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La patronne de ma mère est une cougar – Chapitre 9




Salut, c’est votre folle de lycra.

Christiane, ma maman, était donc partie au boulot dans une tenue très sexy, avec pour objectif que sa patronne finisse par craquer pour elle, mais surtout lui faire savoir. De mon côté, je me suis permis d’envoyer un petit message à Muriel pour lui dire que maman s’était faite belle pour elle. Comme réponse, ma maîtresse m’a répondu que j’étais une petite salope entremetteuse, mais que cela lui faisait très plaisir que je la tienne au courant.

La prochaine fois que je te reverrai, je te ferai des petits cadeaux pour cette information primordiale. Claude m’a donné un gros budget pour que je t’achète de nombreux vêtements pour te faire belle.

Je commençais à avoir les idées qui se brouillaient dans ma tête, car je pensais à ma maman qui, pour une première fois, allait oser se laisser courtiser par sa patronne. J’étais surtout confronté à un gros problème, c’est que Muriel voulait absolument me mettre dans les bras de son collègue. Je m’étais laissé faire une fois, mais je n’avais vraiment pas projet que cela devienne une habitude.

Quand je suis parti en cours, je n’ai pas débandé de la matinée, je pensais à la journée de ma maman et ce qu’elle risquait de vivre avec sa patronne.

Ça y est, j’ai vu Muriel et elle m’a regardé d’un il coquin, pour ne pas dire désireux.

je commençai à culpabiliser d’avoir envoyé un message à Muriel sur les intentions de ma mère, ce jour à son égard. C’est vrai que ce matin, maman était très belle pour aller travailler, entre ses escarpins en peau de daim, ses bas attachés à son porte-jarretelles, son bustier en lycra et sa robe fourreau de couleur bordeaux. Ma maman était vraiment on ne peut plus désirable, habillée comme elle l’était ce matin pour aller travailler, j’étais conscient que la plupart de ses collègues masculins allaient fantasmer sur elle. Seules Muriel et moi savions qu’elle s’était habillée ainsi pour chauffer sa chef.

Tu as raison ma chérie, ta mère s’est faite très très belle aujourd’hui pour venir bosser, au point qu’elle me fait mouiller ma culotte rien qu’à y penser. Cela me touche beaucoup qu’elle ait fait ça pour moi.

J’aimerais bien te voir donner du plaisir à ta mère devant moi.

Muriel était en train de m’exciter en me parlant de ma mère de façon de plus en plus hard. J’ai l’impression qu’elle n’avait pas l’habitude qu’un homme ou une femme lui résiste. Les deux femmes étaient vraiment très belles, la seule différence, c’est que Muriel avait un côté dominatrice, Christiane était vraiment la proie idéale.

J’aimerais que tu viennes me voir ce soir, après les cours ma chérie.

Je lui ai répondu que ce soir, je désirerais réviser, car demain, j’avais des partiels, je voudrais être efficace.

S’il te plaît Franck, j’ai besoin de toi.

Mon petit doigt me disait qu’il y avait un rapport avec ma mère, mais je ne savais pas vraiment lequel. Demandée de cette façon, je ne pouvais pas refuser l’invitation de Muriel, je l’ai donc informée que je passerai dans la soirée vers dix-huit heures, mais que je rentrerai vers dix-neuf heures au plus tard.

Mon chéri, je rentrerai tard ce soir, Muriel m’a invitée à dîner chez elle, tu vois ce que je veux dire…

Je n’ai pas osé envoyer un message à ma mère comme quoi je m’en doutais fortement, toujours est-il que Muriel était en train de préparer un plan à trois, ce coup-ci, avec ma mère. En même temps, quand j’entendais ma génitrice, elle avait l’air très excitée à savoir que je faisais des choses avec sa patronne. En même temps, sans vouloir être un peu déplacé, cela restait en famille. Durant mes deux dernières heures de cours, je vais vous avouer que j’avais la tête ailleurs, jessayais d’imaginer le scénario de ce soir. Comment est-ce que Muriel allait organiser ça, allais-je être juste un spectateur ou acteur de la chose. Les scénariis, il y en avait mille possible, est-ce qu’elle allait mettre en avant le romantisme, la poésie ou juste le côté hard de la chose. J’aimais ma maman parce qu’elle m’avait donné la vie, mais aussi parce que j’avais des sentiments amoureux pour elle, je ne voulais pas que sa patronne la méprise lui fasse du mal.

Une fois les cours terminés, j’ai regagné la maison en profitant du temps qui m’était proposé dans le transport en commun, pour réviser.

Une fois rentrée à la maison, je me suis déshabillée pour me faire belle, car j’étais persuadée que Muriel nous préparait un coup fumant. En fait, je ne fis qu’une escale chez maman, car il fallait que je sois à l’heure chez ma maîtresse. Il ne m’a pas fallu bien longtemps pour arriver chez Muriel, j’ai sonné et il n’a pas fallu dix secondes pour que la porte s’ouvre et qu’elle m’invite à rentrer. Une fois à l’intérieur, j’ai retrouvé ma mère qui était assise sur le canapé, elle avait l’air très à l’aise, elle était belle à ravir. Rien qu’à la voir, et surtout savoir que cela allait vite dégénérer, mon sexe était déjà réveillé.

Et si on allait chercher Coralie.

Je n’ai pas compris sur le coup et ma mère encore moins de qui était cette fille, il m’a fallu quelques instants, pour réaliser que Muriel désirait que je me fasse belle.

Mais qui est cette fille, qui est cette Coralie…?

Ma mère avait l’air inquiète, mais sa chef l’a prise par la main, pour l’emmener dans sa chambre et m’invitant les accompagner. Là sur le lit, se trouvait la même parure que l’autre fois, une véritable robe de mariée, avec au pied du lit les cuissardes aussi sexy.

Christiane, voilà la tenue de ton fils quand il passe ses moments à la maison, si tu voyais le résultat, il est vraiment magnifique.

Ma mère avait l’air un peu outrée, mais en même temps, cela avait l’air d’attirer sa curiosité, voir son fils habillé en femme, cela ne doit pas être courant. Quand Muriel m’a donné l’ordre de m’habiller, je me suis exécutée sous le regard interloqué de ma mère. Plus j’étais en train de me métamorphoser, plus mon érection était grosse.

Tu vois Christiane, quand ton fils est habillé comme ça, son petit nom, c’est Coralie, et je la trouve très mignonne.

À mon grand étonnement, cela n’avait pas l’air de déranger plus que ça ma mère, que de me voir habillée dans une robe digne d’un grand mariage. Une fois transformée, Muriel m’a emmené dans la salle de bain, en invitant ma mère à nous accompagner. C’est avec beaucoup de curiosité, mais il y avait plus que ça, dans l’attitude de ma mère par rapport à moi. Là où j’ai été surpris, c’est quand Muriel a invité ma mère à me maquiller et s’occuper de la finition pour que je sois toute belle, c’est-à-dire me poser la perruque entre autres.

Je m’attendais vraiment à une autre réaction de la part de ma mère, quand je l’ai vue commencer à me maquiller, cela avait l’air de beaucoup lui plaire de me transformer en fille. Une fois le travail terminé, Muriel nous a invitées à repartir dans le salon toutes les trois, les deux femmes se sont assises sur le canapé, et Muriel m’a invité à venir m’agenouiller devant elles.

Tu vas commencer par me faire une petite langue, ensuite, tu viendras embrasser ta mère, puis tu feras une petite langue à ta mère et tu viendras m’embrasser, et ceci, pendant un petit bout de temps.

Muriel avait une façon de dire ça qui était à la fois douce, mais autoritaire en même temps, ma maman me regardait avec un grand sourire. C’est ainsi que je me suis positionné dans l’entrejambe de la patronne de maman, elle avait bien écarté les jambes et son minou était trempé. En plus d’être toute mouillée, sa friandise sentait très très fort, je pense que Muriel avait fait attention à ne pas se nettoyer le minou en l’honneur de ma mère. Quelle délicatesse de sa part, d’autant que c’est moi qui servais de navette gustative, de mon côté, ce goût et cette odeur avaient plutôt un côté aphrodisiaque. Pour une première, j’espère que ma maman n’allait pas trop mal le prendre que d’avoir à savourer un minou qui sente la marée.

Jamais je n’avais vu Muriel ainsi réagir à mes coups de langue, elle était vraiment très excitée ce soir. Elle était tellement à l’aise qu’elle avait carrément posé sa jambe sur la cuisse gainée de maman, cela ne dérangeait tellement pas ma mère que cette dernière avait carrément saisi la cuisse de sa patronne pour la maintenir ainsi. Je peux vous garantir que ce soir, je faisais vraiment la toilette intime de ma maîtresse, bien que mon sexe soit enfermé dans une douce culotte en lycra, il était énorme d’excitation. Muriel appuyait sur mon visage, pour que ce dernier soit totalement recouvert de sa cyprine. Quand elle a estimé que c’était bon, elle m’a retiré de son entrejambe pour m’envoyer embrasser ma mère.

Ce n’était pas la première fois que nous allions nous embrasser, mais la nouveauté allait être que nous allions faire ça devant quelqu’un, en l’occurrence sa chef. À genoux, je me suis déplacé vers ma mère de quelques centimètres, puis elle a saisi mon visage pour m’embrasser avec passion et gourmandise. Je crois que ce qui l’excitait le plus en plus d’embrasser son fils, c’était de retrouver le goût de la cyprine de sa supérieure hiérarchique.

Je n’en ai eu aucun doute, lorsqu’elle s’est mise à m’embrasser, par moments, elle suspendait ce baiser pour juste aller me lécher le visage. J’ai l’impression qu’elle était en train de découvrir le goût du jus de minou d’une autre femme. Mon petit doigt me dit que ma tenue devait y être aussi pour beaucoup au niveau de son excitation. En plus de nous regarder nous embrasser, Muriel avait glissé sa main entre les jambes de ma mère, elle était en train de lui faire reluire le berlingot. Manifestement, cette dernière avait l’air de beaucoup apprécier la prestation, car pendant que nous échangions ce baiser, je l’entendais soupirer de plaisir. Muriel a donné fin à notre baiser pour m’envoyer entre les jambes de ma mère, Muriel m’avait déjà donné la consigne de débarrasser maman de sa culotte. Là aussi, ce n’était pas une première, excepté le fait que je fasse ça devant quelqu’un.

Pendant que j’étais en train de trouver une position confortable, Muriel se chargeait de bien écarter les jambes de sa collaboratrice. J’ai finalement été étonné par la souplesse de ma mère, elle faisait pratiquement le grand écart cela me donnait un accès formidable à tout son entrejambe.

Moi qui trouvais chaude, excitée et sensible l’intimité de Muriel, ce n’était strictement rien à côté de ma mère. On aurait dit qu’elle n’avait pas fait l’amour depuis des siècles, pourtant, je lui avais donné du plaisir il y a très peu de temps. Le goût de la cyprine de ma mère était vraiment très agréable, bien que moins prononcé au niveau du goût, il donnait quand même une énorme envie de s’en délecter. Ma langue a commencé à jouer avec son clito sous le regard amusé de Muriel, maman elle, commençait à se trémousser dans tous les sens, j’étais heureux de la savoir à ce point réceptive. Maintenant, Muriel, en plus de nous regarder, était partie jouer avec mon sexe sous ma robe, elle l’avait libéré en le faisant passer par des passages de jambes et elle était carrément en train de me masturber. Bien évidemment avec de telles prestations, j’avais une énorme envie de pénétrer un minou et pourquoi pas celui qui était en face de moi, à savoir celui de Christiane.

Malheureusement, Muriel n’avait pas prévu que cela finisse comme ça, quand elle a estimé que je m’étais suffisamment bien occupé de ma mère, elle m’a fait venir entre ses jambes pour pouvoir ensuite m’embrasser.

Il n’y a pas à dire, pour l’instant, je servais de navette, je transportais la cyprine de l’une vers la bouche de l’autre. De vous à moi, le rôle n’était pas désagréable, mais maintenant, j’avais vraiment envie de baiser l’une d’entre elles. Je suis resté de longues minutes à embrasser ma maîtresse, jusqu’à ce qu’elle décide que nous changions de position. Elle m’a fait asseoir sur le canapé, alors que toutes les deux se sont relevées, elle a relevé l’avant de ma superbe robe. Mon sexe qui était dressé et on ne peut plus rigide, attendait la suite des événements. Finalement, Muriel est venue se mettre face à moi, elle s’est agenouillée pour prendre mon membre en bouche, puis me faire une petite fellation. Vu le côté bref de sa prestation, elle voulait juste me lubrifier le sexe, elle s’est légèrement redressée, elle a relevé l’avant de sa robe puis s’est positionnée face à moi.

J’étais assez fier, car mon sexe était suffisamment rigide pour qu’il soit carrément en contact avec son vagin qui se trouvait quelques millimètres au-dessus.

Bref, elle n’a pas eu besoin de guider mon sexe à l’entrée de son minou, là, elle s’est laissée descendre verticalement et mon sexe est entré en elle sans aucune résistance. Maintenant, nos bouches étaient collées l’une à l’autre et nous étions en train de nous rouler une gamelle d’anthologie. Quand j’ai pu apercevoir ma mère qui était en train de s’astiquer le berlingot en nous voyant, j’ai eu un peu honte, tellement elle se relâchait. De son côté, Muriel me tenait fermement le visage et j’avais peur qu’elle avale ma langue, tellement elle était gourmande. Muriel s’est mise à monter et descendre sur mon chibre et elle avait l’air de beaucoup aimer ce que je pouvais lui offrir. Au bout de quelques minutes, elle s’est retirée de moi puis a saisi la main de ma mère pour l’inviter à venir s’agenouiller entre mes jambes. J’en étais sûr, Muriel voulait que ma mère me nettoie le sexe en sachant que ce dernier était parti très profondément dans les entrailles de sa chef.

Sur le coup, j’ai eu l’impression que ma mère était un peu hésitante, mais au bout de quelques secondes, la main de Muriel est arrivée pour l’inviter à venir me faire ma toilette à moi.

Maintenant, maman était en train de me faire une turlutte, je peux vous garantir qu’elle s’y prenait très bien. Le problème c’est qu’avec un tel traitement, mon sexe commençait à avoir une grosse envie de balancer la purée. Par contre, je savais parfaitement que ce n’était pas le moment, car je suis sûr que Muriel avait encore prévu autre chose. Toujours est-il que pour l’instant, maman me faisait un bien fou en jouant avec sa langue sur mon gland.

C’est bien ma belle, fais du bien à ma chérie.

Il était évident que la belle, c’était maman et que la chérie, c’était moi. Muriel n’avait plus besoin de tenir la tête de sa collègue, maman gérait le va-et-vient sur mon sexe de façon parfaite, par moments, j’entendais un petit bruit de succion. Muriel est venue s’asseoir à côté de moi, maintenant, sans interrompre la fellation qu’était en train de me pratiquer ma maman, elle était en train de décaler ses jambes vers elle. J’ai rapidement compris ce qu’elle voulait faire à savoir changer de partenaire pour ma mère. C’est ainsi que quelques instants plus tard, Muriel a fait venir ma mère entre ses jambes et il lui a donné son minou à brouter.

J’ai sans aucun doute, constaté une surprise de la part de maman quand elle s’est retrouvée la tête dans le minou, humide et savamment taillé et de sa patronne. Je suis persuadé qu’il lui a fallu quelques instants pour réaliser la position qui était la sienne maintenant, mais surtout ce qu’elle allait devoir faire désormais. Finalement, le temps mort n’a pas été très long, Muriel avait les jambes très écartées et maintenant, Christiane avait les mains posées sur ses cuisses, il n’y avait pas de doute, elle était en train de lui faire une petite langue très appliquée. À un moment, ma mère s’est relevée pour me regarder, j’ai vraiment compris dans son regard que cela faisait longtemps qu’elle mourait d’envie de faire ça, même si c’était une première pour elle. Non contente de se faire dévorer le minou par ma mère, Muriel s’est mise à aller lui caresser les fesses. J’étais en train de réaliser ce que Muriel avait derrière la tête, il n’y a pas à dire, cette femme ne pensait qu’au sexe.

Pour l’instant, je ne pouvais rien dire, je n’étais là que comme spectateur pour admirer ce que ma mère était en train de faire à sa chef.

Muriel m’a saisi le bras et et m’a tiré à elle, elle voulait juste m’embrasser, sans doute pour me faire comprendre que maintenant elle avait la mère et le fils à sa disposition. Je me suis donc penché sur elle, et nous avons échangé un long baiser passionné. Pour le moment, je n’avais pas grand-chose d’un fils, j’étais là dans une robe de mariée, maquillée avec une perruque, je venais de manger le minou de deux femmes, je venais de les embrasser aussi, l’une d’entre elles s’était empalée sur moi ; mais j’étais quand même totalement travesti. Je me sentais vraiment le jouet sexuel de Muriel, mais avec le recul, j’avais l’impression que ma maman était sur le point de suivre la même route. Muriel m’a carrément saisi par une cuisse pour m’approcher encore plus d’elle, là, elle m’a soulevé la robe pour se glisser en dessous et prendre mon sexe en bouche. Pendant qu’elle me suçait, je l’entendais soupirer de plaisir, j’étais assez fier de ma mère, car elle lui donnait du plaisir.

Continue ma belle, à ce rythme-là, tu vas finir par me faire jouir.

Si ça, ce n’était pas un encouragement, je ne m’y connaissais pas.

J’aimerais bien que toi aussi Christiane, tu prennes du plaisir.

Mais quelle était la suite du programme concocté par Muriel, vous le saurez dans le prochain chapitre

Gros bisous à vous.

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