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Mes premiers congés payés – Chapitre 1




18 ans ½, mon permis en poche depuis 1 mois et mes premiers congés payés, tout allait pour le mieux, javais décidé de partir (sur les conseils de ma mère) en Bretagne, chez une de ses nièces installer en Île et Vilaine.

Javais voulu partir avec Martine (enfance précoce), mais elle ne pouvait se libérer, donc au lieu dêtre loin delle trop longtemps, comme javais 2 semaines, je décidais de partir dans la nuit du lundi au mardi pour revenir le mardi suivant et profiter de mes derniers jours de congés avec elle.

La veille au soir, ma mère mavait fait promettre de faire attention et de lappeler dès que je serais arrivé.

3h du matin, je pars, trop pressé de rouler et surtout envie davoir le moins de monde possible, je prends le périphérique puis la direction de la Bretagne en passant le péage de Dourdan.

Cela faisait une bonne heure que javais passé le péage lorsque je fus pris dune subite envie duriner, et bien sur, je venais juste de passer une aire de repos, et javais vaguement cru voir que la suivante était à 50 kms. Inconsciemment, et avec mon envie qui montait de plus en plus, jappuyais sur laccélérateur pour pouvoir me libérer au plus vite. Alors que japprochais de laire qui allait me permettre de me soulager, ce qui devait arriver arriva, deux motards en patrouille me virent et me prirent en chasse, oh ça alla vite, car dès que je vis les gyrophares, je levais le pied, mais cétait trop tard, un des motards se porta à ma hauteur et me fit signe de le suivre, et à hauteur de laire de stationnement, il me fit signe de ly suivre, le second fermait la marche pour mempêcher de fuir. Une fois arrêté, les motards me firent descendre de la voiture en me demandant de présenter mon permis et les papiers de la voiture, je fis le plus vite possible, dabord parce que je me savais en faute et ensuite javais de plus en plus envie duriner. Après avoir examiné mes papiers, le plus âgé me dit que je roulais trop vite pour un jeune permis et je lui expliquais le motif de mon excès de vitesse, ils rigolèrent tous les deux et finirent par me dire que cétait bon pour cette fois mais quil ne fallait pas que je recommence, ils montèrent sur leurs motos et repartirent au moment ou une CX sarrêtait sur le parking. Sans chercher plus loin, je partis à grands pas vers les toilettes.

Je me présentais devant un des deux urinoirs et commençais à ouvrir ma braguette, saisie mon sexe et commençait juste à uriner quand jentendis du bruit, tournant la tête, je vis un homme dune cinquantaine dannées arriver vers le second urinoir, il sentait la sueur à plein nez et jessayais de me dépêcher de finir pour partir loin de cette odeur fétide. Il se plaça à côté de moi et je le vis (et le sentis) beaucoup mieux, il me dépassait dune tête et avait de très gros bras et également un ventre proéminent. Sans faire attention à quoi que ce soit, je le détaillais discrètement, tout du moins je le pensais, mais quand il ouvrit son pantalon et sortit son sexe, je restais stupéfait, car il venait de sortir un sexe dau moins 20 cm de long et de plus très large, et le tout au repos bien sur, je ne pouvais plus détacher mon regard de cette queue doù un jet puissant durine commença à sortir, puis tout bascula.

En un quart de seconde, lhomme jeta son bras gauche vers moi, me saisit par les cheveux et me fit faire un quart de tour vers lui en disant « alors saloperie on aime mâter les bites dans les chiottes » et en même temps, il appuyait sur ma tête me forçant à magenouiller, dans la manuvre, je finissais de pisser les quelques gouttes quil me restait sur ses chaussures ce qui ne fit qu’empirer sa colère « alors non seulement tu mâtes ma queue mais en plus tu me pisses dessus charogne, tu vas voir ce que tu vas prendre », javais les larmes de peur et de douleur qui coulaient le long de mes joues et je bafouillais « mais arrêter, je ne regardais rien du tout, ce nest pas vrai, pourquoi est ce que je ferais ça, vous avez mal vu » puis jéclatais en sanglots, il était maintenant face à moi, sa main gauche me tenant les cheveux et la droite tenant son sexe, il reprit « tu aimes regarder hein saloperie et bien regardes » et il commença à me gifler avec son sexe, deux allers-retours assez forts, je me rendis alors compte que jétais entrain de commencer à bander, et lui le vit aussi bien sur, il me dit « et ça te fait bander que je e baffe avec ma bite un raclure, tu vas voir, tu vas la voir dencore plus près puisque tu aimes, ouvres la bouche et sors ta langue que je pose dessus, cest que jai fini de pisser moi, alors tu vas essuyer » et il pointa son gland contre mes lèvres fermées, je fis non de la tête en prenant bien garde de na pas ouvrir la bouche, en même temps une odeur infecte assaillie mes narines, un mélange de sueur et durine, je crus que jallais vomir il frotta alors son gland sur mes lèvres en disant « pas compliqué petite merde, tu ouvres ta bouche ou sinon je te frappe jusquà ce que tu louvres ». Je compris que je navais pas dautre alternative que de mexécuter sous peine de me voir corriger de belle manière.

Tremblant, impressionné et je dois le reconnaître, excité par la taille de ce sexe, jouvris doucement les lèvres, lhomme me dit « active saloperie jai pas que ça à faire, ouvres en grand et sors ta langue de chienne, et ne me dis pas que tu naimes pas ça, ta petite bite est dressée comme un I », et comme je nobéissais pas assez vite il me gifla à nouveau avec son sexe, mais les choses avaient changé, lhomme commençait à bander et son sexe dur me fit plus mal que la première fois puis il rajouta « tu vois moi aussi je commence à bander et comme ça tu vas pouvoir me nettoyer correctement il ny aura pas de faux plis » et il éclata dun rire gras alors que je sortais peureusement ma langue, il tira sur mes cheveux pour me mettre la tête en arrière et dit « ouvres en grand ta bouche sale pute, dépêches toi » une fois ma bouche grande ouverte et ma langue sortie, il posa sa queue, devenue bien dure et aussi très impressionnante par sa taille, sur ma langue et avec un soupir de soulagement alors que je ne my attendais pas du tout, finit de se vider la vessie dans ma bouche, je suffoquais et je dû déglutir pour ne pas étouffer « alors tu laimes ma pisse, salope, espèce de truie tu vas tout avaler et me nettoyer la bite et plus vite que ça » en même temps alors que je reprenais mon souffle il enfila sa bite dans ma bouche jusquà ma glotte, il sarrêta net et me dit « allez tu vas me nettoyer le gland et la bite correctement, suces moi bien le chibre et si tu es sage ça sarrêtera là.

Dompter, je refermais mes lèvres et commençais à le sucer, jétais maintenant très excité et je faisais coulisser ma bouche sur cette colonne de chair chaude, malgré lodeur je commençais à apprécier de sentir ma bouche remplit par cette bite qui me distendait maintenant les lèvres.

Lhomme avait un peu relâché son emprise et se laissait aller « vas-y raclure suce moi la bite, nettoies la bien, en tout cas je suis sur que ce nest pas la première que tu suces, ça se sent tout de suite.

Jétais entrain de me dire quil allait finir par jouir dans ma bouche quand un bruit de pas se fit entendre à lextérieur, puis une voix « Albert, tu es là », lhomme « quest-ce quil y a mémène ? » la voix féminine « je voulais faire pipi mais il ny a plus de papiers chez les femmes, tu peux men donner sil te plaît », Albert, puisquAlbert il y avait, répondit « viens voir mémène, viens y a personne, mais avant vas chercher lappareil photo » la voix féminine répondit « ben pourquoi lappareil photo » lhomme « fais pas chier, fais ce que je te dis » puis à moi tout en continuant à me limer la bouche avec sa bite » cest Germaine ma femme, tu vas voir salope on va samuser » il y eu un nouveau bruit de pas et Germaine arriva, grande et tout mince, elle portait une robe boutonnée sur le devant, et un appareil photo à la main, quand elle vit la scène, elle plaqua sa main à sa bouche et dit « mais Albert quest-ce que tu fais à ce gamin, tu es fou » Albert lui répondit tout en continuant à limer la bouche, « ta gueule mémène, cest de sa faute, jai commencé à pisser et il arrêtait pas de mâter mon zob, donc je lui ai montré de près, maintenant puisque tu es là, tu prends quelques photos, mais vite, parce que jai envie de te baiser et que ce serait ballot que je vide mes couilles dans la bouche de cette lopette plutôt que dans ta chatte », Germaine, lui dit « mais tes complètement barge, il va porter plainte, cest un gamin » Albert se tourna un peu et attrapa le bras de sa femme, en lui disant « regarde comme ma bite coulisse bien dans sa bouche il ma nettoyé le gland et je bande comme ça fait longtemps que ce nest pas arrivé, alors tu fermes ta gueule, tu prends des photos et après je te défonce ta foufoune qui adore que ma bite vienne pleurer au fond delle », matée, lépouse pris quelques photos alors quAlbert ralentissait le mouvement dans ma bouche pour éviter les flous, puis il sortit de ma bouche, défit son ceinturon et me dit « mets tes mains dans le dos saloperie, tu vas voir ce que cest un homme », devant mon hésitation il me colla une baffe monumentale, qui fit pousser un ptit cri à sa femme, me fit pleurer et surtout obéir pour ne pas en reprendre une autre, une fois les mains attachées dans le dos, il attrapa lappareil photo, repris quelques clichés de ma queue toujours bien raide et de mes mains dans mon dos, puis il attrapa sa femme et commença à déboutonner sa robe, elle lui dit « mais tu es complètement fou, on va pas faire ça ici » et lui mais si ma chérie, non seulement je vais te baiser ici, mais cette truie va nous regarder faire pour apprendre », il colla sa femme contre le mur, finit douvrir la robe, ce qui me permis de voir que Germaine ne portait pas de culotte, passa sa main derrière son genoux droit et le souleva, puis me dit « approches salope, que tu serves à quelques chose au moins et dépêches toi sinon je te promet la plus belle raclée de ta vie » à genoux, je fis le mètre qui me séparait deux, il posa le pied de son épouse sur mon épaule en disant « voilà comme ça tu es au première loge et tu vas voir ce que cest un homme », javais un gros plan sur le sexe de sa femme, les grandes lèvres pendaient un peu, et cette vision nétait pas vraiment excitante, Germaine dit « arrêtes Bébert, jai envie duriner, pas de me faire baiser dans les chiottes comme une vulgaire salope », Albert qui venait de lui glisser un doigt dans le sexe rigola et dit « mais cest pourtant ce que tu es ma chérie, tu es trempée » et sortant son doigt il me le mit sous le nez en disant « lèches saloperie et dis moi comment tu trouves le goût de ma femme », là je ne me fis pas prier, je léchais le doigt et le relâchant je dis « elle à bon goût » , il éclata de rire alors que Germaine me regardait en rougissant, puis alors quil posait son gland à lentrée de son sexe, elle dit « non arrêtes jai vraiment envie de pisser, et puis je nai pas envie de jouir devant ce gamin », Albert lui dit « tu pisseras plus tard » et dun coup il la pénétra, le coup de rein fut si puissant que sa femme ouvrit la bouche et je crus quelle allait hurler, mais il nen fut rien et Albert commença à la pilonner, sortant presque entièrement de sa chatte à chaque fois puis y rentrant dun grand coup de reins qui arrachais à sa femme des gémissements de plus en plus forts, par contre javais dû lexciter avec ma bouche car en à peine 5 minutes il poussa des cris de gorets et avec des « oh putain, salope, cest bon de te jouir au fond de la chatte » il se vida complètement, Germaine poussa un gémissement de frustration et dit « non, pas maintenant, tu fais chier, jy étais pas encore moi » Albert sortit sa queue doù elle était, je vis quelle dégoulinait de sperme et du plaisir de sa femme, il dit à Germaine « cest de la faute à cette raclure, il suce trop bien, dailleurs il va me nettoyer et après il va soccuper de te nettoyer la foufoune ma chérie, comme ça on verra si il est vraiment pas pédé », il se tourna à peine vers moi présenta sa bite qui était maintenant recroquevillée et me dit « nettoie salope, suces moi bien et avales tout » là je reconnais quil neu pas à le redemander, jétais maintenant plus quexcité par la scène que je venais de voir et de plus par ce quil venait de dire à son épouse, je fis ce quil me demandait et en quelques minutes sa bite était toute propre, à un moment, alors que je navais que son gland dans ma bouche il cria « stop » je marrêtais net me demandant ce quil se passait et jentrevis un flash, il venait de prendre une autre photo, sa queue toute propre, mais pas prête à resservir, il là sortit de ma bouche et se tournant vers sa femme lui dit « à toi ma chérie, on va voir si il sait aussi bien bouffer une chatte quune bite » puis prenant la jambe dont le pied était toujours en appui sur mon épaule, il le posa sur le bord de lurinoir le plus proche, se recula, nous visa avec lappareil photo en disant « tu vois mémène, on est pas encore arrivés en vacances et on a déjà plein de photos souvenirs » puis à moi « allez, raclure, nettoies la foufoune à mémène et correctement hein, sinon je te défonce la gueule et ensuite le cul avec mon chibre » la menace était réelle et même sans être au top de sa forme, je navais pas du tout envie de me faire enculer, et encore moins de me faire tabasser et puis jétais maintenant très excité et cela ne me déplaisait pas de lécher la chatte de Germaine, javançais la tête vers son entrejambe quand il me stoppa « stop, commence déjà par nettoyer ce qui a coulé sur sa cuisse, tu vas tout bouffer saloperie, mon foutre et son plaisir » je commençais donc par poser ma langue juste en dessous du paquet sperme qui avait coulé et remontait le plus rapidement vers cette fente ouverte qui mattirait, Albert marrêta au moment ou son sperme était sur ma langue et pris plusieurs photos avant de mintimer lordre de continuer, jatteignais enfin le sexe grand ouvert de sa femme et je remontais sur toute sa longueur en appuyant fortement ma langue dessus, Germaine gémit de plaisir sous la caresse gourmande de ma langue, bien sur en faisant cela je ramassais au passage un gros paquet du sperme de son mari, goût franchement dégueulasse, heureusement que Germaine sentait bon le plaisir et la propreté, sinon jaurais certainement dégueulé.

Au bout de quelques minutes et alors que jétais certain quelle allait jouir, elle posa sa main sur mon front et recula ma tête en disant « Bébert cest très bon, mais jai vraiment envie de pisser maintenant et si il continue je vais jouir cest sur mais je ne vais pas pouvoir me retenir » Albert me saisit alors par les cheveux appuya fortement ma bouche sur le sexe de sa femme en disant « lèches saloperie et tu avales tout, cest bien compris ? Sinon » Devant la menace, je navais pas trop le choix et puis javais envie de faire ce que lui navait pas réussit, faire jouir sa femme. En quelques secondes Germaine jouit, et comme elle lavait dit, en même temps, elle ouvrit les vannes et avec son plaisir, cest un flot durine que je reçu dans la bouche alors quAlbert appuyais sur ma tête pour que je ne recule pas, je dû déglutir plusieurs fois pour pouvoir respirer et je bus donc une grande partie de lurine qui coulait maintenant abondamment du sexe de Germaine, en même temps, elle sétait tellement retenue que jen avais partout sur moi, sur la figure et bien sur, mes vêtements ne furent pas épargnés, quand le flot se tarît, Albert me dis « allez essuies bien maintenant, ce serait dommage quelle salisse les sièges de la voiture, je mexécutais et à ce petit jeu, je finis par faire jouir à nouveau Germaine qui hurla de plaisir, heureusement que nous étions seuls, pendant que je faisais du bien à son épouse, et après avoir pris plusieurs photos, Albert ayant vu mon portefeuille dépasser de ma poche, lattrapa et en sortit mes papiers, et alors que Germaine jouissait à nouveau sur ma langue, il lu à haute voix mon nom et mon adresse puis rajouta « mais cest très bien ça, nous nhabitons pas très loin, on viendra te montrer les photos quand on rentrera », je le suppliais, « sil vous plaît, jhabite chez ma mère, pas ça, je ferais tout ce que vous voudrez » il me colla une grande baffe et pendant que Germaine se rhabillait, il me détacha les mains et me dit « lorsquon viendra, tu feras effectivement tout ce quon voudra, pour linstant tu as intérêt à fermer ta petite gueule de pute parce que sinon je te promets que tu ne lemporteras pas au paradis, en attendant ranges ma bite et refermes mon pantalon » je mexécutais sous le regard de sa femme à qui il demanda de prendre de nouvelles photos, puis il partir tous les deux, je restais à genoux et pleurais toutes les larmes de mon corps, les nerfs craquaient après ce « viol », je restait une bonne heure à pleurer puis je rejoignis ma voiture, jétais trempé durine, je ne pouvais continuer ma route, ni me présenter chez ma cousine dans cet état, je pris un tee-shirt propre et un short, je retournais aux toilettes et fis, tant bien que mal, une toilette à leau glacée, puis je roulais mon pantalon et mon tee-shirt souillés en boule et les posais au fond de mon coffre, une fois cela fait, je fumais une cigarette pour me calmer et pu enfin reprendre ma route assaillis par la crainte de mon retour et des menaces dAlbert.

Jarrivais vers 10h chez ma cousine qui me dit que ma mère avait déjà appelé deux fois et qui mengueula copieusement après que je lui ai expliqué que, fatigué, je métais arrêté une petite heure pour dormir, elle me colla une baffe en me disant « tu lappelles tout de suite pour la rassurer », quand jeu rassuré ma mère en lui disant que je métais arrêté un peu en route, je raccrochais et ma cousine me dit « bon ben on va passer la semaine tous les deux parce que les enfants ont cours et mon mari bosse donc on va pouvoir discuter et comme on ne se voit pas souvent, on plein de choses à se raconter », dabord on sort tes affaires de la voiture et je te montre ta chambre.

A suivre

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