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Un inconnue découvre un paria dans sa famille – Chapitre 10




En quelques minutes, nous voyons les enfants grandirent, devenir de beaux jeunes gens de vingt-cinq ans. Ma sur devient plus belle encore entre sa fille et son fils. Ils ont pour eux, le savoir de leur mère, le mien et celui de Sidonie. Et cela continue avec Yvana qui se joint à ma sur pour l’âge. Sidonie désire devenir plus jeune encore, 18 ans. L’âge qu’elle avait quand elle vint me trouver la première fois. Devant les enfants, pardon, les grands enfants d’Isabelle. La belle Manon révise son jugement. Près d’Exora, elle la supplie pour avoir le même âge que Sidonie, sa cousine. Quant à Chris, il ne veut pas changer, vingt-cinq ans lui apparaissent comme un âge merveilleux entouré par ces belles femmes.

« Chris, tu as devant toi, les plus belles femmes de l’univers à ma connaissance. Sauf ta sur, toutes connaissent mes gouts. Toutes les aiment, les apprécient et les attendent. J’aimerais que tu dépucelle ta sur devant nous. Mais y tout ton cur, toute ta tendresse. »

« Moi, avec Manon ? Comme toi avec maman ? »

« Oui, comme avec ta mère et ta cousine et Yvana ou Exora. Je veux que l’aime, en fasse une femme. »

« Mon oncle, est-ce à dire que nous pouvons nous aimer entre frère et sur ? »

« Oui Manon, ici, avec Exora, et elle vous le confirmera, tout est permis. Du reste, c’est moi qui dépucellerais ton joli petit cul une fois que ton frère sera en toi. »

Exora s’était absentée un moment. Elle arrive juste au moment où Chris commence de longue et belle préliminaire sur sa sur Manon. Sur mon sexe, une tante et sa nièce s’en prennent à ma queue. Yvana s’enfonce dans mon anus avec sa bouche et sa délicieuse longue langue. Exora s’en va embrasser Manon, notre nouvelle vie commence enfin, oubliant même notre passé dans un pur moment de bonheur.

Dans cette cabine spacieuse. Les gémissements s’envolent, Manon attrape ma main. Elle vient de devenir une femme. Couchée sur son frère, elle m’écarte ses fesses. Ma queue est guidée par sa mère, je pénètre cet anus si étroit encore. je claque ce fessier si ferme. Manon se retourne.

« Osez plus fort, mon père, après tout, je ne suis qu’une pécheresse entre vos mains à tous les deux. »

Tous les deux, elle considère son frère comme mon égal, son Maître, son curé défroqué et pervers. Quand elle hurle son bonheur, c’est comme le jour où je fis d’Isabelle une femme, de sa cousine Sidonie une femme. Exora fit venir des hommes, trois. Ils étaient tous membrés comme des taureaux. Chacun prit une de nos soumises. Oui, je dis nos, Chris devient mon apprenti.

Après trois mois de voyage, le vaisseau fait une escale d’un mois terrestre. Je n’arrive pas encore à me faire à leur échelle du temps. Là, nous découvrons une partie de ce qui nous attendez sur la planète d’Exora. Des hommes et des femmes à moitiés nus s’affaire dans le vaisseau, ils y apportent nourriture et boisson. Nous n’aurons plus rien à manger qui puisse nous rappeler la terre et c’est tant mieux. Sur un char romain, une femme fait claquer son fouet au-dessus de quatre mâles aussi bien monté que les trois de la veille. Exora se tient près de moi, sa main sur ma queue.

« T’en veux une comme eux ? »

« Si c’est pour te faire hurler de plaisir, oui, et comment ! »

« Sens comme elle vibre. Oui, elle me veut. Et puis, tes couilles, ta bite, jamais ne seront épuisés. Baise ta sale gamine, mon père. »

Je la baisais devant cette femme très fière sur son char. Elle en descendit même pour venir nous regarder baiser comme des porcs. Prise d’une envie, elle se glissa entre ces quatre étalons pour se faire baiser de partout. De la voir baisée de la sorte, décupla mes forces, mes désirs les plus refoulés en moi. Cul, sexe, bouche, je ne cessais de décharger mes couilles dans le corps d’Exora, ma merveilleuse sale gamine. Je viens de prendre conscience que ce monde va me plaire, je me sens puissant et ce n’est pas Chris qui va me démentir. La vue de cette dominatrice baisée de toute part nous fait jouir encore plus fort. Au moment de reprendre notre périple à travers l’espace, la femme sort d’entre ses quatre mâles et nous adresse un grand salut, son corps recouvert de sperme. Dans le vaisseau, Chris n’a pas perdu de temps. Si Exora ne lui a pas encore donné la force de baiser ces quatre femmes, il en est déjà à trois et fatigue déjà. Exora, sur ma demande, ne lui donne pas encore la puissance que j’ai déjà en moi. Par-contre, dans le secret de la confession, j’ordonne à ma sale gamine de faire de Manon, Sidonie et Yvana des gourmandes de nos jeux. Je les veux davantage soumise, sans le moindre tabou, sans aucune limite.

« Ça te plairait que je devienne comme elles ? »

« Tu me connais assez pour savoir que oui. »

« Suis-moi alors, je vais te faire quelque chose, mais uniquement à toi. Il n’y a qu’une autre personne sur ma planète qui jouisse de ce même pouvoir que je vais te conférer. Il ne fonctionne que sur nous, tes esclaves. Si tu en veux plus, celle qui viendra de son propre chef, baisera tes pieds, sera immédiatement sous ton emprise. Même moi, je ne pourrais plus sortir de ta domination. Voilà, on y est. Prend place, tu ne vas rien sentir qu’une violente envie de pisser. C’est moi qui te viendrais boire ta pisse, mon curé. Oh, sur ma planète, tu seras un prêtre, celui de la libation, du sexe, des vices, de la perversion sous toutes ses formes. Tu pourras tout exiger de nous quatre, Chris pas sans ton autorisation. Entre nous, mon père, il n’est pas encore prêt pour avoir un tel pouvoir. »

« Il le sera tôt ou tard. Mais avant, il devra baiser mes pieds pour l’avoir et encore sous ma domination totale. »

« OUI, comme ça OUI ! »

L’envie de pisser sans fin arriva vite une fois l’appareil branché. Comme elle me l’avait promis, sa bouche me but entièrement. Cela ne dura que quelques minutes, je ne ressentais rien de spéciale. Le comportement d’Exora changea, lui et du tout au tout. Pour revenir à notre vaste cabine, je m’assis sur son dos, un mors coincé entre ses dents.

Notre passage à travers les coursives fut remarqué, tous savaient déjà ce qu’Exora venait de me faire. Une femme détourna même son regard en se masturbant avec vigueur. Je caressais ses jolies fesses à notre passage. Dans notre vaste cabine, tout s’arrêta sur le champ. Je montrais mes pieds devant chacun, Chris comprit. Il les baisa comme les autres. Chris vint même m’apporter une longue et très fine cravache, du travail d’orfèvre à voir le travail fait pour la fabriquer. Il fut le premier à la gouter, sur sa queue tendue, il hurla sans cesser de me fixer.

Sous mon emprise, je lui dictais ce que j’attendais de lui avant qu’il ne puisse entièrement jouir de mes soumises. Sa première mission fut de laver tous les culs, même le mien, surtout le mien. Sidonie s’approche, baise ma main.

« Mon père, qu’il est bon de redevenir qu’une pute à abuser. »

« Toi et Manon, suivez-moi ! »

Dans une chambre, je me fis baiser par ces merveilles de la nature. Ce fut le plus beau moment de ce voyage, du moins jusque-là. Je ne pus me résoudre à en faire pire que ce qu’elles n’étaient déjà. Par contre, avec Exora, j’en fis ma garde rapprochée. Plus tard, je demandais à Yvana de nous dessiner des vêtements en fonction de la place de chacun. Si Chris devenait mon bras droit, il ne pouvait plus dominer mes soumises sans ma permission. Il faut dire que la profonde marque sur le dos d’Yvana m’a avait contraint, il ne parvenait pas encore à se maitriser complètement.

Avec l’aide du personnel de bord, nos tuniques furent vite cousues. Ainsi, je portais la soutane aux bords rouge cardinal. Sur ma tête, Sidonie vient me poser un calot aussi rouge que les bordures de mon habit. Yvana y fait quelques menues retouches avant de donner un grand coup de ciseau à la hauteur de mon sexe et de mon cul. Je lui propose de continuer cette découpe jusqu’au bas de ma soutane, derrière et devant. Cela est fait en quelques secondes et elle me la retire pour achever son travail.

Pour Chris, une soutane blanche de servant de messe, mais sans les découpes. Pour nos femmes, une toge toute simple, fendue devant et derrière ainsi que sur les côtés des hanches à leurs pieds. Aucune n’a plus le besoin de porter de sous-vêtement, ils sont devenus inutile du fait qu’elles vont garder leur aspect physique éternellement. Pour découvrir leur poitrine, il me suffit juste de soulever le fin voile qui les cache à peine de le vue de tous. J’avoue que c’est un régal de les regarder se pavaner devant mes yeux.

Nous voilà en pleine phase d’atterrissage. Sanglés sur nos sièges, on ne voit rien de cette planète. Tout se fait automatiquement et nous nous posons tout en douceur.

Après, pour une suite, il nous faudra revenir sur terre et ce n’est pas au programme pour le moment. 

Bye bye la terre.

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