Si vous avez manqué le début.
Je m’appelle Patrick et je suis en vacances pour deux semaines à Bordeaux chez ma tante Véronique très bcbg, sur de ma mère Anne.
Elle a 42 ans, divorcée, 2 enfants, 1m72 pour 55 kg et moi, 23 ans 1m80 pour 75 kg étudiant.
Nous sommes en "couple" depuis une semaine. Depuis son divorce, ma tante a du mal à joindre les 2 bouts. J’ai contacté un ami et nous devons participer à une sorte de spectacle en faisant l’amour devant une clientèle aisée, moyennant une grosse rémunération. Nous devons nous "entraîner" selon l’organisateur en comparant cet acte en public à de l’art.
Le temps de garer sa voiture, Véronique sortit précipitamment en m’interpellant activement. Je n’avais pas une petite seconde pour lui dire un mot.
— Patrick, viens voir le mail sur mon ordi ! Ca tourne à la farce et je trouve tout cela malsain.
— Bonsoir ma chère Tatie d’abord. Lui répondis-je posément en échangeant un baiser furtif.
Le mail en question était ambigu et je confesse volontiers à vous, lecteurs et non à ma tante, inquiète de nature que les mots, les phrases ne me plaisaient guère. Je passais un coup de fil à mon pote Yan pour lui faire part de mes incertitudes. Il me suggéra dans la foulée de les appeler, ce que je fis. Le soir-même j’étais dans le TGV, seul pour un deuxième rdv dans un palace parisien.
Une fois sur place, la réception m’indiquait la chambre de Madame Schmitt à 6ème étage. Madame Schmitt ? Quelle imagination débordante de la part des personnes que j’allais rencontrer pensais-je. L’entretien fut court et précis. Je résume en quelques mots. La femme à l’accent allemand prononcé me proposa la somme de 60.000 euros pour faire l’amour avec ma tante durant quatre heures, devant une dizaine de couples fortunés. Certes la somme était considérable, mais ma tante avait émis auparavant de fortes réticences sur ce type de voyeurisme. Dans un premier temps je déclinais l’offre et la femme manifesta un grand regret en m’expliquant l’attractivité de notre couple peu commun. Le cercle était friand de voir un jeune mâle faire l’amour à une belle femme épanouie, mais cerise sur le gâteau quand le mâle devenait neveu et la femme sa propre tante, la surenchère était de mise. Elle m’expliqua la réalité.
— Nous avons un riche client qui veut montrer à son fils comment faire l’amour à une femme, ce garçon a très peur et le voir le faire avec un membre très proche de sa famille le rassurerait. Dans votre cas, il s’agit de votre tante et nous vous proposons de revivre le premier soir. Le scénario est simple. Vous êtes chez vos parents et votre mère accueille sa sur. Vous lui faites l’amour en douce le soir. Me raconta-t-elle avec son fort accent.
— Donc il n’y aura que son fils et lui.
— Exactement et sur scène un paravent avec un couple âgé dans un lit qui joueront le rôle de vos parents. Je ne sais pas si vous en êtes capable vous et votre tante. Il faut que ce soir véritable, que ce soit vrai. Insista-t-elle.
— Ce sera véritable puisque nous l’avons fait ! Mais quatre heures, c’est trop. Lui rétorquai-je.
— Vous devrez dialoguer, ils comprennent parfaitement le français mais vous ne les verrez pas. Ils seront dans la pénombre.
— Ca marche mais j’aime les chiffres ronds. Terminai-je au culot.
— Ok nous avons compris et vous recevrez un mail pour retirer un billet d’avion et quelqu’un vous cherchera à l’aéroport. Dernière chose, ne posez plus aucune question. Dit-elle sèchement.
Nous nous serrâmes la main et j’exigeais la moitié de la somme sur notre compte en Suisse. Mon vu s’y j’ose dire fut concrétisé immédiatement.
Je rentrais le surlendemain à Bordeaux tard dans la soirée. J’avais fait un détour pour passer un cours séjour chez mes parents.
À mon retour, mes petits cousins encore debout me firent une fête du tonnerre et sous les yeux attendrissants de ma tante, je leurs offrais à chacun deux petites bolides radio commandés avec promesse de jouer demain. Il était bien tard et la mort dans l’âme, ils regagnèrent leurs chambres respectives.
— Alors Tatie, on se paie un petit remontant ? Lui demandai-je en la dévorant des yeux.
— Oui on va se prendre un petit verre et tu vas me raconter ton fameux périple !
Les enfants à la maison, ma tante ne pouvait plus se balader à moitié à poil. Mais voir sa paire de fesses se balancer à travers son short attisa mon désir sans borne. En revenant, j’appréciais de voir qu’elle ne portait pas de soutien-gorge en observant furtivement la pointe de ses seins à travers son tee-shirt.
— Raconte-moi tout. Dit-elle les bras croisés avec un sourire charmeur.
Je lui expliquais en détail mon entrevue. Savoir que nous serions seuls et juste devant deux personnes lui paraissait acceptable. Lorsque je lui annonçais la somme, elle leva les bras au ciel. Je remarquais au passage sa poitrine élégante, beaucoup plus distinguée finalement que celle de Patricia.
— Oh mon dieu, mais c’est pas possible ! C’est complètement fou ton truc ! S’écria-t-elle.
— Ca se fête ! Dis-je en trinquant avec elle.
— Je vais coucher les garçons Ajouta-t-elle avec un air coquin.
Quelques instants plus tard, elle revenait en pyjama avec sa robe de chambre. Ma surprise de la voir dans une tenue pareille ne lui échappait pas, mais elle fit comme si de rien n’était. De toute façon, je la trouvais pétillante avec le haut de son pyjama dont la chemise n’était boutonnée qu’à moitié sur le haut. Ainsi j’avais droit à un large décolleté inhabituel de sa part.
Les trois jours de séparation avait créé néanmoins une distance légère mais perceptible dans sa façon d’être.
— Superbe en pyjama ma chérie ! M’exclamai-je quand elle s’assit face à moi.
— Euh Patrick mes enfants sont juste au-dessus et dorment, alors fais un peu attention quand même à ce que tu dis
— Oui tu as raison, alors tu te sens capable de jouer le jeu avec le couple factice à côté ?
— Je ne sais pas. Déjà ils ne sont que deux mais il faut tenir quatre heures et je ne suis pas comédienne.
— Tu oublies la part des dialogues et puis à ce prix-là, on peut le faire. Véro, je te parle franchement et je te sens coincée avec tes enfants et c’est justement l’occasion de se prêter au jeu et approche ton pied. Poursuivis-je.
— On ne va pas baiser dans ma chambre avec mes gosses à côté ! Tu as perdu la tête PatrickJe te savais détraqué mais pas à ce point ! S’agaça-t-elle en allongeant sa jambe.
— Faut pas s’énerver, je ne t’ai jamais parlé de ta chambre. T’es pas de bonne humeur et tu es fatiguée à ce que je voie. Le mieux est d’aller se coucher. Lui dis-je en posant son pied par terre.
— Et avec Patricia ? Rajouta-t-elle au dernier moment.
Je commençais à comprendre sa distance et son agacement. Ma tante me faisait purement et simplement une crise de jalousie du fait d’avoir couché avec sa meilleure amie. Elle en oubliait que cette garce nous avait fait chanter et qu’elle ne nous avait guère laissé le choix. Il fallait que je la joue très fine.
— Banal et avec une capote. Purement physique, pas d’émotions en ce qui me concerne.
— Ah et tu l’as trouvée comment physiquement ? Dit-elle bien curieuse de connaître ma réponse.
— Bah elle reste pas mal pour son âge et elle bronze intégralement !
— Moi je ne peux pas, j’ai Oscar et Jules et puis c’est très mauvais pour les seins ! S’exaspéra-t-elle.
— Ah non je te préfère comme tu es ma Véro. Reste naturelle, elle représente tout ce que je déteste.
— Ah bon ?
— Oui elle est belle mais dénuée de charme, de sensualité. Il lui manque ce petit plus que tu as, tu comprends ? Renchéris-je en marquant de gros points.
Ma tante allongea à nouveau sa jambe en guise de réponse et je me délectais de lui masser ses orteils gracieux, massage s’apparentant à de pures caresses. Ma tante ne restait pas insensible très longtemps et je m’amuser à passer mes mains sur ses mollets pour les rendre encore plus fins qu’ils n’étaient. A son regard, je comprenais aisément qu’une fierté intérieure s’emparait d’elle voyant son neveu à ses petits soins. L’épisode Patricia était clos mais je jugeais précipité de lui demander de me rejoindre le soir-même dans ma chambre, même si depuis près de trois jours je ne l’avais pour ainsi dire pas toucher. Je cessais mon massage pour me lever et Véronique prit nos deux verres en direction de la cuisine.
— Je les laverai demain, j’ai la flemme Murmura-t-elle de peur de réveiller les enfants.
— Oui bon alors à demain. Lui dis-je en lui déposant un petit baiser rapide sur la bouche.
— Ah c’est ta façon de me dire bonsoir maintenant ? S’étonna-t-elle vivement.
— Je ne veux pas te brusquer après ce que tu m’as dit. En desserrant sans peine la ceinture de sa robe.
— Patrick, j’ai été un peu perturbée avec Patricia et je ne pensais pas que je réagirais aussi sottement. Concéda-t-elle tandis que je déboutonnais sa chemise de pyjama.
— Tu as réagi sous la colère. En ouvrant son haut pour découvrir ses seins endormis.
— Ne m’en veux pas.
— Tu es pardonnée Soupirai-je en promenant ma main à la base de ses seins pour la laisser voyager au bas de son ventre.
— Tu m’as manquée Patrick. En m’enlaçant pour un vrai baiser.
Ce que nous faisions n’était pas prudent, un des garçons pouvaient nous surprendre au beau milieu de la cuisine. J’avais très envie de baiser ma tante, elle aussi par ailleurs. J’éteignis la lumière. Un peu surprise, Véronique savait fort bien que nous flirtions avec le danger.
Seule la petite lanterne extérieure de la terrasse nous fit grâce d’un soupçon de clarté. Je baissais son pantalon dans la hâte mais elle préférait garder le haut. Dieu qu’elle fut appétissante avec ses jambes fines et sa chemise ouverte (!).
— Patrick on joue avec le feu. Dit-elle en s’allongeant à ma demande sur la table.
— Oui ma belle Tatie et maintenant ouvre tes jambes que je te goûte En caressant l’intérieur de ses cuisses.
— Patrick ! Je suis angoissée On peut le faire demain S’inquiéta-t-elle avec ma tête plongée entre ses jambes.
— Tu sens trop bon ! En lui fourrant ma langue dans son sexe tel un goinfre.
— Oh oui Murmura-t-elle en balayant ses mains dans mes cheveux.
Véro se tortilla sur la table de sa cuisine. Elle se tenait les jambes et se laissait savamment déguster son entrejambe par son neveu. Je connaissais bien ma tante désormais et quand sa respiration se faisait haletante, sa jouissance était imminente. Ce fut le cas.
J’étais plus porté sur le cunnilingus que je pratiquais que de la baiser dans l’immédiat. La lueur de la lanterne sur son corps lui apportait des reflets argentés. Véro transpirait ardemment et après quelques petits cris étouffés, elle accoucha d’une lente jouissance.
— Oh oui c’est trop bon avec toiGémit-elle en se laissant consommer.
Son corps s’immobilisa agonisant du bien être que j’entretenais en stimulant sa zone à plaisir. Je buvais sa source, je respirais sa transpiration, je devenais fou de ma tante. Son sexe en redemandait, telle une source intarissable et j’avalais son breuvage au fur et à mesure qu’il s’écoulait entre ses lèvres trempées.
— Chut Lui fis-je en relevant la tête.
— Quoi Patrick Demanda-t-elle hagarde.
— Il faut arrêter.
— Non viens ! Maintenant ! M’ordonna-t-elle impatiente de recevoir ma visite.
Je reculais avec mon index sur la bouche, signe de se taire. Véronique retrouva ses esprits et n’eut que le temps de fermer sa robe de chambre en oubliant le pantalon.
— Maman !
— Oui Oscar Maman arrive. Dit-elle en se précipitant dans les escaliers.
— Mais où étais tu ?
— Je prenais un verre d’eau fraîche dans le frigo. Répondit-elle posément.
La soirée s’arrêtait là. J’étais planté au milieu de la cuisine avec le pantalon de ma tante dans la main. Inutile de parler de mon sexela peine étant trop grande pour en évoquer son état. Véro avait des enfants et les jours passés à deux appartenaient désormais à l’histoire ancienne. Il me fallait tourner la page du livre du passé, difficilement.
Bien sûr le jeu du chat et compagnie pouvait s’avérer palpitant mais seul dans cette pièce, je prenais conscience de la réalité de notre relation stérile. Je baisais ma tante par pur bonheur, j’avais réalisé mon fantasme plus que diabolique en la sautant sous le toit de mes parents, mais je me rendais à l’évidence. Notre histoire était sans finalité.
Je partais me coucher dans mon lit, seul.
Le lendemain matin ma tante prenait son petit-déjeuner avec ses deux garnements, vêtue uniquement de sa chemise avec sa robe de chambre bien ceinturée. Nous échangions un discret regard et le temps d’embrasser mes cousins, Véro me fit un petit clin d’il. Je ne comprenais pas toute de suite, mais quand Oscar m’apostropha, je saisissais la signification.
— Eh Patrick ?
— Oui Oscar, je t’écoute.
— Bah avec Jules, on s’était dit qu’on pourrait jouer avec tes cadeaux maintenant avant de faire la toilette ?
— Et votre Maman est d’accord ?
— Oui, mets leurs les piles et je t’attends pour prendre le café. Répondit-elle coquine à souhait.
Au moment de monter, les garçons m’attendant à l’étage, ma tante me prit à part.
— Patrick, rends-moi mon pantalon de pyjama !
— Tu n’en n’auras pas besoin à mon retour
— Ah ahet maintenant file ! Me lança-t-elle tout sourire en échangeant un baiser en douce.
Le temps de mettre les batteries, Oscar improvisait un circuit et Jules plus jeune, éprouvait des difficultés avec les manettes. Une petite démonstration s’imposait et une fois que mon petit cousin eut pigé les rudiments du pilotage, je les laissais entre eux à une seule condition.
— Vous devez faire votre toilette, je vous laisse 30 minutes pour jouer et après vous prenez une douche et puis après on fera autre chose, il pleut donc pour l’instant pas de piscine.
— Patrick, juste une heure s’il te plait ? M’implora Jules.
— Bon je dois avoir une conversation avec votre maman, donc une heure et si vous avez un problème, vous m’appelez en haut de l’escalier, vu ?
— Super ! Dirent-ils en chur.
En descendant, j’entendais le bruit des bolides électriques. Un petit bruit strident qui se propageait jusqu’à mon arrivée dans la cuisine.
Ma tante buvait son café et ses jambes croisées faisaient apparaît une de ses cuisses avec son pied à l’air qui se balançait. Véro n’ayant pas récupéré son pantalon, elle ne portait que le haut et le balancement de son pied lui donnait son charme matinal habituel. Elle avait son côté de la bourgeoise excitante un brin négligé et j’adorais observer ses lèvres au naturel.
— Les garçons jouent en haut. Lui dis-je.
— Oui je les entends, veux-tu un autre café ? Me demanda-t-elle en se levant.
— Oui.
Ma tante se pencha pour me le verser et ma main se glissa entre ses cuisses. Elle touchait sa peau soyeuse avec un passage lancinant jusqu’à hauteur du début de son intimité. Au lieu de la stimuler, je ne faisais que la couver dans son ensemble, j’avais pour ainsi dire le sexe de ma tante dans la paume de ma main.
— Alors on oublie ton pantalon et du coup, on se retrouve presque à poil ma chérie ! Lui fis-je remarquer.
— Ne m’appelle pas comme ça Patrick, ils pourraient entendre ! S’insurgea-t-elle en posant la cafetière.
— J’aime t’avoir près de moi. En gardant ma main immobile apposée contre ses lèvres intimes.
— On pourrait attendre ce soir, ce serait moins risqué. Dit-elle sans grande conviction.
— Fais pas l’idiote
Véro avait posé la cafetière depuis un moment et restait debout, puis elle fit un pas de coté en se mettant face à moi pour desserrer sa ceinture avec une certaine indolence. J’effleurais sa chatte une dernière fois pour ensuite baisser mon boxer. Avec ses yeux vifs elle défaisait un à un les boutons de sa chemise, consciente qu’elle m’exposait à chacun de ses gestes la nudité de son corps. Je bandais comme un damné en voyant de manière épisodique la naissance de sa poitrine, la peau laiteuse de son ventre et enfin l’éclat de son jardin secret. J’aurais pu rester des heures à la contempler
Véronique m’adressa une remarque concernant ma verge plus que bien portante.
— Bah dis-donc ! La nature ne t’a pas oubliée. Constata-t-elle sexy au diable en soulevant sa chemise de nuit.
— Oh bordel comme t’es bandante le matin toi ! Lui avouai-je en l’accueillant sur mes cuisses.
— Tu sais, ça n’est pas prudent Murmura-t-elle en se laissant envahir délicieusement de ma présence.
— Tu as certainement raison En ne pensant plus qu’à son corps fabuleux dévoré par mes pensées.
— C’est bon de te retrouver. M’avoua-t-elle manifestant sa joie en m’enlaçant amoureusement.
— Embrasse-moi ma belle Tatie. En caressant ses hanches pour mieux polir chacune de ses fesses.
— Tu sais y faire avec moi. Dit-elle en m’accordant ses lèvres se fondant aux miennes.
Nous faisions l’amour juste après le petit-déjeuner, nous savourions mutuellement ce moment sans oublier le danger qui nous guettait. Sans échanger un mot, Véro balançait son bassin en s’agrippant à mon cou remplie de mon gros sexe en elle. Avec un malin plaisir, ma tante se dispersait entre les baisers savoureux échangés et les variations de ma verge blottie dans son vagin. Nous baignions dans l’euphorie muette de notre accouplement quand le bruit électrique à l’étage se tut un cours moment. Véro angoissée se mua en statue, paralysée par le silence.
Le temps s’était arrêté, elle avait le regard fixé vers le haut et quelques mots échangés entre les garçons nous firent penser à un début de dispute. Nous étions dans l’attente l’un dans l’autre. Je gardais ma tante en moi, je gardais mon sexe dans ses profondeurs mais au fil du temps, les brailleries s’estompèrent pour n’entendre que le sifflement des petits bolides. Véro reprit notre partie de baise en accélérant ses mouvements, elle se mouvait d’une manière érotique et sa respiration devenait dense, saccadée. Progressivement mon sexe se gonfla dans son orifice précieux, ma tante me serrait sentant mon désir et dans une symbiose parfaite, je tapissais d’étoiles le fond de son intimité sous le gémissement sourd de ma partenaire lumineuse.
— OuiouiSusurra-t-elle dans le creux de mon oreille.
— Jouis ma toute bellejouis avec moi. Lui soufflai-je en la faisant tressauter.
— Oh comme je tiens à toi si tu savais Soupira-t-elle en me couvrant de baisers dans le cou.
— Et moi donc.
— Oh bordel je t’aime Je t’aimeDit-elle en m’embrassant follement.
Je jetais un coup d’il à ma montre. Près de 30 minutes s’étaient écoulés depuis que j’étais descendu. Véro, rassasiée d’émotions quitta sa place pour se rasseoir et se resservir un café.
Elle était gracieuse à voir et au moment de joindre ses lèvres pour boire, elle eut un petit geste pour remettre une de ses mèches à sa place. Je fondais devant elle sans le lui dire.
— Maman, on a plus de piles ? S’écria Jules.
— Jules, tu peux les recharger ! Hurlai-je à mon tour.
— J’sais pas.
— Je monte !
Véro me regardait en souriant, la tête posée sur sa main. Le temps de prendre l’escalier, je plongeais ma main le long de sa poitrine en lui pelotant ses seins gonflés. Elle m’attrapa par le col.
— Ce soir je descendrai te voirDit-elle en se trémoussant pour me faire comprendre son envie de se faire à nouveau sauter.
— Mais avec joie ma belle Tatie mais avant je m’occupe de tes enfants. Rajoutai-je en malaxant l’un de ses tétons durcis.
— Hum Je t’adore. Dit-elle tout simplement charmée de notre instant passé.
Le temps maussade n’était pas passager, il dura toute la journée. Je contentais mes cousins en faisant des courses endiablées en les laissant gagner l’un après l’autre. Ma tante passait de temps à autre dans le couloir, gênant les pilotes que nous rêvions d’être. Puis en fin d’après-midi, les garçons décidèrent de jouer dans la chambre de leur mère.
Je descendis ainsi rejoindre leur mère dans la cuisine. Véro préparait une simple tarte aux pommes avec de la farine plein les mains. Elle avait un simple short et un chemisier au-dessus. J’avais avec un certain acharnement réussi à la convaincre de ne porter aucuns sous-vêtements, la persuadant que ses enfants ne le remarqueraient pas. Ce fut bien évidemment le cas et pour mon plus grand bonheur, je pouvais ainsi m’accorder une pause en m’installant à la table pour deviner son corps nu sous son short et son chemisier.
— Tu veux un petit apéro Patrick ?
— Oui mais termine ta tarte avant. Répondis-je en reluquant ses jambes rehaussées de talons.
— Je la mets dans le four et je suis à toi ! Dit-elle en enfournant le plat et en se lavant les mains.
— J’aime bien jouer avec Oscar et Jules, ils sont adorables et bien élevés. Je te félicite ma chère tante.
— Oh dit ! Maintenant tu m’appelles ma chère tante, tu peux m’appeler Tata pendant que tu y es ! Rigola-t-elle en me servant un verre de rosé bien frais.
— Viens voir un peu sur mes genoux, je ne t’ai pas embrassée de la journée.
— Les garçons sont en haut dans ma chambre, c’est un peu risqué non ? Demanda-t-elle en se posant sur moi.
— Mais non pas d’inquiétude Véronique, tu déboutonnes ton chemisier.
— Les garçons peuvent arriver ! Insista-t-elle.
— Mais on les entend, allez on perd du temps
D’abord réticente, elle ouvra d’une rapidité inouïe son haut et le buste à l’air, elle prit son verre pour le boire cul sec sans complexe.
— Bon je suppose que tu veux me téter la poitrine ? Dit-elle en se tournant vers moi.
— Très juste, pourquoi tu n’aimes pas ? L’interrogeai-je en effleurant son ventre.
— Bien sûr que si, téte moi Patrick. Dit-elle en balayant sa tête en arrière comme pour s’offrir à moi.
Sans crainte je débutais une tétée particulière. Avec des mouvements circulaires, mes mains se propageaient sur l’ensemble de sa poitrine. Véro assimilait mes caresses à une sorte de massage érotico-relaxant si je puis dire. En revanche mon sexe avait une toute approche et rugissait à travers mon boxer. Qu’importe de mouvements circulaires je passais à l’étape intermédiaire. J’enveloppais chacun de ses seins puis je les pressais en atteignant leurs pointes respectives. Dès lors je ressentais Véro plus réceptive à ce j’entreprenais. Une petite roulade d’un de ses tétons entre mes doigts marquait un début d’excitation chez ma tante qui m’embrassa d’un seul coup. Elle voulait se faire baiser comme ce matin mais stoppa court notre étreinte.
— On va dîner et nous reprendrons ensuite. Dit-elle en se levant.
— Comme tu veux. Rétorquai-je en la voyant si sensuelle.
Elle montait à l’étage et ordonnait aux garçons de se mettre en pyjama pour aller manger. En l’espace de dix minutes, tout ce petit monde se retrouvait à table et Véronique, sûre de son effet s’était mise également en pyjama sans robe de chambre. Une purée avec des ufs firent l’affaire.
— Oscar sers ton petit frère. Lui dit-elle.
— Oui maman et après on pourra jouer.
— Ah non, il est presque 20 heures, alors après un dessin animé dans votre chambre et dodo ! S’exclama-t-elle en me jetant un petit regard roublard.
— Et vous, vous regardez la télé ? Demanda Jules.
— Oui il y a une émission politique ce soir et Patrick aime ce genre de sujet. Répondit-elle évasive.
— Patrick, c’est quoi la politique ?
— La politiquece sont des gens qui prennent des décisions pour nous mais c’est compliqué à expliquer.
— On peut monter et tu nous dis bonsoir Patrick après le dessin animé. Lança Oscar suivi de son frère.
— Oui pas de problème.
Véro nettoyait les assiettes et je les mettais dans le lave-vaisselle. A sa façon de ranger sa cuisine, elle exprimait une certaine impatience à ce que se soit fini. Sans geste déplacé, je déposais un baiser dans sa nuque puis je l’invitais à me rejoindre dans le salon pour fumer une cigarette. Le temps de bavarder et de fumer, les garçons m’appelaient pour leurs dire bonsoir. Immédiatement Véro se joignit à moi pour faire d’une pierre deux coups. Je leurs promettais le lendemain si le ciel restait gris d’aller au cinéma. Leur mère les mettait en garde en leurs faisant savoir qu’au moindre chahutage, ils seraient punis. Elle prenait Oscar à part en lui disant qu’au moindre problème, ce serait lui seul le responsable. Oscar ne put s’empêcher de me regarder en levant les yeux au ciel au moment même où sa mère quittait sa chambre. Je lui fis un petit signe de la main en guise de compassion.
— Ah ils sont terribles ! S’exclama Véronique installée sur le canapé.
— Je vais allumer la lumière de la cuisine et on va attendre.
— Attendre quoi ? Dit-elle en ôtant le bas de son pyjama.
— Bah Qu’ils dorment ! Répondis-je quelque peu étonné par l’attitude de leur mère un peu libertine.
— Tu pourrais faire un câlin à ta Tatie, tu m’as bien excitée dans la cuisine. Ajouta-t-elle en ouvrant sa chemise.
Avec un coussin derrière la tête, elle était entendue sur le tissu beige du canapé. Avec le peu de lumière, sa peau blanche ressortait sur le beige et la rendait encore plus appétissante. Elle se caressait l’intérieur de ses cuisses puis de ses lèvres roses. Ma tante se masturbait devant moi en agitant son doigt là où il fallait sans aucune pudeur, sans la moindre gêne.
— Patrick, tu as oublié de me dire bonsoir ! Cria Jules.
— Je vais lui dire bonsoir. Dis-je à ma tante bien occupée.
Véro ne mouftait pas et poursuivait secrètement son excitation. Je n’étais plus étonné mais un peu choqué de la voir se comporter ainsi, avec ses deux enfants encore éveillés. J’embrassais Jules et Oscar par la même occasion et je lui répétais les recommandations de sa mère en rajoutant son extrême fatigue. J’attendais quelques minutes sans faire de bruit dans le couloir. Pas à pas, je visitais chaque chambre pour y voir Oscar autant que Jules dormir profondément.
Arrivé dans le salon, Véro avait les jambes écartées prête à copuler. A son grand étonnement, je ramassais son pantalon et je la prenais par la main.
— Que se passe-t-il ? S’étonna-t-elle en me suivant.
— Rien on va dans ma chambre, ce sera plus prudent.
— Ah si tu veux
Véronique s’allongea immédiatement sur le lit et j’ôtais à mon tour mon boxer. Ses yeux s’illuminaient à la vue de mon sexe libéré de ma tenue.
— Ouh là là Quelle jolie bête ! Dit-elle en se redressant pour s’assoir au bord du lit bien droite.
— Allez tu peux me sucer maintenant. En approchant la bête de guerre à hauteur de son visage.
— Humavec plaisir mon neveu ! S’exclama-t-elle en posant ses doigts fins sous mes testicules.
— Véro tes enfants dorment, ne crains rien et mets-toi à genoux. Rajoutai-je en passant ma main sous son menton pour accompagner ses lèvres à mon gland.
— Bon ta Tatie va te faire plaisir ce soir. En parsemant de baisers ma verge puis en ouvrant délicatement sa bouche rêvée.
— Suce comme tu sais le faire. En tapotant mon sexe sur le bout de sa bouche affamée.
Ma tante engloutissait mon pénis bien portant entre ses lèvres pulpeuses. Par chance, un grand miroir au sol fut face à nous ainsi je pouvais contempler notre couple de profil et le corps de ma tante bien cambré. C’était si jouissif de la voir, de voir la sur de ma mère aux courbes si parfaites me faire une aussi belle fellation. Je restais immobile observant le balancement de sa tête avec mon sexe entrer puis sortir entre ses lèvres somptueuses. En la voyant ainsi, je mesurais le chemin parcouru. J’avais dressé ma belle mature, elle était devenue ma femelle docile qui répondait au moindre de mes désirs. Elle prenait un plaisir certain à me sucer. Sa façon de laisser ressortir ma verge en l’accompagnant avec ses lèvres fut révélateur du bonheur qu’elle éprouvait. Elle gobait mon sexe avec application en le suçant avec une douceur extrême. Je ne savais plus lequel se régalait dans cette histoire.
— C’est bon ma belle, installe toi sur le lit. En l’incitant à se mettre en levrette.
— Tu veux me prendre comment ? S’interrogea-t-elle avec son cul resplendissant.
— Tu vas voir Répondis-je en plaquant mes mains sur ses fesses pour lui laper sa chatte en remontant vers la fraîcheur de son anus.
— Ah je vois et je n’ai rien contre. Dit-elle en balançant son derrière admirable.
Véro avait les coudes posés sur les draps et une fois de plus, je ne pus m’empêcher de passer ma main sur sa croupe majestueuse. Je considérais cet instant à part, ma tante du haut de ses 42 ans m’appartenait. Tant admiratif de sa plastique irréprochable, je passais et repassais ma main, mes mains, l’ensemble de mes dix doigts sur ce corps qui m’était promis. Véro ne disait rien, telle une pouliche en chaleur je me régalais à l’idée de baiser, de faire gémir, jouir la sur de ma mère. Je façonnais l’orée de son cul splendide en le polissant, en le chatoyant avec le sexe en feu.
Une fois son orifice bien détendu, ma verge vaillante se porta à l’assaut de son fabuleux derrière et comme dit précédemment, le miroir me tenait compagnie. Le profil de Véronique était purement féerique et je me trouvais laid derrière elle. J’entamais avec une précision assurée le début de ma sodomie.
— Alors Tatie ? Tu commences à aimer le sexe ! Affirmai-je en écartant ses fesses pour y voir se fondre mon sexe entre elles.
— Ouii depuis que je suis avec toi Soupira-t-elle bien cambrée en me recevant progressivement.
— Ca te plait ma chérie ? Lui demandai-je une fois installé au fond de sa cavité.
— C’est parfait. Dit-elle satisfaite.
— Maintenant c’est un exercice, je ne bouge plus et c’est toi qui donne le tempo. Lui dis-je posément avec mes mains posées sur la peau blanche de ses fesses que j’aurais pu bouffer.
— D’accord
Je regardais le miroir. Le spectacle me laissait sans voix. Ma tante faisant elle-même les mouvements et je me délectais de ce tableau impensable en la voyant dans cette position de soumission absolue. Et dire que je pensais à ma mère, comment aurait-elle pu penser ne serait-ce qu’une petite seconde de voir sa petite sur se faire sodomiser par son fils ? Comment aurait-elle pu imaginer que sa petite sur puisse dandiner son formidable cul pour mieux se faire pénétrer par son neveu ? Je préférais oublier les réponses en me concentrant sur mon acte.
Mon sexe prenait de l’ampleur et Véro s’en aperçut instantanément.
— Oh oui Patrick, je sens que tu viensS’écria-t-elle en s’effaçant devant la cadence que je lui imposais.
— Ah oui ! Oui ! Tu es belle Véronique ! Hurlai-je transpercé par mon cerveau devenu fou.
— Oh nom de dieu Patricktu m’inondes ! C’est une sensation merveilleuse Gémit elle en se crispant, se raidissant sous mes coups profonds.
— Oh c’est fantastique avec toiDis-je dans un dernier souffle en écrasant ses hanches dans ma jouissance.
— Patrick ! Patrick ! Clama-t-elle emportée par un épanouissement physique excessif.
— Jouis.Jouis avec moi ma Véronique, ma si belle Véronique ! Terminais-je en pilonnant son fabuleux cul.
— OuiiiN’arrête plus ! Défonce ta Véronique mon grand ! Dit-elle dans un défoulement hors limites.
— Oh. Murmurai-je en m’affalant sur son dos.
— Ooh mon chérioh ouiii Susurra-t-elle en se régalant du bien-être que je lui procurais.
Nous devenions des malades du sexe, ma tante et moi. Notre fameux entraînement en vue de Genève devenait une partie de plaisir à deux.
Le lendemain j’arrivais de bonne heure dans la cuisine et Véronique terminait son café. Ni une ni deux.
— Tu as bien dormi Patrick ? Dit-elle en baissant mon caleçon.
— Oui Véro mais Véro fit glisser le bout de mon sexe sur ses lèvres humides de café.
— Les enfants dorment encore. Ajouta-t-elle en me suçant avec paresse.
— Tu commences fort le matin. Lui dis-je en posant ma main sur ses mèches blondes.
— J’aime te le faire, tu sais bien. Poursuivit-elle en creusant ses joues pour pomper ma belle verge.
Elle aspirait mon sexe en enroulant sa langue, le laissait prendre l’air pour que ses lèvres onctueuses prenaient le relais. Bien entendu je ne tenais pas longtemps avec une telle habilité et ma tante plaqua ses mains pour me serrer contre elle en avalant mon cru. Elle déglutinait ma semence à grande gorgée en pompant encore et encore. Une fois fini, elle s’essuya la bouche, rassasiée pour me servir mon bol.
— Ca va ? Me demanda-t-elle en souriant.
— Oui ! M’exclamai-je en entendant les enfants descendre.
— Bonjour Maman ! Bonjour Patrick ! Dirent-ils en cur.
— Il y a du soleil alors piscine aujourd’hui ! Continua Véro enthousiaste dénuée de remords.
Tels des ogres, ils avaient avalé leur petit-déjeuner et leur mère partit faire des courses. Elle me donnait des consignes pour qu’ils ne restent pas trop longtemps dans la piscine puis elle s’éclipsa rapidement. J’improvisais une sorte de balle au camp avec mes cousins, déchainés pour l’occasion de jouer tous les deux contre moi. Les parties s’enchainaient et peu après 11heures, ma tante arriva chargée de commissions. Une fois les courses déchargées, Véro s’adressa au grand.
— Oscar, Patrick me montre un truc sur mon ordi en haut alors tu surveilles ton frère et pas de bêtises ! Nous sommes là dans dix minutes. Lui annonça-t-elle en prenant les escaliers.
— D’ac’ Maman !
Je suivais ma belle plante aux tiges élancés en me réjouissant par avance d’ouvrir ses pétales pour y butiner son nectar. Ma tante jeta un coup d’il par la fenêtre, Oscar et Jules s’amusaient dans la piscine. Aussitôt elle se pencha pour enlever sa robe et le slip. Étendue sur le bord du lit, posée sur ses coudes, elle écartait délicieusement ses jambes longilignes.
— Dépêche-toi mon chéri, on n’a que 10 minutes ! Déclara-t-elle avec une certaine nonchalance.
Certes ma tante avait sauté le pas, oubliant le caractère de notre relation mais je trouvais son attitude choquante. Elle s’apprêtait à se faire bouffer la chatte pour son jeune neveu avec ses enfants juste en dessous. Elle se conduisait presque en mère indigne mais au fond, n’était-ce pas ce que je recherchais ? Je la voulais pour moi et elle était devenue accro au sexe.
Sans me poser plus de questions, je caressais le pourtour de son intimité et très vite, j’y accolais mes lèvres pour la faire frissonner.
— Tu aimes quand je suis autour de ton clito ? Lui demandai-je avec ma langue remplie de sa liqueur, lapant régulièrement sa fente pour finir en lui chatoyant sa crête.
— Oui j’adore Répondit-elle en ondulant son bassin.
— Et comme ca ? En la fourrant dans son vagin.
— Ouii!! Gémit elle parcourue de frissons.
Véronique avait gardé son chemisier la rendant plus sensuelle. Pris par le temps, la doigter s’avérait inconcevable. Ainsi lorsque je me mis à poil, j’en profitais pour lui enlever ses escarpins et me la faire comme j’avais toujours aimé. Par instinct, ma tante se levait pour fermer la porte à clef en laissant la porte ouverte et son chemisier à terre par la même occasion. J’avais à nouveau ma belle blonde pour moi ne demandant qu’à se faire fourrer par son jeune étalon. Comme elle pouvait être bien foutue pour son âge ! Je considérais qu’à partir de la quarantaine, une femme atteignait le summum de la beauté. A poil, elle m’éclaboussait de sa féminité, gracieuse, rayonnanteles adjectifs me manquent.
— Là tu aimes me voir comme ça, toute nue ? Dit-elle en dispersant ses jambes avec ses seins arrogants.
— Ah ça oui, t’es foutrement bonne à baiser ! Ajoutai-je en introduisant mon sexe sous son regard attentif.
— OufFit-elle en fermant les yeux pour savourer de se faire pénétrer à une lenteur impériale.
— C’est vachement sexuel entre nous, tu aimes le sexe avec moi ma belle Tatie ! Insinuai-je en la limant à un train de sénateur.
— Oh ouiC’est si bon avec toi, j’adore me faire baiser par toi Patrick Soupira-t-elle en me serrant contre elle.
— T’es belle bordel En attrapant ses pieds pour passer ses orteils sur mes lèvres.
— Ah ouii j’adore ca ! S’exclama-t-elle en les pointant pour que je les suce.
— C’est fou entre nous.. Bafouillai-je avec ses doigts de pied dans ma bouche.
— Oh continue chéri En se faisant maintenant défoncer comme elle aimait.
Sucer ses orteils soignés, racés même et avoir mon sexe dans ses profondeurs intimes me procurèrent les fameuses décharges qui conduisent à une jouissance profonde dans son corps, tordu de plaisir.
— Viens en moiViens Patrick. Dit-elle en me serrant les bras et en soulevant son bassin.
— Oui je viens ! Oh Véronique En bouffant ses orteils mon corps se contractait, mon sexe enflait silencieusement.
— Mon Dieu ! Clama-t-elle sans se soucier des garçons en bas.
— Oh oui ! T’es ma toute belle ! M’extasiai-je en enflammant ma tante de ma semence.
— Ne t’arrête plus Dit-elle ses mains agrippées à mes bras, son corps violenté par mes mouvements brutaux.
Malgré ma jouissance passée, je poursuivais mon effort pour l’entendre gémir et continuer à la faire jouir. Elle en redemandait sans se soucier de l’heure et si je n’avais pas interrompu notre coït infernal, j’aurais pu continuer à la baiser pendant des heures. Je finissais en lui roulant des pelles insensées pour prendre congé de son corps repus de plaisir.
— Bon on va descendre maintenant. Dit-elle en se rhabillant.
— On baise comme des fous ma belle Tatie !
— Tais-toi Patrick ! Je n’ose plus me regarder dans une glace ! Mais je prends tellement mon pied avec toi que j’ai tout oublié. Conclut-elle en quittant la chambre.
Nous étions à table et Oscar observait sa mère curieusement. En fait elle transpirait, elle était toute rouge pour lui servir son plat de pâtes. Je pressentais une remarque déstabilisante de sa part, le regard fixé sur sa mère. Et ce qui devait arriver arriva.
— Pourquoi tu es toute rouge Maman, tu es malade ?
— Hein ? Dit-elle surprise de cette question
— Bah oui tu transpires en plus. Rajouta-t-il innocemment.
— Euh ça doit être le four, allez mange ça va refroidir. Répondit-elle platement en servant Jules.
— Maman, on pourra jouer à la PlayStation après mangé, s’il te plait ?
— Bon les garçons, si vous êtes sages je vous laisse jouer jusqu’à 21 heures mais après au lit.
— Youpiiii ! S’exclamèrent-ils.
Sitôt fini, ils cavalèrent dans leur chambre et déjà, nous entendions les sons de leur jeu. Véro termina de ranger la cuisine et vint spontanément se mettre sur mes genoux. Une fois encore, le risque était présent.
— Passe-moi une cigarette Patrick, je suis tendue ce soir.
— Jules t’a déstabilisée. Détends toi un peu et après nous allons dormir. En passant ma main le long de sa nuque.
— Oui tu as raison. Je suis crevée ce soir. Tu ne m’en veux pas ? Me demanda-t-elle en éteignant sa cigarette.
— Non pas du tout. Lui rétorquai-je avec encore une gaule d’enfer.
— Tu sais j’ai passé une journée sensationnelle ! Affirma-t-elle en se levant toujours autant séduisante.
— Tu m’en vois ravi.
Véro plia une de ses jambes pour enlever son short puis le slip. Il ne lui restait plus que le haut et je restais stoïque face à elle. Je ne savais plus quoi penser quand elle posa ses coudes sur le plan de travail de la cuisine. Elle dandinait son merveilleux derrière et avait écarté ses jambes si bien galbées. Les mèches dans le visage, elle se retourna pour me lancer.
— Ca va m’aider à bien dormir. En haussant les sourcils et en jetant un coup d’il à mon bas ventre.
Je rangeais ma stupéfaction pour à mon tour me dévêtir. De lentes caresses entre ses cuisses alimentèrent mon appétence pour ma tante. J’accolai ma main sur sa chatte déjà mouillée et cela ne fit que confirmer son potentiel sexuel au-dessus de la norme.
— Est-ce bien sérieux Tatie tout cela ? Plaisantai-je en guidant mon sexe vers sa cage dorée.
— Mais oui et c’est bien ce que tu voulais Me sauter toute la journée, pas vrai ?
— Détends toi, c’est le meilleur moment. Lui dis-je alors que ma verge aux veines saillantes longeait peu à peu son canal fiévreux.
— HumGémit-elle en me recevant graduellement.
— T’es devenue ma chérie. En débutant des mouvements profonds, puissants et soutenus.
— Oui je suis ta chérie Bredouilla-t-elle en se faisant peloter ses superbes nibards.
Je la limais cinq bonnes minutes, profitant de chaque instant en passant mes mains le long de son dos cambré. Puis vint le moment de grâce. En la saisissant par les hanches, Véronique ne put s’empêcher de pousser de petits cris.
— Oh ouiOui ! Oui ! S’étouffa-t-elle pour ne pas hurler.
Une fois encore je parsemais d’étoiles le corps de ma tante. Une fois encore j’avais entre mes bras son corps qui tremble. Une fois encore nous exagérions la fréquence de nos rapports avec ses enfants présents à l’étage
— Oh c’est trop bon avec toi, c’est trop dingue Soupira-t-elle en se délectant de sa jouissance qui s’amenuisant lentement.
— Oui t’es dingue à baiser ma Tatie d’amour. En caressant la peau lisse de son ventre en enveloppant sa poitrine ardente.
— Je sais mon chéri
Après un long baiser, Véronique regagna l’étage en me souhaitant bonne nuit.
Dorénavant, le cap était franchi et j’ajouterai que Véro s’était affranchie de toutes les barrières nous concernant. Notre relation tante-neveu avait pris la forme d’une relation entre un homme jeune et une femme mûre, épanouie. Ma tante me parlait comme si j’étais son homme, faisant totalement abstraction de mon statut de neveu, de notre lien de parenté. Les jours passèrent avec la même fréquence dans nos rapports sexuels. Je sautais ma tante à chaque occasion, n’essuyant jamais un refus de sa part, bien au contraire. Nous nous permettions tout avec un seul bémol, Oscar et Jules. Finalement, heureusement qu’ils étaient là sinon nous aurions baisé du matin au soir.
Les jours défilèrent et j’aurais aimé arrêter le temps. Mais je n’étais pas Dieu. Dommage.
Un mail comme convenu arriva nous précisant les billets d’avion à prendre pour Genève.
Une autre aventure débutait, palpitante mais risquée