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l'Eveil d'Adeline – Chapitre 1




Léveil dAdeline première partie

Auteur : [email protected]

Après plusieurs relations entretenant en moi une forme de frustration perpétuelle, je me suis mis en quête dun autre type de relation. Je nétais pas à la recherche de la femme parfaite telle que les magazines nous la présentent. Avec un corps de rêve, un visage dange et sachant mener avec succès vie de famille et carrière. Ce que je voulais avant tout, cétait une femme agréable, ouverte et surtout aimant se faire guider dans de nouvelles expériences. Certains disent que le sexe est le ciment du couple, à mon avis ce sont plutôt les fondations.

Jai donc arpenté un fameux site de rencontres en annonçant clairement la couleur. Jaurai pensé quaimer les femmes très dociles au lit et lécrire me mènerait à une boite e-mail vide. Et bien non ! Messieurs, il faut croire quun homme assumant et affirmant ses désirs attire. Parmi les réponses reçues, lune delle capta de suite mon attention : Une jeune femme de 29 ans se prénommant Adeline, célibataire et se disant charmante mais timide, attirée par ma description et souhaitant faire connaissance. Un coup dil à son profil men appris un peu plus sur son apparence : assez petite (1m62), quelques kilos en trop selon sa propre description, les yeux marrons, les cheveux châtains, le teint pâle et de généreuses lèvres roses. Le visage plutôt charmant dune jeune femme que lon aime croiser dans la rue, sans pour autant être une briseuse de curs. Son atout charme étant évidemment ses lèvres gourmandes que je me voyais déjà embrasser et que jimaginais également me dévorer

Au fil de nos discussions virtuelles nous avons fait connaissance. La phrase sur mes préférences sexuelles nest pas passée inaperçue et a permis de lancer rapidement la conversation sur ce sujet. Jappris que lemprise forte dun homme lui plaisait. Non pas quelle ne sache pas se débrouiller seule, elle occupait dailleurs poste respectable au sein dune banque et nétait pas socialement isolée Mais côté sexe, elle aimait être guidée, dirigée, et soffrir au désir dun homme. En somme, être la clé de son plaisir la satisfaisait pleinement. Sur cette perspective prometteuse, nous avons convenu de nous rencontrer autour dun verre. Une bonne occasion de vérifier que le courant passe réellement. Ceux qui ont déjà fait des rencontres en ligne savent quau-delà des discussions par claviers interposés, les déconvenues ne sont pas rares lors des premières rencontres.

Je lattendais depuis moins de deux minutes lorsque je lai aperçue. Adeline portait un manteau trois-quarts bleu marine, assortit dun petit chapeau de laine et dune écharpe. Au bas de son manteau japercevais ce qui semblait être une jolie paire de jambes, habillée de collants et plongeant dans une paire de bottines grises. Lensemble était habillé et harmonieux. Jappréciais quelle ait fait le choix de porter de fins collants malgré la fraicheur de cette soirée. Après sêtre salués, nous entrâmes rapidement nous mettre au chaud dans un café proche.

Nous nous sommes installés autour dune petite table à lécart des clients. La lumière tamisée contribuait à latmosphère chaleureuse et intime des lieux. Je découvris lorsquelle lôtât que son manteau cachait un élégant chemisier rouge et une jupe crayon grise. Ses formes étaient ainsi agréablement mises en valeur et les quelques kilos de trop annoncés dans sa description ny paraissaient pas. Voluptueuse était un terme plus juste. Son chemisier était légèrement tendu au niveau de la poitrine et cintré à la taille. Sa jupe galbait son fessier et se terminait à mi-cuisses. Après avoir brisé une glace un peu épaissie par sa timidité, la discussion était fluide et très agréable. Jespérais alors lui plaire tout autant quelle me plaisait. Nous sommes du même âge et je mesure un peu plus de 15cm de plus quelle. Je pratique un peu de sport mais ma nature me rend naturellement mince ce qui fait que je nai pas à me forcer à courir, outre pour le fait de rester en bonne santé. Cependant le bleu de mes yeux semblait accrocher son regard.

Pour ne pas nous faire perdre de temps, je commençais alors à la taquiner sur les quelques révélations quelle mavait faites depuis son clavier. Le rouge lui montait rapidement aux joues, elle semblait peu à laise sur le sujet mais je poursuivi néanmoins. Après un certain temps, je décidai alors de la mettre à lépreuve. Elle devait aller aux toilettes, retirer sa culotte et me la rapporter. Un défi plutôt osé pour une première rencontre, jen avais conscience. Elle rougi à nen plus finir et après un moment de défi, elle se leva et pris la direction des toilettes. Il sécoula bien 15 minutes avant quelle ne réapparaisse et à son regard je savais quelle sétait exécutée. Elle revint dun pas mal assuré jusquà notre table et, avant même de sasseoir, tira de son sac le morceau de tissu demandé. Elle me le tendit discrètement tout en scrutant ma réaction. Son émotion se lisait sur son visage et je compris que ces 15 minutes nétaient pas seulement dues à la difficulté de retirer sa culotte avec des collants, mais quelle avait dû se demander si elle devait aller au bout des choses ou prendre ses jambes à son cou

Je saisi alors sa main et en retira délicatement ce qui savérait être une culotte de dentelle noire. La broderie était fine et presque soyeuse au toucher. Elle sassit de nouveau face à moi tout en me dévisageant, les traits du visage tendus dans lattente dune réaction. Lorsque je lui souris chaudement, la tension de son corps se relâcha et un sourire réciproque apparut. Ce petit geste coquin effectué auprès dun quasi inconnu lavait semble-t-il secouée. Prenant sa main, je mapprochai delle et embrassai ces lèvres si appétissantes. Ce baiser fut le premier dune longue série ce soir-là.

Nous avions convenu que je la retrouverai quelques jours plus tard pour un dîner romantique à son appartement. Je métais préparé à une agréable soirée mais lorsque la porte souvrit, je fus sidéré par la vision que moffrait Adeline. Elle portait une belle robe de soirée noire dont les bretelles finissaient entrelacées à son cou. Ces bretelles tendues présentaient un décolleté avantageux mais discret, laissant tout juste apercevoir la naissance de ses seins rebondis. Adeline ne portait cette fois-ci pas de collants, et la pâleur de ses jambes contrastait avec le noir profond de sa robe. Peu de maquillage ornait son visage, seuls ses yeux étaient soulignés. Lensemble était à croquer ! Et je ne tardais pas à lembrasser.

En franchissant le seuil de sa porte, je découvris un appartement habilement décoré, propre et ordonné reflétant assez bien ce que je connaissais de la personnalité de ma charmante hôtesse. La soirée débutât par un verre de vin agrémenté de quelques baisers, suivi dun délicieux repas. Après ce premier épisode coquin au café et les discussions qui ont suivis en ligne, une complicité sétait rapidement créée entre nous. La timidité dAdeline semblait satténuer et laisser place au désir qui lavait poussé à me contacter. A plusieurs reprises au cours de la soirée japerçu le tissu de sa robe se tendre sur sa poitrine et poindre les deux témoins de son désir.

Alors que nous nous installions sur le sofa, je sentais quAdeline était à la fois nerveuse et excitée à lidée de ce vers quoi notre dîner allait évoluer. Je la surpris alors en sortant de ma poche la culotte noire quelle mavait précédemment donnée. Plaisantant en lui annonçant mon envie de compléter ma collection, je lui demandais alors de se lever du sofa et de me tourner le dos. Ayant saisi que je lentrainais dans un nouveau jeu, elle obtempéra. Me levant à mon tour pour la rejoindre, je remarquais que sa respiration sétait accélérée aux mouvements de sa poitrine. Je sorti de ma poche un bandeau de soie préparé pour loccasion que lutilisai pour bander les yeux de ma belle. En dépit de la surprise, elle nessaya pas déchapper au bandeau que je nouais et accepta que je la prive de la vue. Posant ma main sur le haut de sa poitrine, je ressentis les battements rapides de son cur et son émoi. Ma main glissa vers son décolleté et la naissance de ses seins généreux. De nouveau, les tétons dAdeline pointaient fièrement. A deux mains, je les massai et les pinçai très légèrement à travers ses habits, les sentant durcir et grossir plus encore sous mon traitement. Adeline irradiait de chaleur et la rougeur de sa peau, trahissait son état. Des plaques rouges se formaient sur son buste et sa respiration devint saccadée. Les lèvres pulpeuses de mon hôtesse étaient maintenant entre-ouvertes et jen profitai pour lui voler un nouveau baiser. Je minterrompu alors, voulant prolonger cette tension sexuelle et le trouble dans laquelle le bandeau et mes caresses la plongeai. Je la contemplai tout en finissant mon verre de vin. Elle patienta debout et silencieuse dans lattente de la reprise des caresses.

Observant ma belle et intrigué par la protubérance de ses tétons, je dénouai alors les bretelles de sa robe et découvris lentement le soutient gorge emprisonnant les amples mamelles dAdeline. Celui-ci ne pouvait malheureusement rien faire pour camoufler les mamelons protubérants dont la nature lavait gratifiée. Ils apparaissaient roses-rouges sous le tissu, gonflés de désir et trônant au sommet de sa poitrine. Ainsi exposée les yeux bandés et la poitrine en partie dénudée, Adeline était plus belle que jamais. Laissant courir ma main le long de ses hanches, je me positionnai alors dans son dos et lui fit sentir mon propre désir en me plaquant contre son fessier. Elle avait des hanches plutôt larges, impression amplifiée par la finesse de sa taille. Jy plaçai mes mains, et déposai quelques baisers à larrière de son cou. Conservant dune main la pression de ses fesses contre mon membre étriqué, je remontai ma seconde pour appliquer une pression de la paume contre sa nuque, la courbant devant moi. Afin de maintenir la position, Adeline trouva à tâtons la table basse devant elle et y posa ses mains. Layant ainsi disposée, je pouvais admirer en me décalant sa lourde poitrine suspendue tendre les bretelles de son soutien-gorge, implorant dêtre libérée. Je retroussai alors le bas de sa robe sur ses hanches, découvrant un tanga plus coquin que la culotte portée lors de notre première rencontre. Cette pièce de lingerie découvrait en grande partie les galbe de ses fesses, finissant presque par y disparaitre avant denserrer son précieux fruit. Le corps dAdeline était tendu, dans lexpectative de mes prochains mouvements. Après un moment dattente, savourant le spectacle qui métait offert, je glissai le bout de mes doigts contre sa fente couverte. Adeline sursauta légèrement et jentendis le doux son dun premier gémissement. Le tissu était humide et chaud trahissant un peu plus létat dexcitation de mon hôtesse. Portant mes doigts à ma bouche, je goutai la douceur dun arôme suave et légèrement salé.

La position dAdeline ne cachait rien de ses délices. A deux doigts, je fis délicatement glisser son tanga découvrant tout dabord la fleur de son petit anus serré, dune couleur tirant du rose vers le marron. Poursuivant la descente du sous-vêtement, soffrit à mon regard une vulve gonflée et humide à la pilosité soigneusement entretenue. Ses petites lèvres étaient déjà entre-ouvertes, dépassant légèrement des grandes. Je pouvais contempler le rose pourpre de ses chairs luisantes de désir. Le sous-vêtement finit par tomber au sol et ne supportant plus dêtre si serré dans les miens, jentrepris de me dévêtir. Mon sexe était tendu et presque douloureux. Approchant mon bassin du sien, la forme courbée vers le ciel de mon sexe le fit se placer le long de sa fente, le gland se posant juste au-dessus de son anus, au creux de ses fesses. Jentrepris un lent mouvement de va et vient, stimulant la vulve dAdeline et lubrifiant mon membre. Cela ne tarda pas à faire de leffet à ma compagne. Son bassin commença à onduler pour accompagner et amplifier ma caresse. A chacun de ses mouvements, ses muscles fessiers se contractaient et son anus clignait. Ses grandes lèvres sécartaient autour de ma queue et Adeline se plaquait contre moi afin de ressentir au mieux cette présence masculine. Lors de nos mouvements, mes bourses frottaient contre les plis de son sexe et son clitoris engorgé, déclenchants des gémissements hâtifs. Perdu dans la contemplation de ce spectacle, je fus surpris de sentir une main se poser sous mes bourses. Adeline, appuyée dune main sur la table basse, sétait saisie aveuglément de mon sac et le le pesait, le caressait.

Sachant que la position de ma compagne depuis le début de notre petit jeu devait être de plus en plus difficile à tenir, je la saisi par les hanches et la fit pivoter pour la placer face au sofa. En la guidant, elle positionna ses genoux sur lassise et ses bras croisés au sommet du dossier. En appuyant au bas de son dos, je la fis se cambrer la rendant de nouveau totalement offerte à mon regard. Sa poitrine était écrasée contre le dossier du canapé et je voyais déborder légèrement ses seins, toujours maintenus par son soutien-gorge, de chaque côté de son dos. Adeline, toujours aveugle et silencieuse depuis le début de notre jeu érotique posa sa tête sur ses bras et attendit que je la prenne. Nen tenant plus, je ne la fis pas attendre. Après avoir fait glisser le bout de mon sexe à trois reprises contre son vagin ouvert, je minsérai en elle dun puissant coup de reins. Adeline sursauta et projeta sa tête en arrière, cambrée autant quelle pouvait lêtre. Je la saisi alors par les hanches et pour mon propre plaisir, commençai un rapide va et vient. Tout au long de mon assaut, le claquement de ses fesses contre mes hanches était hypnotique. La pâleur de sa peau avait laissé place à une rougeur particulièrement marquée à lendroit où nos corps se heurtaient. Adeline, la bouche ouverte et la tête toujours projetée en arrière gémissait à chaque coup de butoir.

Ne pouvant maintenir le rythme indéfiniment, je ralenti la cadence jusquà me maintenir enfoncé au plus profond. Me collant à elle, je lui pris le visage dune main et nous nous embrassâmes passionnément. Adeline ondulait, empalée sur ma virilité, dardant sa langue amoureusement. Dans ce moment de passion intense, je sentais quelle était entièrement mienne. Je repris lassaut de ses reins, la tenant par les cuisses au niveau de laine et cherchant à entrer toujours au plus profond de son corps. Adeline ne retenait plus son plaisir et ses gémissements se changeant en râle ininterrompu. La sueur perlait sur son dos pendant je la malmenai. Adeline haletait, tremblait et vibrait sous mes coups. Je senti soudain la pression de son vagin augmenter et venir à bout de ma détermination alors que son sexe se contractait, me serrait, inondé par la vague dun violent orgasme. Après un dernier coup de hanches, nous nous arrêtâmes subitement de bouger, la respiration coupée, savourant cette déferlante de plaisir. Je sentais son sexe masser le mien par ses contractions, aspirant la semence qui jaillissait de mes bourses déjà injectée puissamment à lentrée de son utérus.

Lorsque je repris mes esprits, je constatai létat dAdeline. Le corps affalé contre le sofa, les fesses empourprées, les cheveux ébouriffés et la tête appuyée au creux de ses bras. Je lui ôtai alors le bandeau. Epuisée mais épanouie, le sourire aux lèvres, elle sassit sur le sofa. Sa fente rougie déversait le surplus de ma passion.

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