Encore couchés sur le sol, toujours dans les bras l’un de l’autre, ils essayent de reprendre leurs forces et leurs esprits.

"Je pense que je vais lever ta punition, tu as besoin d’une douche" lui dit-elle avec un grand sourire.

Il sourit aussi. D’une main il lui remet en place une mèche de cheveux collé sur sa joue par la sueur.

"Je ne suis pas le seul à avoir besoin d’une douche."

Elle rit.

Il l’aide à se relever et lui prend la main pour l’emmener dans la salle de bain.

L’eau chaude de la douche est revigorante et ils se laissent tremper un long moment puis il la savonne avec les mains, massant chaque parcelle de son corps avant de lui donner le savon et la laisser lui faire la même chose.

Une fois secs, il place un essuie sur le couvercle des toilettes et lui demande de s’asseoir dessus.

"Ecarte bien les jambes" lui demande-t-il sans donner plus d’explication.

Elle s’exécute, un peu intriguée et excitée par la demande.

A sa plus grande surprise, il prend une bombe de crème à raser et en applique une généreuse dose sur ses grandes lèvres puis il les rase avec un rasseoir jetable.

Elle est encore plus douce que d’habitude.

"Retourne toi"

Elle est surprise et presque choquée, un peu gênée mais elle s’exécute quand même, elle aime bien lui obéir.

Il applique une nouvelle couche de mousse à raser dans le sillon de ses fesses et avec moulte précautions, il la débarrasse des quelques poils qui ornent son anus.

"Tu mériterais que je te fasse la même chose" lui dit elle dans dans un soupir.

"Plus tard peut-être, il est déjà tard, je meurs de faim".

Vingt minutes plus tard, ils sont dans un bistro et commandent deux énormes salades. Pendant qu’ils attendent le service, il lui prend la main et la caresse du bout des doigts.

"Va aux toilettes et enlève ton string"

Elle fait de grand yeux, se prépare à dire quelque chose puis se lève et part vers l’arrière de l’établissement. Quand elle revient, il ne peux dire si elle l’a fait ou non, son pantalon noir ne laisse rien deviner, mais elle a ce petit sourire qui lui fait penser que oui.

"Ce n’est pas très confortable, le pantalon gratte un peu, mais voilà" lui dit elle en lui tendant sa culotte noire et or.

On apporte les salades. La serveuse ne dit rien mais elle a bien vu la culotte avant qu’il ne la mette dans sa poche. Le repas se passe sans autre incident mais elle rougit chaque fois que la serveuse passe près de la table.

L’après midi est chaud et ensoleillé, le temps est idéal pour une promenade et ils décident d’aller au hasard. Ils marchent une bonne demie heure avant d’arriver dans un parc verdoyant et ombragé.

L’endroit est calme, l’air y est un peu plus frais. Les sentiers font de nombreux détours autour de buissons et de haies, il est facile de s’y croire seuls.

Elle se fait plus câline, lui donne de petits baisers, fait des commentaires pleins de sous entendus, remarque qu’elle aurait dû penser à mettre une jupe.

Ils marchent comme ça un moment puis, au détour d’une haie qui les coupe de la vue de quiconque, il s’arrête et l’embrasse.

"Enlève ton pantalon"

Tremblante, elle s’exécute. Le vent semble glacial sur ses lèvres humides.

"Donne moi aussi ton t-shirt et ton soutif"

Elle jette un regard alentour, quelqu’un pourrait surgir à tout moment mais elle retire le t-shirt et dégrafe son soutien gorge.

Etre nue là, la terrifie et l’excite à la fois.

Il la regarde un moment, elle est encore plus belle en cet instant, puis il lui donne sa chemise. Elle est déjà grande pour lui, sur elle elle descend jusqu’à mi cuisse. Avec une ceinture on pourrait presque croire qu’elle est en robe.

Elle n’a pas encore fini de se boutonner qu’un couple passe sans leur prêter la moindre attention. Elle les a bien vu et devient presque écarlate.

Il lui prend la main et défait deux boutons de plus sur le haut. Il veut pouvoir voir sa poitrine de temps en temps même si elle ne l’aime pas trop.

"Viens, allons un peu plus loin, il y a trop de monde ici"

Ils marchent à la recherche d’une autre endroit calme mais il n’est pas possible de trouver de banc libre dans un coin où ils seraient surs d’être tranquilles.

Parfois, un coup de vent un peu plus fort que les autres soulève l’avant où l’arrière de la chemise. De sa seule main libre, elle essaye de la maintenir en place, elle a l’air au supplice.

Ils finissent par s’asseoir sur un banc à l’écart, il y a quelques personnes en vue, ça et là mais elles sont assez loin pour ne pas discerner les détails de ce qu’ils font.

Il lui passe un bras sur les épaules et l’embrasse. L’autre main est entrée dans la chemise et caresse le sein gauche puis ressort et va se placer sur la cuisse.

Elle décroise les jambes et il remonte lentement sans cesser de l’embrasser.

Son sexe et trempé, les doigts y glissent et la caressent. Rasé de frais, il n’a jamais été aussi doux.

Il la caresse lentement, jouant avec ses lèvres et son clitoris. Après un moment il entre le bout de deux doigts et commence à la masser du pouce sur le clitoris et de ces deux doigts à l’intérieur.

Elle pousse un petit grognement puis rompt le baiser.

"Stop" son ton n’a rien de la supplique, son regard se fait très sérieux tout à coup.

Il retire la main.

Elle se lève et vient s’asseoir à califourchon face à lui.

"Ce ne sont pas des doigts que je veux en moi".

Elle ouvre sa braguette, se saisit de sa verge, la sort et la guide vers son sexe avant de descendre lentement dessus puis elle l’embrasse à nouveau.

Si quelqu’un les voit, il ne saurait dire avec certitude ce qu’ils font en dehors de s’embrasser.

Il aimerait jouer avec ses seins mais il préfère la serrer contre lui et s’assurer que la chemise reste plus ou moins en place. Il essaye comme il peut de bouger en elle, la position n’est pas idéale. Elle fait de son mieux pour l’aider avec des mouvements du bassin. D’une main elle se caresse le clitoris tout en allant et venant sur sa verge tendue.

Il faut être rapide sous peine d’être surpris mais il n’est pas possible de faire de trop grand mouvements qui seraient visibles de loin.

Equation intéressante.

Le mélange de risque, d’excitation qu’il procure, cette queue qui la ramone et les caresses sur son clitoris l’amènent assez vite à l’orgasme.

Elle se relève, il n’a pas joui.

"Tu ne peux pas me laisser comme ça" l’implore-t-il, "suce moi".

"Non", sa voix est lente et tremblante, "j’ai encore besoin de toi mais je vais te laisser te calmer un peu".

Elle remet tant bien que mal le sexe encore en érection dans le pantalon et se lève. Elle se rassied à côté de lui et se cale contre son épaule. Ils restent assis là en silence, appréciant l’instant. La journée est belle, le mélange d’ombre et de soleil est juste parfait.

Elle fini par se relever et lui tend la main.

"Viens, allons ailleurs, j’en ai envie par derrière".

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