Les départs en vacances sont toujours synonymes de joie et bonne humeur.Dés qu’on monte dans la voiture nous sommes dans un autre monde et avons l’impression de, déjà, ressentir les rayons du soleil sur notre peau.
L’autoroute que nous empruntons est appelée "l’autoroute du soleil". En été, elle porte bien son nom car c’est là qu’elle nous conduit (Fréjus, Saint-Raphaël).
D’habitude nous partons le vendredi matin et faisons une étape à Saint-Rambert d’Albon, mais ce jour-là j’avais dû travailler et ce n’est que vers 21 heures que nous avons pris le départ.
Liège, Sprimont, les kilomètres défilaient dans une ambiance festive. Nous avons passé la frontière luxembourgeoise (avec arrêt pour acheter des cigarettes) puis direction la France.
A hauteur de Nancy je me suis arrêté pour faire quelques exercices afin de ne pas m’ankyloser. Il n’y avait que peu de monde sur cette aire, j’étais étonné vu la date. Seulement une dizaine de voitures disséminées sur tout le parking et environ autant de camions. A la différence que les bahuts étaient côte à côte à un emplacement qui leur est destiné.
Quand je suis remonté dans ma voiture, ma chérie avait pris ses aises en reculant son siège au maximum et en ayant déposé ses pieds sur le tableau de bord.
Ainsi mise, sa jupe remontait quasi jusqu’à la ceinture et j’avais spectacle sur sa petite culotte. Tout en parlant un peu je me suis laissé aller à la caresser, d’abord sur le tissu, ensuite dans la culotte.
Elle aimait ça et roucoulait de plaisir. Elle ferma les yeux et écarta les jambes afin que j’aie libre accès et lui donne du bonheur.
J’étais en train de la masturber quand je vis un routier revenir à son véhicule et y remonter.
TILT ! Directement mon sens du partage s’est éveillé !
J’ai retiré mes doigts du hammam (où ils étaient il faisait chaud et humide) de ma chérie et lui ai demandé de ne pas changer de position. Contact, petite manoeuvre, démarrage et arrêt 20 mètres plus loin à côté du camion précité.
La cabine était dans le noir absolu, je me suis dit que le routier devait s’être couché pour une nuit de repos.
Mais j’ai tenté.
J’ai demandé à ma chérie d’enlever sa culotte et me suis remis à la masturber. 2, 3, 5 minutes et toujours pas de mouvements dans le bahut. Ne me restait qu’à tenter autre chose.
J’ai changé de main et ai utilisé la droite pour caresser ma chérie. De la gauche j’ai ouvert et fermé (violemment) ma portière afin de nous faire remarquer.
Et bingo !! Le gars éclaira son plafonnier et jeta un oeil en notre direction.
Vu que nous étions très proche d’un poteau d’éclairage il ne pouvait rien raté de ce que nous faisions. Et il vit.
Il a baissé sa vitre et contemplait ma chérie jambes ouvertes et blouse relevée. Il m’a parlé mais je ne comprenais rien. Je lui ai fait signe de venir et il est venu.
Debout à côté de la voiture, il continuait à suivre mon jeu. Il semblait aimer, mais restait immobile. J’ai appuyé sur le bouton de commande et la vitre de la portière droite s’est abaissée, donnant encore plus de visibilité à l’homme et, j’espérais, la possibilité pour lui de m’accompagner dans les caresses.
Il s’est plié légèrement, m’a dit bonjour et exprimé le souhait de pouvoir la toucher.
Je n’attendais que ça !
Il a commencé sur ses seins, les palpant avec douceur. Ma coquine avait les yeux clos mais, appréciant la situation, passait langoureusement sa langue sur ses lèvres.
J’ai retiré ma main de l’antre du diable et ai invité l’homme à y glisser la sienne. Il ne s’est pas fait prier, il l’a plongée entre les cuisses et deux doigts ont continué le "travail" que j’avais entamé.
Ma coquine commençait à jouir et ne s’en cachait pas, elle haletait et ses petits cris révélaient son plaisir.
Ils révélaient son plaisir, mais eurent également comme conséquence d’attirer l’attention sur nous.
2 hommes sont arrivés sans que je les aie remarqués auparavant. Ils n’ont pipé mots mais regardaient.
Ma coquine les avait vu également, mais dans l’état où elle se trouvait elle n’en a eu cure. Quoique.
Se voir regardée par ces 3 mecs pendant que 1 la masturbait l’avait rendue affamée, et elle a caresser le routier à l’endroit stratégique. Le type a cessé de la caresser et s’est empressé d’ouvrir son pantalon et sortir son sexe. Ma salope s’est redressée et a débuté une fellation, avide de bouffer de la queue. Quand le routier lui a donné sa semence et s’est retiré, elle a fait signe à un des autres qui est venu se faire vider à son tour. Même scénario, fellation totale avec dégustation de sperme. A son tour celui-ci s’est retiré et a rangé popol tandis que ma salope commençait sa troisième partie de plaisir buccal.
Un moment donné elle a cessé et, tout en branlant le zig, m’a dit qu’elle voulait se faire mettre. Je lui ai répondu que non, que plus tard.
(J’étais super excité et j’avais moi aussi envie de lui offrir mon chibre).
Quand elle a eu terminé les gars sont partis et j’ai redémarré.
Elle me regarda d’un air étonné et me dit qu’elle aurait bien voulu se faire baiser, qu’elle ne comprenait pas mon refus. Je lui ai simplement répondu d’attendre.
Et, après une centaine de kilomètres, je me suis à nouveau arrêté sur un parking où j’ai cherché un coin tranquille et sombre.
Et nous sommes allés à l’arrière où je l’ai, et me suis, apaisée en la baisant aussi furieusement qu’on sait le faire dans une voiture.
Elle est restée ainsi, culotte et sexe remplis de foutre, jusqu’à notre arrivée à l’hôtel vers 15 heures.