le compte de la timidité. Les amies de Justine sont moins vêtues que nous, elles sont clairement là pour harponner et passer la nuit accompagnées ; en espérant qu’aucune ne soit lesbienne, je me rassure d’être dans cette tenue afin de moins attirer les convoitises des filles, car les réactions des mecs sont différentes, leur regards semblent lourds sur ma poitrine et mon cul. Afin de les calmer, je sors mon téléphone avec en fond d’écran une photo de moi-même avant de rencontrer Marie, c’est-à-dire avec toute la pilosité faciale, et je chasse cette pensée narcissique du type qui se met en fond d’écran. Cela semble fonctionner puisqu’ils reportent leurs regards sur les autres nanas.

Une fois tous les convives présents, je fais un bref scan et constate qu’il y a toutes sortes d’individus, de tous âges, tous bien guindés, puis nous nous installons vers la table des toasts, et Justine qui a tout organisé lève son verre pour nous remercier de tous être là, de profiter de la soirée pour s’amuser et accueillir comme il se doit la nouvelle année. Ma flute finie j’emboite le pas derrière Marie, qui me félicite d’adopter le « déplacement en bande des nanas », et on se dirige vers d’autres groupes, on se présente et on discute un peu. L’alcool me désinhibe et je parle avec facilité, en essayant de garder une voix féminine, de mes loisirs, mon boulot, etc. Nous nous installons à table avec ce groupe, et vers 22h, après avoir mangé la tartiflette qui sert de repas le DJ démarre l’ambiance avec des musiques actuelles, pour faire bouger les plus jeunes.

Marie en profite pour m’indiquer qu’elle va aux toilettes, et me demande de l’accompagner. J’accepte, comme le ferait n’importe quelle copine, puis elle passe prendre son sac et se dirige vers les cabinets. La salle étant récente, les WC sont séparés par des vraies cloisons en brique qui font toute la hauteur de la pièce et non de simples cloisons de plastiques laissant de l’espace en haut et en bas. Elle m’invite à la suivre dans la cabine pour personnes à mobilité réduite, étant donné qu’il n’y en a pas à la soirée cela ne devrait pas poser de soucis. Elle s’installe, baisse sa culotte le long de ses bas, fait son besoin, puis enlève totalement sa culotte et la range dans son sac, et me regardant langoureusement, me fait signe d’avancer. Inspirée, elle caresse mes cuisses sous la robe, ses mains sont magiques au contact de ma peau et de mes bas. Instinctivement, elle se saisit de mon shorty pour le faire glisser d’abord sur mes cuisses nues, puis sur mes bas, et l’arrête au niveau de mes genoux.

Elle libère mon sexe qui n’attend qu’elle, et le branle agilement de sa main gauche tandis que sa main droite se dirige sur le plug pour me titiller la prostate via ce morceau de plastique. Je profite qu’elle soit toujours assise et qu’elle m’attire à elle afin de me prendre en bouche pour aller fouiller dans son antre, gardant également 2 doigts sur son plug pour chatouiller son cul. Ne tenant plus, elle se lève et se retourne face au WC, puis me tend son postérieur que j’approche puis dirige ma bite à l’entrée de sa grotte tout humide. Je m’introduis lentement pour lui faire profiter de chaque cm de ma queue, et dans cette position je sens mieux son plug dans l’autre conduit. Je me retire en ne laissant que mon gland contre ses lèvres, et positionné ainsi j’envoie un grand coup de reins pour me remettre au fond d’elle. Un deuxième suffit à la faire jouir, silencieusement vu que nous ne sommes pas forcément seuls. La vision de deux femmes dans une cabine de toilette en plein coït m’apparait, et m’excite au plus haut point.

Je m’empare de l’anneau à la base de son plug, et au moment où je m’enfonce en elle, je ressors son dildo, pour le renfoncer quand je me retire. Je joue comme ça pendant quelques secondes, avant de la fais jouir une deuxième fois, puis je lui dis que je vais cracher. Je lui remets son plug, la laisse se retourner et s’agenouiller venir avaler ma semence. Elle s’essuie, se nettoie avec une lingette et m’en passe une pour en faire de même, puis ressort le ruban adhésif de son sac pour recacher mon pénis, et remonte mon shorty, en hésitant :

— Avec ta robe qui s’évase, tu pourrais presque t’affranchir de cacher mon jouet et mettre une culotte ma chérie

— Tu oublies jusque que si j’écarte les jambes par mégarde, je suis cramé ?

— Exact. Ne prenons pas de risques. Et moi, je tente ?

— Bof, j’ai pas envie qu’on te crame et que tu attires la convoitise, t’es qu’à moi.

Sur ces mots rassurants, elle met une serviette dans son shorty pour éponger les dernières traces de mouille, puis jette les lingettes à la poubelle, m’embrasse et prend un chewing-gum pour masquer l’odeur du sperme. Une vraie professionnelle.

Après cette interlude, nous retournons dans la salle, plus personne n’est à table et les gens dansent ou fument dehors. Nous dansons tant bien que mal sur les musiques actuelles, puis vers minuit moins le quart le DJ commence de distribuer des cotillons, chapeaux, masques, sarbacanes, ça avance très vite et nous voilà au fameux décompte.

Au « bonne année !! » hurlé par tous, le champagne est sabré et nous rebuvons une coupe, puis une autre. On continue de danser, puis le DJ commence de passer des chansons qu’on maîtrise plus, genre années 80. On s’éclate sur un Madison, on fait la chenille, il y a vraiment une bonne ambiance comme on apprécie et nous sommes comme deux folles au milieu de la piste bondée de monde. Vers 2h du matin l’animateur décide de passer un slow, et avant qu’on puisse s’échapper deux mecs plus grands que nous décident de nous inviter, sans vraiment nous laisser le choix. Le mien en profite pour me peloter les fesses, cela me dégoute totalement, et j’essaie de me dégager sans succès ; vers la fin du slow il me prend le visage pour m’embrasser, je refuse une première fois, il revient à la charge et je hausse le ton. Il revient une dernière fois, et j’adopte le bon réflexe féminin, lui administrant une grande tarte aux phalanges. Le badaud me traite de petite pute aguicheuse, avant que trois autres mecs viennent le calmer et lui apprendre les bonnes manières.

Nous retournons aux toilettes avec Marie, et on s’isole pour faire chacune nos besoins, puis elle me dit de la rejoindre.

Joueuse comme elle l’a été tout à l’heure, je mets ma culotte dans mon sac pour la rejoindre cul-nu et pénis libéré, ma robe couvrant tout. Elle m’ouvre, j’ai tout juste le temps de remarquer une bosse sous sa robe qu’elle m’embrasse goulument, et ayant anticipé mon jeu, elle me pousse face au mur pour me peloter. A l’inverse de l’autre, j’y prends du plaisir. Elle caresse ma fausse poitrine, mais assez fermement pour embarquer un peu de pec’ dans ses mains, puis elle descend une de ses mains pour palper mes fesses. Je m’abandonne totalement à ses caresses, puis je la sens s’agenouiller derrière moi et relever ma robe, passer sa tête et laisser retomber le vêtement. Elle caresse délicatement mes jambes au travers de mes bas, ses doigts sont magiques au contact de ma peau sous le voilage, et je suis toute excitée. Elle embrasse mes fesses, les écarte et retire le plug, aussitôt remplacé par sa langue, je manque de chavirer sous cette initiative tout en confiance. Sans la rentrer, je sens ses caresses linguales sur mon petit trou, et d’une main je relève l’avant de ma robe pour la coincer sous mon menton car mon pénis commence à suinter de liquide séminal.

Son méfait terminé, elle se relève, retenant ma robe, s’approche, relève la sienne, et présente le gode sur mon illet. Elle laisse échapper un filet de bave dessus pour le lubrifier puis pousse pour entrer en moi, sans vraiment de problème. Centimètre par centimètre, elle vient s’installer au fond de moi puis déclenche des petits va-et-vient d’environ un centimètre d’amplitude, si bien que je sens sa fausse bite glisser contre ma prostate. Elle s’empare de la mienne, la flatte, la branle, et commence à reculer, continuant de m’astiquer. Elle se renfonce fortement en moi comme j’ai fait avec elle tout à l’heure, et je ne peux retenir un soupir de plaisir qui frôle le couinement. Jouant de mon plaisir, elle reprend de petits mouvements en moi, et j’ai de nouveau dans la tête cette image de deux femmes en plein coït, quand soudain nous entendons la porte des toilettes s’ouvrir. Nous entendons des pas, la cabine à côté s’ouvre puis se ferme. Marie profite de ce moment de flottement pour renvoyer un coup de rein puis bloquer pour rester au fond de moi, elle accélère sa branlette et me fait crépir le mur, tout en s’écroulant sur moi en se retenant de crier.

Toutes deux chancelantes, nous tentons de nous remettre vite en ordre. Marie se retire de mon derrière, puis enlève le double gode pour le nettoyer et le ranger. Je prends dans son sac les lingettes pour nettoyer, dans un premier temps mes parties, mon derrière, puis tant bien que mal le mur ainsi que le plug que range dans le sac. Une fois propres et calmées, nous nous rhabillons, et Marie retire et nettoie son plug également, et je remonte ma culotte comme ça sans remettre en place mon pénis. Marie réajuste ma perruque ainsi que mon maquillage, et je sors la première de la cabine, et ayant le passage libre, indique à ma comparse de me suivre. Ayant perdu la notion du temps, je m’empare de mon sac à main et de mon téléphone : trois heures du matin. J’en profite pour remplacer les talons par des ballerines, car je fatigue au niveau des chevilles. Nous restons encore un moment à table, et fatiguées, décidons de rentrer. N’ayant pas consommé d’alcool depuis le passage à la nouvelle année, c’est sereinement que nous reprenons la route pour rentrer.

Exténuées par cette incroyable expérience, on prend tout juste le temps de se démaquiller et retirer nos bijoux, puis nous nous endormons sur le lit, en position de cuillère, toutes deux encore habillées.

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