première expérience avec des nudiste
Le 5 juillet dernier, je décide demmener Josie au Cap Taillat à Ramatuelle.De nombreux blogs ou forums font état de ce site paradisiaque, il est aussi un lieu privilégié par les nudistes, les naturistes et quelques voyeurs ou exhibitionnistes, étant à la fois lun et lautre, il me faut découvrir ce site. Je fantasme à lidée de voir ma nymphe offerte au regard des autres, elle a toujours refusée de se mettre nue sur une plage, adepte de la bronzette seins nus, elle ne la pratique plus depuis quelques années. Je prépare le sac à dos avec rabanes, parasol et pique-nique.Nous partons du parking de l’Escalet (près de Ramatuelle), ce dernier est particulièrement vide, fait rare en été est peut-être dû au dernier jour scolaire et aux résultats du bac. Deux chemins soffrent à nous, le sentier des douaniers, et le sentier côtier, ce dernier longe la mer au plus près, et daprès ce que jai lu, peut réserver quelques bonnes surprises, au fur et à mesure que lon marche, le littoral devient de plus en plus mélangé textiles/naturistes, de nombreux mecs y exposent leurs grosses queues bien épilées et parfois en érection, ça n’échappe pas à Josie que je sens habitée dun sentiment mêlé de gène et dexcitation.
Elle comprend peut-être mieux pourquoi je me suis entièrement rasé le corps .Pour bien la mettre en condition, je commente systématiquement le physique des mecs qui se redressent à notre approche, dans tous les sens du terme, « il t’a vu celui-là, tu as l’air de lui faire de l’effet … » Josie nen perd pas une miette et ne cherche pas à presser le pas, dautant plus que je ralentis notre progression en photographiant ces paysages idylliques . Sur les rochers, japerçois deux filles : « elle a un super cul la petite blonde, regarde lautre, ses gros seins tombent, pas comme les tiens ; comme c’est beau ces belles chattes bien rasées … » ; je guette ses réactions, je ne voudrais pas trop en faire et la décourager daller plus loin.Après une demi-heure de marche, on se pose dans une petite crique de sable fin, il y a un renfoncement, sorte de crique entourée de rochers, lieu idéal pour rester à labri des regards du sentier, les « culs nus », comme elle dit, sy sentent bien. Josie hésite à sinstaller à la vue des occupants des lieux, il y a là une femme seule en tee shirt mais rien en bas, et quand je dis rien, cest rien, même pas un poil ! Il y a aussi un couple de nudistes étrangers qui baragouinent en germanique, deux couples de français très bruyants, encore en mode textile, une jolie femme en monokini à deux mètres de nous, un couple nu sur notre droite qui ne cesse de s’embrasser et de se caresser et deux gars d’une quarantaine d’années, ils ne sont vraisemblablement pas venus ensemble mais, vu leur bronzage intégral, semblent adeptes du naturisme, nudisme ou toute autre pratique consistant à exhiber son épiderme à lair libre.
Josie commence à observer plus attentivement son entourage. Les deux couples commencent à se dévêtir, par jeu ou par défi, maintenant ils courent comme des chiens fous, entièrement nus sur la petite plage, chahutant comme des ados boutonneux ! Je flashe sur la plus ronde des deux, elle a une paire de nibards qui pointent et un cul denfer, bien potelé comme je les aime, jen fais part à ma partenaire, histoire de la provoquer. Je lui propose alors d’être aussi en mode nudistes, pour être raccord avec les autres, « fais ce que tu veux, je sais que tu en meures d’envie, moi je reste habillée ! » Elle n’est pas encore changée mais à mon grand étonnement elle quitte son short, puis son slip et se retrouve les fesses à l’air, la chatte bien à la vue de nos voisins mâles pour enfiler tranquillement son maillot de bain, ça m’a vraiment excité de voir ces mecs la mater si directement … le couple na rien vu, les chahuteurs non plus, Josie s’allonge ensuite sur sa rabane. Comme annoncé, je retire tous mes vêtements, à peine allongé nu j’ai du mal à ne pas bander, la femme à mes pieds profite de mon anatomie changeante, plus elle me regarde, plus ma queue se raidit, et plus j’écarte les jambes en offrant mes bourses bien gonflées et ma tige raide à cette belle inconnue.
Je naurais jamais pensé oser mexhiber ainsi, mais son regard complice my a incité, cest trop jouissif Après un repas frugal et une bonne sieste, notre plage sest vidée petit à petit de ses occupants, la femme à mes pieds vient de partir, non sans sêtre longuement rincé lil, le couple de quadras veut visiblement continuer ses ébats dans des lieux plus tranquilles, madame tee-shirt mouillé après ses baignades a enfilé un slip et nous a quitté, auf wiedersehen à notre couple germanique. Les turbulents sen sont allés faire du bruit ailleurs, nous laissant seuls avec les deux quadragénaires.Josie voyant mon état me demande alors ce qui m’arrive, j’argumente sur le fait que les deux mecs avaient bien maté son minou et son fessier lors de son mini strip-tease, que j’étais excité à l’idée que ces hommes la regardent et se caressent en la voyant nue, pour illustrer mon propos je lui indique un des deux gars assis sur un rocher au bord de l’eau à 5 mètres de nous, sil a de leau jusquà la taille, on devine sa main glissant le long de sa tige, il nous fait face, je lui souris, maintenant qu’il a vu que j’étais complice il ne se cache plus et se masturbe en fixant Josie elle sest redressée légèrement sur ses coudes …" tu vois que tu es excitante, mets-toi à laise et quitte ce maillot, on sera même moins visible nus …"Josie sest rallongée sur le dos, je descends ses brides le long de ses bras découvrant sa poitrine et fait ensuite lentement glisser son maillot de bain jusquà la taille, elle me retient dun non timide, je continue mon ouvrage et finit de dévoiler sa peau blanche puis sa petite chatte bien tondue, elle est nue et n’ose plus se redresser, du coup elle ne voit pas que lautre voyeur s’est joint à notre admirateur, ils sont maintenant deux à se caresser en contemplant ma sirène …Je me caresse aussi, c’est très bon, ma main glisse vers Josie et je lui palpe ses seins, Dieu qu’ils sont durs, elle est dans un état second, je descends ma main le long de son ventre, elle la repousse dans un premier temps, puis devant ma fougue la laisse explorer plus bas, je roule mon index latéralement sur son clitoris, elle écarte légèrement les cuisses, ses lèvres sentrouvrent et jy glisse mon majeur en constatant qu’elle est trempée ! Je continue à la complimenter sur son anatomie « tu as les plus beaux seins de la baie, et que dire de tes fesses … » Je ne connaissais pas les codes des voyeurs nudistes, mais le fait de leur sourire et de me caresser en les fixant du regard aura fini de casser les barrières psychologiques.
Josie a maintenant les seins bien gonflés, ses cuisses sont écartées, son sexe humide et ouvert fait face à nos admirateurs, à 5 mètres de nous, ils n’ont de cesse de se caresser, laissant glisser leurs mains le long de leurs belles queues longues et lisses … imaginez la scène : Josie allongée sur le dos, nue, jambes écartées, mes doigts fouillant son intimité, moi également allongé nu, ma deuxième main activée à me branler et tout près de nous,les deux quadras nous faisant face en se masturbant frénétiquement …. le plus grand des deux est sacrément bien monté, il na rien à envier aux hardeursLeurs glands violacés témoignent d’une excitation extrême depuis le temps que je rêve dêtre cocu, le moment est peut-être venu, il est encore temps de tout arrêter, je murmure à loreille de Josie : « nous ne serons pas dérangés, la plage est déserte, si tu le veux ces deux beaux mecs peuvent te satisfaire, mais si tu le veux vraiment … »« je le veux, mais prends-moi dabord ! »Je lâche alors ma queue pour leur faire un signe de la main, approchez, ce qu’ils font sans cesser leur branlette … je glisse à loreille de ma salope : « tu vas avoir droit à un bel arrosage, ils ne vont pas tarder à éjaculer ! »Elle s’écrie « non, pas sur moi, en moi .. ! »
Et elle écarte encore plus les jambes, elle place ses mains au creux de ses genoux ramenant ses cuisses sur ses épaules … n’en pouvant plus, je pénètre son intimité et y dépose ma semence sans avoir eu besoin d’effectuer le moindre aller et retour …Me dégageant sur le côté, le plus grand des deux branleurs prend la place tant convoitée et s’affaire à faire entrer et sortir sa longue queue avec une amplitude maximale dans le sexe hyper-dilaté de Josie, je suis aux premières loges, entre chaleur et jouissance le teint de ma coquine a viré au rouge vif !Argggg ! Fait le grand échalas, il ressort son sexe démesuré et gluant de nos deux éjaculations afin de céder la place à son collègue de fortune, un petit râblé genre rugbyman à la queue très épaisse. Le temps furtif d’apercevoir un filet blanchâtre s’échappant de l’orifice, et déjà la place est prise, un rythme rapide et violent secoue le ventre rebondi et les nibards de ma belle … machinalement je jette un regard circulaire, toujours pas d’autres voyeurs à l’horizon, je suis presque soulagé car j’aimerais récupérer Josie en état, un gang-bang ne me réjouirait pas.
Elle aide son partenaire en accompagnant ses saccades, elle est transpireuse et haletante, comme jamais je ne l’ai vue, quel pied elle prend …Le rugbyman jouit à son tour, les deux corps s’abandonnent, je n’ai pas cessé de bander, dès que le massif se sera écarté, je prévois de reprendre de l’activité, mais après la libération de son dernier assaillant, Josie me fait comprendre qu’elle n’en peut plus, je regarde mes deux complices et tout en me masturbant, je m’approche à genoux du visage écarlate, les deux voyeurs acteurs en font de même, le grand se plaçant derrière elle, nous lui proposons un beau trio, je gicle le premier suivi de près par les deux autres…Le visage de ma belle est maculé de foutre, elle attrape les queues ramollies par les efforts consentis qu’elle lèche goulûment, elle passe ses lèvres dun gland à lautre, elle suce et branle ses trois amants de linstant à tour de rôle. Quand nos regards se croisent, ils ont le même éclat et pétillent du même bonheur, je croyais que ces scènes nexistaient que dans les films pornos ou dans les fantasmes des plus lubriques dentre nous, et bien non ! Aucun de nous trois na envie de quitter la scène de baise, nos organes venant de retrouver de la virilité, le petit costaud sue sang et eau, je crois quil va encore gicler effectivement, une petite saccade secoue son pénis et quelques gouttes sécoulent de son orifice dans la main de Josie, jai le privilège à cet instant de recevoir une fellation ; de voir le deuxième comparse éjaculer à son tour me fait cracher ma liqueur séminale dans la gorge de Josie le temps de tourner sa tête de côté pour sessuyer le bord des lèvres, les deux complices sont partis, étaient-ils français ? Sont-ils toujours sur cette plage ? Nous navons pas lintention de chercher des réponses et préférons nous satisfaire du moment vécu.
Josie se lève la première pour aller se rincer, je la suis les yeux rivés sur ses fesses blanches et dodues Nous nous frottons mutuellement comme pour effacer les traces de notre libertinage, un instant immobiles, nous éclatons de rire en constatant que lun comme lautre avons pris de bons coups de soleil, elle sous les bras et derrière les mollets, mois sur les fesses et sur les omoplates, comme quoi le naturisme ça se prépare !Le retour à la voiture se fera par le sentier des douaniers, loin du bord de mer, ne voulant pas croiser de nouveau nos partenaires de laprès-midi, ni ne souhaitant apercevoir dautres scènes scabreuses. Après quelques kilomètres en voiture, Josie me lâche : « tu avais raison, cest drôlement bien le naturisme, je compte sur toi pour me faire découvrir dautres lieux paradisiaques ! »