Si on m’avait dit ça, quelques jours avant, je ne l’aurais pas cru.
En l’espace d’une soirée, j’ai rencontré une fille. Sublime. Timide et inhibée. Alors que nous ne nous étions jamais vues avant, j’ai réussi à la séduire. Nous avons fait l’amour. Et elle m’a fait jouir, divinement bien.
Avant de nous quitter, cette nuit, elle a accepté de venir chez moi, ce samedi après-midi. J’ai hâte de la revoir. Pourvu qu’elle ne se soit pas ressaisie, et qu’elle n’ait pas changé d’avis!
J’ai mal dormi cette nuit. D’abord, excitée et ivre de désir, en repensant à son corps, et à ce que nous avions fait. Et puis, en m’imaginant des scénarios catastrophes. Elle ne vient pas, elle me laisse sans nouvelles…
La matinée s’écoule, interminable. Je n’ai pas faim, mais je réussis à manger une petite salade. Ensuite, je file dans la salle de bains. Je reste un quart d’heure sous la douche, et je passe un temps fou à me faire belle. Pour Lise
Je prends mille précautions, pour ne pas paraître trop sophistiquée. Je me trompe peut-être, mais je crois qu’elle n’aimerait pas. Je mets un désordre joyeux et étudié dans mes cheveux. Je me maquille à peine, juste un peu d’ombre sur mes yeux, un trait sur mes cils, un fond de teint à peine visible. Pas de rouge à lèvres.
Je me parfume. Une fragrance fraîche et fleurie. Et j’enduis mon corps d’une crème qui satine ma peau déjà bronzée.
Je m’habille. Je me veux sexy, mais pas pute. Un tout petit string – Lise a eu l’air d’apprécier hier soir. Pas de soutien-gorge. Une robe d’été en lin écru, à fines bretelles, très courte, boutonnée devant. Je ne ferme que quelques boutons, pour que ses mains trouvent facilement leur chemin…
Je tourne en rond dans mon séjour, et enfin, vers 14 heures, la sonnerie de l’interphone retentit. Je me précipite près de la porte.
— Oui?
— C’est Lise…
— Je t’ouvre! Je suis au dernier étage, à droite en sortant de l’ascenseur.
Mon cur bat la chamade, dans l’attente du petit coup de sonnette à ma porte. Je sursaute malgré tout en l’entendant, et j’ouvre.
Lise est en face de moi, radieuse, et toutes mes craintes s’envolent. Ses yeux noisette pétillent de joie, et son sourire me fait fondre.
Je n’ai pas encore refermé ma porte qu’elle s’est déjà jetée dans mes bras, et se serre contre moi. J’ai l’impression que c’est moi la néophyte avec une autre fille. Mes jambes flageolent. Et c’est elle qui m’offre ses lèvres.
Aussitôt, ma langue se glisse dans sa bouche, trouve la sienne, qui me répond en jouant avec la pointe de la mienne. Je retrouve avec ravissement les saveurs d’hier soir. C’est délicieux, voluptueux.
De nouveau, je sens la poitrine de Lise, écrasée contre la mienne. Je n’en suis pas sure, mais… je crois qu’elle n’a pas mis de soutien-gorge! Je me retiens, pour ne pas la déshabiller tout de suite. Surtout, pas de précipitation, savourons chaque instant. Je suis décidée à refaire monter son désir, jusqu’à son paroxysme, avant de…
— Tu veux boire quelque chose? Il fait une chaleur à crever.
— Oui, avec plaisir. Qu’est ce que tu as à m’offrir?
Je prends peut-être encore mes désirs pour des réalités, mais j’ai eu l’impression qu’elle avait une expression coquine pour me poser cette question. Ce que j’ai à lui offrir… Si elle savait.
Finalement, Lise choisit un Ice Tea, comme moi. Je vais chercher les canettes dans mon frigo, et je la rejoins. Nous nous asseyons côte à côte sur mon canapé, et nous trinquons. A nous!…
Nous parlons beaucoup toutes les deux. J’ai envie de la découvrir vraiment, de mieux la connaître. Et pas seulement physiquement! C’est réciproque, et au fil du temps qui passe, nous nous confions l’une à l’autre.
J’écoute ce que me raconte Lise, je bois ses paroles, sans quitter des yeux ses lèvres, ou sa poitrine qui soulève son corsage. Sa simple présence à côté de moi, son parfum, le son léger de sa voix, tout suscite en moi le désir.
Ensorcelée par sa voix, je laisse ma main s’égarer sur sa cuisse. La caresser doucement. Remonter, en repoussant de plus en plus haut l’ourlet de sa petite jupe.
Je tressaille quand je sens qu’elle fait sauter un bouton de ma robe, pour regarder mes seins qui pointent, et c’est à ce moment là que, en atteignant la fourche de ses jambes, je m’aperçois qu’elle porte mon string, que je lui avais donné la veille.
— Tu l’as mis?! dis-je en explosant de joie.
— Oui… et elle ajoute, en rougissant, je ne l’ai pas lavé, pour avoir l’impression d’avoir ton minou contre le mien.
— Tu es merveilleuse.
Je retrousse complètement sa jupe. Le petit ticket de métro de sa toison surmonte le minuscule triangle de mon string, et elle m’enlace, en posant sa main sur mes seins.
Je m’écarte brièvement, pour faire passer son débardeur par dessus sa tête. Je ne m’étais pas trompée: elle n’avait pas mis de soutien-gorge. Elle finit de déboutonner ma robe, et nous nous embrassons, fiévreusement.
A partir de cet instant, tout s’accélère. Sa jupe et ma robe atterrissent sur le parquet, et nos mains parcourent nos corps, sans pouvoir satisfaire notre insatiable sensualité. Mon string glisse sur les hanches de Lise, et elle arrache presque celui que je porte aujourd’hui. Ça y est, nous sommes nues toutes les deux, et nous roulons sur le canapé, nous frottant l’une contre l’autre.
— Viens, lui dis je tout bas à l’oreille en me relevant.
Elle ne me répond pas, mais je lis son abandon dans son regard, comme dans un livre ouvert. Je saisis son poignet, et je la conduis dans ma chambre. Je jette la couette sur le sol, et je pousse Lise, qui tombe sur le matelas, en riant.
— Qu’est ce que tu vas me faire? me demande-t-elle, avec un air de fausse timidité à damner un saint.
— Je vais te faire subir les pires outrages, ma chérie!
— Je ne crois pas que tu oserais…
— C’est ce qu’on va voir!
Je me jette sur Lise. Je l’oblige à écarter au maximum ses jambes, et je dépose une multitude de petits baisers sur son ventre, sur son petit ticket de métro, à l’intérieur de ses cuisses.
— Montre moi ta chatte, petite cochonne.
— Non, je ne veux pas, me répond elle en minaudant.
— Plus vite que ça! Ou tu vas avoir droit à ta première fessée.
— C’est du chantage! lance Lise en riant, et en ouvrant sa fente du bout de ses doigts.
— Mais… tu mouilles déjà…
— Ça fait longtemps, m’avoue-t-elle en prenant mes cheveux à pleines mains pour guider mon visage vers son abricot gonflé. J’ai tellement envie de toi.
Ivre de bonheur, je commence à dévorer le joli coquillage de Lise. Je la lèche, je suce son petit bouton. Elle gémit, ondule des hanches, pour mieux s’offrir.
— Oh vas-y! Je t’en prie, doigte moi, comme hier soir.
Je ne me fais pas prier. J’aspire son clito entre mes lèvres, je le mordille tout doucement. Mes doigts s’enfoncent dans sa grotte trempée. Deux d’abord, qui rentrent sans la moindre difficulté. Puis un troisième. Je les fais aller et venir, je les tourne. Je pars à la recherche de son point G, et elle pousse un long cri aigu d’animal blessé, lorsque j’atteins mon but. Elle serre ma tête entre ses mains, à m’en faire presque mal, et elle se tord de plaisir sur mon lit, en emportant le drap.
La voir dans cet état, me rendre compte de l’effet de mes caresses sur Lise… Jamais une fille ne s’était offerte à moi de cette façon, dès la première rencontre.
Son désir et son attente étaient tels qu’elle jouit très vite, et je sens ma cyprine couler entre mes cuisses.
Lise reste étendue plusieurs minutes, secouée de spasmes, caressant mes cheveux, tandis que je bois sa sève. Lorsqu’elle reprend ses esprits, je l’embrasse, lui faisant goûter sa propre mouille mêlée à ma salive, tout en la caressant.
— C’était bon, ma chérie?
— Oh oui…. murmure-t-elle.
— Tu ne regrettes rien?
— Si… De ne pas t’avoir rencontrée plus tôt! Et son regard se fait mutin, quand elle constate: mais toi, tu n’as pas joui?
— Non… Je ne sais pas si tu as envie de me donner du plaisir.
— T’es conne! s’exclame-t-elle, en se ruant sur moi.
C’est à mon tour de subir les assauts de Lise.
Elle s’appuie sur une de mes cuisses repliée, pendant qu’elle lève l’autre à la verticale. Elle malaxe mes petits seins, elle pince mes tétons dardés, tout en dévorant mon fruit offert. Ma fente s’ouvre sous la poussée de sa langue, qui continue de s’aventurer jusque dans le sillon de mes fesses. Cette fois, c’est elle qui me demande:
— Tu aimes?
— Oh oui, continue… Fais moi tout ce dont tu as envie.
Je n’y crois pas! La pointe de sa langue vrille mon petit trou, tandis qu’elle tourne entre ses doigts mon petit bouton érigé, et de son autre main, pistonne ma chatte en feu.
Je crie de plaisir, je râle, je sanglote, tant c’est bon. Mes mains caressent son corps, happant un sein ou une fesse au hasard. Le contact de sa peau douce et souple sous mes doigts me rend folle.
Ma réaction décuple le désir de Lise, lui fait oublier pudeur et tabous. Elle explore mon petit illet comme si elle lisait mes envies dans mes pensées, et à mon tour, j’enfonce un doigt lubrifié de mouille dans son adorable petit cul.
Je ne saurais dire combien de temps je me suis offerte à elle. J’essaie de retarder l’orgasme autant que je le peux, pour le rendre encore plus fort, mais soudain, ce n’est plus possible. J’ai atteint mes limites. Et l’orgasme me tétanise. Je jouis à mon tour, en hurlant.
Nous nous écroulons dans les bras l’une de l’autre, épuisées, ruisselantes de sueur. Je regarde le beau visage de Lise, ses yeux cernés qui disent à quel point elle s’est donnée, et elle me sourit. Un sourire qui me fait fondre, surtout lorsqu’elle me dit à mi-voix:
— Toi aussi, tu as aimé? Tu as vraiment joui si fort que ça?
— Oui, tu sais, je ne simule pas. Tu es une amante merveilleuse.
Nous restons ainsi quelques instants, unies dans une tendre étreinte, n’osant pas parler de peur de rompre le charme.
Mais la chaleur, dans l’appartement, devient vraiment insupportable, et je demande à Lise:
— On fait une pause?
— Si tu veux. Mais si tu parles d’une pause, c’est que tu penses à une suite. Je me trompe?
— Non, dis-je en riant. Mais si tu es trop fatiguée…
— Je compte bien t’épuiser avant moi.
— Prétentieuse! On s’installe sur la terrasse pour boire quelque chose de frais?
— Avec plaisir.
Nous quittons mon lit, et nous traversons le séjour. Au moment où je franchis le seuil de la porte-fenêtre, Lise s’inquiète:
— Tu sors à poil !??
— Oui, pourquoi? On est au dernier étage, et il n’y a pas d’appartement au dessus qui plonge chez moi.
— Oui, mais… Là en face, il y a des fenêtres.
— Oh tant pis. Ça fait partie des "risques du métier". C’est même ce qui rend la chose excitante.
— Je n’ose pas…
— Faire l’amour avec moi, tu n’osais pas non plus…
— C’est vrai.
— Et puis, qu’est ce que tu risques, ce n’est pas toi qui habites ici.
Ébranlée par mes arguments, Lise me suit sur la terrasse, en tenue d’Eve, et s’installe dans un transat. Je vais chercher une bouteille d’eau gazeuse et des glaçons, et petit à petit, elle s’habitue à sa nudité.
— Finalement, tu avais raison, c’est agréable, finit elle par avouer.
— Tu vois! Et faire du bronzage intégral évite les marques de maillot. J’ai horreur de ça.
Nous continuons à discuter, et je m’amuse à passer un glaçon sur mes seins, qui réagissent instantanément en durcissant et en se dressant. Ça fait rire Lise, et je prends des glaçons pour la masser avec. Elle pousse des cris, se défend, et part en courant. Je la poursuis sur la terrasse, je la bloque dans un coin, et je les frotte sur sa poitrine et sur ses fesses. Et notre lutte se termine par une nouvelle étreinte, et un long baiser, à pleine bouche.
— Je crois que cette pause a assez duré.
— Je suis d’accord avec toi. J’ai envie d’être à toi… me répond elle.
Pendant que nous nous dirigeons vers la chambre, je demande à Lise:
— Tu as déjà essayé, avec des sextoys?
— Non… A vrai dire, j’en ai pas.
— Moi, je suis fan.
J’ouvre un tiroir de ma commode, dans lequel sont rangés tous mes "jouets", et Lise s’exclame:
— T’as tout ça! Montre.
— Non, je ne te les montre pas tous maintenant. Je veux garder des choses à te faire découvrir, au fur et à mesure de notre relation. Il faut toujours maintenir la curiosité de sa partenaire. Pour aujourd’hui, on va commencer avec ça…
Je sors un gode double, en silicone couleur chair, imitant de façon très réaliste, à une de ses extrémités, un sexe d’homme bandé, avec des veines apparentes et un gland décalotté. L’autre extrémité, plus petite, ressemble à des doigts en crochet, et j’explique à Lise qu’ils stimulent le point G.
— Tu veux bien qu’on essaie?
— Oui, mais je ne sais pas trop comment on s’en sert.
— Laisse moi te guider
Lise est troublée, et je sens l’excitation qui revient chez elle, lorsque je m’installe sur le lit, cuisses écartées.
— Caresse bien mon minou, fais moi mouiller.
Aussitôt, ses mains et sa bouche entrent en action. Ma respiration s’accélère, ma fente s’ouvre, et je recommence à mouiller.
— Oh oui, c’est bon… Enfonce le gode, le petit côté.
Je pousse un petit gémissement, quand le gode me pénètre. Je me relève, et je vois les tétons de Lise qui pointent. Ses joues sont écarlates. Elle me dévore des yeux, avec cette fausse bite de silicone qui se dresse, à la fourche de mes cuisses.
Je la prends dans mes bras, et je guide sa main vers le gode, pour qu’elle découvre le contact doux de l’engin.
— Je vais te faire l’amour, tu vas voir comme c’est bon. Et pendant que je vais aller et venir dans ton adorable petite chatte, l’autre extrémité va défoncer mon minou.
Je suis sur un petit nuage. Je sens le corps nu de Lise contre le mien, ses seins qui pointent, durs comme de la pierre, trahissant son désir, au moins aussi fort que le mien. Et ce gode, fiché dans ma fente, et qui se dresse à la fourche de mes cuisses, comme l’énorme bite d’un mâle. Sauf que je suis une fille, et que je sais que notre plaisir sera différent.
Je saisis doucement le poignet de Lise, pour le guider vers le sextoy. Timidement, elle le prend entre ses doigts tout fins.
— Comme il est gros… murmure-t-elle.
— Oui, tu vas voir comme il va bien remplir ta grotte. Je vais y aller tout doucement, pour que tu n’aies pas mal.
— Oh oui, vas y ma chérie. Ne t’en fais pas, je veux encore être à toi, comme tu en as envie, et tant pis si c’est un peu douloureux… Viens
Lise m’entraîne sur le lit. Sur le dos, cuisses écartées, elle ouvre sa chatte avec ses doigts, et me regarde, avec un mélange de provocation et d’abandon dans ses yeux noisette.
Je viens sur elle, en plongeant mon regard dans le sien. Je reste en appui sur mes bras tendus, pour ne rien perdre de ses réactions, quand je vais la pénétrer.
— Je te veux, ma Lise.
— Moi aussi, répond elle en dirigeant elle-même le gland de silicone entre ses petites lèvres.
Je pousse doucement avec mes hanches, pour introduire le gode dans son adorable minou. Lise se mord les lèvres, quand l’énorme renflement du gland dilate sa petite fente. Je marque une pause, mais c’est elle qui m’encourage…
— Ne t’arrête pas. Viens au fond de ma chatte
Je lui obéis, avec plaisir. Je plonge la longue tige dans sa fente, qui s’ouvre, s’ouvre… Elle se cramponne à mes hanches, à mes fesses, pour me montrer à quel point elle aime me sentir en elle, par gode interposé. Je plonge la bite de silicone jusqu’au fond de son abricot, jusqu’à ce que nos pubis se rejoignent, et je marque un nouveau temps d’arrêt, pour qu’elle s’habitue.
Je n’attends pas longtemps.
Elle se met à remuer ses reins, pour faire bouger la verge en elle, et je ressens ces mouvements dans mon abricot, lui aussi perforé par le sextoy.
Je lis sur le visage de Lise la progression de son désir et de son plaisir. C’est trop excitant.
Je me mets à aller et venir en elle, de plus en plus vite, et Lise m’encourage encore une fois.
— Oh oui, c’est bon. Continue!…. oooooh oui!… Plus fort
Elle triture mes seins, fébrilement. J’entends un petit bruit humide, chaque fois que le gode plonge dans son intimité.
Quant à ma propre chatte… L’autre extrémité du sextoy frotte contre les parois de mon fourreau, déclenchant des décharges électriques chaque fois qu’elle stimule mon point G. Je ne suis plus capable de me contrôler. Je gémis, en pilonnant de toutes mes forces ma petite Lise, dont le superbe corps nu est ballotté à chacun de mes coups de reins.
Nos cris remplissent la pièce, en allant crescendo, jusqu’à ce que nous jouissions toutes les deux, en même temps.
Je reste immobile quelques instants, savourant les vagues du plaisir qui reflue, et Lise me contemple, avec des yeux pleins d’amour, ne manifestant aucune intention de s’arrêter, malgré son souffle court. Je lui souris, en lui demandant:
— Tu veux encore?
— Oh oui, Ambre chérie, mais je voudrais essayer l’autre extrémité de ton gode.
— Petite salope
Je retire le jouet, luisant de mouille, de mon entrejambes et je lui tends. Elle se met à genoux, écarte grand le compas de ses jambes, et l’enfonce dans sa fente, en fermant à demi les yeux.
— Je voudrais te prendre en levrette, me dit-elle.
— Eh bien, pour une "jeune fille" timide… Tu réserves des surprises.
Trop heureuse de sa proposition, je me mets à quatre pattes sur le lit, et je me cambre. Mon petit cul et ma vulve sont offerts, sans défense, et Lise vient s’agenouiller entre mes cuisses. Comme si elle avait fait ça toute sa vie, elle écarte mes petites lèvres, et enfonce le gland dans ma fente, encore ouverte. Puis elle empoigne mes hanches, et commence à me baiser violemment, comme le ferait un mec en rut.
Je me cambre et je crie, à chaque fois que le pieu de silicone semble vouloir faire exploser mon minou. Oh putain!… Comme elle s’y prend bien… Je ne vais pas résister longtemps. La sueur ruisselle sur nos corps, nous poussons des cris inarticulés, entrecoupés de mots crus: "t’aimes ça, salope?", "continue petite pute", "oui, baise moi, déchire moi"
Cette fois, c’est moi qui m’abandonne la première à la jouissance, et je hurle. J’ai l’impression que je vais perdre connaissance, tant c’est fort. Mais l’orgasme de Lise, une minute plus tard, n’a rien à envier au mien.
L’une et l’autre, nos chattes se sont transformées en fontaine, et ont inondé mes draps, en giclant. Nous nous écroulons toutes les deux, sur mon lit mouillé. Nous nous regardons tendrement, et malgré notre fatigue, nous échangeons un long baiser, plein de fougue, en nous caressant.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restées enlacées, haletantes, comblées. La première, je reviens à moi, et je me lève pour aller boire un verre d’eau, dans ma cuisine.
Quand je reviens dans la chambre, je découvre Lise, agenouillée devant ma commode, en train d’explorer le tiroir contenant mes sextoys.
— Eh bien, quelle collection!, me lance-t-elle. Tu voudras bien me montrer comment tu t’en sers?
— Si tu es sage, lui dis-je, incapable de m’offusquer de son indiscrétion.
— Et ceux-là?
Lise est en train de sortir mes "accessoires" bdsm. Des pinces à seins, des menottes, une laisse, une cravache… Je l’arrête.
— Je ne suis pas sure que tu sois partante pour ce genre de jeux.
— Pourquoi tu dis ça?
— Tu te vois, ligotée, tes seins pincés, ton corps zébré par les coups de cravache? Et même exhibée, humiliée?
— Et pourquoi pas?.
Je suis sidérée. Ses yeux brillent, plein d’une fièvre que je leur avais jamais vue.
— Ambre, ma chérie… reprend-elle…. S’il te plait… Initie moi, j’ai envie…
— Tu te rends compte de ce que tu me demandes?
— Oui, j’en rêve, mais je ne l’ai jamais avoué à personne. Et puis, avec toi, tout est si excitant…
— Bon, d’accord.
— Alors, il faut commencer ce soir, je ne veux pas que tu changes d’avis.
Cette fois, elle m’a convaincue. Et je ressens une envie irrépressible de la dominer et de lui faire subir les pires outrages. Elle me plaît tant, cette fille, c’est inespéré.
— Bon. Alors tu restes chez moi, cette nuit. On va se doucher, et se commander à manger. Tu préfères quoi: pizza ou sushis?
— Sushis!
Lise est radieuse.
Nous filons dans la salle de bains, pour une longue douche réparatrice, prise ensemble.
Mes mains parcourent amoureusement ce corps ferme et plein, qui sera à moi, tout à moi, cette nuit…
C’est la première fois que nous prenons une douche toutes les deux, Lise et moi. Mais après ce que nous venons de faire ensemble, nous en avons bien besoin, tant nous avons transpiré, et vu les traces de cyprine qui ont séché sur nos cuisses, et même à d’autres endroits
Nous avons laissé l’eau couler longtemps, sur nos corps nus, et courbatus, après ces ébats intenses. Je ne me lasse pas d’admirer les formes de Lise – MA Lise, puisqu’elle vient d’accepter de m’être entièrement soumise.
Je fais couler du gel douche dans la paume de ma main, et je commence à la laver. Elle se laisse faire, la tête renversée en arrière, les yeux mi-clos, frissonnant lorsque je frotte une de ses zones sensibles. Ses seins durcissent et dardent instantanément, m’incitant à pincer les petites pointes grenues, et ses petits cris ou ses protestations sont davantage un encouragement à les serrer plus forts, plutôt qu’à arrêter.
Mes mains descendent le long de ses reins, jusqu’à ses fesses, qu’elle cambre, provocante, puis se glissent entre ses jambes, remontent sur son mont de Vénus. Je n’en fais pas plus. Je sais maintenant ce qui va suivre, et je veux que nous nous réservions. Nos jeux de la soirée et la nuit seront encore plus intenses que ceux de cet après-midi!
Lise est un peu déçue par ma sagesse, mais elle ne me fait pas de remarque. À son tour, elle me savonne, accompagnant ses premières caresses d’un long baiser, sur la bouche, que je lui rends, langoureusement. Nous sommes bien, tout simplement…
Après nous être rincées, nous nous essuyons mutuellement, en profitant pour laisser batifoler nos mains indiscrètes, provoquant des petits cris et des éclats de rire. Lise fait un geste pour s’habiller, mais je l’arrête aussitôt.
— Reste nue!
— C’est vrai, je dois t’obéir… Bien Maîtresse.
— J’aime quand tu m’appelles comme ça. Viens sur la terrasse.