Abidjan
Quand j’arrivai à Abidjan ce n’était pas pour faire du tourisme mais pour trouver des mecs.
J’étais devenu une véritable folle de la bite, mais plutôt de la grosse, de l’énorme bite.
Les Arabes portant bien montés ne me suffisaient plus, il me fallait plus gros et c’est pourquoi j’étais venu en Côte d’Ivoire car j’avais lu que c’est dans ce pays où les mecs sont le mieux montés au monde.
J’avais un peu d’argent de côté ce qui me permettrait de tenir au moins deux mois, donc deux mois de baise effrénée avant de rentrer en France où j’avais décidé de faire le trottoir pour étancher ma soif de bites.
Je savais pertinemment que ce n’était pas ici que je pouvais gagner de l’argent avec mon cul car les blacks ne payaient pas alors je m’offrais une fringale de bite avant d’aller me vendre à tous les types qui voudraient me sauter.
Après avoir dégotté un petit hôtel je me rendis à la plage, lieu bien connu pour la drague.
A peine arrivé je vis un beau black se baignant nu.
Il avait une superbe queue comme je n’en avais jamais vu, longue et grosse.
Cette queue au repos arrivait au ? de ses cuisses, avec un gland énorme.
Je m’approchai de lui et lui dis: ’Ta queue est magnifique et
excitante’.
– Je ne suis pas homo, ma queue est réservée aux femmes.
– Laisse-moi te sucer, il n’y a personne dans ce coin, ça ne
t’engage à rien, personne ne le saura’.
En lui parlant, je vis que sa queue gonflait, elle devenait monstrueuse, vraiment mes informations étaient vraies.
Je baissai mon maillot et tortillai du cul devant lui tout en lui disant ’Tu sais je la veux vraiment dans ma bouche et dans mon cul
– Dans ton cul, tu n’arrivera même pas à faire entrer le début de
la tête.
– Laisse-moi faire, on verra bien.
– Fais comme tu veux mais je te préviens c’est tant pis pour toi,
si tu m’excites trop il faudra que tu la prennes dans ton cul
blanc, sinon je vais te l’enfoncer de force.
– D’accord.
– Méfies-toi, je ne bande pas encore complètement, quand ma queue
est dressée elle fait 28 centimètres de long et 7 centimètre de
diamètre.
– Tant que ça !
– Eh oui Pédé, ça c’est la bite de Lamine, tu rigoles moins
maintenant.
– C’est vrai mais je veux quand même essayer.
– D’accord mais je t’ai prévenu.
– Oui.
– Alors vas-y pédé, commence à sucer’.
Je commençai à caresser le gigantesque phallus noir qui se mit à grossir et à grandir encore pour atteindre ses dimensions surréalistes.
La bite était 2 fois plus large et 3 fois plus longue qu’une bite de bonne taille, je pense qu’elle faisait plus de 28 centimètres de long mais ce n’est pas ça qui m’effrayais quand même, c’est la grosseur.
A ce moment je me demandai s’il ne valait pas mieux tout arrêter car je n’étais vraiment pas sur de pouvoir m’empaler sur un tel morceau.
En même temps j’avais tellement envie de me faire défoncer par un tel engin que je me dis que je devais tenter le tout pour le tout quitte à me faire déchirer le trou de balle.
J’attrape la queue de Lamine et enfournai son gland dans ma bouche.
Le bout durci était gros comme un champignon, je passai ma langue autour.
Cet attouchement eut pour effet de faire encore gonfler la pine qui était dans ma main, c’était tellement énorme que je n’en faisais pas le tour.
La bite de mon amant avait un bon goût salé, j’aimais ce gland rose et cette peau noire que je faisais passer dessus dessous.
Ce n’était pas la première fois que je suçai des grosses hampes et je m’étais fait une spécialité de pipes profondes.
J’enfonçai progressivement ce fantastique membre dans ma gorge bien au fond tout en ouvrant grand ma bouche pour aller chercher le plus loin possible.
La monstrueuse tête buta contre mes amygdales, j’eus un haut le coeur et ne fus pas loin de vomir.
Je sortis le sexe d’entre mes lèvres et le lubrifiai de salive puis j’avalai à nouveau le phallus raide.
Mon homme était vraiment excité par ce que je lui faisais, il me dit ’Jamais une femme ne m’a fait ça, tu suces divinement bien’.
Je me mis à lui lécher les couilles tout en le branlant, se cambrant pour s’offrir encore plus à ma douce caresse mon mec murmura ’Hummm c’est bon continue salope’.
Je caressai ses couilles bien mouillées de salive et le suçai encore à fond.
Chaque fois que sa bite roide rentrait à fond il me disait ’C’est
trop bon, tu vas me faire jouir je vais pas tenir longtemps
comme ça’.
N’écoutant pas ce que Lamine me disait je continuais ma lente fellation, pompant le gland de mes lèvres crispées.
Au bout de quelques instants je sentis l’immense pénis tressauter sur ma langue, j’enfonçai la verge tuméfiée au plus profond de ma bouche et dans un râle langoureux mon amant éjacula.
Je reçus un flot de sperme crémeux au fond de la gorge que j’avalai avec délice puis je sortis le monumental priape de ma bouche tout en cajolant le gland qui continue à se vider en moi par saccades.
Quand je libérai enfin mon homme, celui-ci me dit ’Tu es vraiment
une salope, tu suces comme une pute.
– je suis content que ça t’ai plu.
– Oui ça m’a plu mais maintenant ce que je veux voir c’est si ton
trou du cul est aussi bon que ta bouche.
– Tu vas voir il est encore meilleur, tous ceux qui m’ont déjà
baisé disent que je baise mieux que la meilleure des putes.
– C’est ce que nous allons voir.
– Bien sur mais étant donné ton calibre, la seule chose que je te
demande c’est de me laisser faire.
– Pas de problème du moment qu’à la fin tu sois bien enculé.
– c’est aussi ce que je veux, j’ai envie de jouir par ta bite.
– Alors vas-y petite pédale, prépare ton petit cul blanc à
recevoir ma grosse bite noire’.
Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite.
Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.
Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.
Je me soulevai légèrement et crachant dans mes doigts je me mis à enduire la biroute de salive.
Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m’enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.
Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.
J’avais compris qu’avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, mon mec était une être frustre et pour lui la seule chose qui comptait c’était de m’enfoncer sa bite dans l’anus et de tirer son coup.
Lamine m’enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m’élargir la pastille.
Je commençai à être en feu et je ne pus m’empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.
Mon amant jugeant que le prémisses avaient assez duré m’écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l’entré de ma grotte et me dit ’Allez salope empale-toi sur mon gros boudin’.
Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s’ouvrir.
Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j’eus l’impression qu’on m’ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.
Mon homme me dit ’Alors sale pute, tu vas te l’enfoncer dans ton
joli cul blanc ou il faut que je le fasse’.
Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.
Quand enfin l’imposant bout durci fut en moi, j’avais l’impression qu’un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.
Mon mec jugeant que ce n’était pas suffisant commença à s’activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.
J’ai le cul complètement défoncé, mais mettant mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n’était pas rentrée à fond.
Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles.
Jamais de ma vie je ne m’étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.
La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m’arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit ’C’est bien petite
pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli
petit trou du cul, tu as mal mais c’est normal, tu vas voir
quand je vais bien t’enculer après ton joli petit trou de
salope blanche va s’ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite
de Lamine.
– Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires
– T’inquiète pas, ton trou va s’ouvrir, je vais le casser’.
Nous restâmes un moment immobile, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place à une douce langueur.
Mon homme me dit ’Il me semble putain que ma queue est un peu
moins serrée, ta rondelle commence un peu à s’ouvrir, vas-y
décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser
comme tu le mérite petite pute’.
Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna.
Il me mit les jambes en l’air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m’arrachant à chaque passage des couinements de douleur.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine pu coulisser en moi sans gène aucune.
Je sentis le désir m’envahir et dis à Lamine ’Défonce-moi, elle
est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta
queue’.
Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c’était trop bon de sentir ce superbe phallus d’ébène me ramoner m’ouvrant un peu plus le fion chaque fois qu’il plongeait jusqu’à la garde
Le plaisir que je sentais monter était si fort que j’avais l’impression de jouir du cul.
En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite.
Jamais je n’avais joui du cul comme cette fois-ci.
Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert.
Je savais que mon anus était une véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là , c’était la première fois.
Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j’avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu’à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu’il me donnait était tel que je voulais qu’il me bourre indéfiniment, j’avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique priape qui me forait les reins, j’avais les fesses en fusion et l’anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m’ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui m’enfessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.
Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m’envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m’offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge ’aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh’ et je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et viens, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.
Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis: ’Donne-moi ta queue, je veux te la sucer’.
Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d’habitude je n’éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.
Je nettoyai l’énorme priape avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l’enfonçai dans ma gorge et l’avalai du plus profond que je pouvais.
Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.
Je suis littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec ’Je
veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t’appartiens, pour
toujours, je suis à toi.
– Mais non salope tu n’es pas à moi, tu es une véritable chienne
qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre
bite noire aussi grosse que la mienne, tu m’oublieras.
– Tu as raison.
– Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul’.
Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.
J’avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres.
En le pompant par à-coups, je lui dis ’ Je t’en prie, viens dans
ma bouche, décharge, vide tes couilles.
– Non petite pute, c’est dans ton trou du cul explosé que je veux
vider mes couilles.
– Oh oui je suis en feu, baises-moi encore fort
– Oui salope je vais te baiser très fort’
Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon oeillet ressorte, puis d’un violent coup de reins il s’enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l’arrière-train avec des ’HAN’ de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j’avais l’anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s’insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m’assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j’avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m’alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu’un ’ahhhhhhhhhhhhhhhh’ continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu’il continue, jamais au cours d’une enculade je n’avais joui autant, je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés, des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu’il faisait chaque fois qu’il m’enfessait montraient le pied qu’il prenait était intense, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j’avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.
S’enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m’inondant le fondement m’électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s’arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l’air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l’univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de sur moi.
Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit ’Tu es vraiment
la reine des putes.
– Merci, c’est vrai ce fut super bon, j’ai pris un pied du
tonnerre.
- ?a je l’ai vu et entendu, ça n’avait pas l’air de te déplaire.
– Bien au contraire, c’est plutôt que j’en redemanderai.
– Mais tu vas en avoir encore.
– J’y compte bien car j’ai très envie.
– T’inquiètes pas, je vais t’en donner de la bite noire mais dis-
moi qui es-tu ?
– Je ne comprends pas.
– Je n’ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit
baiser une pute.
– Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j’adore la
bite.
– Ca je le sais
– C’est pour ça que je suis venu en Cote d’Ivoire car ce que je
veux c’est des grosses bites et il est dit que c’est vous qui
avez les plus grosses bites du monde.
– C’est ce qu’on dit.
– Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en
vacances pour me faire baiser jusqu’à ce que j’ai le cul
complètement éclaté.
– Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà
complètement éclaté.
– je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours
pendant lesquels je vais rester ici.
– Et tu comptes rester combien de temps ?.
– deux mois.
– Ouah !!
– Et oui.
– Et des partouzes ça te branche ?
– Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.
– Il y en a qui sont encore mieux montés que moi
– Super.
– Et après que vas-tu faire ?
– Je vais rentrer en France et j’ai l’intention de faire le
trottoir car la seule chose avec laquelle je peux gagner de
l’argent, c’est avec mon cul, je ne sais rien faire d’autre que
de baiser.
– Tu sais si ça t’intéresse j’ai un cousin à Paris, il s’appelle
Abdou, il pourra te trouver quelque chose.
– pourquoi pas.
– Il connaît pas mal de monde et je crois qu’il a une sorte de
maison d’abatage pour les travailleurs immigrés.
– Tu veux dire que ton cousin tient un bordel.
– Oui un bordel à pédés, tu sais en plus sa clientèle est
essentiellement composée de noirs, donc de mecs bien montés et
eux ils préfère encore enculer des mecs plutôt que baiser
gonzesses.
– Ca me va.
– Ce qu’il faut savoir, c’est que si tu veux devenir millionnaire
avec ton cul ce n’est pas là qu’il faut aller, les mecs payent
mais pas cher car ils n’ont pas beaucoup d’argent.
– Je le sais, moi ce qui m’intéresse, c’est de me faire bien
baiser et de pouvoir me loger en manger, c’est tout.
– Dans ce cas il n’y a pas de problème, normalement les gens de
Abdou prennent leur travail vers 19 heures jusqu’à 2 heures du
matin.
– C’est bien.
– Oui mais je te préviens il ne faut pas chômer, je t’ai dit que
c’était une maison d’abattage, donc tu prends des mecs dans ton
cul ou dans ta bouche et des fois dans ton cul et dans ta
bouche à la chaîne, tu as juste le temps de t’essuyer le cul
entre deux coups.
– C’est tout à fait ce qu’il me faut, plein de bite et des
grosses bites.
– Ca tu peux y compter, d’ailleurs l’autre jour Abdou me disait
que chez lui les pédés n’ont jamais le cul qui se referme car
entre le dernier coup de la nuit et le premier de la journée
suivante le trou de balle n’a pas le temps de retrouver sa
forme.
– Eh bien.
– Ca te tente toujours ?
– Oh oui mais comment ça se passe la première fois ?
– La première fois c’est Abdou qui t’ouvre le cul pour ne pas que
ses clients se plaignent et après c’est parti.
– Super.
– Bon puisque tu es d’accord, je vais passer une coup de fil à
Abdou, il sera content d’avoir quelqu’un de plus, il gagnera
plus d’argent.
– C’est vrai.
– Oui car c’est lui qui prend l’argent, pour une enculade c’est
100 Francs 70 pour lui et 30 pour toi, pour une pipe c’est 50
Francs 40 pour lui 10 pour toi.
– D’après toi combien il y a de clients par jour pour un mec ?
– je ne sais pas exactement mais je crois que c’est aux alentours
de 30 clients, si c’est 30 enculades tu gagnes 900 Francs par
jours, si c’est 30 pipes tu gagnes 300 Francs par jour. Il faut
compter environ 20 jours de travail par mois ce qui fait au
maximum environ 18.000 Francs et au minimum 6.000 Francs et en
moyen 12.000 Francs.
– Mais c’est super.
– C’est pas mal et crois-moi il y plus de mecs qui viennent pour
enculer que pour se faire sucer.
– Tant mieux.
– Bien sur tu devras des fois sucer des bites pas très propres
pour ne pas dire pas propres du tout mais j’ai vu que cela ne
te gênait pas de sucer des bites souillées quand tu m’as sucé
alors que je sortais de ton cul.
– C’est vrai que ça ne me dégoûte pas, ce n’est pas ce que je
préfère mais bon.
– On se fait une autre petit baise et après si tu veux on ira
passer la nuit chez des copains.
– D’accord, j’ai encore très envie de sentir ta superbe bite me
ramoner le fion et d’accord aussi pour ce soir
– OK je vais me baigner et je reviens.
– Je vais en faire autant’.
Quand nous revîmes Lamine était à genoux à côté de moi sa verge à demi flaccide, je pris le sexe dans mes mains et le décalottant je me mis à le branler lentement, l’effet ne fut pas long à se produire, le pénis s’érigea en de lentes saccades et finit par pointer fièrement vers le plafond, je forçai mon homme à se coucher et me mettant sur le ventre en travers de son corps, j’entrepris de lécher le phallus qui avait retrouvé ses fabuleuses dimensions.
Ma langue courrait le long de la tige turgescente, descendant parfois vers les bourses gonflées de sève pour les gober, les poils follets de ses testicules étaient humide du bain que Lamine venait de prendre, mes attouchements buccaux avait fait grossir la hampe, une goutte de sperme translucide perlait au bout de son méat, dans le creux de mes reins commençait à s’insinuer un désir langoureux, j’abandonnai un instant l’objet de ma dévotion, le priape était luisant de salive, mon mec posa sa main sur ma nuque et appuyant légèrement dessus me montra ce qu’il voulait, j’ouvris tout grand la bouche et entamai une lente fellation.
Au bout de quelques instants de ce traitement, mon amant commença à donner quelques coups de reins chaque fois que ma tête remontait le long de sa pine dressée, je continuai à la titiller tout en enroulant ma langue autour de sa colonne de chair et en la mordillant.
Soudain, Lamine stoppa ma pipe et se leva, il prit mes jambes et les posa sur ses épaules, il écarta mes fesses brûlantes et guida sa bite entre elles contre mon antre béante, quand je sentis son gland contre mon sphincter affamé, je lui dis ’Vas y défonce moi’.
il pesa sur ma corolle toujours ouverte par notre étreinte précédente et entra en moi comme dans du beurre me faisant gémir, puis prenant appui sur ses avant-bras, il commença à me marteler en de lents va et vient qui ne tardèrent pas à me faire perdre pied.
Je fermai les yeux et me laissai sombrer dans le désir sous les assauts répétés de mon homme, le sexe coulissait en moi sans aucune gène, chaque poussée m’ouvrait un peu plus le cul, j’avais du mal à respirer tant le plaisir qui affluait en moi était grand, j’avais rejeté la tête en arrière et tendais ma croupe vers ce fabuleux pénis qui me cassait la pastille chaque fois qu’il plongeait en moi jusqu’à la garde.
Mes gémissements s’étaient depuis longtemps mués en profonds râles de bonheur, mon fessier se soulevait au rythme des coups de boutoirs que mon mec m’assenait, le cul complètement éclaté je remuais la tête de gauche à droite et griffai la serviette de plage, chaque fois que la pine roide se fichait au tréfonds de mon fondement je poussais de petits cris de plaisir, je voulais que mon homme entre chaque fois plus profondément en moi, repliant encore plus mes jambes de telle sorte que mes genoux touchent presque ma tête, faisant ressortir plus mon anneau et accentuant l’angle de pénétration, Lamine se coucha sur moi et se mit à me posséder de toute la longueur de son impressionnant pénis, sous ses coups de bite, je ne tardais plus à atteindre le point de non-retour, hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant traversa mon être, je me cambrais sous mon amant et un hurlement de jouissance pulsa de mes lèvres, puis je retombai lourdement sur le sol perdant connaissance.
Quand je repris conscience, Lamine était toujours en train de me besogner avec une régularité de métronome, voyant que j’étais revenu à moi, il se retira de mon cul et me fit mettre à quatre pattes puis me pénétra d’un violent coup de reins et me prenant aux hanches, se remit à me sodomiser me faisant aller et venir sur toute la longueur de son phallus.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon corps enfiévré, mon mec toujours d’un calme olympien m’éclatait de plus en plus la pastille, j’avais l’impression qu’il était en moi depuis une éternité, j’étais secoué de frissons de désir, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait de mon tunnel enflammé, lâchant mes hanches Lamine me prit par les épaules et se mit à me pilonner l’arrière-train à une vitesse folle, son ventre musclé claquait contre mes miches en feu à me faire mal, la bouche grande ouverte je hurlais sans discontinuer sous les puissantes poussées de mon amant, tout mon corps tremblait tant j’étais excité chaque fois que mon homme m’enfilait jusqu’à la garde, j’étais obligé de me cramponner pour ne pas tomber sous les violents assauts que mon doux tourmenteur me faisait subir, je n’étais plus que jouissance, chaque fois que la monstrueuse pine plongeait au tréfonds de mes entrailles, je me sentais partir un peu plus, je suppliais Lamine de décharger car seule sa semence pouvait éteindre l’incendie qui couvait en moi, mais lui sourd à mes cris continuait à me défoncer la raie avec une régularité de métronome, le traitement que mon mec m’affligeait me faisait monter au septième ciel, je tendais ma croupe vers ce pénis qui me cassait si bien le cul pour accentuer la pénétration, des vagues de plaisir prenaient naissance dans mon bas ventre et remontaient vers mon visage pour éclater en mille étoiles, jamais je n’avais autant joui au cours d’une enculade, je voulais qu’il me démolisse complètement le fion, qu’il me déchire pour qu’il puisse entrer entier en moi, sous les virils coups de queue je tombai en avant de telle sorte que je reposai sur les avant-bras le cul en l’air entièrement écartelé, Lamine m’ayant agrippé aux cuisses me ramonait avec des ’HANS’ de bûcheron, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.
Un orgasme fulgurant me transperça, la tête rejetée en arrière je hurlai mon bonheur tout en tendant mon derrière vers la merveilleuse verge plantée au plus profond de mon cul, mes cuisses se dérobèrent sous moi et je m’affalai à plat ventre sur le sol, flottant dans l’univers cotonneux du plaisir physique, je sentis l’immense verge sortir de mon canal et mon amant s’allongeant à mes côtés se mit à me caresser, quand je rouvris les yeux mon anus palpitait toujours, la première chose que je vis fut le sexe toujours dressé de mon homme, ça là que je m’aperçus qu’il n’avait pas encore joui, s’étendant sur le dos Lamine me dit ’viens
t’asseoir sur moi en me présentant ton dos’.
Je m’exécutai, il guida son membre en moi et me prenant sous les cuisses me fit monter et descendre sur sa pine érigée.
Le désir ne fut pas long à reprendre possession de mon être, j’étais comme un fétu de paille entre les bras de mon homme, ma tête ballottait de droite à gauche au rythme de l’enculade que je subissais et je me remis à râler tout en enserrant la taille de mon mec de mes pieds, je posais mes mains sur ses jambes pour imprimer une cadence plus soutenue, le membre coulissait en moi merveilleusement, en dehors de mes râles entrecoupés de petits cris on entendait les bruits de succion que faisaient mon cul chaque fois que la verge turgescente s’enfonçait jusqu’à la garde.
Soudain Lamine me prit par la taille et m’immobilisa contre son pubis, puis il se mit à donner de violents coups de reins qui malgré qu’il me tienne me faisaient sauter chaque fois qu’il m’enfessait totalement, tel un pantin désarticulé, mon corps ballottait sous les furieux assauts que m’affligeait mon amant survolté, mes râles s’étaient mués en cris de jouissance, j’avais le cul en feu, tout mon être ravagé réclamait sa pitance, je voulais son sperme, tout en ondulant des hanches je le suppliais de m’inonder de sa crémeuse liqueur, mais lui sourd à mes cris continuait à me piner de toute la longueur de sa formidable bite, je planais littéralement le plaisir que je recevais était fabuleux, j’avais atteint la plénitude rectale, seule pour moi comptait l’extraordinaire phallus qui me forait les reins, j’avais rejeté la tête en arrière et je hurlai sans discontinuer, je sentais monter en moi les prémices d’un orgasme dévastateur, tout en moi appelait le mâle, je vivais plus que pour et par le priape qui me défonçait un peu plus à chaque fois qu’il m’enfilait.
Je bramais des obscénités pour exciter encore plus celui qui me prenait tant ce que je ressentais était grand, perdant toute notion des réalités je me mis à délirer.
Soudain une vague déferlante me balaya, je battis l’air de mes bras et jambes ouvrant tout grand la bouche pour chercher l’air qui me manquait, la jouissance explosa dans tout mon corps torturé, un strident hurlement pulsa de ma gorge, mon corps se tendis comme un arc et je tombai à terre sombrant dans l’inconscience.
Quand je recouvrais mes esprits, Lamine assis à côté de moi me regardai en fumant, son sexe était toujours en érection, il n’avait toujours pas éjaculé, il me sourit et me dit ’Alors
c’est bon ?
– Oh oui, je ai pris un pied géant mais toi mon pauvre quand
vas-tu jouir ?
– Tout à l’heure, j’ai encore envie de te voir jouir, tu es
magnifique quand on voit le plaisir sur ta gueule de salope.
– Oui mais moi je voudrais que tu éjacule dans mon cul.
– Je vais t’inonder le cul cette fois-ci, ma pute, allez mets-toi le cul en l’air, fais reposer ta figure sur la serviette, les
jambes bien écartées et ton cul bien tendu’.
J’obéis, Lamine se positionna derrière moi en m’encula lentement me faisant gémir, puis posant ses mains sur mes hanches il commença de lents va et viens qui ne tardèrent pas à me faire remonter au septième ciel.
Sous les longs coups de boutoirs de mon homme je me sentis partir encore fois dans la jouissance, le ventre musclé de mon mec claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, je devais me cramponner pour ne pas tomber tant ses assauts étaient violents, je tendais mon cul au maximum vers le membre qui me ramonait le prose pour accentuer la pénétration.
Depuis longtemps ne sortait plus de ma gorge que des hurlements tant ses viriles poussées me faisait du bien, je ne savais plus depuis combien de temps ce magnifique phallus me bourrait l’arrière-train, mais je voulais qu’il continue indéfiniment, les coups de reins de Lamine étaient si violents qu’à chaque fois qu’il se fichait au creux de mes reins, j’avançai sur la serviette, s’il continuait comme ça il allait me déchirer mais c’était si bon que je voulais qu’il continue, j’étais dans un brouillard où seul comptait ce formidable pénis qui me pilonnait le postérieur, perdant complètement pied je me mis à hurler toutes les phases du bonheur par lesquelles je passais.
Soudain se plaquant contre mon fessier Lamine éjacula en râlant, ses épais jets de semence crémeuse m’inondèrent le fondement me déclenchant un spasme foudroyant, un orgasme d’une puissance incroyable pris possession de mon corps enfiévré, je tendis mon cul en fusion encore plus vers la pine qui se déversait au tréfonds de mon tunnel surchauffé, les yeux clos je hurlais de plaisir, puis mes jambes cédèrent et je m’écroulais à plat ventre essayant de retrouver ma respiration.
Quand je rouvris les yeux, Lamine me regardait en souriant assis sur l’autre serviette, son sexe, souillé de notre étreinte, reposait enfin apaisé et gluant sur sa cuisse droite, levant la tête vers mon homme je lui dis ’Qu’est ce que tu m’as mis, jamais
je n’ai ressenti un tel plaisir, j’ai cru devenir fou.
– J’en suis heureux, car si on ne ressent pas de plaisir en
faisant l’amour autant regarder la télé.
– Tu as raison mais là c’était divin, tu m’as déjà fait bien
jouir mais ça n’avait rien à voir avec tout à l’heure.
– Je te l’avais promis.
– On peut dire que tu as été au-delà de toutes mes espérances.
– Tu sais, quand on a un joli petit cul blanc comme le tien entre
les mains, on fait tout pour bien l’enculer.
– Crois-moi, tu as réussi, tu es vraiment un baiseur fantastique.
– Merci ma salope.
– De rien, c’est la vérité.
– Bon maintenant on va se quitter et on se retrouve à côté de la
gare à sept heures
– D’accord
– Alors à tout à l’heure’.
Quand Lamine fut parti, j’allais de nouveau me baigner, ce qui eu pour effet de me libérer de toutes les toxines accumulées et de soulager un peu mon trou de balle douloureux.
Je remis mon maillot et repris le chemin de mon hôtel tout en marchant les jambes écartées car j’avais le croupion en chou-fleur.
Quand le réceptionniste de l’hôtel me vit entrer il sourit et me dit ’Alors monsieur on a trouvé une bonne bite noire pour son
petit cul.
– Mais..
– Allons je sais bien que vous n’êtes pas un touriste, vous êtes
un pédé qui cherche des bites pour se faire bourrer son petit
cul.
– Et alors.
– Rien si un jour vous ne trouvez pas, dites-le moi, je vous
enculerai’
Avant que je ne réponde, il sortit un braquemart de son pantalon, cette pine était aussi grosse et longue que celle de Lamine, il me dit ’Vous pouvez juger.
– Pour le moment j’ai trouvé mais je vous promets qu’avant de
repartir je goûterai à elle.
– Merci monsieur, bonne soirée’.
A sept heures j’étais devant la gare quand je vis Lamine arriver, il me dit ’Ca va ?
– Oui
– Toujours d’accord pour une petite partouze.
– Oui.
– bien alors allons-y’.
Nous arrivâmes devant la porte d’un immeuble vieillot et montâmes au quatrième étage à pied puis Lamine sonna à la porte où était marquée Samba Coulibaly.
Un grand noir très athlétique ouvrit la porte, il sourit à Lamine et dit ’Vous êtes juste à l’heure, entrez
– Non je suis juste venu pour t’apporter ce pédé mon frère, moi
je m’en vais, amusez-vous bien’ dit Lamine.
L’appartement était petit et pas très propre, Samba se tourna vers moi et demanda ’Veux-tu un verre ?
– Je veux bien merci.
– Je n’ai que du rouge, ça ira ?
– Oui, un demi verre.
– C’est tout ?
– Oui avant l’amour, je n’aime pas trop boire.
– AH AH AH AH !!, l’amour, la baise tu veux dire, eh bien moi
je bois avant, pendant et après.
– Tu fais ce que tu veux.
– Encore heureux’.
Je commençai à me demander ce que j’étais venu faire, mais c’était plus fort que moi, j’avais très envie de ce type, après avoir bu plusieurs verres de vin Samba me dit ’Veux-tu un joint ?
– Non merci.
– Tant pis pour toi, moi je vais en fumer un, parce que après je
baise comme un taureau.
– Si ça ne te gène pas, je vais fumer une cigarette.
– Vas-y fume ma soeur, tout à l’heure c’est pas une cigarette que
tu fumeras, ce sera un bon cigare AH AH AH AH AH’.
Nous fumâmes en silence, l’odeur du kif emplissait la pièce quand Samba eut fini, il rota, but à même la bouteille puis me dit ’Allons dans la chambre’.
Nous entrâmes dans la pièce, le lit était défait, une odeur de pied flottait, je vis que des chaussettes et des slips sales jonchaient le sol, s’approchant de moi Samba ouvrit ma braguette et fis descendre mon pantalon et ma culotte, je voulus continuer à me déshabiller mais d’un geste il m’arrêta et me dit ’C’est pas la
peine, je me fous de ton dos et de ta poitrine, les deux seules
choses qui m’intéressent ce sont ton cul et ta bouche, mets-toi
plutôt sur le pieu à quatre pattes’.
J’obéis, il ôta son boubou, son sexe était très long et très gros, depuis que je faisais l’amour avec des hommes jamais je n’avais un phallus aussi énorme, et voyant comment il agissait, j’eus peur car je savais qu’avec lui il n’y aurait aucune préparation.
Alors que j’attendais qu’il se positionne derrière moi et me sodomise violemment, il vint devant moi et me mit son priape contre les lèvres, j’ouvris la bouche et essayais de l’enfourner mais le pénis était tellement gros que je ne pouvais pas, son gland était aussi volumineux qu’un poing, avec lui j’avais la bouche entièrement remplie, je commençais à sucer son bout durci avec lenteur, ce qui me paru plaire à mon amant, j’avais un peu mal aux mâchoires car je devais les garder grandes ouvertes, pendant plusieurs minutes je m’appliquais à lui astiquer le gland quand soudain il se retira et me dit ’je reviens tout de suite, reste comme ça’.
Je me sentis frustré qu’il m’abandonne pour pensai-je aller boire, au bout de quelques instants il revint et me remit sa pine dans la bouche, je recommençai ma fellation quand je pris conscience d’une autre présence dans la pièce, avant que je puisse esquisser le moindre mouvement, deux mains solides empoignèrent mes hanches et une bite énorme se glissa dans la raie de mon cul.
Voyant que j’essayai de me soustraire à ce viol, Samba me bloqua la tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres, pendant ce temps derrière moi, je sentais la pine érigée peser sur ma corolle, le membre se retira puis se repositionna et le mec poussa violemment, malgré ce que j’avais fait avec Lamine cet après-midi, j’eus l’impression que mon corps se coupait en deux quand le monstrueux vit pénétra en moi jusqu’à la garde, et bien que la bouche emplie par le zob de Samba un ’aaaaaaiiiiiiieeeeeeee !!!!!’
pulsa de ma gorge, l’homme se mit à me limer à une vitesse folle et à ce moment là Samba éjacula en râlant, il m’envoya une formidable giclée de foutre sur les amygdales que j’avalai avec délice, j’avais les larmes aux yeux tant celui qui me pilonnait le fondement me faisait mal, j’entendis la voix de Samba ’Donc tu voulais faire l’amour AH AH AH, eh bien tu vas le faire, crois-moi
tu vas en avoir plein le cul, j’ai appelé mes copains, ils sont
quinze et ils vont tous te passer dessus, à la fin tu auras le
cul tellement éclaté que tu ne pourras plus marcher, ah tu veux
de la bite alors on va t’en donner petite pédale, tu vas sucer
Diop et fais-le bien, tu as intérêt’.
Une verge immense se présenta devant moi, j’ouvris la bouche et me mis à la sucer, à cet instant, s’enfonçant au plus profond de mon rectum, celui qui me possédait déchargea en râlant et se retira, aussitôt une autre pine roide investit mon cul et commença à me besogner vigoureusement me faisant crier de douleur chaque fois qu’elle plongeait au plus profond de mon être, plaquant mon visage contre son pubis Diop explosa m’envoyant un flot de sperme au fond de la gorge, il se retira et un autre pénis gorgé de sang le remplaça, pendant ce temps celui qui s’activait en moi juta et me décula, un corps imposant se colla à mes fesses et me pénétra, cette pine était si grosse qu’une brûlure intense embrasa mon anus, je voulus me dérober à ce supplice mais mes deux bourreaux me maintenaient très solidement, j’étais totalement à leur merci, je subissais ce viol collectif tel un pantin désarticulé.
Les queues se succédèrent toute la nuit dans mon cul et ma bouche, j’avais les lèvres enflées à force de sucer et mon oeillet entièrement à vif me brûlait, à chaque fois qu’une nouvelle bite m’enculait j’avais l’impression que s’enfonçait entre mes reins un fer porté au rouge, la semence dégoulinait entre mes cuisses, mes fesses bouillantes me faisaient souffrir tant les ventres les avaient claquées, dans la chambre flottait une odeur de merde mélangée au sperme, depuis longtemps j’étais sans réaction face aux douloureux assauts répétés de mes tourmenteurs hurlant mon plaisir à pleine gorge, ceux qui me bourraient étaient le faisait très sauvagement mais j’avais largement dépassé le stade où la douleur et le plaisir se rejoignent et je bramais mon bonheur mêlés de cris de souffrance.
En dehors de mes cris seuls les bruits de succion que faisait mon canal lubrifié chaque fois qu’une hampe roide le défonçait transperçaient le silence.
La pièce était plongée dans l’obscurité totale, les hommes étaient tous autour de moi, chacun attendant son tour pour me remplir la bouche