Histoires de sexe Histoires de sexe en français Histoires de sexe lesbiennes

Un anniversaire très spécial – Chapitre 1




Attention le texte suivant relate des pratiques extrêmes, certains lecteurs pourraient en être choqués.

Je me prénomme Karen et je suis aujourdhui âgée de 25 ans.

Entre ma puberté et mes 22 ans, ma vie sentimentale a été particulièrement agitée et très pénible à vivre pour moi. En effet, mes premières pulsions sexuelles mont tiraillées très jeune. Jai tout dabord découvert mon corps seule, en minstruisant sur Internet. Mes premières stimulations mont immédiatement provoqué un plaisir un intense, mais aussi une addiction très virulente. Je me touchais très souvent, plusieurs fois par jour. Jessayais bien-sûr de me cacher au mieux, mais je ny parvenais pas toujours très bien et quelques personnes de mon entourage sapercevaient de mon étrange comportement. Toutefois, soit quils naient pas compris ou naient pas voulu comprendre, jai toujours réussit, tant bien que mal, à cacher lorigine du désordre qui pouvait régner dans ma tenue ou dans mon attitude.

Comme toute addiction, mes pulsions sexuelles ont été crescendo et ne se sont pas contentées de mes séances de masturbation, aussi fréquentes et intenses soient-elles. Les sites pornographiques dInternet aidant, ma libido a rapidement dérivée vers des fantasmes de vrais rapports sexuels. Cest ainsi que jai eu mon premier amant très jeune. Ce dernier, lui aussi très jeune et trop maladroit pour me procurer un réel plaisir, a très vite fait place à un garçon plus expérimenté et à même de me satisfaire pour un temps. En effet, poursuivant mes investigations sur la jungle des sites pour adultes, mon esprit pervers ma rapidement conduite vers des pratiques plus déviantes. Jai connu lamour avec une autre fille bien avant ma majorité. Expérience sensuelle très agréable, qui ma laisser croire, pas longtemps, que jétais simplement lesbienne. Mais mon vice était déjà beaucoup plus grand. Je me suis alors peu à peu enfoncée dans des pratiques totalement débridées, restant souvent spectatrice médusée de mon esprit vicieux et de mon corps si réactif à toutes sortes de sollicitations.

Si je dis avoir souffert de ma lubricité cest parce que mon comportement sexuel hors normes ma conduit à bien des déconvenues côté cur. En effet, ne pouvant résister aux appels de ma libido je me suis donnée à tant de partenaires que jai perdu toutes les personnes qui ont vraiment compté, dont jétais tombée amoureuse.

Une partie de mon problème repose sans doute sur mon physique. Car au-delà dun appétit sexuel hors du commun, la nature ma doté dun physique qui plaît. Me cheveux sont blonds, très clairs, mes yeux sont bleus, très clairs également ; même si je suis née en France, les gens pensent généralement que je suis originaire de Scandinavie. Je mesure 1,60 m et pèse environ 50 kg. Je suis mince, une poitrine et des fesses menues mais bien fermes. Ce qui semble séduire le plus souvent mes rencontres, cest ma frimousse. Même à 25 ans, je constate moi-même dans la glace, que mon visage reste enfantin, avec quelque tâches de rousseur qui marquent mes joues aux pommettes hautes et rebondies.

Après ces déboires, heureusement le destin ma permis de rencontrer lhomme de ma vie il y a 3 ans. Tout à commencé comme trop souvent : une rencontre, un flirt, Mais ce beau garçon me connaissait déjà, à mon insu, de part ma réputation de fille très « chaude ». Jappris plus tard que certains de ses amis avaient été mes partenaires et avaient longuement commenté mes actes et mon esprit vicieux, sans doute avec quelques images à lappui. Toutefois, je crois sincèrement que cet homme ne sest pas arrêté là. Il a su lire ma détresse et conquérir mon cur tout en moffrant la possibilité de répondre à mes pulsions.

Dès notre première rencontre, avant même que nous nous soyons embrassés, il me dit très franchement :

-« Écoutes, on ma parlé de toi et je sais que tu es soumise à des envies sexuelles très grandes. Mais, saches que ce nest as un problème pour moi. Je sens que je pourrai taimer et, si tu le veux bien, je pourrai être ton compagnon dans la vie de tous les jours et pas seulement ton partenaire sexuel. Tu pourrais bien-sûr assouvir tes envies et tes fantasmes ».

Ses propos, qui peuvent paraître des plus curieux et fort peu romantiques aux personnes concevant lamour de façon traditionnelle, ont eu sur moi un effet incroyable. Le beau garçon que javais en face de moi nétait pas seulement une aventure sexuelle de plus, mais la véritable chance de ma vie, mon Amour

Et 3 ans plus tard je suis toujours avec lui, mariée depuis 6 mois, heureuse et enfin épanouie.

Il faut dire, que Julien puisque cest son prénom mapporte un équilibre improbable : aimée, cajolée, chérie, je construis ma vie avec et autour de lui en faisant mille projets. Par ailleurs, je dispose dune liberté sexuelle quasi sans limites. Julien souhaite bien-sûr que je passe du temps avec lui, mais en dehors de cela, et souvent même pendant ce temps là, je peux méclater et donner libre cours à mes pires vices. Julien parvient même à me faire explorer de nouveaux horizons en partageant mes perversions. Il a en outre développé un côté « dominateur sexuel » vis-à-vis de moi, que je ne me connaissais guère, mais qui me comble.

Vous conter toutes nos aventures lubriques serait bien trop long, aussi je me contente ici de vous transcrire le récit de mon incroyable journée danniversaire, pour mes 25 ans. Cette dernière résume assez bien létendue de notre « folie ».

Lévènement sest produit il y a un peu plus dun mois. Sans vouloir me gâcher la surprise Julien mavait laissé entendre que mon principal cadeau serait dordre sexuel. Je nen attendais pas moins de sa part !

Pour cette journée qui doit être très particulière, donnée dans un endroit inconnu de ma part, mon mari mimpose une tenue très « business woman » : tailleur court clair et décolleté, bas, porte-jarretelles blancs, talons aiguilles, soutien-gorge pigeonnant. Il ma également demandé de porter des lunettes, très classes et très sexy à la fois. Libre sur ce point, je choisis un maquillage très léger.

Cependant, ces accessoires vestimentaires ne représentent pas grand-chose à côté de la « face cachée » de ma préparation et qui inclut des facettes beaucoup plus trash. En effet, comme nous lavons déjà fait quelques fois, Julien ma demandé de me préparer en négligeant mon hygiène intime au cours des derniers jours ! Obéissante, comme jaime lêtre, jai pris bien soin de ne pas laver mon entre-jambes depuis quatre jours. Pas de gant de toilette bien-sûr, mais pas non plus de papier hygiénique ! Tout cela en ne changeant pas de culotte ! Heureusement, jai prévu quelques jours de congés, avant et après le jour J. Ma culotte est un modèle plutôt large comparativement aux strings que jai lhabitude de porter, elle couvre une bonne moitié de mes fesses. Blanche à lorigine, elle a très vite tourné au jaune brun !

Malgré des températures frisquettes, lodeur dégagée de mon intimité est rapidement devenue prégnante. Je me plais à lhumer de toutes mes narines à chaque occasion. Je ne peux mempêcher de me toucher et de me branler chaque fois que je vais aux toilettes ou que je me déshabille. La cyprine vient sajouter aux autres fluides séchés et souille davantage le pauvre tissu.

Autre élément important du préparatif, je dois impérativement me retenir daller à la selle durant les deux jours qui précèdent mon anniversaire. Je dois également me priver duriner pendant la demi-journée avant le grand soir ! Ces préparatifs mexcitent au plus haut point ! Je presse Julien, mais il ne divulgue rien de ses intentions

Enfin, après des jours et des semaines dattente, le moment crucial arrive. Je suis dans un état dexcitation, nerveuse et sexuelle, très élevé.

Julien a annoncé un départ pour 19h. Je suis prête depuis près dune heure, quant il donne enfin le signal du départ. Jai un peu peur que la saleté de ma culotte ne tâche ma jupe, je nose pas beaucoup bouger. Jai beau me frotter à lui et lallumer de mon mieux, il garde son calme et reste de marbre. Nous roulons plus dune demi-heure, avant de nous garer à côté dune villa. Je sens mon sexe shumidifier un peu malgré moi. Toutefois, mon excitation est troublée par de petits picotements qui chatouillent mon ventre, signe dun certain stress devant linconnu.

A ma surprise nous ne nous dirigeons pas dans la maison, mais dans le garage. Julien me précède et nous entrons dans le local. A lintérieur, lameublement na rien dun garage, il ressemble plutôt à un salon défraîchi, mais cosy.

Je crois un instant que nous sommes seuls, mais une belle jeune femme sort de derrière un paravent. Cest une belle brune aux cheveux longs et frisés, plus grande que moi, qui est vêtue « casual chic », dune jupe en lin clair, dun chemisier blanc et de chaussures à talons hauts assorties à sa jupe.

Julien me pousse vivement vers elle et sadressant à la fille :

-« Occupes-toi de cette cochonne ! Elle est aussi dégueulasse que toi ».

Ca y est ! Mon cadeau danniversaire commence vraiment. Mon excitation monte encore dun cran.

Julien sinstalle sur lun des nombreux canapés de la pièce.

De fait, la belle brune sapproche de moi et me toise. Elle doit bien mesurer 15 cm de plus que moi. Elle ne prononce pas un mot, mais je sens son regard de braise irradiant ses yeux noisette. Je suis à la fois excitée à lidée davoir cette belle fille pour mon cadeau, mais elle est en même temps un peu intimidante.

Toujours sans mot dire elle menvoie un gros crachat en pleine figure. Puis enchaîne :

-« Je suis Virginie et ton mari ma dit de moccuper de toi comme jai lhabitude de faire avec lui. »

Je suis un peu surprise, à la fois par le crachat mais aussi par le fait quelle semble avoir des relations avec Julien. Peu importe, je suis là pour méclater et la soirée débute bien, je ne me pose pas plus de question.

Virginie, poursuit. Elle approche son visage à quelques centimètres du mien et je sens son haleine très chargée. La cochonne ne sest pas lavée les dents depuis quelques temps Voulant paraître bien cochonne, comme ma nouvelle amie semble lêtre, je lèche quelques gouttes de sa bave qui dégoulinent sur mon visage. Visiblement excitée, la belle attrape mes cheveux et mattire à elle pour un baiser de feu.

Nous bouches saspirent, nos dents sentrechoquent, nos langues se frottent furieusement, lubrifiées par nos salives lourdes qui débordent de nos lèvres pour venir souiller nos mentons. Sa langue est percée dun clou, jadore ! Ce baiser fougueux dure plusieurs minutes, pendant lesquelles nous nous palpons mutuellement à travers nos vêtements. Les mains de la jeune femme parcourent mon torse, sattardent sur ma poitrine, descendent sur mes fesses Jexplore son corps, son ventre, ses seins, qui me semblent beaucoup plus imposants que les miens, Mon excitation continue de grimper. Mes tétons durcissent, ma chatte coule.

Elle rompt ce premier baiser, et me gifle vivement, déplaçant mes lunettes, avec un sourire mauvais sur ses lèvres gluantes.

-« Quelle cochonne ! Tu ne mavais pas menti ; tu dois tamuser mon salaud. », lance-t-elle à Julien, toujours tranquillement installé sur le canapé.

Toujours interloquée par le comportement de cette jeune salope, mais également très excitée, je me sens un peu perdue. Jai pour habitude de mener mes ébats avec des filles et celle-ci me déconcerte. Cest encore elle qui prend linitiative en me poussant vivement sur un canapé et en fourrant sa tête dans mon entre-jambes, sous ma jupe. Elle presse entre mes cuisses et atteint rapidement ma culotte sale. Je soulève ma jupe pour quelle puisse respirer.

-« Hummm Cest bon par là ! Tes une grosse dégueulasse. », lance Virginie visiblement très excitée par létat de saleté avancé de mon sous-vêtement.

Virginie nest nullement dégouttée par létat déplorable de mon sous-vêtement, je sens ses doigts et bientôt sa langue toucher aux parties les plus sensibles et les plus souillées de ma culotte.

-« Tu es vrai truie », ajoute-t-elle entre deux coups de langue sur le tissu poisseux.

Le tissu de ma culotte est aspiré, elle doit mordiller et humidifier les fibres pour faire ressortir les jus. Quelle chienne !

-« Ca pue vraiment là dedans ! Que ça mexcite ! », poursuit-elle dune voie qui trahit son excitation et son empressement à profiter de la saleté que je garde entre mes cuisses depuis plusieurs jours !

Après quelques minutes de léchage, la belle brune, remonte vers mon visage. Au passage elle déchire en partie ma jupe et glisse sous mon chemisier, dont elle fait sauter quelques boutons. Elle atteint mon soutien-gorge et malaxe mes seins avec une grande vigueur. Elle me lance un nouveau mollard dans le visage. Jouvre cette fois la bouche pour laccueillir en vraie salope que je suis. Sa salive a déjà un petit goût salé typique des substances qui polluent mon intimité.

-« Tes vraiment une grosse sale, tas pas dû tessuyer ni te laver depuis des jours Taimes être sale, hein ? », me susurre Virginie me faisant profiter de son haleine lourde. En disant cela elle massène une nouvelle gifle qui écarte mes lunettes.

-« Oui, jadore être crade », réponds-je.

Virginie semble très excitée par ma réponse et retourne soccuper de mon entrecuisse. Cette fois elle ne se contente pas de tâter lextérieur de ma culotte souillée, elle lécarte et fourre sa langue directement sur ma vulve gluante et puante ! Je suis un peu, un tout petit peu, gênée, mais elle me rassure bien vite.

-« Que cette bon cette odeur de chatte faisandée ! », déclare-t-elle en sécartant à peine de mon sexe trempé.

Elle lèche vigoureusement mes grandes lèvres intimes, puis pousse sa langue plus loin, vers mes petites lèvres et ouvre le capuchon de mon clitoris Sa langue me procure des sensations fantastiques, que la présence du clou sur sa langue renforce encore. Je ne peux mempêcher de gémir. Elle fait monter me excitation, je crois que je vais jouir, mais Virginie semble être une experte en jouissance féminine, elle stoppe ses caresses buccales juste avant que je natteigne lorgasme. Elle vient tout de suite plonger sa langue dans ma bouche. Je sens mon odeur et le goût fort de mon sexe sale. Bien-sûr le baiser que nous échangeons est des plus baveux et se termine par un gros crachat de Virginie dans ma bouche. Je lavale goulûment !

Ma partenaire se lève et mordonne de limiter. Je suis son ordre. Nous sommes toutes les deux encore largement habillées, mais nos vêtements sont plutôt en lambeaux. Elle sallonge à son tour sur un canapé, les cuisses largement ouvertes, telle une invitation au cunnilingus. Du coin de lil je vois Julien qui a sorti son sexe et se masturbe doucement. Il est tellement beau mon étalon

Virginie semble me donner loccasion de reprendre le dessus dans nos ébats et je ne men prive pas. Je soulève ses cuisses et remonte sa jupe. Sa culotte est dans le même état que la mienne, peut-être même pire. Lavant est jauni, tandis quune énorme tâche marron macule tout larrière.

-« Tu mas lair dêtre encore plus dégueulasse que moi, grosse pute ! ». Je lance ses paroles autant pour lexciter que pour faire plaisir à Julien qui adore la vulgarité verbale dans le sexe.

-« Je sais que tu adores ça, cochonne. », répond Virginie.

Sans ménagement, je donne une bonne fessée à ce derrière tout sale.

-« Ça tapprendra à ne pas te laver avant de baiser. »

Trop excitée par la vue de cette belle fille à la culotte bien sale, je dirige ma tête, langue sortie, vers le morceau de tissu imprégné de toute sorte de substances intimes.

Le premier contact me ravi, je sens un goût très salé, puis lodeur envoûtante inonde mes narines subjuguées ! Je lèche quelques instants la culotte, mais lécarte très vite pour arriver à la source de toute cette saleté, sa chatte moite ! Jadore cette sensation de saleté et le fait de toucher ces parties intimes si souillées avec ma propre langue et daspirer les gouttes des jus intimes provoque chez moi une excitation sans limite. Cela fait partie de mes vices les plus profonds, je me vautre dans de telles pratiques avec un tel bonheur, mêlé parfois dun peu de vexation pour mon amour-propre, depuis des années et jaime ça de plus en plus. Je jouis pratiquement sans même me toucher. Un seul souffle suffirait en cet instant pour menvoyer au septième ciel.

La cyprine déborde de la chatte de Virginie à mesure que je lèche ses parties les plus intimes et les plus sales. Elle semble aimer mon traitement, elle râle et pousse des petits cris de plaisir.

Tout à coup, mon visage et mes lunettes sont aspergés dun jet chaud, la salope me pisse au visage ! Quelle garce, mais quel plaisir Je tente de laper le maximum durine, mais dans la surprise, une bonne partie séchappe sur le sol. Apparemment Virginie na pas fait exprès de pisser, je crois même que dans son plaisir elle ne sest pas rendu compte de son incontinence, si sa vessie est aussi pleine de que la mienne je la comprends. Je poursuis mon cunnilingus avec encore plus dardeur après ce beau jet de pipi.

Toutefois, je me sens de plus en plus attirée, par le dessous de sa chatte. Ma langue descend doucement vers lanus chargé de matière fécale, qui jonche les plissures qui bordent le trou. Le goût est très amer, que jadore ça ! Je prends de petits morceaux de merde qui doivent stagner là depuis des jours. Je les passe dans ma bouche de truie et les avale avidement. Je me comporte comme une grosse cochonne bien vicelarde et cela mexcite au plus haut point. Je sais que Julien doit être également en transe.

Je tiens également à faire profiter Virginie de lodeur et du goût de son entre-jambes dégueulasse. Dès que jai un peu nettoyé les abords de son trou du cul avec ma langue, je vais lembrasser sauvagement pour quelle goûte ses propres délices. Je suis sûre quelle va adorer !

Je décide moi aussi de lâcher un peu la pression quexerce ma vessie. Je pisse sur Virginie et souille ses vêtements. Elle semble adorer :

-« Oui, cest bon, cest chaud, pisses-moi dessus, jaime ça ! », lâche-t-elle avec une envie non feinte.

Alors je continue à pisser, ma vessie était tellement pleine Virginie glisse pour placer sa bouche sous ma chatte et avaler ma pisse toute chaude ! Julien ma trouvé une belle salope, une grosse chienne comme je les aime, elle est comme moi !

Mon envie de pisser à peu près passée, nous nous vautrons toutes les deux dans lurine qui refroidit à même le sol carrelé. Nous aspirons de petites lampées de pisse que nous déversons dans la bouche de lautre, cest si bon Nous gardons quelques vêtements, trempés et déchirés

Au bout de quelques minutes nos caresses se durcissent, je donne de bonnes fessées dès que Virginie laisse son cul à portée de mes mains. Elle me mord fortement dès quelle en a loccasion. Nous nous giflons mutuellement. Je sens mon corps chauffer malgré lhumidité Jadore donner et recevoir des coups lorsque je baise, la douleur fait pour moi intégralement partie du plaisir du sexe ! Jai limpression quil en est de même pour ma partenaire. Décidément quelle est géniale, merci Julien.

Nos ébats se prolongent depuis plusieurs dizaines de minute, lorsque je sens un jet chaud frapper larrière de ma tête. Je crois un instant que mon mari est venu nous rejoindre et nous pisse dessus. Je sais quil aime lui aussi les jeux uros.

A ma grande surprise il ne sagit pas de Julien, mais dun autre homme. Encore plus surprenant, il y a derrière moi un groupe de mâles, la bite à lair et lun dentre eux nous pisse tranquillement dessus jusquà ce que son envie soit passée !

Il ne stoppe pas lorsque je me retourne et continue à pisser sur les deux gouines dégueulasses qui se vautrent sur le canapé sales. Virginie et moi tendons nos bouches avides pour recueillir un maximum de liquide chaud.

Jaime être sale avec dautres filles, mais avec des hommes cest un peu différent ; cela mexcite beaucoup, dautant que je ressens une certaines infériorité étrange.

Julien, placé à côté du groupe de mâles en rut, déclare :

-« Ma chérie, voici la suite de ton cadeau danniversaire, profites-en bien. »

Toujours accolée à Virginie, je vois quatre hommes en plus de mon mari. Celui qui nous pissait dessus il y a quelques secondes est un beau brun doté dune belle verge imberbe. Il y a également un autre brun, plus petit et surtout couvert de tatouages et pourvu dune bite qui me semble très épaisse, même si elle nest pas encore bien bandée. Je vois également un jeune rouquin, qui ne paye pas tellement de mine, mais dont le sexe semble généreux. Enfin, se tenant légèrement en retrait, le dernier mâle est impressionnant : blond, large dépaules, musclés, il ressemble à un viking à peine descendu de son drakkar ! Sa bite est à son image, monumentale !

A peine ai-je fini de les détailler sommairement que je me précipite sur la bite qui vient à peine de stopper son flux durine et me mets à la sucer avidement. Jaime sucer de belles bites et celle du beau brun me plait ! Il nétait pas encore très gonflé, mais je mapplique à le faire durcir, en lenfonçant tout au fond de ma gorge. Jaime la sensation procurée par un beau gland qui titille mes amygdales. La bite prend rapidement de lampleur dans ma bouche. Le type appui fort à larrière de ma tête, là où il pissait quelques instants plus tôt !

Dun coup le mec menvoie valser sur les canapés sans ménagement. Un autre type, le brun tatoué, mattrape par les cheveux et fourre violemment son gros sexe dans ma bouche avide. Jadore ce type de traitement, brutal, violent ! La douleur se mêle au sexe pour un plaisir encore accru ! Cette nouvelle bite a un goût de pisse macérée très prononcé, ce qui mexcite encore plus ! Le mec est vraiment une brute, il serre ma tête tout contre son ventre, ma bouche est grande ouverte et la grosse queue défonce ma gorge Je suis très heureuse dêtre (mal)traitée de la sorte. Cela mexcite au plus haut point. Je pense un instant à Julien et me dis quil me connaît bien pour moffrir un tel cadeau.

Cette fellation plus que violente ne dure pas très longtemps, le type, peut-être sur le point de jouir, retire sa bite de ma bouche et massène une bonne gifle, qui envoie mes lunettes voler sur les canapés. Je laisse échapper un gros fil de bave bien gluante qui rejoint la pisse imprégnée dans mon chemisier en lambeaux et mon soutien-gorge. Je remets tant bien que mal mes lunettes sales, avant que le rouquin ne plonge à son tour son membre durci dans ma gorge.

Pendant quil force ma bouche japerçois Julien, qui sest levé et tend sa bite à Virginie. Cette salope va sucer mon mari sous mes yeux ! Je nai pas longtemps loccasion de réfléchir à la situation de Julien et de Virginie, le bite que je lèche depuis quelques secondes, force ma gorge et manque de peu de métouffer Jaime être traitée ainsi, comme une grosse chienne en chaleur ! Ce rouquin un peu frêle avait lair un peu réservé, mais il est tout aussi brutal que les autres et défonce ma bouche rudement.

Collée au ventre pale de ce mec, je ne vois plus grand-chose de la scène qui mentoure. Jentends les gémissements de Virginie qui semble elle aussi subir les assauts lubriques des hommes présents, sans doute du gros viking, et les commentaires salaces de ceux-ci :

-« Elle est super bonne cette cochonne ! »

-« Ouais, une sacrée pute quon a là ! »

-« Dis-donc Julien, ta femme est vraiment chaude, mon salaud »

Je suis appuyée sur le dossier du canapé, le mec que je suce est debout sur lassise. Mes jambes sont écartées, je porte toujours mes chaussures à talons, mes bas partiellement déchirés, trempés de pisse et de salive et ma culotte sale, qui nest plus en place et laisse libre ma chatte gluante de souillures et de mouille ! Cette vision doit exciter un des types, car je sens que lon écarte encore davantage mes cuisses et bientôt une queue pénètre mon vagin. Je ne vois même pas duquel il sagit, mais cela ne mimporte guère, tant que je suis comblée et heureuse dêtre ainsi maltraitée ! Sans ménagement aucun le mâle entre et sort de ma chatte. Cette dernière à une grande et ancienne habitude des beaux calibres, mais cette bite est vraiment imposante, je sens quelle défonce bien mon sexe pourtant surexcité. Je suis sûre quil sagit du viking.

Une bite qui pilonne ma chatte humide et moite, une autre au tréfonds de ma gorge baveuse, vêtue de haillons trempés de pisse et de bribes de sous-vêtements tâchés de traces de merde, tout cela au milieu dune belle partouze, voilà une situation que jadore, je suis excitée comme une folle !

Je me fais baiser ainsi pendant de longues et délicieuses minutes. Mes partenaires décident déchanger leurs positions. Je vois enfin le mec qui me baise, il sagit bien du viking et sa bite bandée est effectivement impressionnante.

Mon sexe est libéré quelques instants, ma bouche aussi. Jen profite pour respirer plus à mon aise. Toutefois, les hommes ne me laissent que peu de répit, ils profitent de ce changement pour maltraiter mon corps, quelques gifles qui rougissent encore mes joues, ils pincent mes tétons et claquent mes fesses. La bave dégouline de plus en plus, mon menton est totalement imprégné. Les gars ajoutent leurs propres crachats un peu partout sur mon corps électrisé. La queue qui entre dans ma bouche a un goût bien particulier : je sens la mouille qui a suinté de ma chatte mêlée à des relents durine pas très fraîche ! Quelques secondes après, ma chatte est à nouveau occupée, par une nouvelle bite un peu plus modeste que la précédente, mais très vigoureuse.

Je constate quun petit groupe sest formé autour de Virginie. Jentends crier de joie, je ne sais pas exactement ce qui se passe, mais jen suis très curieuse. Je ne tarde pas à comprendre. Julien approche de moi, les deux hommes qui me baisent sécartent. Mon mari se présente fièrement, nu, sa verge parfaitement tendue. Cette dernière est couverte de merde. Il me demande :

-« Chérie, tu vas goûter à la merde de ta nouvelle copine Virginie ! Je viens de lenculer et cette grosse cochonne avait de la merde plein le cul, regarde létat de ma bite ! Je sais que ça texcite de bouffer de la merde ! »

Malgré moi et mon tempérament assumé de grosse salope, un brin de honte traverse mon esprit lorsque je me fais traiter ainsi par mon mari devant tous ces hommes inconnus et Virginie. Lidée de goûter à la merde de cette dernière me gène un peu, mais je sais au fond de moi que je ne pourrai pas résister longtemps à cette occasion de me rouler dans lordure, de mhumilier en public et de faire savoir à tous quelle truie je suis !

Julien attrape mes cheveux et mattire à lui. A genoux, jembouche sa bite couverte de merde et mes lèvres sen couvrent rapidement. Le goût âcre, amer et très prononcé de la merde fraîche irradie mes papilles. Lodeur entêtante emplit mes narines. Jai un sursaut de rejet, mais je le maîtrise et ma perversion prend le dessus. Je nettoie cette bite que je connais si bien. Javale de petits morceaux de merde non sans haut-le-cur.

Les autres protagonistes nous regardent, un peu ébahis. A nouveau les commentaires grossiers fusent :

-« Quelle grosse truie ! », lance Virginie.

-« Une fameuse chienne ! », ajoute un des gars.

Même si le membre de Julien était bien couvert de merde, je nettoie la bite assez vite. Peut-être furieuse que jaie mangé si avidement ses excréments, Virginie mattrape par les cheveux, me gifle très fort et me crache au visage en minsultant. Elle fourre mon visage entre ses cuisses et mordonne de lécher son trou du cul dégueulasse. Je mexécute en donnant de grands coups de langue bien au fond de la raie de ses fesses, là où la merde est bien dense, bien puante !

Pendant cet analingus très particulier, deux types en profitent pour soulager leur vessie en nous pissant copieusement dessus. Virginie est sur le dos, mon entre ses cuisses. Apparemment les mecs visent la bouche de ma copine qui doit se délecter de belles quantités durine toute chaude, tandis que les reliquats viennent irriguer son entre-jambes où je men abreuve.

Au bout de quelques secondes, je sens que le tatoué me pousse en avant et se fait une place près de mon arrière-train. Je pense quil va enfiler ma chatte, mais il force mon cul. Vu mon habitude à me faire sodomiser, il ne lui faut pas longtemps pour entrer totalement sa queue dans mon anus. Je poursuis quelques temps mon analingus à Virginie en glissant ma langue aussi loin que je peux à lintérieur de son trou du cul pour récupérer un maximum de merde ! Je suis parois obligée de mécarter un peu delle pour pouvoir respirer lorsque les flots durine et de merde men empêchent.

La bite qui me fourrage le cul me provoque de sensations incroyables. En effet, en plus de la belle longueur du membre, je suis ramonée jusquau fond de mes intestins par lénorme étron qui encombre mes entrailles depuis des jours ! Quelle divine sensation que dêtre défoncée sur une telle distance. Jai limpression que lensemble de mes entrailles sont chamboulées, fouillées, brasées, Cette sodomie particulière me procure une incroyable envie de chier ! Je ne sais combien de temps je vais pouvoir tenir, mais je fais de mon mieux pour préserver ma merde encore quelques instants. Quel bonheur dêtre aussi salope !

Virginie est malheureusement attirée par dautres hommes qui veulent la baiser et je naie pas le temps de bouffer toute la merdre qui souille les abords de son cul.

Les hommes prennent Virginie de toutes parts, ils lui font une belle double pénétration, qui la fait jouir à plusieurs reprises. Julien défonce la chatte pendant que le rouquin explore son anus. Elle porte encore des lambeaux de vêtement, déchirés, trempés de pisse et souillés de merde ! Cest vraiment une super salope comme je les aime. Où mon Julien la-t-il trouvée ? Ca ne métonne pas de lui, quel vicelard

Le beau viking à la bite surdimensionnée est seul, je lappelle :

-« Viens toccuper de moi ! »

Il approche sa bite de ma bouche avide. Il pilonne bien mon visage et me brutalise comme jaime. Il sattache surtout à maltraiter mes nichons ; il les attrape, les tord, les pince et les claque comme jaime. Mes tétons sont rouges vifs et gonflés, gorgés de sang, prêts à exploser !

Lautre bite me défonce toujours le cul, sembourbe dans la merde qui doit se frayer un chemin vers lextérieur sous la pression de ses coups de boutoirs, je commence à sentir la matière chaude et puante glisser hors de mon rectum et souiller les couilles du type. Le type appelle alors Virginie :

-« Virginie, viens voir, Karen et moi avons quelque chose à te montrer. », lance-t-il à la belle salope qui se faisait toujours prendre en double pénétration.

Virginie quitte ses partenaires et se rapproche de nous et se glisse sous moi. Dun seul coup, la bite qui retenait tant bien que mal la merde contenue dans mon cul sort de mon orifice et ce dernier libère une quantité impressionnante de matière fécale, juste sur le corps délicieux de la belle Virginie. Je suis surprise et impressionnée par la quantité de merde qui séchappe, je ne pensais pas pouvoir en retenir autant, le flot ne sarrête pas. Jai limpression de me vider, de ne plus rien contrôler. Mon orgasme est foudroyant !

Virginie pousse des cris de joie, encouragée par les hommes qui nen perdent pas une miette. Me merde se répand sur sa poitrine, encore partiellement couverte par ses vêtements. Lorsque je me suis totalement vidée, je remarque les sourires des hommes et je ne peux mempêcher des les imiter. Je me retourne pour découvrir le résultat de ma vidange.

Virginie, affiche un grand sourire, un peu de merde a débordé sur son visage, une odeur terrible se dégage, elle minvite Sans réfléchir je plonge ma tête sur sa poitrine où la merde est la plus profonde et la plus puante ! Je menivre de mes propres excréments !

Quelques hommes se mettent à nous pisser dessus ! Je ne men préoccupe guère, je commence à prendre en bouche des morceaux de merde, je les mâche lentement et en avale un peu. Je suis une vraie truie qui mange de la merde ! Jadore me vautrer ainsi dans limmondice, cela fait partie de mon très grand vice. Virginie badigeonne mes beaux et longs cheveux blonds clairs de grandes tartines de merde. Je dois vraiment avoir lair dune femme-toilette ! Quelle joie !

La poitrine de Virginie était encore bien loin dêtre propre, lorsque lun des mâle mintime lordre de me retourner. Je me trouve alors couchée sur les seins tout sales de Virginie, tandis que le mec me surplombe de son cul.

Cest le rouquin, son sanus souvre pour libérer une belle grosse merde dégueulasse qui se dépose sur mon visage. Ma bouche ouverte, avide, ne parvient pas à capter tout létron, dont une partie se dépose sur le haut de mon visage, mes lunettes déjà toutes sales et mes cheveux, qui étaient encore tout blonds il y a quelques heures

Je mange encore de la merde. Celle de ce garçon a un goût encore plus musqué que la mienne, il a dû se retenir tellement longtemps, le porc. Je sens que je plonge dans des vices de plus en plus profonds et cela mexcite encore davantage. Je nai plus aucune limite ni tabou.

Julien me regarde, satisfait de sa salope de femme.

Lorsque le rouquin se retire et que je me suis un peu repu de sa merde, les autres types viennent tout à tour chier sur moi, même Julien. Je suis toujours allongée sur Virginie, qui, même si elle me laisse pratiquement tout la merde pour moi tout seule cest mon anniversaire, après tout – semble apprécier den voir, den sentir et den toucher autant.

Je mefforce de manger un maximum de merde. Je me sens totalement salope, comme je laime, depuis ma puberté. Mais petit à petit, mon estomac commence à rechigner. Je peux tenir difficilement jusquà ce que le dernier type chie, le beau viking, mais ce dernier pond un étron terrible : gros, gras, puant à souhait, Dans lexcitation du moment et encouragée par les vivas des hommes et de Virginie, je bouffe une grande partie de sa merde.

Mais quelques secondes plus tard, je dois vomir une masse brune et visqueuse que je répands sur le sol ! Les mecs applaudissent avec fougue. Virginie sourit. Je suis un peu mitigée, à la fois gênée de vomir en public, fatiguée par ses efforts, mais tellement heureuse dêtre aussi salope et de pouvoir assouvir mes fantasmes les plus profonds, qui plus est en compagnie de lhomme que jaime

Julien sapproche et dit :

-« Tu as vu ce que tu as fais ? Tes vraiment un grosse dégueulasse ! Tu sais que jadore ça, mais il va falloir que tu sois encore plus crade. Je veux que tu bouffe ton vomi plein de merdre, petite pute ! ».

Quel porc ce chéri de mari ! Il me plonge dans les vices les plus ignobles, minsultent, tout en maiment très fort

Malgré tous mes vices, je navais encore jamais goûté au vomi. Lodeur était très acide, différente de la merde ou de la pisse, même si la matière qui gît près de moi est largement composée des excréments que jai mangé.

Finalement totalement excitée, je ne me pose pas de question et sors ma langue pour lécher le sol couvert de vomi merdique ! Jaspire le liquide nauséabond et croque quelques morceaux plus durs, que je navais pas bien mâché la première fois !

Les hommes minsultent tant et plus :

-« Regardez-moi cette truie ! ».

-« Quelle pouffiasse, bouffer sa propre gerbe, buerk ! ».

Julien ordonne ensuite aux hommes, dont les queues restaient inactives, mais toujours bien dures, de me baisser comme le mérite une chienne comme moi.

Cest ainsi que le beau brun me tire mextirpe de la flaque gluante et puante dans laquelle je me vautre, et violemment menvoie vers un canapé plus propre. Il sallonge sous moi. Il me prend par la chatte, tandis quun autre homme vînt menculer sans ménagement.

Après quelques minutes de ce traitement, je demande à recevoir deux bites dans le cul en même temps ! Je sais que mon anus peut le supporter et je suis tellement excitée que je veux soumettre mon corps à tous les vices ! Mais jai peut-être oublié la taille du sexe du viking. Et cest lui qui se présente en compagnie du tatoué ! La pénétration est un peu longue et douloureuse, mais comme je laie dit la douleur fait pour moi partie du plaisir. De plus les restes de merde qui jonchent les parois de mon anus doivent faciliter la pénétration de ces deux bites. Lentement mon fion se dilate et laisse entrer les deux sexes bandés au maximum. Cette double pénétration spéciale dure plusieurs minutes dintense plaisir.

Les hommes se succèdent ensuite dans mon derrière. Julien me prend également, à son tour, en compagnie du beau brun.

Après plusieurs dizaines de minutes, ponctuées de nombreux orgasmes de ma part, les bites se groupent autour de la bouche avide de Virginie et y déversent des quantités impressionnantes de sperme !

Virginie affiche un plaisir franc lorsquelle reçoit les grandes giclées blanches, utilisant ses doigts pour y guider le foutre qui avait atterrit sur ses joues. Cependant, elle navale pas, elle se gargarise avec cette matière riche et odorante. Puis, quand tous les gars ont vidé leurs couilles y compris mon mari elle sapproche de moi et déverse le contenu de sa bouche dans la mienne, en me disant :

-« Joyeux anniversaire Karen ! »

Je me gargarise moi aussi de cette liqueur, puis avale le tout dun seul trait. Peut-être cette matière visqueuse va-t-elle soulager mon larynx irrité. Je termine par un rôt totalement obscène !

Julien vient me voir et dit devant tout le monde que jai reçu la première partie de mon cadeau et que la suite mattend. Si le veux.

Je reste un peu surprise, tant de baise, de salissure, dinjures, Je croyais que mon cadeau prenait fin et en étais déjà très satisfaite. Mais apparemment, les choses doivent se poursuivre. Je suis un peu fatiguée, mais je fais docilement signe de la tête que « oui », je veux bien la suite.

Jai jouis comme rarement et me suis vautrée dans le vice et les immondices au-delà de la raison, mais si Julien a encore des surprises, mon esprit pervers était prêt à les suivre.

Julien ne perd pas une minute, il nous lance :

-Puisque ma petite salope de femme est daccord, passons à la suite !

Il mattrape alors vivement par les cheveux et mattire dehors. Je suis assez surprise, non pas par la violence de son geste, mais par le fait quil me fasse sortir, non seulement nue, mais souillée par la merde de tous ces hommes sur mon corps ! Je ne suis pas très pudique, mais lexhibitionnisme ne ma jamais particulièrement excité.

Au dehors il fait nuit noire, à peine éclairé, Julien saisit un tuyau darrosage et ouvre un robinet, de leau glacée en sort, quil me gicle dessus, dun réflexe je méloigne, mais Julien mintime lordre de rester sur place et de subir leau froide :

-Tu ne trouves pas que tu es trop dégueulasse comme ça, je vais te nettoyer un peu, laisse-toi faire !

Julien masperge, leau froide et la pression du jet font rougir ma peau, dabord protégée par la salissure, elle est vite nettoyée. Mon mari insiste davantage sur mon entrecuisse très sale. La conjugaison de la pression et du froid est très douloureuse. Mais jaime ressentir de la douleur, cela mexcite à nouveau très vite. Quelle salope je fais !

Baissant un peu la pression, Julien approche encore le jet de ma chatte et de mon cul pour bien nettoyer chaque recoin, il déclare :

-Tu devras être bien propre pour la suite. Ca va te changer

Etrangement, ma chatte pulvérisée par leau glacée me brûle, je crie très fort, ne me rendant pas compte que nous sommes dehors et que lon pourrait mentendre, de toute façon je men fous, jai trop mal.

Considérant que je suis assez lavée, Julien stoppe le jet, mais mintime lordre de rester sur place. Comme dans les films de prisonniers, il masperge dune poudre blanche qui me pique les yeux en déclarant :

-Voilà pour une pétasse comme toi, une grosse chienne dégueulasse doit se faire désinfecter pour être vraiment propre. Tu comprendras par la suite.

Je tousse et ai du mal à reprendre ma respiration. Javoue ne pas très bien comprendre, je ne cherche pas plus. Je suis soumise, heureuse de lêtre et fais totalement confiance à mon mari-maître. Je suis sûre quil saura me faire plaisir, comme depuis le début de cette folle partie et de notre vie de tous les jours.

Dès que le nuage semble un peu retombé, Julien revient vers moi et mempoigne par les cheveux violemment, pour me traîner à lintérieur du garage. Nous délaissons lespace qui a servi à nos ébats dégueulasses de tout à lheure pour gagner une autre partie de ce très grand garage, qui a pu rester propre. Lambiance du mobilier est assez dénudée.

Julien me mène au centre de la pièce et me fait écarter les jambes, tout en restant debout. Grâce à des anneaux métalliques, il mattache les chevilles au sol. Je peux me tenir des mains à une barre située juste au-dessus de moi.

Je suis donc nue, attachée, les jambes écartées, exposée à la vue de mon mari, de mes amants et de la belle Virginie Mon mari a tout prévu, un système de glaces me permet de me voir sous toutes les coutures, y compris mon arrière-train. Il pense vraiment à tout quand il sagit de perversité ! Jaime ce type de situation, mais une pointe dinquiétude nait en moi. Si, comme je lai montré durant la baise qui a précédé je suis une grande adepte des jeux sales et des orgies de pisse de merde et de tout ce que le corps peux exécrer, je suis également une belle soumise, prête à toutes les souffrances, notamment si elles viennent de lhomme que jaime. Il peut tout faire de moi, il pourrait même commettre lirréparable que je ne broncherai guère, petite chose sexuelle que je suis ! Mon mari connaît très bien mes penchants et je sens quil va en abuser sauvagement. Il va prendre son pied et me faire prendre le mien, jen suis sûre.

Je ne me trompe pas. A peine attachée, Julien se transforme en bourreau. Pinçant très fort mes tétons il les tire et les tord dans tous les sens. Jai mal, mais ne veux pas trop le lui montrer, je fais la forte pour linstant.

Son traitement fait gonfler mes tétons qui deviennent bien durs. Julien les claque et leur donne de grosses chiquenaudes qui font mal, quel délice pour une maso comme moi !

Mes amants de tout à lheure lencouragent :

-Ouais, elle aime ça ta salope, fais la bien souffrir !

-Cest une chienne qui aime la merde, punis la bien !

Julien poursuit, jessaie de ne pas trop broncher. Il sort des pinces et enserrent mes tétons. Au début je ne sens que le froid agréable du métal, mais lorsquil lâche la poignée je ressens un pincement terrible ! Je crois que mes tétons vont être broyés ! La pince écrase incroyablement mes bouts et leur extrémité devient rapidement violette. Julien sourit, content de lui. Pour en profiter encore plus il massène une bonne gifle qui me fait mal à la joue et au cou.

Quelques nouvelles insultes pleuvent :

-Quelle garce, elle aime ça, la putain !

-Oui, ajoute Julien, on sait tous quelle aime la douleur ma truie de femme, elle va déguster la salope.

Mon maître décide de laisser mes seins ainsi entravés et va soccuper de ma chatte. La chaleur de la pièce et surtout la douleur infligée à mes nibards, ont réchauffé mon sexe glacé tout à lheure par leau du jet. Ma vulve na pas eu le temps de sécher, à peine lhumidité de leau sest estompée que la cyprine a repris possession de ce lieu de plaisir, je crois même que je dégouline sur mes cuisses !

Julien fait en sorte de ma garder bien trempée. Il commence par tirer sur mes grandes lèvres. Habituées à ce type de traitement depuis des années, elles sétendent sans me faire trop souffrir. Il me donne également de bonnes claques sur la chatte, puis reprend les lèvres et les étirent davantage. Puis cest mon clito qui a droit aux sévices. Julien le presse, le tire, le tord dans tous les sens et je ne peux mempêcher de couiner ! Plaisir mêlé de douleur, quel délice !

Mon salaud de mari passe ensuite à mes fesses. Il les attrape à pleine main et les malaxe fortement. Puis cest la première claque dune longue série. Les coups pleuvent sur mon postérieur qui me chauffe très vite. Que jaime cette sensation de douleur sur le cul. Jai limpression dêtre en feu, cela chauffe encore plus ma chatte, je mouille énormément. La fessée à main nue se prolonge pendant de longues minutes. La douleur est particulièrement agréable, je la sens bien, mais elle reste tout à fait tolérable du moins pour une habituée comme moi !

Julien ne cesse sa fessée que pour revenir vers mes nichons toujours munis de pinces. Le salaud attache des poids aux pinces qui entravent mes bouts. Je ne peux retenir un cri de douleur au moment où il lâche ces poids qui tendent incroyablement mes chaires sensibles. Les poids pendent le long de mon ventre, jévite de bouger car chaque mouvement est douloureux. Julien le sait bien et en profite, le salaud. Il reprend de plus belle sa fessée, mais cette fois pas à main nue. Lenfoiré se munit dune belle cravache. Pour les premiers coups il reste relativement modéré, mais plus que la douleur sur mes fesses, ces coups portent sur mes seins en faisant bouger les poids quils supportent maintenus par une pince qui mord mes chaires depuis plusieurs dizaines de minutes.

Petit à petit les coups se font plus forts allant jusquà faire en sorte que les poids de mes seins sentrechoquent et me provoquent une grande douleur. Je crie fort, ce qui semble vraiment exciter les spectateurs de la scène. Je vois que certains mecs tripotent Virginie. Cette dernière, en bonne salope quelle est, se laisse faire.

Les glaces me donnent une bonne vue sur mon cul. Si la fessée à main nue lui avait donné une belle couleur rouge, la cravache zèbre mon fessier de belles traces dun rouge profond. Jai de plus en plus mal, mais la simple vue de mon cul abîmé par les coups mexcite tellement, que je demande même à Julien de continuer :

-Vas-y mon beau, frappe-moi encore plus fort

Mes propos lexcitent, cest sûr, il tape encore plus fort et ses coups se répètent sur les zones déjà endolories, je commence à avoir vraiment mal, mais jarrive encore à faire la forte, malgré quelques cris de douleur.

Avant que mes fesses ne soient totalement rouges sombre, mon bourreau stoppe ma fessée. Ce nest que pour mieux me faire souffrir. Il me contourne et profite de lécartement de mes cuisses pour venir faire jouer sa cravache directement sur ma chatte ouverte par lexcitation. La chaleur de mon sexe atténue sans doute la portée des premier coups, mais il y a va fort et je ne peux retenir des cris de douleur. Je suis noyée sous une pluie de coups qui provoquent de la do

Related posts

Première soumission – Chapitre 1

historiesexe

En voiture pour les vacances ! – Chapitre 1

historiesexe

La Dépravation d'une gentille petite Bourgeoise – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .