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Ma premiére… – Chapitre 1




Vendredi soir, je tchatche dans ma chambre comme à mon habitude sur un célèbre site mais cette fois en buvant quelques verres de rosé. Les discussions s’enchainent et les verres défilent, je commence à être émoustillée. Petit aller-retour dans mon placard et j’enfile, avec soin, une paire de bas noires opaques, un string, un soutien gorge rembourrée de chaussettes et une nuisette pour passer la nuit ainsi… du moins, ce que je croyais.

Il est environ minuit et quart quand un monsieur d’un certain âge se met à me parler. Nous discutons et au bout de quelques minutes la discussion est déjà plus osée. Je lui dit que je me travestie comme ça (Enfin parce que je suis comme ça) mais que je n’ai encore fait avec un homme. Et le voilà qu’il me met au défi de passer à l’action. Est ce l’excitation, les quelques verres, la curiosité ou le tout mélangé qui répondent à ma place mais je suis surprise de lui répondre par l’affirmatif à sa question :

"As tu envie de sucer un mec ?".

Sans vraiment m’en rendre compte, je lui donne un point de rdv et une heure précise.

Ce sera sur le bord d’une route, isolé mais pas si loin de quelques habitations, dans 3/4 d’heure (Il a de la route a faire).

Le temps passe et cette question fusent dans ma tête : "J’y vais, j’y vais pas ?".

Mince… Mes parents dorment dans la chambre jusqu’au dessous. Cette réflexion répond à ma question. Désolé monsieur mais ce sera sans moi…

Alors qu’est ce que je suis en train de faire en enlevant mais affaire de cours dans mon sac a dos et en le remplissant d’une jupe mi cuisse, d’une robe à manches longues, d’une petite veste en faux cuir et d’une paire d’escarpins ?

L’envie est plus forte que le reste. J’enlève mon rembourrage et enfile en vitesse un jogging, un pull et une veste "de mec" au cas ou je croiserais du monde sur la route. Me voilà habillée en petit gars mais avec mon string et mon soutif encore sur moi, ainsi que ma paire de bas.

L’heure approche et je prie pour que personne ne se réveille au moment où, dans la salle de bain, je dépose un rouge à lèvre "rouge intense" (ce n’était pas la première fois que j’en mettait, mais c’était la première fois que je tremblais autant ).

Les minutes filent, nous sommes à 10 minutes de l’heure H. La question revient "j’y vais, j’y vais pas ?". Une dernière gorgée de rosé, qui se transforment en verre entier, je me saisit de mes chaussettes rembourrage, une paire de grosse lunette noire, ronde, féminine, une écharpe et une lampe torche, je met tout ça dans mon sac à dos, j’enfile ma paire de basket, et me voilà déjà en chemin pour le lieu de rendez vous, sac à dos enfilait, à guettait chaque bruit, à l’affût de chaque ombre.

Je marche sur l’avant dernière portion de route avant de tourner sur ma gauche quand soudain un bruit de moteur transperce le silence de la nuit.

Pas pour longtemps, le rugissement du moteur s’étouffe derrière le bruit de mon cur à travers ma poitrine… BOUM… BOUM… BOUM… Quand la voiture s’arrête à ma hauteur j’ai l’impression que mon cur va surgir hors de moi tellement je suis sous pression.

La fenêtre se baisse : "C’est toi ?" dit le chauffeur d’une voix qui me parait plus grave que Joey Star lui même.

Je balbutie : "euh… oui… je… je me change et te préviens quand j’ai fini" dit je d’une voix que j’essayais de rendre la plus féminine possible, mais entre le bruit du moteur et ma petite fluette je ne sais pas s’il m’a attendu.

Je file dans un sous bois où je m’empresse de quitter mes chaussures mon jogging, mon blouson et mon pull, me voilà quasi nuE, juste un string et un soutif. Je vide mon sac sur l’herbe et en moins d’une minute, me voilà.

Ma paire d’escarpins blanche immaculée au pied, ma paire de bas noirs opaques, mon string rose bonbon, assorti à mon soutien gorge, je place délicatement mon rembourrage dans celui et par dessus tout ça, je met ma jupe noire, ma robe, également noire et ma veste en faux cuir. J’enfile les lunettes et me fait un turban sur la tête avec l’écharpe prise plus tôt. Puis je remet tout ce qui traine dans mon sac a dos, en bourrant au maximum mais sans pouvoir le refermer.

Ma raison a envie de fuir à travers la petite prairie, mais, à ce moment là, c’est mon excitation qui guide mes jambes vers le bord de la route. Je fait signe au chauffeur avec de petit appuie sur la lampe torche. Je suis dans la pénombre, la lune éclaire cependant un peu les environ et je le vois s’approcher.

J’ai trop réfléchi jusqu’à présent donc, sans même lui laisser le temps de quoi que ce soit, je me jette à genoux devant lui et me met à chercher à descendre son pantalon. Il porte une ceinture, donc je la déboucle, baisse son jean et son caleçon

ET LA VOILÀ… une queue mi molle (ou mi-dur), elle ne semble pas bien longue mais semble épaisse. JE la prend en main, me met à genoux et m’approche d’elle. Elle durcit un poil mais pas totalement. C’est là première queue que je m’apprêter à sucer. M’entrainant sur divers objets, c’est totalement différents. L’extrême douceur combiné à ce côté dur, je n’est pas besoin de la tenir moi même.

C’EST UN PLAISIR ABSOLUE… Et cette odeur ?!?!?!

Une odeur forte, qui en temps normal pourrait paraître nauséabonde, mais là cette odeur m’enivre. J’ai cette odeur qui me parcourt le nez et je la veux dans la bouche.

J’approche au ralentit ma langue et ça y est.

Je suce ma première queue

Je repense aux vidéos pornos que je regarde chez moi (et oui, je suis humain ^^) et revois ces blondes, brunes, rousses et autres se livrer à la pratique de la fellation.

J’essaye de me souvenir de leur geste, leur attitude, leur mouvement et tente de les reproduire. Je lèche délicatement le gland en jouant avec ma langue dessus. Je la promène sur toute la longueur. Je commence à l’enfoncer progressivement, puis j’y vais… JE LA SUCE !!!, pour bon. Des va-et-vient agrémenter de bruits de succions.

Dans une de mes vidéos, une blonde enfonce littéralement la queue entière de son partenaire dans sa bouche (pour les connaisseurs et les curieux, ça s’appelle "une gorge profondeur"). J’ai déjà essayer sur des objets et je me dit que si elle y arrive, pourquoi pas moi.

J’attaque cette queue, qui semble grossir à vue, je l’enfonce dans ma bouche, une sensation d’étouffement arrive mais c’est le raclement sur mon palais qui me donne un légère remontée.

Je la retire et réessaie aussitôt. Nouvel échec. Je ne m’avoue pas vaincue pour autant et je retente.

Et là, plus rien. Enfin si, j’ai une queue épaisse et entière dans ma bouche et ça ne me gène pas. J’en veut même plus, seulement comme je l’ai dit, elle est déjà enfoncé entièrement. J’ouvre un il et voit son ventre à quelques centimètres. Mon nez le colle presque. Nouveaux souvenirs d’une vidéo : je sors ma langue pour lécher les "bonbons".Sa bite dans ma bouche, je sors ma langue pour caresser les boules. Je plane. Puis je re-rentre ma langue. Imaginez "un roulage de pelle" dans les règles de l’art. Maintenant imaginez qu’au lieu que ce soit votre langue, ce soit votre sexe. J’appellerais ça "un roulage de gland". Toute sa queue dans ma bouche, ma langue tournant autour en alternant la vitesse. Peut être qu’avec une queue plus longue ça n’aurait pas été possible, mais là, la taille est parfaite.

De l’instant où j’ai gober son membre jusqu’à ce que j’arrive à la faire tourner sur ma langue, il a du se passer une trentaine de seconde, voire plus, mais j’ai l’impression d’une éternité. Je recommence à le sucer en variant les plaisirs ^^.

Toujours à genoux, je me suis cambrée sans m’en apercevoir. Lui l’a vu et il commence à me caresser les fesses.

MAIS JE NE SUIS PAS VENUE ME FAIRE ENCULER ! Je me souviens de cette pensée car le geste qui a suivi était totalement paradoxal. Je me suis cambrée un peu plus, j’ai défait la braguette de mon jean, lui s’est chargé de le baissé jusqu’à mes genoux et recommence à me caresser à travers le string.

Puis il le baisse également, et alors que je m’attend à ce qu’il me pelote encore entre les fesses… IL Y RENTRE UN DOIGT. AIE… La douleur est silencieuse mais bien là. Je me suis déjà mis des objets mais jamais en forçant. Et là, c’est fait. Ca pique, ça brûle, ça chauffe…. Je sens mon anus serré comme jamais.

Il y a t-il toujours le doigt ???

Ça fait trop mal pour sentir si oui ou… OoooOOhhhHHH, OUI, il est là, je le sens bouger. J’ai totalement oublier sa queue que j’ai lâché. Je serre les dents, je ferme les yeux et ça ne m’étonnerait pas qu’une larme coule sur ma joue. Quelques secondes s’écoulent et la douleur semble être parti aussi vite qu’elle était venue. Quelle sensation. Son doigt dans mon cul est magique. Me faisant passer d’une souffrance anale à un nouveau plaisir. Des petits va-et-vient qui me font vibrer. Ca pique encore un peu MAIS C’EST SI BON.

"SUCE MOI" me dit il. Son doigt me redonne l’excitation nécessaire pour me replonger sur sa queue. Ma langue se promène sur sa queue comme son doigt dans mon cul. Il retire son doigt sèchement, commence à gémir et parviens à bafouiller : "C… C…Ça…Ça vient". Je n’ai jamais reçu d’éjaculation faciale mais ca sera pour une prochaine fois.

Je le branle aussi vite que possible et je ressens le premier spasme qui me fait vibrer la main et là, L’EXPLOSION. Je suis au première loge de ce spectacle. Le premier jet est puissant, semble d’un blanc presque pur. Je suis subjuguée. Évidemment je me suis déjà branlé jusqu’à "envoyer la purée", mais là, la purée ressemble plus à une crème onctueuse. Le jet finit sa course à environ un mètre, dans l’herbe. Regard de retour sur sa queue, je ne le branle plus, je n’ai même plus la main dessus et ne me souviens pas l’avoir lâcher. Il continue le show tout seul. Ai-je manqué une "projection", aucune idée, mais une autre vient de partir. Elle semble encore plus gouteuse que le première et va s’écraser tout proche, laissant une trainée dans l’herbe. Les jets se suivent, je ne les comptent plus, et puis, plus rien. Il approche sa queue de ma veste, et s’essuie sur l’épaule droite. Je tourne la tête pour voir les traces sur l’herbe. Que ça a l’air bon. Moment de réflexion. Pourquoi me suis-je décalée ? Les trainées blanches semblent briller, étinceler… comme féeriques. Je me surprend à regretter ne pas avoir été la piste d’atterrissage de ce liquide volant. A ce moment là, je recrée la scène dans ma tête.

Je met mon visage légèrement en arrière, bouche entre-ouverte, langue sortit. Et feu. Première giclée au fond de ma gorge, seconde sur la langue, les autres viennent parsemées mon visage. Langue toujours dehors, je m’en sert pour nettoyer la queue ou quelques gouttes sont posées.

Je n’aurait peut être pas avalé ce jus, mais me serait amusé à le faire ressortir par la commissure de mes lèvres.

Retour à la réalité. Combien de temps à durée cette pensée ? Aucune idée mais quand je reprend mes esprits, monsieur est déjà à quelques mètres de sa voiture. Sans un mot, il s’en va.

Me voilà seule, à genoux dans un petit bois, les fesses à l’air.

J’ai honte et espère presque à un rêve. Aurais-je rêvée ?

Je jette un coup d’il dans l’herbe. Les trainées sont toujours là, il y a ce goût dans ma bouche. Pour être sûre, je tourne la tête vers la droite et sent ma veste. Ouaaawww. Quelle odeur, forte, légèrement fruité, je me surprend à vouloir y jeter un coup de langue rapide mais y renonce.

Puis vite, j’enlève les vêtements de femme, me rhabille en "mec", fourre les autre vêtement dans mon sac et m’en vais. Mince, les escarpins sont dans l’herbe. Je les prend et les jette dans une poubelle sur le chemin du retour. Une fois chez moi, j’ôte tout et enfile un caleçon et un tee shirt et me faufile dans mon lit. LE goût est toujours là. Je descend, me brosse les dents, prend un chewing-gum et remonte.

Lendemain matin, j’ai honte. Honte d’avoir pris un tel plaisir. Mon p’tit trou pique un peu lors de ma branlette matinale. Le regret de la veille, ne pas avoir "fait face à l’ennemi". Je ferme les yeux et revoit sa queue.

2-3 jours après, je matte un porno et une éjaculation faciale, en tenue de trav. Comme pour me narguer, la fille du film, visage plein de sperme, regarde la caméra en se léchant les lèvres comme pour me dire : "Tu as manqué la meilleure crème au monde !" J’ouvre la bouche devant mon écran (comme une conne hihi) espérant que le fameux liquide blanchâtre va traverser l’écran et venir s’étaler sur mon visage.

Avant, je regardais des pornos, imaginant mon sexe dans la bouche des actrices.

Maintenant, j’veux être à leur place, et manger ses belles queues.

Alors, je sors un objet et mime une fellation….

Je suce…. Je suce…. Je suce…. Je suce…. Je suce…. Je suce….

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