Lancienne fête de Baal, interdite peut reprendre. Le sénat de Carthage a rendu licite cette ancienne adoration. Jen profite pour faire venir mes deux esclaves favoris. Le dace arrive en bandant. Il sait quil va baiser soit avec moi, soit avec la Nubienne qui, je crois commence à laimer. Comme si des esclaves pouvaient se permettre den aimer un autre. Je vais essayer aujourdhui une nouvelle façon de jouir : regarder lun ou lautre se faire fouetter. Jexaminerais les trace de coups sur leur croupe. Si jen ai envie je pourrais même le sucer pendant quil reçoit des coups pour quil me donne son jus. Mon amante, la romaine est venue hier passer la nuit avec moi et la nubienne.
Jen garde encore limpression que jai un peu trop joui. Elle était seule, son époux est à Rome pour deux ou trois mois. Nous savons quil va en profiter pour se payer des filles dans des endroits mal famés. Il aime se prostituer avec des matrones de la capitale. Elle aussi en profite pour se donner à son esclave bien trop monté pour moi et à moi qui aime bien jouir de son corps. Jaime son corps, jaime sa langue, jaime quand elle me lèche le cul. Elle me connaît assez pour savoir comment me faire jouir longuement avec laide de mon esclave femelle. Elle demandait au Dace de la lui mettre profond. Lui ne demande que ça : la baiser. Il a un faible pour elle.
Une cérémonie se passe en ce moment. Des jeunes filles déguisées en déesses dansent autour de la statue de ce faux dieu. Une delles que je connais comme voisine est presque une folle de son corps. Je lai aperçu une fois les cuisses offertes à ses mains. Sa nudité faisait ressortir ses seins durs et ses fesses exposées à la vue de tous. Dans peu de temps, quand son père la donnera comme épouse, elle sera à point pour les saturnales. Jaimerais y être invitée pour passer une nuit avec elle.
Leunuque est là, les verges à la main. Les deux esclaves sont là. Ils se demandent lun et lautre lequel va se faire battre. La femelle obéi quand je lui demande de sucer lautre. Elle prend la queue dans sa bouche, pompe à peine pour le faire bander. Il grossit sans arrêt en oubliant la suite. Je me branle comme souvent quand jordonne quil soit battu. Les premiers coups ne semblent pas lémouvoir. Il commence à pousser de léger cris, il débande à peine. La nubienne se caresse aussi. Je regarde sa main aller et venir sur son con tout mouillé. Les coups pleuvent lesclave débande. Nous continuons nos caresses. Le godemichet en ivoire me sert pour me mettre. Ma nubienne le prend pour me masturber. Elle sait presque mieux que moi ce quil me faut. Elle le sort du con, lentre facilement dans le cul. La prochaine fois jordonnerais au Dace de me baiser en même temps. Ce devrait être jouissif. Le voir se tordre de douleur est agréable : il me fait jouir ainsi.
La fête de Baal bat son plein. Des gens se livrent à une débauche sans nom. Je ne peut plus tenir, jai envie de plusieurs amants avec moi, à la fois. Même si une jeune femme vient me faire des propositions je les accepterais.
Je suis à peine hors de ma domus que déjà un jeune, bien plus jeune que moi est sur moi. Il bande plus fort que le Dace. Sans préparation il me tourne, me fait mettre contre le mur, ouvre mes fesses. Il mencule directement sans préparation. Jallais crier de douleur : je jouis. Il jouit dans mon cul, un autre le remplace. Jarrive à me retourner pour faire face. Jécarte les jambes : il me la met directement dans le con. Cest bon. Lautre reprend courage en bandant. Il vient par derrière pour menculer. Les deux à la fois, un cadeau des dieux. Ils nont pas le temps de se déverser : je jouis deux fois à la suite. A mes coté, la jeune voisine regarde en se branlant. Sa main me plaît quand elle caresse son sexe mouillé. Je la lècherais si elle me donnait son entrejambe.
Le vin des flancs de cette colline en forme de volcan coule à flot. Une amphore presque pleine mest offerte. Jouvre la bouche pour laisser couler ce vin fort. Le liquide coule jusquà mon con. Un des amants vient boire. Il lèche et le vin et ma liqueur. Je me laisse aller en jouissant encore.
Quil fait bon vivre à Carthage sous la protection de lurbs.