Vous vous souvenez de moi je vous ai raconté mes aventures ’Les trois femmes de mon adolescence’.Aujourd’hui j’ai pratiquement 26ans une bonne situation de banquier, mais je vis toujours chez maman, il ya également Virginie et sa petite Carole qui demeurent dans cette grande maison. Ce matin samedi m’étant levé sur les 6heures,je suis dans la cuisine et je prépare mon petit déjeuner et comme tout bon élément celui de toute la petite famille. La première à apparaître est Virginie toujours en nuisette et nue dessous, la vue de ce corps me met en émoi et me fait bander, voilà une semaine que je n’ai pas eu de femmes étant en séminaire à Lyon et que des hommes pour toute compagnie, s’approchant de moi Virginie déposa un baiser sur ma joue pour me saluer et en même temps flatta ma queue de sa main et dit.
— ’Bonjour toi tu m’a l’air en pleine forme ’et elle appuya un peu plus sa caresse, et se tourna et alla s’asseoir à table.
— ’Tu te lèves de bonne heure pour un samedi, d’habitude tu es toujours la dernière’
— ’C’est que je dois allez voir mon gynéco et le RdV est à 8 h 30 donc petit déj toilette et j’y vais ’et tout en écoutant Virginie j’avais entrepris de me masser la colonne qui avait prise de biens belles proportions.
— ’Allons Jérôme tu te fais du mal je n’ai pas le temps et la petite risque de descendre et de voir ce spectacle’
— ’Tu pourrais au moins me satisfaire rapidement ’Non vraiment pas le temps sinon je serai en retard désolée ’et je continuais le massage de plus belle mon caleçon tendu au maximum laissant deviner la tempête qui se trouvait à l’intérieur et ce fut à cet instant que la petite Carole arriva et ne manqua pas de remarquer mon ennui. Après m’avoir dit bonjour elle prit place auprès de Virginie et moi le dos tourné je l’entendis demander à sa mère.
— ’C’est quoi cette bosse dans le caleçon de Tonton’’Rien ma chérie, Tonton est fatigué il va aller se reposer et tout ira mieux ensuite’.De mon côté je m’éclipsais de la cuisine pour regagner les toilettes afin de me soulager lorsque passant devant la chambre de maman la porte s’ouvrit je m’arretais pour la saluer la prenant dans mes bras je la repoussais à l’intérieur et mis le verrou. Je l’entraînais vers le lit sur lequel je l’allongeais tout en lui prenant les lèvres et la caressant
— ’Non Jérôme c’est terminé nous n’allons pas recommencer les bêtises que nous faisions auparavant, nous faisions des folies qui nous ont entraînées à être ce que nous sommes aujourd’hui, nous vivons ensembles car nous payons nos sotises’.Tout en continuant de la caresser je tentais de glisser ma main vers sa chatte, là elle me gifla et me demanda de sortir, ce que je fis. Je pris une douche et une fois correctement vêtu je me préparais un sac de voyage et descendais l’escalier pour rejoindre le garage je fus rejoins dans le vestibule par maman qui me demanda où j’allais avec mon sac, sans lui répondre je regagnais le garage, pris ma voiture et quittais la demeure. Vers 11 h 00 ma secrétaire m’informa que j’avais un appel de mon domicile.
— ’Dîtes que je suis absent,que je suis parti en voyage d’affaires à l’étranger, enfin dites ce que vous voulez, mais surtout que vous ne pouvez pas me joindre’
— ’Bien monsieur’
Sur ce je pris mon portable et me réservais une chambre dans un hôtel du centre.
La journée terminée n’ayant aucunement besoin de mon véhicule je le laissais au garage de la banque et je regagnais mon hotel à pieds cela me fit le plus grand bien de marcher et me reposa l’esprit. Arrivé à mon hôtel une surprise de taille m’y attendait une jeune femme blonde se tenait à la réception et avant mème mettre présenté me dit.
— ’Il me semble que nous nous connaissons,n’ètes vous pas Jérôme P…. ?’
— ’Oui Colette s’est bien moi, et toi que fais tu ici ?’
— ’Je suis la gérante de l’établissement un petit héritage que m’a laissé ma marraine lorsqu’elle est décédée il y a maintenant trois ans, et toi que fais-tu ici à l’hôtel, rien de grave avec ta famille’.
— ’Non mais j’avais envie de décompresser et je me suis éloigné de la haut pour quelques jours’.
— ’Bien répondit-elle ce soir tu es mon invité voici les clefs de ta chambre le dîner est à 20h30,je viendrais te chercher là je suis obligée de te quitter car je dois recevoir mon comptable’
— ’Merci à tout à l’heure et je regagnais ma chambre, me douchais et m’allongeais nu sur le lit et perdis toute notion de temps et m’endormis rapidement.’Le réveil fut surprenant, j’étais couvert d’un drap de bain et ma blonde cousine assise sur le bord du lit me regardait dormir.
— ’Sais tu que tu es toujours aussi mignon à regarder ? toujours pas de petite amie?’
— ’Non pas que je sache et toi combien de courtisan as tu fait pleurer car aussi jolie que tu es ils ne doivent pas te résister ?’
— ’Oh si tu savais,mème un prince du pétrole m’a proposé de l’épouser,bien habille toi nous y allons’Rapidement je m’empressais de me lever et de m’habiller ,une fois prêt je lui demandais
—’Où allons nous Colette ?’
—’Pas trop loin nous n’avons pas besoin de voiture nous allons chez moi,je réside dans l’hotel,le dernier étage m’est réservé et un excellent souper nous attends.Effectivement l’appartement est d’une rare beauté mais contraste avec lui mème ici tout est moderne pas besoin d’interrupteur des detecteurs de présence les remplacent ce qui est bien pratique,cuisine dernier cri avec frigo américain,plaque de cuisson sensitive.
—’Tu ne manques de rien et avec tout cela tu n’as pas trouvé de quoi meubler ta solitude ’
—’Oh tu sais cela n’a rien à voir,tout ce qui es là me sufit et je n’ai nul besoin d’avoir quelqu’un à mettre dans mon lit.
—’Passons à table veux tu ?’Le repas était une merveille et le vin aussi car au dessert Colette commencer de bafouiller et elle m’invita à passer au salon pour le café.Une fois le café servi elle vint s’assoir à ma droite et me demanda des nouvelles de ma famille qu’elle aussi n’avait pas revu depuis ses dernières vacances chez nous hormis notre grand mère qui était venue lui rendre visite.
—’Jérôme,veux-tu un alcool ?’
—’Non je te remercie,j’ai suffisament bu pour ce soir ’
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