Enfin ! Nous sommes samedi soir ! J’y suis arrivée avec une certaine impatience.
Ce soir, un groupe de copains m’attend pour fêter l’anniversaire de l’un d’eux. A cette occasion, ils ont réservé l’unique salle d’un restaurant d’une de leurs connaissances. Nous devons nous retrouver à vingt et une heures. En fin d’après-midi, je commence à me préparer pour être toute douce et dans de bonnes dispositions à l’heure dite. Mon corps vibre littéralement, tellement je suis désireuse de partir. Mon chéri vient de recevoir un appel lui indiquant la tenue dans laquelle je devrais me présenter. J’aime le jeu de mon mari, complice de mes fantaisies. Il me demande d’enfiler une paire de bas noirs avec le porte-jarretelles assorti et de chausser mes escarpins avec talon de douze centimètres. C’est tout ce que je dois mettre comme habits de soirée ! Si peu vêtue; il me demande de prendre place dans notre véhicule. Je suis très étonnée, mais pas du tout rebelle, je m’exécute sans protester.
Nous partons à vingt heures trente. Nous avons tout le temps devant nous. Je suis intégralement nue dans l’auto, sans le moindre vêtement pour me couvrir. Au bout de quelques centaines de mètres, je sens mon sexe couler littéralement sur le cuir du siège. Je suis partagée entre le plaisir d’être exhibée et l’appréhension du déroulement de cette soirée. Nous arrivons sans encombre. Il y a quelques voitures stationnées sur le parking. Quelques jeunes hommes viennent à notre rencontre et ouvrent fort galamment la portière de mon côté. Je descends sous les appréciations flatteuses de nos hôtes d’un soir.
Ils pensaient que je n’oserais pas me présenter nue dans ces circonstances ! Ils finissent de me mettre à l’aise en me disant que seul le patron du restaurant est au courant de ma tenue : il a seulement annoncé une surprise à ses cuisiniers !
C’est avec plaisir que je pénètre fièrement dans la salle à manger. Il y règne une douce température qui tranche avec la froidure extérieure. Une table est dressée au centre de la grande pièce. Plusieurs hommes se lèvent pour m’accueillir et me faire prendre place à leur côté.
L’apéritif rend l’assemblée guillerette et en effervescence. Les convives joyeux me font à tour de rôle de chauds bisous. Ils caressent ma poitrine. Les pointes des seins se redressent sous l’excitation.
Le repas commence avec son défilé de serviteurs. Je suis étonnée par la qualité et le nombre d’employés. En quelques minutes, ce sont trois garçons qui viennent me servir avec un plaisir non dissimulé.
A mi-repas, c’est la pause dans ce délicieux repas : le trou normand est servi. Tandis que chacun se délecte avec l’eau-de-vie, je passe sous la table et je disparais entre les cuisses de mon voisin. J’ouvre la braguette et je le soulage le plus simplement du monde. Continuant à quatre pattes mon discret périple, je déballe toutes les verges et je les suce à fond, les unes après les autres. Je sors sous la table, le visage couvert de sperme. Cela plaît beaucoup à l’assemblée. L’un des hommes attablés, plein de sollicitude à mon égard, attrape sa serviette et essuie le contour de mes lèvres avec délicatesse. Il ne sait pas que j’adore le jus que je savoure avec une immense joie.
A l’heure du dessert, ils me demandent d’aller chercher le gâteau en cuisine. Une fois la porte franchie, je suis dans l’antre des cuisiniers. Ils sont trois à me regarder approcher.
L’un d4eux m’attire à lui, pendant qu’un autre se colle dans mon dos en me pelotant sans aucune hésitation. Je sens les doigts courir sur les parties les plus intimes de mon corps. Une main appuie sur ma nuque. Sans résister, je m’agenouille à leurs pieds. Un sexe ne tarde pas à pénétrer dans ma bouche. Pendant que les autres marmitons se masturbent, je le lèche et le tète sans perdre de temps. Il jouit rapidement dans ma bouche. Je me régale et avale une première giclée. Je laisse la plus grosse partie du sperme s’écouler hors de mes lèvres. Il dégouline le long de mon cou. Les deux autres cuistots voyant cela jouissent simultanément sur mon visage et dans ma chevelure.
Je reviens avec le gâteau. Tout le monde rit en me demandant si j’avais perdu le dessert ! Je finis le repas, couchée sur la table. Avec beaucoup de virilité, mes hôtes se succèdent les uns après les autres dans mon corps. Quel plaisir ! Quelle jouissance ! Quel enchantement ! Il est pratiquement une heure du matin. Pas encore rassasiés, les copains désirent aller faire un tour dans une boîte. Je suis gênée ! Je fais semblant de protester et de refuser cette offre qui est loin de me contrarier. En espérant qu’ils insisteront, je prétexte que je n’ai même pas un manteau pour me couvrir. Du sperme coule sur tout mon corps, de mes cheveux aux chevilles. Mes bas joliment brodés sont en piteux état. Mon chéri s’éclipse en douce vers la voiture. Il revient avec une petite robe qu’il avait choisie pour cette occasion, sans me prévenir. Je me sens soulagée, bien que celle-ci soit très courte et franchement décolletée !
Nous arrivons à la boîte de nuit. Dès l’entrée, entourée par tous ces hommes, je ne passe pas inaperçue. Nous nous frayons un chemin jusqu’au bar. Il y a beaucoup de monde et nous sommes très serrés les uns contre les autres. Après quelques verres d’une boisson euphorisante, je sens des mains s’insinuer dans l’échancrure de mon vêtement. Elles commencent à me pétrir les seins. Je me laisse aller avec plaisir à ces attouchements indiscrets. Une main plus hardie écarte mes cuisses. Des doigts s’activent de plus en plus sur mon sexe dégoulinant de sperme. La robe remontée sur les hanches, délicieusement excitée, je jouis, là, appuyée au bar, en me mordant les lèvres pour éviter de pousser un long hurlement de plaisir. Tout juste remise de cette extase, des hommes m’entraînent sur la piste de danse. J’adore danser et me laisser aller aux rythmes endiablés de la techno. Le DJ a démarré une série de rocks. La piste se vide.
Je sens une main saisir la mienne pour me lancer dans une danse endiablée. Mon partenaire apprécie mon dynamisme. Il me fait tourner rapidement en me tenant à bout de bras. Emportée par le rythme endiablé, je ne me rends pas compte que ma robe remonte sur les hanches et mes seins apparaissent par intermittence. Je dévoile mon sexe nu et ma poitrine à la vue de tous ! Je n’en suis nullement offusquée ! J’aime m’exhiber en public !
De retour au bar, je sens à nouveau de nombreuses mains passer sous ma robe que j’ai redescendue au maximum. Je laisse faire ces merveilleuses caresses sur les fesses et les seins. Plusieurs personnes en profitent pour me féliciter pour ma tenue et mon comportement osé qui les enchantent. J’ai depuis un petit moment, un besoin de plus en plus pressant. Devant l’urgence de me soulager, je n’ose pas traverser la piste où je serais sûrement attardée. Un homme plein de sollicitude se propose pour m’accompagner. Les autres me branchent en me disant que je n’oserai pas aller du côté réservé aux hommes !
Je les prends au mot. Nous prenons la direction des toilettes sous la surveillance d’un compère qui veut constater le pari. J’entre la première. Il y a peu de monde. Tous les mâles sont surpris de trouver là une femme. J’ouvre la porte d’une cabine. Je m’aperçois trop tard que le verrou est inexistant. Peu importe. Galamment, l’un des hommes présents se propose de tenir la porte.
Je suis à peine à moitié assise, appuyée sur les mains pour éviter le contact de la cuvette recouverte de gouttes de liquides suspects, je commence à me laisser aller. A ce moment-là, je vois la porte s’ouvrir sans pouvoir ni interrompre le soulagement commencé ni empêcher cette ouverture impromptue. Deux individus béats d’admiration dans l’encadrement me regardent avec envie. L’un d’eux s’avance tout en sortant son sexe déjà dur de son pantalon. Il me la met directement dans la bouche. Je ne me retourne pas et je n’ai pas envie de protester. Il prend mes cheveux d’une main vigoureuse. Il entame une suite d’allers et retours rapide de son engin bandant entre mes lèvres gonflées de désir. Il joue de l’autre main avec la pointe de mes seins. Profitant de ma fausse confusion apparente, il me pousse fermement et m’oblige par la même à m’asseoir directement sur la lunette plus que douteuse. D’un geste brusque, il arrache la robe que j’avais remontée, roulée sur le haut de ventre.
Au bout de quelques mouvements saccadés, il décharge avec une violence inouïe dans ma bouche. Il essuie le gland visqueux sur mon visage. Echauffé par sa jouissance, à semi-inconscient, il laisse tomber ma robe sur le sol couvert d’urine. Triomphant, il dit à son collègue qui nous regarde, appuyé à la porte grande ouverte, de prendre la suite. Excité, celui-ci s’empresse de le remplacer.
Tout en le suçant, je m’aperçois alors que plusieurs hommes me matent sur l’entrée. Il y a peu de temps, une ribambelle de bites a éjaculé dans ma bouche. Cela recommence. Les uns après les autres, ils jouissent sans aucune retenue. Les quantités de jus sont telles, que cela déborde sur mon visage. De grosses coulées de sperme glissent entre mes seins et roulent sur le ventre. Le porte-jarretelles ne suffit pas à arrêter ces paquets gluants qui s’infiltrent dans mon sexe béant de désir et s’étalent sur les cuisses.
Tous calmés; je m’essuie sommairement avec le peu de papier disponible. Mon chéri qui assistait à la scène me tend la robe dégoulinante d’urine. En serrant les dents et écurée, je la passe en vitesse pour sortir dignement de la boîte de nuit.
Je n’étais vraiment plus présentable !
Au moment de monter dans la voiture, mon tendre époux m’a fait déshabiller pour un retour des plus coquins !