On était le matin et javais Eva dans mes bras. On sembrassait avait passion tout en étant lun den lautre.
— Merci pour cette nuit, murmura ma tante.
— De rien. Si javais su, jaurais fait ça plus tôt.
— Je suis une femme fidèle, jaurais refusée de le faire mais cest vrai que je ne pensais pas quon le ferait. Jai eu une drôle de sensation quand jai senti ta queux à laéroport.
— Tu veux dire que maintenant tu as envie dêtre en couple avec moi ?
— Pour cette semaine en tout cas, oui. Ensuite, ce sera plus compliquéje ne sais pas comment on pourrait faire ?
— On verra cela au retour, dis-je.
— Mais ne vient pas me dire que je suis la seule femme sur laquelle tu avais des vues ?
— Pas que toi non. Jen ai sur quelques copines de cours mais aussi
— Aussi ?
— Sur mes surs.
— Tes surs ? Agnès et Lola ?
— Tu me connais dautres surs ? riais-je.
— Tu leur en a parlé ?
— Non ! dis-je. Je ne leur ai rien dit, ce nest pas moral.
— Avec ce quon vient de faire, la moral tu sais où te la mettre ? Discute avec tes surs, si elles sont daccord et bien cest ce qui compte.
— Jen ai embrassé une, dis-je, il y a deux ans à lanniversaire de Lola. Elle était un peu bourrée et on a fini par se bécoter. On a été interrompu par des amies à elle qui la cherchait et on en a jamais plus reparlé. Mais cétait excellent.
— Je nen doute pas, tu embrasses tellement bien. Et le reste. Enfin, oublions tes surs pour le moment et profitons des vacances où personne ne nous connaît pour apprendre à nous connaître.
Jétais aux anges durant ces vacances. Durant tout le séjour, personne ne nous connaissait alors on jouait les petits couples amoureux et protecteurs. On sortait le soir, on couchait ensemble et on ne voyait pas le jour passer tellement que nous étions heureux mais toutes les bonnes choses ont une fin et il était temps maintenant de rentrer à la maison. Arrivé à laéroport de notre ville, on fit attention que personne ne nous regardait avant de sembrasser une dernière fois.
— Je te promets quon en restera pas là, assura ma tante, ta queux est si extraordinaire que je ne peux pas men passer longtemps.
— On sera discret, on sarrangera.
Je rentrais donc chez-moi pour retrouver ma mère et mes surs qui, elles aussi, semblaient heureuses de me revoir.
— Tu as passé de bonnes vacances ?
— Tu as ramené des souvenirs ?
On me demandait un récit détaillé de mes vacances et je leur donnais tranquillement tout en excluant les parties avec tante Eva (qui mavait déjà envoyé plusieurs sms assez chauds).
— Tu as de la chance, dit Agnès, nous on a passé notre temps à étudier pour ces foutus examens !
— Il fallait passer plus te temps à étudier au lieu de se demande quelle tenue sexy tu allais porter le lendemain, tu aurais réussi.
— Je ne peux pas donner tort à ton frère, dit ma mère.
Avec ce que je venais de vivre avec Eva, javais une excitation interne et un manque de sexe et je regardais les femmes de la maison avec un il différent maintenant. Je me rappelais du baisé échangé avec Lola deux ans plus tôt et je voulais tenter de réanimer une flamme, si celle-ci avait existé. Alors, je passais beaucoup de temps avec mes surs et je les faisais réciter. Mon intérêt était calculé car Lola avait plus dexamens quAgnès à repasser. Maman était partie au travail et Angès se faisait une toile avec des copines alors jétais seul avec Lola.
Elle avait dix-sept ans, les yeux bleus de notre mère et les cheveux châtains comme les miens, elle était de la même taille que moi (non, je ne la dirais pas), un bonnet C et de jolies fesses rebondies ainsi que des lèvres pulpeuses, ce qui explique pourquoi jai embrassé cette fille il y a deux ans. Peut-être devrais-je tenter le tout pour le tout ? Jétais assit à coté delle et je posais une main sur sa cuisse, ce qui la fit réagir.
— Hemfit-elle.
— Tu sais, dis-je, je sais que je nen ai plus reparlé maisje me souviens quand toi et moi nous nous sommes embrassé
— Davidjétais bourrée
Je posais délicatement ma main sur sa joue et je commençais à la caresser délicatement. Sa peau était douce et ses cheveux étaient lisses comme de leau. Quitte à ne rien avoir, je gardais mes yeux fixé sur son décolleté. Puis, je posais ma tête dessus avant de la serrer contre moi.
— Cétait si agréable cet instant damour entre toi et moi
— Daviddit ma sur. Je ne sais pas quoi penser
— Je peux tembrasser ? Reprendre là où on a été interrompu ?
Après tout, Eva mavait bien dit que jembrassais bien alorspeut-être que cet argument maiderait un peu à avancer dans ma quête. Je le forçais pas vraiment ma sur mais je mapprochais vite de son visage pour que nos nez se touchent.
— Je ne peux pas oublier la douceur de tes lèvres, la chaleur de ton cou, ta langue agile
— Agile ? répéta ma sur. Cétait mon premier baisé
Cette fois, on sembrassait de nouveau durant de longues et merveilleuses secondes avant que je ne passe mes mains sous sa chemise pour la lui retirer. Elle quittait sa chaise pour venir sur mes genoux, elle était en face de moi en topless et je lembrassais avec passion et fougue. Jembrassais son cou puis son corps et ses seins, ses si beaux seins. Je déboutonnais son pantalon pour avoir accès à son lieu humide dans lequel jy mis des doigts que jagitais avec précisions comme Tante Eva me lavait demandé durant les vacances. Cela devait marcher vu les gémissements de ma sur. Jétais obligé de lembrasser pour la faire taire et éviter dattirer lattention des voisins.
J’avais retiré le pantalon de ma sur et je la soulevais dans mes bras avant de la déposer dans le divan familial. C’est sur ce divan que j’allais en faire une femme et elle semblait plutôt heureuse. Je me déshabillais aussi avant d’entrer dans son corps avec mon organe bien tendu. Elle semblait vraiment bien et se sentait bien, elle avait encore ses petits cris de jouissance que je ne contenais plus maintenant vu que ma bouche suçait les seins de ma sur. C’était tellement bon… Finalement, elle attendait cela aussi depuis pas mal de temps.
Un jet de sperme allait arriver alors je la mettais à genou devant moi et j’allais lui envoyer tout cela dans le visage. Elle avait comprit car elle ouvrait la bouche dans l’attente de mon liquide. Mais, à son arrivée, elle fut surprise par la quantité. Une partie coulait sur son corps et elle se le frottait. J’aidais un peu, sans doute qu’une partie de mon jet chaud était dans ses parties intimes.
Après l’amour, il n’était pas rare d’avoir une petite faim alors ma sur se rendit vers le frigo et prit une fraise ou deux. Je venais à mon tour, je la retournais face à moi. Elle avait une fraise calée entre ses dents dans l’attente que je vienne chercher ma moitie, ce que je fis. Pour je la serrais contre moi.
— Si quelqu’un nous surprenait…dit-elle.
— Personne ne viendra.
— On devra vivre cacher de la famille.
— Au début un peu puis un jour on se prendra une maison. On ira vivre dans une autre ville et on dira qu’on est marier vu le même nom de famille…