Plaisir en quatuor
C’est un beau après-midi ensoleillée d’un dimanche de juin que nous avons aujourd’hui. Nous nous promenons tranquillement avec Corinne, mon amie. Nous flânons le long du canal du midi et nous en profitons pour faire les bouquinistes qui étalent leurs ouvrages plus ou moins récents, leurs gravures et leurs magazines aux couvertures passées.
Il y a beaucoup de monde comme d’habitude et quand nous arrivons sur le pont des Arts, nous essayons de nous frayer un chemin parmi les nombreux touristes assis à même le pont pour écouter des musiciens de quartier. Une fois arrivés rive gauche, nous décidons de rentrer chez nous, à Rangueil.
En descendant la rue Mazarine, nous croisons un couple fort bien assorti. Elle, très jolie, brune aux yeux verts, une belle poitrine haute et une paire de jambes longues et fines que l’on peut voir sous la transparence de sa jupe de coton légère. Lui, pas mal non plus, très viril et beaucoup de charme et de prestance. Un joli couple. Une chose assez étrange se produit alors. Nos regards se croisent et pendant l’espace de quelques secondes, il y a comme une sorte de complicité tacite qui s’établit de part et d’autre.
Une sorte de charme irréelle et fugace. Nous ne nous arrêtons pas bien évidemment même si,quantité d’idées bouillonnent dans ma tête. Je vois déjà une soirée échangiste avec ce couple. Corinne est assez réticente à ce genre d’expérience et je n’ose plus lui proposer quoi que ce soit qui sorte de l’ordinaire. Une fois arrivés à la voiture, nous prenons la direction de Rangueil pour intégrer notre petit confort bourgeois. Quelques jours plus tard, je reçois un coup de fil à mon bureau. Je reste sur le cul, c’est l’homme du couple de dimanche dernier qui est au bout du fil. Comment a t-il fait pour obtenir mon numéro ?
Et comment savait-il que j’allais me souvenir de lui dans la mesure où nous ne nous sommes pas adressé la parole. Il m’explique calmement qu’après nous avoir croisé avec sa femme, ils nous ont trouvé très charmants (eux aussi) et ils ont décidé de nous suivre. Quand ils nous ont vus monter dans la voiture, ils ont tout simplement relevé le numéro de ma plaque d’immatriculation. Travaillant dans la police, ce ne fut pas difficile pour lui d’obtenir mes coordonnées.
J’essaie de garder dans le ton de ma voix un semblant de bienséance, mais je reste époustouflé par leur audace. Ils nous proposent de venir dîner chez eux le lendemain soir. J’accepte.
Je sais qu’il va falloir convaincre Corinne mais j’ai vraiment envie de cette aventure. Je prends leur adresse sur un bout de papier et j’attends la fin de la journée avec grande impatience, nerveux à l’idée de devoir affronter Corinne sur un terrain qu’hélas nous connaissons trop bien tous les deux.
Je vais la jouer fine cette fois et je lui reparle du couple de dimanche dernier et avec quelle audace ils ont osé me relancer au bureau. Pour la tester. Elle se souvient très bien de ce couple et je me dis que c’est un bon signe. Elle me demande assez évasivement ce que le mec voulait et je lui retranscris une partie de ma conversation téléphonique avec le type. Sa réaction m’épate carrément car elle m’avoue avoir eu elle aussi bien des fantasmes sur ce couple depuis dimanche dernier.
je lui annonce que nous dînons chez eux le lendemain soir, Corinne esquisse un sourire complice et reconnaissant. Je préfère ne pas trop lui demander pourquoi elle a changé d’avis. Le lendemain soir, nous arrivons à l’heure dite chez nos nouveaux amis. Ils se sont mis en grande tenue et je les trouve très séduisants l’un et l’autre, bien plus que quand nous nous sommes croisés.
Ils ne nous laissent pas le temps de nous installer que déjà le type s’est approché de Corinne et la fille s’est collée contre moi.
« Désolés d’être aussi direct, mais on vous trouve tellement excitants ! » nous dit le mari. Nous aussi, on vous trouve à notre goût » conclut Corinne. Je n’en crois pas mes oreilles. Corinne se révèle sous un autre jour et j’en suis bien heureux. La fille est descendue à mes genoux et elle fait sortir ma pine déjà toute rouge et gonflée. Elle la prend bien en bouche et se met à me sucer avec délectation et gourmandise. Corinne elle aussi est à genoux devant le mari qui lui exhibe une verge d’une taille impressionnante. Elle ne se démonte pas et enfourne la totalité de la queue bien au fond de sa gorge. Nos deux pompeuses s’activent comme des sauterelles et avec le mari, nous nous lançons un grand clin d’il complice. Elles pétrissent nos burnes lourdes de foutre et qui ne demandent qu’à être vidées. Puis sans rien dire, les filles s’installent sur la table basse, le cul en l’air et il ne nous reste plus qu’à venir les piner par derrière.
Corinne et la fille se roulent des grosses pelles bien baveuses,pendant que nous les besognant comme il se doit.
Nous échangeons de partenaires et de positions plusieurs fois. Nous sommes devenus des fanatiques de la baise dans tous ses états. Quand nous crachons notre jus, les filles le récoltent comme un nectar précieux et puis, quelques instants après une coupe de champagne, et bien nous remettons ça