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Sophie et Laurence – Chapitre 5




Mon téléphone se mit à vibrer, annonçant un message.

« Bonjour Laurence, je viens juste te dire que j’ai redonné à Sophie le petit baiser, que je t’ai volé, je suis impatiente de vous revoir bisous"

" Elle m’a raconté il y a cinq minutes, je savais que tu n’étais pas une voleuse, hi hi hi ! Je suis impatiente aussi… à très vite, Chloé ! Bisous. »

Chloé avait accompagné son message d’un selfie, que je mets en mémoire avec son 06.

Je repose mon téléphone, passe devant ma coiffeuse, pour un rapide examen qui me donne entière satisfaction, un dernier petit pschitt de parfum et je descends.

J’ouvre la porte et nous sortons Max et moi.

— Hop, monte poilu, tu vas être un vrai beau gosse en sortant de chez Poppy.

Je roule tranquillement cheveux au vent, et mon fauve assis sur la banquette arrière, la tête posée sur mon épaule, quand j’arrive à hauteur du salon de toilettage, une place se libère juste devant. Oh le bol ! Nous entrons, et Max qui connaît déjà Poppy, se précipite pour lui faire la fête, elle le caresse, tout heureuse également de le retrouver.

— C’est le grand amour, vous deux, on dirait ?

Max colle sa truffe entre les cuisses de la jolie rousse, qui se laisse faire tranquillement, en lui caressant la tête. Il pousse, donnant l’impression de vouloir traverser le tissu, pour mieux lui renifler la chatte, et donne même quelques coups de langue sur le pantalon. Poppy me regarde droit dans les yeux pour voir ma réaction, je sens une douce chaleur, qui fait naître en moi un sentiment de culpabilité et de gêne.

— Ah oui, tu ne crois pas si bien dire. Je lui fais des trucs que son ancien maître ne lui a jamais faits, mais si tu veux je te montrerai, comme ça il sera beaucoup plus calme et détendu tant qu’il n’a pas de femelle. Mais dis-moi, toi tu sais que tu es terriblement sexy sans rien sous ta robe ! Au fait on se dit tu, OK Laurence ?

— Merci Poppy, oui on se dit tu, mais je ne suis pas nue, je porte mon parfum et j’étais déjà vêtue comme ça ce matin.

— Mais je l’avais déjà remarqué. En fait c’est quand tu es à contre-jour.

Elle se dirige, en compagnie de Max, vers une table de travail dissimulée par une glace sans tain, permettant à Poppy de travailler discrètement tout en surveillant le shop, le fait monter, puis lui retire son collier, et lui passe autour du cou une chaîne venant du plafond.

Je m’approche un peu, mais en prenant bien soin de rester dans le contre-jour, jambes légèrement écartées, laissant ainsi vagabonder l’imagination de la belle toiletteuse, qui remarque mon attitude, et ne se prive pas de cette vue, que j’imagine agréable. Elle me sourit.

— Viens près de moi et observe comment je vais tailler ses poils. Il faudra que tu le lui fasses assez souvent, pour qu’il reste propre.

Poppy prend une tondeuse et commence à lui dégager toute la zone anale, en taillant très court. Puis une fois terminé, elle passe sa main sous son ventre et prend ses couilles en main pour les pousser en arrière, afin qu’elle puisse les tondre facilement. Max se laisse faire paisiblement.

— Belle paire, hein chérie ? Il est bien équipé ton beau mâle, tu vois je lui rase presque à blanc, afin qu’aucun parasite ne vienne se placer là. Et maintenant changement de position : je vais lui faire le fourreau.

— Le quoi ?

— Le fourreau, tu vois cette gaine de peau recouverte de poils où il rentre son sexe, tu vas voir on va le caresser un peu… et après et il va le sortir pour nous le montrer.

Je sens le rouge m’envahir le visage.

— Tu veux dire que heu… tu vas lui caresser le sexe ? À un chien ?

Son employé s’occupe d’une cliente à l’autre bout de la boutique, et n’entend heureusement pas notre conversation.

— Bien sûr, et tu sais il faut aussi le masturber de temps en temps, sauf si tu lui prends une femelle. C’est cela dont je faisais allusion tout à l’heure… Alain n’a jamais voulu en entendre parler… ce n’est qu’un gros macho, un bon copain mais un bourrin un peu coincé, alors je m’en chargeais à chacun de ses passages ici.

— Un bon copain ? Tu te le tapais avant qu’il ne déménage ?

— Tu rigoles ! Surtout pas ! Ni lui, ni d’autres mecs non plus ! J’ai toutes les quéquettes que je veux ici, et j’ai Ben à la maison, un superbe Beauceron de quatre ans. Lui, si je rentre bourrée à trois plombes du matin, il me fait la fête et pas la gueule comme les humains, pareil si je ramène une copine pour la nuit.

Elle me dit tout cela naturellement sur un ton humoristique, mais tout en observant avec attention mes réactions, la surprise, l’étonnement et une pointe d’excitation.

— Je te choque ?

— Heu oui, non, en fait je ne sais pas, non, je suis surprise surtout… et puis chacun fait selon ses désirs et ses fantasmes.

Elle détache la chaîne de Max et l’allonge sur le dos, lui passe une sangle sur le cou pour le maintenir calme et sans bouger.

— Mais avec lui, me dit-elle, c’est plus par habitude que par réelle nécessité.

Et enfin elle lui met des trucs entre la chaussette et la petite botte à chacune de ses pattes.

— Tu vois avec ça, il ne te griffe pas, même s’il s’agite un peu ; j’en utilise souvent avec Ben quand on s’amuse en chahutant à la maison ! Je ne t’apprendrai rien en te disant que nous les filles on a la peau fragile, viens approche-toi.

Elle me fait venir tout près, contre sa hanche, prend la tondeuse et le fourreau qu’elle commence à tondre délicatement, je pose main sur son épaule, et appuie mon menton dessus afin de bien observer son travail. Se faisant, je lui colle mon sein gauche libre de tout maintien contre le dos, elle me sourit, heureuse du contact.

— Tu vois, il faut y aller doucement. Tu tonds et tu le caresses en même temps, il aime ça et ça détourne son attention du bruit de la machine.

Doucement les poils tombent et la peau nue apparaît. Je passe ma main de l’autre côté, remontant près du cou et pose ma bouche directement sur la peau de Poppy, afin de déposer un léger baiser sur son épaule.

J’observe intensément, les yeux fixés sur la main qui monte, et descend doucement sur cette gaine, d’où Max commence à sortir le bout rouge de sa bite. Instantanément, l’image d’un bâton de rouge à lèvres me vient à l’esprit, Poppy s’écarte de la table pour me faire venir devant elle, et se colle contre mon dos.

— Tiens, prends la tondeuse et vas-y doucement comme j’ai fait. N’aie pas peur, tu ne peux pas le blesser.

Je répète doucement les gestes que je venais d’apprendre, tandis que les doigts de ma prof passent sur le bout déjà bien sorti de Max, elle le gratifie de quelques mouvements de va-et-vient ; presque tout de suite la bite double de longueur, sous les doigts rendus gluants et brillants par cet attouchement.

Son autre main, quant à elle, est occupée à me caresser la hanche, tout en glissant parfois vers le pli de l’aine, je sens son pubis collé contre mes fesses.

— Tu vois comme il aime ton gros toutou ? Oui, continue vas-y, rase-le bien, oui comme ça ! Dis-moi, si tu cherches un job d’été, je t’embauche, dit-elle en riant !

Puis elle me pose un, puis deux petits baisers dans le cou, j’adore cette douce séduction à l’issue déjà connue.

Quittant la queue, sa main prend la mienne et la pose à la place, que la sienne occupait juste avant, referme mes doigts autour de ce membre passablement gonflé.

C’est la première fois que je prends ça en main, et mon esprit fait tout de suite la comparaison avec les membres humains que j’avais fréquentés avant Sophie. C’est agréable, un peu collant et gluant, mais pas repoussant.

Poppy, dont la main était remontée doucement, en me caressant, empaume maintenant mon sein gauche, ne pouvant ignorer l’état de mon aréole gonflée, et de mon téton déjà dur.

Poppy défait deux boutons et abandonne le gauche pour le droit, qu’elle se met à caresser à même la peau, ayant glissé ses doigts sous le fin tissu de ma robe, tout en bougeant doucement son bassin collé à mes fesses. C’est une vraie experte.

— Oh Poppy, tu as un doctorat en câlins ? dis-je en riant.

Je tourne ma tête vers son visage, et trouve sa bouche déjà offerte pour mes lèvres gourmandes, nos langues font tendrement connaissance, explorant chaque recoin de nos bouches avides ; notre premier baiser fut un vrai délice.

— Tu embrasses super bien, Laurence.

Le compliment venant d’une femme d’expérience, ça fait très plaisir.

J’ai maintenant entièrement rasé le fourreau, et posé la tondeuse, elle prend ma main et la pose tout comme l’autre, sur la bite de Max, qui avait encore grandi, et que je branle seule à présent.

— Regarde comme tu le fais grossir, il adore, tu te débrouilles super bien ! C’est ta première fois ?

— Ah oui, avec un chien c’est la première fois !

Tout en prononçant ces paroles, un frisson me traverse, prenant conscience de ce que je suis en train de faire.

Elle le sent et plaque ses mains sur les miennes.

— Non continue Laurence ! Vas-y n’arrête pas ! Tu sens à la base la boule qui grossit, c’est un verrou qui bloque sa femelle, quand il se vide en elle. Ensuite ils restent soudés environ trente minutes, pendant lesquelles il éjacule entre deux et trois fois en elle, avant de se désaccoupler.

La boule grossit encore, je reprends ma caresse plus vite, amplifiant mon geste, sa queue grandit et fait maintenant pas loin d’une vingtaine de centimètres.

Les mains de Poppy quittent les miennes et se posent sur ma hanche, glissant aussitôt devant et font sauter encore deux boutons de ma robe, pour une découverte tactile de ma petite chatte qui n’attend que ça. L’une des mains retournant au sein qu’elle avait abandonné quelques instants auparavant.

— Dis, mais tu aimes ça, coquine ! Tu es trempée, ça coule le long de tes cuisses, et tu sais quoi jolie jeune fille ? J’ai les mêmes bouts de seins que toi, qui gonflent de la même façon. C’est la première fois que j’en vois en vrai, sur une autre femme. Hum je sens que l’on va bien se les déguster quand on couchera ensemble.

— Dès ce soir… On couche ensemble, dès ce soir heu… Si tu veux Poppy ?

— Oui j’en crève d’envie, tu es belle, tu me rends folle de désir !

Max commence à s’agiter sous mes mains qui le branlent, la boule était devenue énorme et Poppy me dévore le cou.

— Pauvre chienne, elle doit en chier quand elle se prend ça à fond ?

— Non pas vraiment, je t’expliquerai, continue, il est sur le point de décharger, tu ne t’affoles pas devant la quantité de sperme, il y en a facilement dix fois plus que chez un mec.

Poppy pince, caresse puis repince mes seins et mes tétons, tandis que dans mon minou, deux doigts me branlent profondément et que le pouce me caresse le clito au rythme de son poignet. La rapidité de mes mains sur la queue de Max, se calquant sur celle de Poppy dans ma moule trempée.

D’un coup Max crache la purée… oh putain ! J’en ai plein les mains, et ça ne s’arrête pas ! Ça coule, gicle et coule encore, puis la chaleur monte en moi et je suis traversée par un orgasme de folie, me faisant serrer encore plus fort l’énorme bite de Max, qui décharge davantage, tandis que mes jambes me lâchent tellement la jouissance est forte ! Je me sens portée par Poppy, qui me serre contre elle pour ne pas que je m’écroule.

Je reprends pied peu à peu, Poppy me regarde tout en léchant ses doigts maculés de cyprine, elle sourit et prend mes mains dans les siennes… commence à en lécher une, tout en portant l’autre à ma bouche. Une odeur un peu âcre mais pas désagréable du tout, envahit mes narines. Elle m’encourage des yeux, tout en nettoyant ma main avec application.

— Allez lance-toi tu vas aimer j’en suis sûre !

J’ouvre la bouche, lèche doucement, puis de plus en plus. Poppy a raison j’aime bien, plus encore que les petits copains que j’avais sucés au début de ma vie sexuelle.

Je ne me laissais pas sauter alors, je suçais et pour faire comme les grandes j’avalais tout et j’aimais bien.

Je finis de bien tout gober, imitée par Poppy, qui elle aussi a tout bouffé.

Elle libère le chien et lui remet la chaîne au cou. Une fois sur ses pattes, il s’assoit et entreprend un lavage méticuleux de sa bite à grands coups de langue.

Derrière, un petit lavabo nous permet de nous laver les mains. Je remets de l’ordre dans ma tenue, pendant que Poppy s’absente et revient deux minutes après, avec des petits cafés.

— Je ne m’attendais pas vraiment à ça quand je vous ai draguées Sophie et toi ! En fait, je ne pensais pas que vous feriez des trucs séparément, et puis tu es super à l’aise avec ton chien. Je suis agréablement surprise… et toi tu as aimé ?

— Je suis la première surprise Poppy, et je te demanderai de ne pas parler de l’épisode Max à Sophie pour l’instant. Et pour te répondre complètement, oui j’ai aimé, j’ai tout aimé, et j’ai adoré tes baisers ! Vivement ce soir. Comment fait-on ? Tu viens chez moi, mes parents ne sont pas là, et comme il fait chaud nous profiterons de la piscine. Tu en as pour longtemps avec Max ? Car après je vais faire quelques courses.

— Alors tu sais quoi, file ! Fais ce que tu dois faire et oublie Max je te le ramène ce soir OK ? Ah au fait, ton adresse dans l’ordi c’est la bonne que m’a donnée Alain ? Comme ça je roulerai au GPS… et vive la piscine.

— OK super ! Tu viens le plus tôt possible, je prépare un apéro dinatoire pour ce soir.

Je fais une caresse et un bisou à Max, qui m’octroie un coup de langue aux goûts mélangés fraise et bite.

Poppy m’accompagne à la porte, et m’embrasse devant son employé et quelques passants.

— Toi aussi tu embrasses super bien.

— Oh, tu roules en cabriolet ! Comme moi, j’ai une Allemande à l’étoile, vintage, entièrement rénovée par mon frère garagiste, je te la ferai essayer si tu veux.

— Oui avec joie, à très vite, soirée only girl.

Elle rentre s’occuper de terminer le toilettage de Max afin qu’il soit tout beau.

Je pars le cur léger, heureuse de la retrouver bientôt, mais avec quand même des questions par rapport à Max et Sophie… Je me demande la position qu’elle va avoir ?

J’en parlerai avec Poppy, car je pense qu’elle va loin avec son chien Ben… et comment elle gère ça avec ses copines.

Je m’installe sur un transat au bord de la piscine, le nez dans mon ordi, regardant des images et des forums sur la zoophilie en attendant Poppy. Il est dix-sept heures trente… l’attente ne sera pas trop longue.

Merci A M

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